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    Journal d’une femme de chambre
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    2,4
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    186 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 avril 2015
    j'ai entendu, j'ai vu , j'ai su, je suis déçu.
    trop lent, pas de rythme serte, les acteurs sont excellent, les décors les costumes magnifiques mais hélas cela ne suffit pas pour nous emporter.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    201 abonnés 1 906 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2015
    La reconstitution d'époque est soignée, les comédiens sont bons - si l'on excepte la diction de Vincent Lindon - et les intentions sont sympathiques. Alors qu'est-ce qui cloche ? Peut-être un rythme trop mou et un scénario décousu qui nous laisse sur notre faim. Sur le plan psychologique, la femme de chambre semble douée d'une très forte personnalité qui permet de douter qu'elle se fasse manipuler par un rustre comme l'homme à tout faire. Voici donc une adaptation honorable du célèbre roman de Mirbeau, qu'on ne peut s'empêcher de comparer à celle, nettement meilleure, de Bunuel. Mais tout le monde n'est pas Bunuel...
    Septième Sens
    Septième Sens

    84 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2015
    Une année est passée depuis le bouleversant Trois cœurs, et Benoît Jacquot reprend déjà du service. En toquant une nouvelle fois à la porte des siècles passés, le français adapte aujourd'hui le roman éponyme de Mirbeau, Journal d'une femme de chambre. Début XXème, Célestine accepte de travailler en Normandie dans une maison de riches bourgeois et se voit obliger de quitter Paris. Mais ses ambitions de devenir quelqu'un ne seront pas remises à la baisse, bien au contraire.

    Par des coupes rapides et un montage incisif, Jacquot réalise des fables courtes et percutantes. Léa Seydoux a su montrer à son réalisateur la dirigeant dans Les adieux à la Reine qu'elle pouvait, par sa beauté atypique, allier classicisme et modernité. Comme ce dernier en somme, parvenant à entremêler passé et présent dans des thématiques toujours d'actualité. Antisémitisme, travail, sexisme, toutes ces idées sont soulevées pour interroger le spectateur sur la société dans laquelle il vit.

    Peut-être un peu court, Journal d'une femme de chambre va parfois trop vite et le rythme de la narration perturbe un public qui pourra être dérouté par des transitions aussi franches. Voilà pourquoi cette violence doublée d'une hypocrisie sauvage nous déroutent autant qu'elles nous fascinent. Face à cela, l'humour et l'espièglerie sont une façon pour le cinéaste de rendre son œuvre séduisante. Car ce personnage central n'est pas sans second degré, et ses messes basses pourraient ressembler à des apartés faits avec l'assistance.

    Souvent tragique, ce film dépeint avec précision la haine que l'être humain peut avoir avec son prochain. Mais en dépit de cela, Célestine incarne le rayon de soleil traversant ce pessimisme ambiant. Subtile, intelligente et incrédule, elle ne se laisse faire par personne et sait saisir l'opportunité là où elle se trouve. Comme si, finalement, cette femme de chambre n'était pas la servante, mais bien la gouvernante de tous.
    titicaca120
    titicaca120

    382 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2015
    les costumes et les décors sont très beaux
    l'atmosphère bien rendu , mais alors que c'est long et ennuyeux.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2015
    On avait laissé Benoit Jacquot sur Deux ratages successifs, le poussif Les Adieux À La Reine et le stupide 3Coeurs, on craignait donc le pire avec cette nouvelle adaptation du roman de Mirbeau. Restant dans un classicisme de bon aloi, sans révolution formelle ni trop d'originalité, le réalisateur se contente une nouvelle fois de mettre en valeur l'instinct et la sensualité animale de la belle Léa Seydoux qui sauve le film de trop de respect des conventions. On a déjà vu tant de fois cette peinture de la domesticité et de la cruauté des maîtres, hobereaux ou bourgeois, que l'on cherche à être surpris plutôt que confortés dans une torpeur de téléfilm à la Claude Santelli.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 055 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2015
    J'aime bien le cinéma de Jacquot, certes c'est pas top, mais une fois par an, ça surprend, ça fait un peu de bien... et c'est encore le cas cette année avec Journal d'une femme de chambre qui a très peu à voir avec Bunuel, ce qui lui permet de ne pas souffrir de la comparaison. Alors oui c'est un peu long par moments, surtout vers la fin, oui cette valise au début semble étrangement légère... Mais bon... Je trouve ça vraiment intéressant et plutôt pas mal du tout, parce que Jacquot c'est un peu un cinéaste du désir sexuel latent !

