Dolorès de Rio est trop belle mais les intermèdes de cabaret sont très inégaux, la première grande valse orchestrée par Busdy Berkeley est géniale, la scène du fouet fascinante, les plaisanteries d'Al Wonder assez gavantes et le reste bof. L'intrigue en revanche est d'un cynisme assez plaisant et d'un amoralisme plutôt jouissif.