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Ykarpathakis157
4 521 abonnés
18 103 critiques
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5,0
Publiée le 2 mai 2020
Cette anthologie présente trois histoires distinctes sur trois patients différent dans un sanatorium présidé par un Dr Stenson (Malcolm McDowell) qui encadre ces histoires. Chaque histoire est dirigée par un metteur en scène différent, mais toutes s'harmonisent en termes de style. Les trois histoires individuelles sont racontées de manière très subtile avec le sentiment de l'intensité de la douleur humaine et de la façon dont l'esprit la gère. S'il vous plaît ne commencez pas à regarder ce film avec l'idée de voir un film d'horreur, ce n'est vraiment pas le cas. Il ne s'agit pas d'avoir peur, mais de démêler les mystères sur la façon dont les patients voient le monde. Si vous voulez faire un tour dans la folie et ne pas être sûr que ce que vous voyez soit une réalité objective ou une hallucination, cela devrait vous convenir. Robert Englund interprète un rôle dans la première histoire. Moi, j'adore ce film car c'est touchant et intéressant à la fois. Je suis le premier a avoir donné cinq étoiles a Sanitarium car je pense que ce film les mérite...
Fan des films psychologiques et les histoires d'hôpital psychiatrique, je suis tombée avec intérêt sur ce film. La bande annonce est alléchante, l'affiche aussi, allez je lance le film Pour les points positifs : Les acteurs jouent très bien, le film est très bien filmé très bien réalisé, l'histoire est intéressante mais.. Voila c'est un peu près tout. Les histoires de ces trois personnages sont intéressantes mais à mon sens pas assez développée. On survole l'histoire de chacun assez vite, en insistant surtout sur le moment ou ils ont basculés dans la folie mais pas manière assez succincte, on ne sait rien de plus sur leur vie. J'aurai aimé que peut etre leur histoires se croisent une fois arrivé à l'hôpital, ou quelque chose comme ca, car au final il ne se passe pas grand chose dans ce film. C'est un peu comme si 3 courts-métrages avaient été collé les uns aux autres sont véritables lien autre que le thème.
Attention, malgré l'affiche sanguinolente et le classement "épouvante/ horreur", ce film n'a rien d'un film d'horreur. Les fans du genre seront décus.
Le point négatif c'est que ce film n'est pas un film d'horreur ni de frisson, mais plutôt des histoires dramatiques et qui dans leur genre existent schizophrénie, paranoïa ... Donc point positif, très bon casting, agréable visuellement, et forcement 3 bonnes histoires bien tournés afin de renverser les situations et les remettre en question, appuyés par une triste réalité que sont les maladies psychologiques, Ce n'est pas un film à regarder pour rigoler ou avoir peur entre amis.
Sanitarium est un film qui raconte l'histoire de 3 personnes qui ont comme point commun comme le titre l'indique d'être patient de cet institut. La première histoire est très mauvaise c'est un fou qui croit que ses poupées lui parle c'est d'un ennuie complet. La deuxième est la meilleure pour moi avec un jeune garçon maltraité par son père tout ça sous la présence inquiétante d'une créature mystérieuse. La troisième concerne un prof qui est obsédé par la légende Maya rien de bien intéressant non plus. Comme la plupart des films à sketch le niveau est trop inégal et malgré un casting intéressant on est bien loin du film d'horreur qu'on pourrait attendre.
Film très inégal en qualité malgré un casting plutôt alléchant (partie 1 et 3), cependant même la meilleure de ces 3 histoires n'est vraiment pas palpitante. Plus développée je ne serai pas allé a plus de 2 étoiles car cela reste faible, mais là, noyée avec 2 histoires très pauvres, on ne dépassera pas les 1/5.Ne vous laissez pas attirer par l'affiche car en aucun cas on peut qualifier ces histoires dans la catégorie horreur, ce sont simplement des histoires qui traitent de la folie
Non mais quel intérêt à faire ce genre de film ? Ce n'est même pas classable dans de l'épouvante, pour dire... On ne comprend jamais le but de l'ensemble, et on entrevoit même pas un fil conducteur. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas visionner quelque chose d'aussi fade.
