Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Toujours aussi ingénieux, trépidant et poétique, ce quatrième opus sur l'estime de soi accueille un nouveau personnage de cascadeur québécois hilarant.
Closer
par La Rédaction
Aussi drôle, tendre, intelligent que ses aînés, ce nouvel opus vaut le déplacement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Une fourchette ? Oui, mais une fourchette jetable bricolée, qui au lieu de devenir un déchet devient un jouet. C'est écolo et c'est rigolo : c'est notre nouveau chouchou de la saga. Trop bien !
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une aventure pour enfants, drôle, colorée, rebondissante, parfaite en son genre, avec un contenu émotionnel fort.
LCI
par Jérôme Vermelin
Vingt-quatre ans après le premier volet, neuf après le précédent, les jouets héros de "Toy Story" reviennent plus en forme que jamais dans un quatrième épisode qui séduira autant les parents que les enfants. Sinon plus.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Bref, un feu d’artifice qui n’empêche pas une vraie réflexion sur l’indépendance et l’émancipation. Audacieux épilogue ! Vous aurez du mal à retenir vos larmes quand la malle aux jouets se refermera.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
De l’humour, de l’émotion, du rythme et des seconds rôles savoureux : une réussite éclatante.
Libération
par Luc Chessel
Voici "Toy Story 4" : où, lancé une fois encore à la folle poursuite de ses origines, Pixar continue d’être le présent et l’avenir du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si Pixar conserve cette capacité à nous éponger systématiquement en fin de projection, le studio peut bien continuer à suivre Buzz et Woody pendant encore 20 ans...
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les temps changent, mais Woody et ses potes restent au top.
Télé Loisirs
par La rédaction
Sans égaler "Toy Story 3", pur chef-d’œuvre de mélancolie, ce conte philosophique hilarant, où les jouets s’interrogent sur leur condition, est un véritable feu d’artifice visuel et comique.
20 Minutes
par Caroline Vié
Soyons francs : sur le papier, un quatrième volet de la saga Toy Story, alors que la trilogie s’était achevée en beauté dans Toy Story 3, ne semblait pas vraiment justifié. Mais il suffit de quelques plans de Toy Story 4 de Josh Cooley, pour être rassuré : ce nouvel opus est de la même veine jubilatoire que ses prédécesseurs.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un quatrième volet drôle, émouvant, et qui évite l’écueil de l’épisode de trop.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Si les personnages ont toujours été des objets usagés, se rêvant cowboy ou astronaute, le propos se radicalise dans ce quatrième volet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré un premier acte qui se traîne, se contredit et a bien du mal à dégager des enjeux clairs, le récit prend son envol pour proposer une cinquantaine de minutes aventureuses et mélancoliques, conclues par un épilogue bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Héléna Villovitch
On s'émeut et on rit (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce "Toy Story 4" tient ses promesses en renouvelant le cocktail d’humour, d’action et d’émotion des films précédents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Alexandre Lazerges
Mais surtout ce 4ème épisode, 24 ans après le premier "Toy Story" (1995) qui posait les jalons du cinema d'animation en image de synthèse, marque l'entrée de cette technologie dans l'âge mûr tout comme les personnage à l'image de Woody, devenu enfin adulte.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Une invitation difficile à refuser.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Rester vivant malgré les épreuves du temps, c’est la grande question des héros et des auteurs de la saga. C’est ce que réussit ce quatrième opus, sans génie mais visuellement flamboyant, qui reconduit les ingrédients des précédents avec un certain bonheur. Lifting réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Du rythme, du divertissement, et la place laissée à un possible numéro 5 : que demander de plus ?
Le Figaro
par La Rédaction
Il en faut peu pour rendre un enfant heureux. Le rire est là sans oublier l’émotion. Savamment dosée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Remi Lou
Une véritable montagne russe d’émotions, mais surtout du divertissement à l’état pur. Un film familial à voir de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Courses-poursuites d’anthologie, idylle amoureuse touchante et gags intrépides seront donc au programme de ce quatrième opus où, plus que jamais, se célèbrent les noces orphelines des enfants sans jouets et des jouets sans enfants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Plus que jamais, le film développe l'aspect psychanalytique de la relation enfant-jouet, tout en multipliant les gags et répliques hilarants. Ajoutez à cela un graphisme bluffant et un doublage de haut niveau, et vous obtenez une nouvelle prouesse du studio Pixar, capable d'enthousiasmer les enfants comme les adultes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
24 ans que Pixar nous raconte régulièrement cette histoire de jouets, et pourtant, on ne s'en lasse pas. Chapeau (de cow-boy), l'artiste !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Une bergère action hero et une fourchette en plastique apportent du peps et de l’humour à ce quatrième volet très réussi. Les aventures de Woody et de sa bande démontrent que le savoir-faire Pixar impressionne autant pour la technique que pour le scénario.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Dans un final qui n’est pas sans rappeler celui d’il y a dix ans, "Toy Story" nous reprend une dernière fois de court et prouve que les adieux sont sa scène talisman.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Malin, inventif, incorrect (...).
