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Sildenafil
77 abonnés
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1,0
Publiée le 8 janvier 2015
Rien de nouveau sous le soleil malade de "Nos étoiles contraires" qui accumulent les clichés comme les moustiques sur les pare-brises. Le thème du cancer apporte peut-être une petite touche d'originalité (et encore, pas sûr) mais on a beau mettre du vinaigre dans une bouteille de Petrus, ça reste dégueulasse.
Alerte avant d'aller voir ce film : se munir de kleenex... et en prendre beaucoup A ce jour mon film préféré pour cette année, et pas uniquement pour l'histoire de ces deux jeunes adultes souffrant du cancer qui osent s'aimer sachant que l'un des deux va partir dans un futur plus ou moins proche... Là où le film prend vraiment de l'épaisseur, c'est grâce à son duo d'acteurs magistraux : Ansel Elgort et Shailene Woodley. Je ne connaissais pas encore Ansel Elgort mais il illumine l'écran à chacune de ses apparitions. Shailene Woodley confirme la très bonne impression qu'elle m'avait faite dans "The Spectacular Now", un de mes films préférés de cette année également Toutefois, je ne mettrai pas la note parfaite, à cause d'une faute de goût vraiment flagrante durant le film : le premier baiser lors de la visite de la maison d'Anne Franck à Amsterdam. L'endroit, pour l'avoir visité est tellement glaçant qu'il ne peut pas susciter une telle démonstration d'affection Pour finir, la dernière demi-heure est intense émotionnellement, et m'a laissé totalement vidé. Ames tres sensibles s'abstenir
merveilleusement tragique ?? un film qui associe humour et maladie. bien loin de leurs rôle dans divergente les deux protagonistes nous font partager leurs joies et peines . à vos mouchoirs
Une histoire ridiculement hypocrite... un film interminablement ennuyeux, une vraie daube sans intérêt, j'ai lu certains commentaires avant de voir le film qu'il était soi-disant émouvant et qu'on pleurait à la fin bin on se demande pourquoi... film pour ados pré-pubère, y a rien qui colle ni n'a de sens c'est juste pathétique, je regrette franchement de l'avoir vu, certains disent qu'il est triste... le plus triste c'est surtout qu'il soit sorti à l'écran
Quel film, certain se plaindront qu'on nous présente là de l'émouvant dégoulinant, mais le fond humain est amené avec tant de tact et de délicatesse, la justesse du jeu de Shaylene est troublant, je n'aurais pas pensé être si touché par ce film... C'est très beau, un petit peu romancé pour transcender l'ordinaire, très bien interprété, un véritable petit bijou de sensibilité qui percera l'armure d'un dur à cuire sans grand effort, à ne pas manquer.
le film est... un des meilleurs que j'ai vu dans ma vie. Les acteurs sont très réalistes, une véritable chimie entre les deux. Loin de film typique sur le cancer. A voir.
C'est un super film d'amour abordant de nombreux points de la vie: Relation amoureuse, jeunesse, maladie, existence...Très émouvant et subtilement drôle. De plus, les acteurs sont justes sublimes.Film à voir.
Attiré par les très bonnes critiques des spectateurs ici sur Allocine, je me suis laissé tenté...
Bon ben dès le début on sent bien que le public cible est très jeune. On passe de cliché en cliché et le film est trop éloigné de la réalité pour qu'il film me touche, même un peu. Pourtant je me considère comme quelqu'un de très émotif... Comme souvent quand la sauce ne prend pas je décroche un peu après la demi-heure.
Si vous voulez voir un film sérieux sur la maladie chez les jeunes, préférez ADEM ou Hasta la vista que je vous conseille chaudement.
Film qui m'a beaucoup touche. Il est a la fois drole, dramatique, touchant. Bref un film qui restera dans ma memoire. Ah oui et une autre chose ne pas pleurer est impossible. A ne surtout pas rater. Un de mes film preferes!