    Et ça c'est cool ! Le mec il te fait Sade, il te fait au fond des bois, les adieux à la reine... c'est un peu la même chose là. Tu as cette fille espiègle qui pète un peu plus haut que son cul... et tu as ce jardinier brutal, viscéral, mystérieux... un vrai mec... il aime la France, il aime la terre, il veut sa propre affaire... Et il est ferme, c'est le genre de mec qui ne se fait pas bouffer dans un couple, contrairement au mari... Un type qui a une pudeur hélléno-chrétienne, un gars du nord qui se retourne pour pleurer...

    Et le film vaut le coup d'être vu pour ça... pour Lindon...

    Alors certes il y a quelques petits trucs drôles, le coup du furet par exemple... des réflexions intéressantes sur la condition de femme de chambre... Notamment sur les juifs, où le personnage de Seydoux dit que les juifs ne sont pas plus mauvais que les chrétiens, sous-entendu c'est la relation de domination du maître à domestique qui est problématique...

    J'aime aussi le côté intrigant du film, ce qui passe très bien par la musique... tous les non-dit... les suspicions...

    Ouais c'est pas top, mais c'est pas mal malgré tout.
    traversay1
    traversay1

    3 552 abonnés 4 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2015
    Paru en 1900, le roman de Mirbeau a fait l'effet d'une bombe. "« Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens » dixit Célestine dans son Journal d'une femme de chambre. Après Renoir et Bunuel, aux versions assez éloignées du livre, celle de Benoît Jacquot est davantage fidèle au livre, tout en modernisant les dialogues et en abandonnant le principe du journal intime, se contentant de rares passages en voix off (du coup le titre du film n'a plus vraiment de signification). En toute honnêteté, Il y a de quoi être partagé à la vision de ce Journal d'une femme de chambre. Les thèmes de la lutte des classes, de la servitude des domestiques proche de l'esclavage, et du racisme sont on ne peut plus actuels, certes, mais cette description d'une bourgeoisie confite dans son mode de vie étriqué avec une maîtresse de maison psychorigide et un mari faible et libidineux apparait comme une caricature, comme si Chabrol en son temps n'avait pas déjà tout dit. Ceci dit, le film parvient parfois par son étrangeté, sa noirceur et des flashbacks courts et violents à montrer des facettes plus passionnantes. L'interprétation de Seydoux et de Lindon n'est pas à mettre en cause mais leur rôle correspond peu ou prou à ce que l'on attend d'eux. La reste de la distribution ne convainc pas totalement et la mise en scène de Jacquot est très inégale, certaines scènes semblant directement échappées d'un téléfilm. L'impression finale restera mitigée devant un film globalement surestimé par la critique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Prenant l’argument du livre éponyme d’Octave Mirbeau, Benoît Jacquot traite ce récit avec un certain doigté. La qualité de sa photographie hantée, par instants, par les maîtres du réalisme de la fin de ce siècle nous fait revivre des tableaux qu’on croirait sortis de Millet, Van Gogh, Corot ou Manet. Outre une tranche de vie d’une jeune femme au charme indiscutable, le réalisateur nous offre une peinture assez acide d’une époque, gangrénée par le mépris d’une classe de petits rentiers oisifs envers ces petites gens qui n’ont que leurs bras à louer, époque secouée par l’antisémitisme prospérant sur l’affaire Dreyfus. De même, certains personnages sont droit issus de la palette d’un Daumier. Tous ces personnages sont parfaitement interprétés par une équipe d’acteurs qui donnent des accents de vérité à chacune des séquences. Bien sûr, c’est surtout l’excellente Léa Seydoux qui incarne l’héroïne avec toutes les facettes de ce troublant personnage en constante évolution.
    Certes, Célestine, regard impertinent, visage résolu, nous est présentée comme instable, mais si on la respecte, si on lui parle correctement, elle est prête à tout pour faire plaisir comme auprès de la grand-mère de Georges (Joséphine Derenne), d’une effarante docilité comme auprès de Georges (Vincent Lacoste). Mais coincée entre une mesquine patronne sadique et un "monsieur" bien décidé à user de son droit de cuissage, harassée dans une demeure devenue parcours d'obstacles, soumise à des vexations, à des tâches avilissantes, elle se rebiffe. Ces diverses scènes permettent à Benoît Jacquot de disséquer les tortueux méandres de l'asservissement. Besogne harassante, bizutages humiliants... Tout en recoins et en escaliers, la demeure se transforme en un parcours où Célestine, bête de somme, tente de reprendre son souffle. Pourtant, elle révèle sa fragilité lors de la bouleversante scène où, apprenant la mort de sa mère, elle s’écroule en larmes, orpheline, seule au monde, sans amour, vilipendée par madame Lanlaire.
    Confrontée à la vilenie du monde, n’ayant comme espoir que les sordides propositions d’une "modiste" qui lui offre l’antichambre de la prostitution. Elle aurait pu rêver d’épouser un de ces fils de bonne famille, elle est assez charmante pour cela. Mais le chevalier épouse-t-il la pauvre bergère ? Il y a aussi les promesses du capitaine (Patrick d'Assumçao) qui, derrière son affabilité, n’hésite pas à étaler son mépris de la vie et des femmes. Ne lui reste que s’appuyer sur un jardinier taiseux qui, après lui avoir fait miroiter son pécule, lui présente la place de tenancière d’un lupanar à Cherbourg. Plutôt que prostituée, fusse de luxe, elle préfère devenir maîtresse en titre, faire partie de cette bourgeoisie qui la méprise car elle est, pour eux, sans valeur. Comme la valeur des objets se mesure à l’aune de ce qu'ils ont coûté, celle des gens à leur compte en banque, elle n’hésitera pas, entorse à la fin du livre de Mirbeau, à se rendre complice d’un cambriolage certes bien mérité. Personnage complexe, cynique et attachante, débordante d’une dangereuse énergie, Célestine a l’impertinent toupet des soubrettes de Molière.
    Dans son film, le réalisateur use du passé comme un filtre sur les tares de notre modernité, l’inégalité des sexes, la férocité du monde du travail, les penchants extrémistes des "sans-dents". Comme le disait André Bazin, ce film est bien la "tragédie burlesque, aux confins de l'atrocité et de la farce".
    leobis
    leobis