Première
par François Léger
Le contrat est rempli mais on aurait cependant aimé voir Toy Story 4 creuser des sujets plus profonds, comme celui à peine effleuré de la décrépitude des jouets (que deviendrait Forky si on le démontait ?) et de leur espérance de vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La beauté de l’intrigue, outre l’invention et la mélancolie, vient de la façon dont les jouets veillent sur les petits sans jamais tirer la couverture à eux ou s’autoriser un désir de reconnaissance. Ils redoutent de devenir obsolètes mais ne réclament rien d’autre que d’exercer leur vocation. Etre au service de l’enfance, incarner le rêve dont on les a investis.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
L’attachante bande de jouets à nouveau projetée dans le monde bizarre des humains. La suite de Josh Cooley est ébouriffante de créativité, servie par la magie Pixar.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Distrayant sans être hilarant, émouvant sans être bouleversant, le film, d’un réalisme parfois troublant, n’atteint pas la beauté formelle des précédentes productions Pixar. Mais Toy Story 4 a le mérite de questionner la finitude des choses, des jouets comme, espérons-le, des licences cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Ce quatrième épisode reprend chacun des éléments qui avaient fait le succès de la trilogie, à commencer par le sentiment amer sur lequel elle s’était brillamment clôturée... au risque de faire plus facilement monter les larmes que les rires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Ce quatrième épisode accrédite au moins l’idée que l’enfance et la grandeur du roman de Woody, Buzz et leurs compères sont à jamais derrière nous.
BIBA
Toujours aussi ingénieux, trépidant et poétique, ce quatrième opus sur l'estime de soi accueille un nouveau personnage de cascadeur québécois hilarant.
Closer
Aussi drôle, tendre, intelligent que ses aînés, ce nouvel opus vaut le déplacement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une fourchette ? Oui, mais une fourchette jetable bricolée, qui au lieu de devenir un déchet devient un jouet. C'est écolo et c'est rigolo : c'est notre nouveau chouchou de la saga. Trop bien !
Femme Actuelle
Une aventure pour enfants, drôle, colorée, rebondissante, parfaite en son genre, avec un contenu émotionnel fort.
LCI
Vingt-quatre ans après le premier volet, neuf après le précédent, les jouets héros de "Toy Story" reviennent plus en forme que jamais dans un quatrième épisode qui séduira autant les parents que les enfants. Sinon plus.
La Voix du Nord
Bref, un feu d’artifice qui n’empêche pas une vraie réflexion sur l’indépendance et l’émancipation. Audacieux épilogue ! Vous aurez du mal à retenir vos larmes quand la malle aux jouets se refermera.
Le Journal du Dimanche
De l’humour, de l’émotion, du rythme et des seconds rôles savoureux : une réussite éclatante.
Libération
Voici "Toy Story 4" : où, lancé une fois encore à la folle poursuite de ses origines, Pixar continue d’être le présent et l’avenir du cinéma.
Mad Movies
Si Pixar conserve cette capacité à nous éponger systématiquement en fin de projection, le studio peut bien continuer à suivre Buzz et Woody pendant encore 20 ans...
Ouest France
Les temps changent, mais Woody et ses potes restent au top.
Télé Loisirs
Sans égaler "Toy Story 3", pur chef-d’œuvre de mélancolie, ce conte philosophique hilarant, où les jouets s’interrogent sur leur condition, est un véritable feu d’artifice visuel et comique.
20 Minutes
Soyons francs : sur le papier, un quatrième volet de la saga Toy Story, alors que la trilogie s’était achevée en beauté dans Toy Story 3, ne semblait pas vraiment justifié. Mais il suffit de quelques plans de Toy Story 4 de Josh Cooley, pour être rassuré : ce nouvel opus est de la même veine jubilatoire que ses prédécesseurs.
CNews
Un quatrième volet drôle, émouvant, et qui évite l’écueil de l’épisode de trop.