Et hop, comme toujours avec le 7ème Art, quand un truc marche bien, on presse le fruit jusqu’à la dernière goutte : dernièrement, on a pu constater un sacré retour des films d’horreur à sketchs ("The Theatre Bizarre 1&2", "Little Deaths", "Scary Or Die", "V/H/S 1&2", "The ABC’s Of Death"), il est donc normal que certaines personnes avides d’argent facile veulent surfer sur cette vague. Et voici donc le dernier né : "Sanitarium". Comme son nom l’indique, nous nous retrouvons dans un établissement éponyme où le médecin en chef nous conte l’étrange histoire de trois de ses patients…Et là, premier problème, rien que l’intro du film est une énorme erreur : la voix off du docteur nous annonce que le thème principal des histoires sera la démence, nous enlevant directement toute surprise au niveau du récit. On sait donc avant même le début de la première histoire que tout le récit se concentrera sur la double interrogation « Est-ce réel ? / Le patient est-il fou ? » Merci du cadeau…Et la suite n’arrange pas les choses : même si les trois sketchs bénéficient d’une réalisation assez bonne soutenant le récit au niveau de l’ambiance schizophrène (1er sketch) ou des jeux de lumière accentuant l’horrible sensation d’une présence malveillante (2ème sketch), on ne peut pas dire que les histoires soient formidables, on a même tendance à s’ennuyer vu qu’il ne se passe pas grand-chose (pour une bonne visualisation de la chose, imaginez un "Paranormal Activity" sans images bleues et avec de vrais plans bien cadrés). Et c’est ce qui tue le film : aucun des trois récits n’est sensationnel, aucun ne se démarque vraiment et aucun ne joue la carte de l’outrance…autant dire que pour avoir des sensations, il vaut mieux se remater "Creepshow" ou l’intégrale des « Contes de la Crypte ». Côté casting, bin y’a pas grand-chose à dire non plus, on notera les apparitions sympathiques (mais presque anecdotiques) de Robert « Freddy Krueger » Englund et Malcolm « Alex DeLarge » McDowell et l’interprétation assez convaincante dans le 1er sketch de John Glover en artiste introverti. En conclusion, "Sanitarium" est un film quelconque avec peu d’intérêt, vous tirerez plus de plaisir avec le visionnage des deux "V/H/S" et de "The ABC’s Of Death" (‘je vous conseille même vivement les deux saisons de la fantastique série « Master Of Horror » !). Totalement dispensable donc…
Même si j'adore beaucoup le talent des acteurs de tête d'affiche, franchement y a rien a repêcher de ce mauvais film, non très mauvais, aucune des trois histoires n'est ni amusantes, encore moins effrayantes.
Nul aucun intérêt 3 histoires complètements absurdes dans les quelles on s ennuit....le film essaye daborder le problème des maladies mentales et de la complexité de ces dernières mais sans vraiment aller au bou des choses on n apprends en fin de compte rien et le film n est pas a la hauteur du titre et de ce que l on pouvait s attendre a un film dur choquant complexe et horrible on est loin de tous sa nul!
ce film n'est pas dutout mouvementé a par les rares scènes de pétages de plombs, les 3 histoires font surtout référence à la solitude qui provoque des malentandu dans le cerveau des patients, il doit y avoir maximum 10% de sanitarium en tout. La jaquette du dvd na rien a voir avec les histoires et nest la que pour faire acheter. on nous montre qu'il y a le célèbre Robert Englund (freddy krueger) mais il napparait que 10 min sur les 30 de la première histoire et donc très dét je le diser, il y a très peu de mouvement dans le film, il se base vraiment que sur la personnalité du patient qui en finale nest pas très imterressant. Pour fini, il y a quelques scènes incohérentes dans les histoires.
sur le théme "Docteur Mengele sort de ce corps" il y avait quand même de quoi faire autre chose que ce navet intégral. Un jeune homme se fait interner pour retrouver et faire évader sa soeur. Pas de bol l'asile est dirigée par un médecin qui fait joujou avec ses patients. Acteurs aux fraises, mise en scéne pathétique, ambiance...ha ben non il n'y en a pas... 0.5 / 5
Nous voici devant un énième film à sketchs horrifiques se servant d’un asile comme prétexte ou plutôt comme fil directeur liant les histoires entre elles. Celles-ci sont au nombre de trois et, comme souvent dans ce genre de projet, sont des plus inégales. La première racontant le récit d’un artiste pensant que ses poupées lui parlent est, malgré son beau casting, sans intérêt. La seconde parlant d’un enfant traumatisé par son père s’étant construit un croquemitaine imaginaire est la meilleure car surprenante, anxiogène et singulière. La dernière est moyenne et raconte l’histoire de James Silo (quelle originalité que ce nom de famille !), professeur d’université pensant que la fin du monde selon les Mayas est proche, et qui s’enferme dans son bunker souterrain à l’abri mais loin de tous. C’est répétitif et ne repose que sur le fait de savoir si le protagoniste est fou ou pas, ce que l’on sait dès le début ! Bref, c’est malheureusement trop moyen pour devenir un long-métrage convaincant !
