Avis : Everest - Page 4

Film catastrophe spectaculaire mais pas que...je ne comprends pas les critiques massacrantes de la presse (pour changer!). J'ai apprécié la mise en route progressive de l'histoire, pas de précipitation...comme une montée vers l'Everest! Etape par étape. C'est très bien interprété (casting 4 étoiles qui sait partager l'affiche et joue équilibré). Images à couper le souffle (pour une fois la 3D sert et on en prend plein les yeux). On se questionne face à la prise de risque (jusqu'à la mort!) de ces hommes (et 1 femme courageuse) et leurs guides alors que la nature n'a pas de scrupules et tue brutalement. Malgré l'organisation et la préparation de ces hommes, il suffit d'une mauvaise décision humaine, d'un oubli (d'oxygène), d'éléments à la chaine (quelle tempête de neige monumentale!) et tout devient une question de vie et de mort. On est happée quand les événements se déchaînent et les emportent un par un, tout devient brutal lors de la dernière heure de ce film, ce qui rend l'ensemble encore plus fort. On apprend également bcp sur le système justement des escalades-business, la culture tibétaine, le respect comme la concurrence que se font les sociétés organisatrices. Mais surtout la profonde solidarité dont font preuve les alpinistes au moment J, où tout dérape et qu'il faut y aller sans hésiter. Ils y vont et certains mourront en sauvant les autres. C'est aussi un film avec de belles histoire d'homme et de femmes, de maris et de femmes, prêt à tout pour leur passion, prêt à tout pour sauver leur moitié aussi, raisonnables au moment de se dire au revoir. Prenant et dur!
Bref...bon moment qui noue les tripes. A voir sans hésiter.

Je ressors du film très déçue.
Je me suis ennuyée pratiquement tout le long.
Rien de bien spectaculaire, à part un peu quand il y a le tempête c'est tout.

Un film qui te prend vraiment aux tripes, des images à couper le souffle, des jeux d'acteurs impressionnants ! Vraiment un très bon film qui te montre les difficultés et le courage qu'il faut avoir pour atteindre le sommet de l'Everest. Et tout ça tiré d'une histoire vraie, c'est bouleversant !

J'ai décidé pour cette critique de commencer par cette maxime célèbre, car elle résume a elle toute seule l'histoire du film. Ces derniers temps, on a eu une invasion de film autobiographiques, de biopics ou de films inspirés d'histoire vraie. Rien que le mois de septembre, on a eu Dheepan, le Prodige, The Program , N.W.A - Straight Outta Compton et bientôt The Walk et l'année prochaine Steeve Jobs. Donc vous l'aurez compris, on va parler d'une histoire tragique : celui de la mort de plusieurs alpinistes qui ont monté le toit du monde, à savoir l'Everest. Tâche ardue car ce film plutôt bien fait est quand même difficile à critiquer sans être de mauvaise fois.

Bon. Messieurs les réalisateurs de films. Une bonne fois pour toute. Si votre film ne nécessite pas de 3D, ne mettez pas de 3D ! Ce film était très bien sans. La 3D est inutile mais du genre totalement ! Bien sûr il y a quelques plans vraiment bien fait avec de la profondeur, mais sans la 3D cela passait très bien ! Même les Minions exploitent la 3D de manière artistique (ce n'est pas des blagues, la 3D est bien exploitée dans les Minions)! Ici c'est juste pour faire vendre ! Bon ma gueulante est passée passons sur les autres points du film. Si la réalisation est plutôt correcte dans l'ensemble et immersif, même sans la 3D, je n'ai pas compris le flash-back du début. C'est tout à fait inutile pour un film qui aurait pu s'en passer sans problèmes (d'ailleurs c'est une sacré manie des films ces temps - ci, il n'y a que la France qui semble être épargné). Cela dit, la photographie et les images sont très bien faits, le décor est superbe. La 3D augmente quelque peu la beauté de la photographie mais voilà ! Cela ne va pas plus loin. Il y a pas mal de scènes vraiment travaillées et qui méritent le détour

spoiler: Comme la scène de la mort de Rob Hall. Elle est vraiment belle et à vous refroidir. Jusqu'au bout on pense qu'il va s'en sortir mais non. Il est mort