Critikat.com
Si les personnages ont toujours été des objets usagés, se rêvant cowboy ou astronaute, le propos se radicalise dans ce quatrième volet.
Ecran Large
Malgré un premier acte qui se traîne, se contredit et a bien du mal à dégager des enjeux clairs, le récit prend son envol pour proposer une cinquantaine de minutes aventureuses et mélancoliques, conclues par un épilogue bouleversant.
Elle
On s'émeut et on rit (...).
Franceinfo Culture
Ce "Toy Story 4" tient ses promesses en renouvelant le cocktail d’humour, d’action et d’émotion des films précédents.
GQ
Mais surtout ce 4ème épisode, 24 ans après le premier "Toy Story" (1995) qui posait les jalons du cinema d'animation en image de synthèse, marque l'entrée de cette technologie dans l'âge mûr tout comme les personnage à l'image de Woody, devenu enfin adulte.
L'Ecran Fantastique
Une invitation difficile à refuser.
L'Obs
Rester vivant malgré les épreuves du temps, c’est la grande question des héros et des auteurs de la saga. C’est ce que réussit ce quatrième opus, sans génie mais visuellement flamboyant, qui reconduit les ingrédients des précédents avec un certain bonheur. Lifting réussi.
Le Dauphiné Libéré
Du rythme, du divertissement, et la place laissée à un possible numéro 5 : que demander de plus ?
Le Figaro
Il en faut peu pour rendre un enfant heureux. Le rire est là sans oublier l’émotion. Savamment dosée.
Le Journal du Geek
Une véritable montagne russe d’émotions, mais surtout du divertissement à l’état pur. Un film familial à voir de toute urgence.
Le Monde
Courses-poursuites d’anthologie, idylle amoureuse touchante et gags intrépides seront donc au programme de ce quatrième opus où, plus que jamais, se célèbrent les noces orphelines des enfants sans jouets et des jouets sans enfants.
Le Parisien
Plus que jamais, le film développe l'aspect psychanalytique de la relation enfant-jouet, tout en multipliant les gags et répliques hilarants. Ajoutez à cela un graphisme bluffant et un doublage de haut niveau, et vous obtenez une nouvelle prouesse du studio Pixar, capable d'enthousiasmer les enfants comme les adultes.
Le Point
24 ans que Pixar nous raconte régulièrement cette histoire de jouets, et pourtant, on ne s'en lasse pas. Chapeau (de cow-boy), l'artiste !
Les Fiches du Cinéma
Une bergère action hero et une fourchette en plastique apportent du peps et de l’humour à ce quatrième volet très réussi. Les aventures de Woody et de sa bande démontrent que le savoir-faire Pixar impressionne autant pour la technique que pour le scénario.
Les Inrockuptibles
Dans un final qui n’est pas sans rappeler celui d’il y a dix ans, "Toy Story" nous reprend une dernière fois de court et prouve que les adieux sont sa scène talisman.
Marianne
Malin, inventif, incorrect (...).
Première
Le contrat est rempli mais on aurait cependant aimé voir Toy Story 4 creuser des sujets plus profonds, comme celui à peine effleuré de la décrépitude des jouets (que deviendrait Forky si on le démontait ?) et de leur espérance de vie.
Sud Ouest
La beauté de l’intrigue, outre l’invention et la mélancolie, vient de la façon dont les jouets veillent sur les petits sans jamais tirer la couverture à eux ou s’autoriser un désir de reconnaissance. Ils redoutent de devenir obsolètes mais ne réclament rien d’autre que d’exercer leur vocation. Etre au service de l’enfance, incarner le rêve dont on les a investis.
Télérama
L’attachante bande de jouets à nouveau projetée dans le monde bizarre des humains. La suite de Josh Cooley est ébouriffante de créativité, servie par la magie Pixar.
La Croix
Distrayant sans être hilarant, émouvant sans être bouleversant, le film, d’un réalisme parfois troublant, n’atteint pas la beauté formelle des précédentes productions Pixar. Mais Toy Story 4 a le mérite de questionner la finitude des choses, des jouets comme, espérons-le, des licences cinématographiques.
aVoir-aLire.com
Ce quatrième épisode reprend chacun des éléments qui avaient fait le succès de la trilogie, à commencer par le sentiment amer sur lequel elle s’était brillamment clôturée... au risque de faire plus facilement monter les larmes que les rires.
Cahiers du Cinéma
Ce quatrième épisode accrédite au moins l’idée que l’enfance et la grandeur du roman de Woody, Buzz et leurs compères sont à jamais derrière nous.