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Estonius

3 322 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

4,0

Publiée le 30 octobre 2016

Inversion des "rôles", c'est une femme qui partie de rien gravit les échelons de l'arnaque et du rançonnage pour en devenir la chef. Joan Blondel tient le rôle et elle crève l'écran de son charme et de son talent. L'histoire n'est pas très originale mais l'actrice s'y implique tellement et avec une telle aisance qu'elle la rend délicieuse. Dommage que ce soit si court (il y a pas mal d’ellipses) et que ça se termine par un demi happy-end peu crédible.

Caine78

6 688 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

3,0

Publiée le 3 mars 2015

Très représentatif dans le fond comme dans la forme des films Pré-Code, « Blondie Johnson » offre un spectacle agréable et bien mené, pas très original mais suffisamment immoral et piquant de temps à autre pour compenser, Joan Blondell ayant suffisamment d'arguments pour nous rendre son personnage séduisant. Après, le film ne laisse pas un très grand souvenir et apparaît en définitive plutôt mineur, mais il n'est vraiment pas interdit de trouver son compte dans cette histoire de gangsters que même un curieux spoiler: happy-end
ne vient pas gâcher, preuve du réel talent de Ray Enright pour éviter le ridicule. Éphémère donc, mais correct.

TTNOUGAT

588 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

4,0

Publiée le 8 juillet 2013

Tout d’abord quelle bonne idée en 1933 d’avoir donné à une femme le rôle tenu habituellement par un homme. A ce petit jeu Joan Blondell est parfaite, du charme, de la fantaisie et de bonnes qualités de comédienne, nous sommes tous conquis par elle. Ses habits sont superbes, elle passe d’une tenue à une autre comme un mannequin, sans aucune affectation, il est vrai qu’à cette époque et dans certains milieux l’élégance était de rigueur pour les deux sexes; Le scénario se tient bien, il est sans importance de parfaitement comprendre les entourloupes sauf la première, remarquable d’ingéniosité, qu’il il fallait oser et risquer de r Morris impose sa présence de même que quelques personnages secondaires et Ray Enright en brillant technicien nous montre qu’il a son propre style. Il sera possible de le retrouver car depuis peu quelques uns de ses 63 films passent sur les chaines cinéma. C’est une excellente chose.

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