    58 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Pas terrible malgré les talents indéniables de Léa Seydoux. Ce film est un bon documentaire sur la vie des femmes de chambre au début du 20ème siècle mais la personnalité des deux personnages principaux, la femme de chambre et le jardinier, n'est pas clairement dévoilée et de ce fait on a du mal à entrer dans le film. A ce point de vue on est très loin de l'excellent film de Luis Bunuel. Un bon point cependant pour les décors d'époque remarquablement reconstitués.
    A déplorer la bande son, seul un quart des dialogues est audible.
    tixou0
    tixou0

    694 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 avril 2015
    Une vraie adaptation du (gros - plus de 500 pages) roman de Mirbeau est encore à faire - tant sur le plan de la satire sociale, que sur la bonne transposition à l'écran du style foisonnant de l'écrivain franc-tireur ! Ce "Journal d'une femme de chambre" est certes plus fidèle au texte que l'adaptation précédente, en noir et blanc (1964), par Buñuel (d'ailleurs un de ses films les plus médiocres), et ne s'intéresse pas à la vie de l'héroïne qu'au "Prieuré", chez les Lanlaire mari (coureur pathologique) et femme (avare et acariâtre), propriétaires normands à la fortune pas très honorablement obtenue par leurs parents respectifs. Mais les épisodes d'avant la place actuelle de Célestine manquent, et en nombre, et en opportunité dans le choix - essentiels pourtant pour comprendre la mentalité de la jeune femme, et expliquer la maturation psychologique spoiler: qui va la faire tomber sous l'emprise de Joseph, avec final dans le registre du "Bonheur dans le crime" des "Diaboliques" de Barbey d'Aurevilly (elle se dit prête à suivre son futur mari "jusqu'au crime").