Évitant le piège caractéristique du tire-larme, réservant les effets de l’émotion avec un sens habile du timing, son film retrouve l’une des forces du livre : au-delà de la situation de ses amoureux, il invite à dépasser le drame pour pointer le caractère précieux de la vie, dans ce qu’elle a de plus simple, et de plus essentiel. Sans jamais prétendre à donner de leçon sur tout ce que la maladie implique, le film aborde avec honnêteté des points précieux. La façon dont Hazel se présente, une grenade prête à tout dévaster sur son passage, illustre très justement les conséquences de la maladie sur l’entourage d’un malade. Confrontés dès leur plus jeune âge à la mort, nos deux héros en esquissent une notion lucide, apaisée, et par leur attitude peu conventionnelle, ils consacrent l’urgence non pas à cette issue inévitable, mais à tout ce qui peut être vécu avant cela. La douleur est évoquée, la peur aussi, mais tenue à distance par un humour souvent savoureux. Une jolie histoire d’amour, qui trouve son rythme et gagne le public avec facilité, d’autant que les évènements offrent un contraste parfois saisissant, tordant le cou à toute tentation de guimauve trop prononcée. Le personnage de Peter Van Houten, parfaitement incarné par le génial Willem Dafoe, est exemplaire à ce titre. Des dialogues enlevés plutôt que des effets d’émotion, de rares ralentis mesurés plutôt que des envolées de violon, ce mélo dénote et séduit, assuré il est vrai d’un atout essentiel : la qualité de son casting. Dans les rôles de Hazel et Gus, Shailene Woodley et Ansel Elgort font preuve d’une belle maturité de jeu. Que l’on ait apprécié ou pas leurs précédentes prestations, ils sont cette fois parfaits. Si l’usage du mouchoir est conseillé, l’émotion est de qualité.
Pas facile de faire un film traitant d'une histoire d'amour avec comme toile de fond la maladie, le cancer, la mort... Mais le fait est que les 2 acteurs principaux sont brillants et que l'histoire nous touche profondément... C'est parfois drôle, parfois bouleversant mais on est forcément ému par cet hymne à la vie, à l'amour, à la triste réalité et fatalité de l'existence.
Que dire de plus que ce qui a déjà été écrit ici ? Les spectateurs notent très majoritairement 4 ou 5 étoiles. Le nombre de déception avec ce film, car on peut toujours ne pas aimer, être dérangé par une histoire, la manière dont elle est racontée, les sentiments qu'elle active, sont très peu nombreux. C'est assurément un beau film fait non pas d'une belle histoire (le cancer ce n'est pas beau !) mais de quelque chose d'autre, difficile à cerner, difficile à relater. Les métaphores sont fréquentes. Elles sont enfouies dans le scénario, la mise en scène. Selon sa sensibilité, sa propre histoire peut-être ou son expérience, le spectateur les dénichera ou passera à côté. N'empêche qu'il lui restera toujours quelque chose de subliminal. Une histoire d'amour croisée et contrariée par l'histoire d'une maladie (de deux ici). Comme dans "Love Strory", l'amour c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé. Et il y a un moment pour spoiler: "Tout lâcher. Sans avoir peur". Vous comprendrez cette phrase reprise d'un dialogue, après avoir vu ce film.
« A l’ombre de nous, ne pourra fleurir, aux jours à venir, rien d’autre que beauté. Et même au pire un ombre va rester ». Ces paroles de la chanson de Pierre Barouh tirée de « Un homme et une femme » planent sur « Nos étoiles contraires », comédie ostensiblement dramatique et terriblement sentimentale, dans le bon sens du terme. Un film 100% lacrymal totalement revendiqué par Josh Boone, issu d’un genre cinématographique qui a fait, en son temps, décupler les ventes de mouchoirs en papier, et dont les fleurons passent par les mièvres relents d’un « Love story » ou encore la guimauverie dégoulinante d’un « Tendres passions ». Et pourtant « Nos étoiles contraires » se démarque par une candeur et un humour constant, s’exerçant au sentimentalisme à discrétion. Adapté du roman de John Green, la fulgurance de cet amour de jeunesse terrassé par la maladie est intelligemment traitée par Josh Boone, dans un bel exercice de style où le too much n’est jamais très loin. Heureusement, il axe son propos sur de petites scènes où la quintessence des sentiments, qu’ils soient du couple, parentaux ou amicaux, rejaillit en un formidable espoir en la vie, une foi en l’amour… Bien évidemment cette sensible approche ne tiendrait pas si elle n’était sublimée par deux magnifiques et charismatiques acteurs que sont Shailene Woodley et Ansel Elgort. Ils portent en eux toute la beauté, la candeur et l’innocence des couples mythiques tels « Romeo et Juliette », « Paul et Virginie »… Leur grâce respective offre, de ce qui aurait du être un sirupeux mélo, un joli film dont on se souviendra longtemps entre cœur pincé et larme contenue.