Pas si convaincant que cela quand on s'attend à quelque chose de bien trash et violent à souhait et au lieu de cela, on a beaucoup plus à faire à une vision psychologique de ce que peut être la folie que réellement et visuellement l'acte même, ce qui est bien dommage, malgré une bonne approche de côté de la réflexion que l'on peut tirer des 3 histoires proposées. D'ailleurs, ce montage n'est pas vilain mais ne permet pas une seule seconde de s'attacher pleinement à ce qui est proposé essentiellement par le manque de lien suffisant intéressant pour unir ces différents cas de folie ainsi que les raisons qui les mènent au pire des états psychologiques, et si ce n'est le lieu dans lequel tous se retrouvent finalement, il n'y pas de prise suffisante dans le scénario pour s'intéresser vraiment si ce n'est peut être la manière dont sont développées chacune des 3 histoires, chaque fois bien amenées et surtout assez étonnantes même si pas du même niveau. En effet, l'intérêt porté à l'ensemble du film ça clairement en decrescendo, avec une première histoire à la fois flippante et qui surprend surtout dans sa conclusion sur la manière dont la pire folie n'est jamais celle que l'on imagine, le second cas est certainement le mieux réalisé mais n'est pas si ouf dans sa fin mais par contre est bien dark tant dans son contenu que dans sa mise en scène, et pour ce qui est de la dernière intrigue, elle se tient au début mais conclu le film d'une manière vraiment bidon, qui laisse une impression sacrément désagréable pour finir l'ensemble par son incohérence et son mysticisme pas justifié une seule seconde, surtout vue la manière dont le sujet est traité. Alors même si la mise en scène des 3 tranches de folie proposées est d'assez bonne qualité, non pas dans le visuel mais dans l'établissement d'une certaine angoisse et de cas bien prenant psychologiquement, le tout ne fonctionne pas tant que ça, beaucoup de passages des différents scénarios pêchent clairement et sans oublier quelque longueurs malgré un format qui devrait faire disparaître ce genre de ressenti, surtout dans la manière sont certaines histoires sont établies, mais il n'est sûrement pas de quoi faire un moment exceptionnel, surtout que même si l'ambiance générale n'est pas vilaine, il n'y a vraiment pas grand chose à retenir, et même M. Macdowell est totalement inutile comme acteur ici, ce qui n'est pas fait pour faire plaisir vu l'acteur que c'est. Un coup d'œil à le seconde histoire mérite réellement le coup, mais le reste se survole simplement.
J'ai un peu de mal à comprendre la note globale. Bien sûr que ce film comporte des défauts. Il est parfois difficle à suivre mais c'est volontaire. Essayez de comprendre et de suivre tout ce qu'il se passe dans la tête d'un schizophrène ou d'un psychopathe. Après ca n'excuse pas certaines invraisemblances et facilités scénaristiques. Les 3 histoires sont globalement bonnes. La première histoire est plutôt intéressante avec l'artiste complètement allumé (courant chez les artistes d'art contemporain), on notera la présence de Robert Englund (Freddy Krueger) qui est très appréciable, cependant j'ai pas très bien compris la fin de l'histoire. Pour ce qui est de la seconde histoire on suit un jeune garcon interprété par David Mazouz (Jake dans Touch). La deuxième histoire est plutôt moyenne. Mazouz joue à la perfection mais le scénario c'est du grand n'importe quoi. Pour ce qui est de la troisième et dernière histoire on retrouve Lou Diamond Phillips et franchement c'est de loin la meilleure histoire du film. Son personnage est juste excellent. On voit toute la folie du personnage et pourtant ce qu'il dit n'est pas toujours vide de sens. Ce personnage est fascinant et puis cette espèce de huis clos donne vraiment un sentiment de clostrophobie. Pareil que pour la première histoire, je n'ai pas vraiment saisi la fin. Est-ce que tout ce que l'on a vu c'était dans la tête du personnage ou bien était-ce réel ?? Mais par contre les liens entre les 3 histoires sont catastrophiques ! Malcolm Mcdowell fait office de figurant et c'est tout bonnement inadmissible. La scène où l'on voit l'étudiant dans l'asile sert à rien. Au final le film s'appelle Sanitarium mais rien ne se passe dans l'asile. De plus ce film prétend être un film d'horreur mais c'est surtout un thriller psychologique comme l'Echelle de Jacob par exemple. Je mets un 3/5 parce que 2 histoires sur 3 sont réussies et que le jeu des acteurs est excellents. J'aurais cependant pu mettre 2.5 parce que le film comporte quand même pas mal de défauts mais il reste agréable à suivre.