Le film possède aussi un très bon thème musical qui rend bien l'aspect immersif et le découpage des scènes par date et horaire n'est pas mal. Je n'ai pas vu beaucoup de films avec des alpinistes (juste un téléfilm oubliable à tout casser), mais l'aspect réaliste de celui-ci est très bien fait

Au niveau de casting, ils se sont lâchés ! C'est le moins qu'on puisse dire ! L'équipe d'alpinistes est composé du guide Jason Clarcke dans le rôle de Rob Hall, de Josh Brolin dans le rôle de Beck Weather, Michael Kelly dans le rôle de Jon Krakauer, John Hawkes dans le rôle dans le rôle de Doug Hansen, du guide Jake Gyllenhaal dans le rôle de Scott Fisher et Naoko Mori dans le rôle de Yasuko Namba. Ils forment une partie des 2 équipes d'alpinistes qui vont monter l'Everest. Leur interprétation est convaincante certes, mais il ne sont pas exploités de la même façon. On développe plus les principaux que sont Rob Hall et Beck Weather, mais le reste un peu limite. Dans la mesure où la tragédie touche le groupe en entier, cela aurait pu constituer une sacré plus-value mais bon. Cela dit, le film n'oublie pas de nous les rendre attachants et c'est vraiment bien. Bon, il y a bien Beck qui est au final un peu un boulet au groupe (plus que Doug qui lui avait vraiment la volonté), mais bon il est quand même sympathique. Cela dit, il y a une scène très importantes qui résume l'état d'esprit des alpinistes.

spoiler: Dans une scène, Jon Kraukauer demande ce qui les motive à grimper l'Everest. Certains diront que c'est ce qui les font vivre, d'autre comme Beck, diront qu'il étouffe dans son cocon familiale, Yasuko dira qu'elle veut faire sa 7e montagne et Doug afin de réussir sa monté suite à son précédent échec. Beaucoup de raisons divers, mais qu'au fond, on s'en fiche un peu. Car ils le font par passion peut importe les risques
.

J'ai bien aimé le rapport de force entre Rob et Scott car cela montre un peu un coté rival et différence de points de vue. Cela dit, le film nous montre Scott comme étant un vrai dur en tant que guide et Rob comme étant plus posé et protecteur. C'est intéressant mais cela prend quand même quelques libertés avec certaines rumeurs ou fait.

Maintenant, on va parler des autres personnages qui gravitent autour des alpinistes. En premier lieu Jan Arnold (Keira Knightley). J'avais peur que le film exploite son personnage comme étant une sorte de desperate housewives et...finalement elle n'est pas mal pour le coté émotionnelle du film. Tout l'inverse de Peach Weather (Robin Wright) qui pour le coup est une vraie desperate housewives. Mais bon elle apporte une scène bon enfant avec Beck.

Guy Cotter (Sam Worthingthon) est un personnage dont je me demandais à quoi il servait, mais au final ça va. Ange gardien de l'équipe d'exploration, il va apporter son tant bien que mal son aide, spoiler: même vain
, aux alpinistes. Et puis ça fait du bien de voir Sam Worthington jouer comme dans Avatar ! Il y a enfin le staff technique composé de Helen Wilton (Emily Watson) et du Dr Caroline Mackenzie (Elizabeth Debicki encore ? ça fait 2 films avec elle que je vois en moins d'une semaine ! Oui c'est la méchante dans Agents très spéciaux : Code U.N.C.L.E) qui sont pas mal. Rien à signaler de vraiment notable de ce coté là.

Au niveau de l'histoire, c'est bien raconté. Mis à part comme je l'ai expliqué le flash-back du début qui fait trop, le reste est bien fait. On nous pose bien les bases à savoir leur rencontre/retrouvaille, comment va se dérouler l'ascension, la monté proprement dite et la dite descente. Bien sûr, si vous cherchez du spectaculaire, passé votre chemin, ici on est plus dans le style tragédie de la Cordillère des Andes que de Vertical Limit à savoir :

spoiler: Des alpinistes qui n'ont pas pu descendre à temps de la montagne et qui sont restés coincés dans la tempête