    Au crédit du film de Jacquot : une reconstitution minutieuse d'une époque encore très rude pour bon nombre de domestiques (aux alentours de 1900), tant sur le plan des décors que des costumes, quand Buñuel transposait sans bénéfice l'histoire dans les années 30, pour une atmosphère tirant vers la gaudriole, en totale contradiction avec la ligne de l'auteur, expressionniste. Et une mise en scène plutôt élégante. Mais, outre les lacunes du scénario, déjà évoquées, c'est la distribution qui manque à l'appel. Jeanne Moreau campait une soubrette d'âge mûr (36 ans - mais 32 pour son personnage), ce qui rendait crédibles ses expériences nombreuses (cependant registre non utilisé par Buñuel !) - et c'est une superbe actrice !.... Léa Seydoux n'a pas encore 30 ans, et sa Célestine n'a ni épaisseur, ni complexité. Lindon peine quant à lui à donner de la crédibilité à Joseph (et même à rendre le plus souvent audibles ses répliques..). Certains rôles secondaires sont bien mieux tenus, comme l'impeccable Dominique Reymond, en responsable de l'agence de placement, et Clotilde Mollet en Mme Lanlaire. Mais certains seulement... Voir le lamentable Vincent Lacoste en Georges, jeune poitrinaire, ou Patrick d'Assumçao, caricaturant la figure du capitaine Mauger.
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    14 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2015
    Moyen car ça peut paraitre long puis rapidement achevé. Léa Seydoux joue plutôt bien son rôle. Par contre on ne comprend rien aux dialogues de Vincent Lindon (le son est très mauvais) et du coup on perd pas mal de scènes! Décevant en général!
    charlotte500
    charlotte500

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2015
    que dire... plat, sans émotion, fade. léa Seydoux ou le charmant Vincent Lindon sont inexpressifs. je suis quelqu'un de très sensible et je vis avec l'émotion. je n'ai absolument rien ressenti.
    certes, le film est bien tourné, il y a des belles images, la maitresse de maison est superbe dans son rôle d'égocentrique, autoritaire, mauvaise. à la limite, elle est la seule pour ma part à donner un intérêt au film dont on a du mal à bien comprendre où il veut nous mener.
    dommage pour de si grands acteurs.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2015
    On pouvait espérer de Benoit Jacquot qu'il réitère sa performance des Adieux à la reine.

    Malheureusement, son dernier film ne fait qu'emprunter au précédent ses astuces formelles, sans en retrouver la grâce.

    Autant le style Jacquot (des mouvements de caméra recherchés, un apprêt dans la forme et dans le jeu des acteurs) s'adaptait à la fresque fin de règne des Adieux, autant son formalisme outrancier tombe ici à plat, dans l'atmosphère très intime que l'intrigue confère au film.

    Léa Seydoux confirme ici son statut d'actrice au répertoire limité, alors que Vincent Lindon joue le bourru mystérieux avec son manque de finesse habituel.

    On ne rentre pas dans cette histoire dans laquelle la servante ne parait jamais vraiment de basse extraction, et dont l'histoire ne semble à aucun moment crédible. Le casting est réellement catastrophique, à l'image de Vincent Lacoste, toujours aussi mauvais.

    Dans ce contexte décevant, la mise en scène de Jacquot parait artificielle et compassée, et on ne croit pas l'ombre d'un instant à cette histoire qui manque cruellement de sensualité.

    C'est franchement raté.
    nathaliewell
    nathaliewell

    21 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2015
    Que pourrais-je bien écrire au sujet de ce film qui ne m'a procuré aucun sentiment ? Même pas envie de lui donner place à un avis dans mon cahier cinéma. Faire comme si je n'avais pas vu ce film tant il laisse mon cerveau vide de tous commentaires. Serais-ce une faiblesse intellectuelle que de ne trouver mots pour parler de ce navet ? Peut être ! mais ce qui est certain, c'est que je ne payerai plus jamais une place de cinéma si Léa Seydoux fait partie de la distribution ! Ce n'est pas faute d'avoir essayé de lui trouver un quelconque talent d'actrice à cette fille, en allant voir plusieurs films où elle y tenait un rôle, mais quand on ne sait pas jouer, on ne sait pas jouer ! Elle est une bien mauvaise actrice qui a pour seul talent celui d'être la petite fille du président de Pathé et la petite nièce du président de Gaumont ce qui lui permet d'avoir des rôles au cinéma. Et elle continuera d'en avoir des rôles parce que qui là prendra dans son film, aura l'assurance d'avoir le soutien financier du groupe Pathé. La version du Journal d'une femme de chambre de Benoît Jacquot est un film vide, fade et sans intérêt, tout comme son actrice principale !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 avril 2015
    Un bon film...Léa Seydoux joue très bien...la fin du film est un peu abrupte...c'est dommage...et fait étrange Vincent Lindon n'articule pas on ne comprend pas souvent ce qu'il dit...
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