Ce n'est pas spectaculaire, mais c'est triste et prenant. Jusqu'au bout on nous fait croire que le héro va s'en sortir, mais finalement non. C'est un vrai drame tour le long. Cela dit, la construction et les rebondissements demeurent du classique, pas grands choses d'innovants. Tout est certes plus réaliste mais cela reste classique. Du bon classique attention (et je répète trop le mot classique). Cela dit, je vais tordre un peu le coup à une remarque que j'ai lu dans une critique : "le film est bien parce que ce n'est pas un film à la Spielberg". Et j'ai envie de dire : "Qu'est -ce que Spielberg a fait de mal ?" Oui le film est réaliste, il n'y a pas d'effets de mise en scène comme Spielberg. Ce qui est bien parce que d'une : Au moins ce n'est pas du plagiat et ce film a sa propre identité; et de deux, bah si Spielberg était au commande, il aurait fait un super film. Il aurait fait des effets de mise en scènes, il aurait installé une ambiance, lui insufflé de la magie, une épique et du drame ! En clair , il aurait fait du ...cinéma. Ce film le fait certes, sauf que au final, bah, ça reste un film qui essaye d'en faire un peu trop sur certains effets et pas assez sur d'autre. Cela reste correcte mais voilà, sans ce déséquilibre permanent (et la 3D qui franchement ne vaut pas le coup), cela aurait été génial.

spoiler: Exemple parfait, les morts. Quand on les voit mourir, tu sens l'intensité du drame dans le jeu des acteurs, mais pas dans la mise en scène. Et c'est encore plus flagrant pour Harris (joué par Martin Henderson ). Pareil pour Beck, il se relève mais il n'y a pas d'intensité dramatique. Il se relève juste comme ça.


Oui ça fait authentique, mais sans intensité dramatique, cela perd de sa superbe. Bon cela reste subjectif mais c'est le cas.

Autre point à souligner, les libertés. Etant donné qu'il s'agit d'une adaptation, il est clair que des libertés vont être prises par rapport aux événements, mais globalement cela reste dans la droite lignée des événements. Pour plus de renseignement regarder ici. Ce que j'ai aimé par dessus tout, c'est le faite que le film soit une adaptation du roman de Jon Kraukauer , mais qui met de coté volontairement, les points controversés de son récit et ne se fixe que sur l'essentiel.

spoiler: Exemple d'écarts entre fiction et réalité, Scott Fischer dans le film fait un peu office d'une personne qui n'est pas dans une forme physique optimale pour une telle montée. Dans la réalité, il y a eu des rumeurs comme quoi il aurait le mal de la montagne, ce que le film n'explicite pas


C'est moralement vraiment bien et courageux. Bref, en terme d'adaptation, c'est plutôt classe.

Ce film est vraiment bien réussi et constitue un bon film tiré d'une histoire vraie, mise à part la 3D qui est vraiment dispensable et certains effets de mise en scène plutôt dispensables. Bon maintenant, je vais me préparer pour aller à Chamonix ! Il parait qu'on aura de la neige cette année !

Film très décevant et surtout quel ennui !
Je m'attendais sincèrement à beaucoup mieux.
Le film est assez fade en première partie et la seconde partie est trop longue.

Un des films les plus longs a démarrer qu'il m'a été donné de voir. Une heure pour débuter l'intrigue principale de l'ascension périlleuse de l'Everest. Une très longue heure ou rien ne vient dissiper l'ennui qui nous accable. Puis vient l'ascension. Quelques belles images, mais pas plus que ça, de beaux paysages mais l'aspect impressionnant de la montagne n'apparait pas. Les décors, pour simuler la petite partie de grimpette de ces bras cassés sont juste immondes. Un décor de carton pâte bien visible, ou une arrête vertigineuse de l'Everest devient une blague. La 3 D n'apporte évidemment rien du tout à part une impression de profondeur vague, ce qui est bien inutile quand il n'y a que des gros plans sur des visages. Un jeu d'acteur lui aussi au raz des pâquerettes, on ne souhaite finalement qu'une chose c'est que toute la cordée, et tout le camp de base disparaisse dans une avalanche.
A éviter absolument !

3d décevante. On a souvent l'impression de maquettes. Du coup on n'est pas vraiment impressionné.
L'histoire est correcte sans plus.

En l'absence d'originalité du scénario, puisque celui-ci est inspiré d'une histoire vraie, tout l'intérêt du film résidait dans son traitement, et principalement la retranscription d'une ambiance "Man versus Wild", avec ici, le mastodonte "wild" qu'est l'Everest !
J'ai donc pris l'option "version 3D" pour en prendre plein les yeux...et le verdict est sans appel : les effets spéciaux sont tout simplement cataclysmiques (pire que grotesques !!) : les décors en carton pâte sont risibles, les effets 3D lamentables (réalisés dans 90% des cas avec des éléments miniatures....comme la scène de l'hélicoptère !).
Si on rajoute que le fait qu'aucun acteur ne sort du lot (trop nombreux,trop fades, présence trop éparse tout au long du film), on n'est pas loin de s'ennuyer ferme. Heureusement que la musique d'ambiance est réussie et prenante : la somnolence était inévitable sinon !

Beaucoup de publicité pour un véritable soufflé. Pire, il est clairement une insulte aux films du genre !

J'attendais impatiemment ce long-métrage. Particulièrement grâce à l'incroyable casting mais aussi par le fait d'avoir rencontré le réalisateur ainsi que Jason Clarke lors du Festival de Deauville. Mes attentes étaient très grandes et importantes pour moi, et à vrai dire j'imaginais surtout une avalanche d'effets spéciaux durant ces deux heures.

Maintenant vu hier soir, je peux enfin dire ce que je pense de ce film à mon tour. "Everest" est magnifique. Tant sur la forme que sur le fond. Baltasar Kormákur ("2 Guns") signe une œuvre particulièrement immersive sur l'ascension d'une poignée d'hommes sur l'Everest, la montagne classée comme la plus dangereuse. L'histoire est vraiment passionnante et nous présente des hommes attachants et profonds. La montée enneigée vers le sommet est vraiment fascinante à suivre, et ne nous laisse aucun temps mort. Un réel stress est généré par des séquences d'un réalisme saisissant et une mise en scène très efficace. Le film ne traîne pas en longueur, même durant la première heure alors qu'il s'agit de la présentation des protagonistes. Tout le scénario est pour ma part très bien géré dans le temps, et nous laisse le temps d'apprécier chacun des personnages.

Chacun des personnages, très bien incarné par des acteurs au meilleurs de leur forme. Jason Clarke ("Des Hommes Sans Lois") nous offre une excellente prestation dans son rôle très poignant ; Josh Brolin ("OldBoy US") est lui aussi vraiment convaincant. Jake Gyllenhaal (qui nous livre son deuxième film cette année après "Southpaw") est tout aussi génial en cette tête brulée très attachante, malgré une présence très discrète. Tout comme les très bons John Hawkes ("Martha Marcy May Marlene"), Robin Wright ("House of Cards"), Emily Watson ("La Voleuse de Livres"), Michael Kelly ("Red Mist") et Elizabeth Debicki ("Macbeth"). Sam Worthington ("Avatar") et Keira Knightley ("New York Melody") sont quant à eux remarquables dans leurs performances. Le casting est donc phénoménal, et digne de celui d'"Inherent Vice" et "Birdman" sortis eux aussi cette année.

Mais ce qui est encore plus remarquable, c'est le travail d'équipe. Le réalisateur a su parfaitement gérer le temps d'écran de chaque comédien, pour qu'aucun ne soit réellement la vedette de cette œuvre vertigineuse. Un sentiment très fort et proche de chaque personne se fait ressentir, et nous livre donc des séquences qui ont su me tirer une larme. La bande sonore, composée par Dario Marianelli, accentue l'aspect très dramatique d'"Everest". Elle est très bonne, et accompagne parfaitement cette ensemble tiré d'une histoire vraie. Toute la fin, toute la présentation des faits mettant en scène des photos des réelles personnes est d'une profondeur intense et émouvante.

Le metteur en scène n'est donc pas un tâcheron au niveau de l'écriture et du casting, mais pas aussi au niveau du visuel. La photographie est tout bonnement sublime, et rend la 3D encore plus immersive grâce à un travail de profondeur de champ. La réalisation est magistrale, fluide et grandiose. Certains plans très symboliques sont à noter, et d'autres très esthétiques sont à remarquer. Des plans séquences ahurissants, des vues en hauteur exceptionnelles, des cadrages parfaits, une image aux très belles couleurs et des effets spéciaux à couper le souffle sont présents tout le long de la deuxième partie du film : celle de la montée très vigoureuse.

Les sujets abordés et thématiques traitées sont quant à elles d'une grande sobriété, et retranscrites à l'écran avec une justesse et finesse de qualité.

"Everest" est donc au final un de mes films coups de cœur, l'un des meilleurs de cette année ; un Biopic éprouvant, poignant et fascinant, et qui a su me tirer une larme à la fin.

autant on connait l'issue autant on est pris avec cette équipe pour affronter le sommet du monde. L'énergie que chacun puise en soi ne sera pas suffisante mais très bien retranscrite.
PLV : un film vrai, avec de l'émotion de belles images (les décors)

Dans la montagne, ce n'est pas tant la montée qui compte que la descente. Inspiré d'un fait réel qui avait défrayé la chronique en son temps, "Everest" raconte la tentative désespérée d'une équipe de guides qu'un groupe de touristes entraînés paye pour gravir le sommet de l'Everest. Le film va vite, trop vite. Il passe à côté de ses personnages réduits à quelques traits de caractère souvent caricaturaux et simplistes. Pourtant, le réalisateur avait les moyens techniques et financiers de composer une œuvre dense, profonde, au-delà des images certes très belles, très fortes, et des effets spéciaux de neige et de vent. On ne parvient à aucune forme d'empathie devant ces épanchements de larmes, de glace et de cris. La photographie est soignée, il faut reconnaître, le réalisateur parvenant à faire de la montagne un précipice de vide et de glace. Mais la précipitation du récit, la superficialité des personnages échappent au sujet, l'histoire s'engluant dans une suite de poncifs et d'excès. Rien n'est crédible, encore moins les corps qui se réaniment après une nuit dans le froid total, dans l'obscurité de la montagne ou les épouses transies amoureuses qui attendent leur mari parti au bout du monde. Bref, c'est un film qui n'en finit pas, profondément ennuyeux, qui aurait mérité de s'appesantir moins sur les arrêtes, le hurlement du vent et du givre, que les personnages avec lesquels on aurait préféré vibrer que marcher.

vraiment désolant de voir un film à si gros budget raté du point de vue de la 3 D.
arrière plan flou lorsque personne filmé de prés.
aucune sensation de beauté dans les prises de vue.
scénario trés banal ,
des documentaires vus à la télé sont de qualité plus prenante.
mème inspiré d'une histoire réelle , le film laisse indifférent avec une impression de gachis sur le plan rendu technique.

Je m'attendais à un pur produit hollywoodien avec personnages héroïques, scène irréalistes et musique d'ambiance à casser les oreilles mais on a au lieu de ça un film dur et froid, digne de l'Everest. Le film ne cède pas à une mise en scène classique de film d'aventure américain, c'est donc une bonne surprise. De plus, le film délivre un message fort sur la puissance de la nature et la limite du bizness du tourisme. Sensations fortes garanties !

Franchement boule au ventre pendant une bonne partie du film.
Beaucoup de tension, on suit avec impuissance la tragédie qui se passe sous nos yeux.
Les acteurs sont bon , l'image est génial. Rarement on aura vu d'aussi prêt la dimension gigantesque de l'Everest.
Un film sur la vie et sur le dépassement de soi... (Ce n'est pas un survival).

Film catastrophe inspiré de malheureux faits réels, on suit plusieurs alpinistes au sein d'agences de guide de haute montagne cherchant à accéder au sommet du monde.
De nombreuses difficultés sont présentes pour l'homme à grimper à une altitude de vol des avions de ligne...
Cette année-là, en 1996, des conditions dantesques vont mettre à mal les alpinistes.
De grands acteurs sont présents mais il est toujours difficile de rendre un film catastrophe intéressant sur la durée. Et celui-ci n'échappe pas à de nombreux passages peu intéressant et ennuyeux.
Bref : l'Everest, l'endroit le plus dangereux du monde...