Mon compte
    Journal d’une femme de chambre
    Note moyenne
    3,7
    30 titres de presse
    • 20 Minutes
    • Elle
    • Paris Match
    • Positif
    • Studio Ciné Live
    • Sud Ouest
    • Femme Actuelle
    • L'Express
    • L'Obs
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Première
    • Transfuge
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • Voici
    • Critikat.com
    • Ecran Large
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • La Croix
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Cahiers du Cinéma
    • Time Out Paris
    • TF1 News

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    30 critiques presse

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    En adaptant Le journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau, Benoit Jacquot offre à Léa Seydoux un rôle passionnant (...). Leur complicité a porté ses fruits: le film est absolument remarquable.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Elle

    par Florence Ben Sadoun

    Benoît Jacquot filme cette chronique sociale et provinciale du tout début du XXème siècle comme un film d'époque en costumes, mais dans une langue retravaillée et acérée, bien d'aujourd'hui. Surtout, il enchante ses cadres et ses images en utilisant les codes de la peinture.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    En respectant presque à la lettre le roman original, Benoît Jacquot signe ici l’un de ses meilleurs films, offrant un rôle sur-mesure à Léa Seydoux, soubrette érotique en diable, mais jamais diablesse, qui subit l’érotisme qu’elle provoque plus qu’elle n’en profite.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Eithne O'Neill

    A la différence des adaptations en noir et blanc par Renoir (1946) et par Bunuel (1964) du livre d'Octave Mirbeau (1900), Jacquot ignore la convention d'un journal intime en gros plan et de la voix off féminine, leur préférant l'éloquence de séquences brèves en couleur, parfois suivies de passages à écran vide.

    Studio Ciné Live

    par Xavier Leherpeur

    Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.

    La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Mirbeau avait écrit un roman iconoclaste. Jacquot en fait une œuvre magnifique aux coutures pleines de crasse.

    Femme Actuelle

    par Isabelle Giordano

    Benoit Jacquot filme au plus près Léa Seydoux dans un de ses rôles les plus saisissants. Caméra collée a sa nuque, on suit son pas rageur dans les couloirs, et on frémit avec elle lorsque le maître de maison se fait trop pressant.

    L'Express

    par Eric Libiot

    C'est simple, c'est rien, c'est tout.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Ce "Journal" est un magnifique portrait de femme (...). L'audace est aussi là. Elle trouve un écho dans la modernité affichée du filmage, caméra portée pour sonder la reconstitution d'époque, éxécutée avec un soin et une discrétion qui en garantissent l'élégance.

    Le Dauphiné Libéré

    par La Rédaction

    Une forte adaptation du roman d’Octave Mirbeau qui met en avant, dans une reconstitution suggestive, la violence de la lutte des classes.

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    (...) Benoit Jacquot propose ici une adaptation habile du fameux roman d'Octave Mirbeau, fidèle et personnelle. (...) sa version n'édulcore en rien la dureté du récit original, mais elle lui confère une forme d'insolence, d'ambivalence et de sensualité vibrantes en la personne de Léa Seydoux.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Benoît Jacquot adapte avec élégance le livre cruel d'Octave Mirbeau.

    Le Parisien

    par Pierre Vavasseur

    Voilà un film servi par une superbe photographie et qui offre à Léa Seydoux un rôle tout en force de jeune sauvageonne.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    La mise en scène de Jacquot épouse cette dichotomie, entre classicisme et modernité, sécheresse et lâcher-prise, corsets des costumes et matière charnelle des corps, patine dix-neuviémiste des décors et bouffées de langage de charretier.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Ouest France

    par Pierre Fornerod

    Avec ellipses et sous-entendus, un tableau de société dans la rigueur et le désir.

    Première

    par Christophe Narbonne

    Le constat est implacablement dressé par Jacquot, grand cinéaste classique, renoirien pour ainsi dire, qui s’appuie, en dehors de Léa Seydoux et de Vincent Lindon, sur des seconds rôles bluffants pour asseoir la cohérence du projet. 

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Transfuge

    par Charlotte Garson

    Avec l'excellence des seconds rôles (...), ils convergent vers un classicisme que le récit, ponctué de quelques flash-backs, ne dément pas. Quand au regard en dessous de Léa Seydoux (...) c'est un leurre réaliste, une façade psychologique au sein d'un film stylisé.

    Télé 7 Jours

    par Isabelle Manier

    (Benoît Jacquot) signe un film âpre, cruel et, (...) offre à Léa Seydoux un rôle qui fera de nouveau date dans sa carrière.

    Télérama

    par Mathilde Blottière

    « Une tragédie burlesque, aux confins de l'atrocité et de la farce », disait André Bazin de l'adaptation de Jean Renoir. Cela vaut aussi pour celle de Benoit Jacquot, dont la mise en scène élégante et classique dérive peu à peu vers un onirisme noir.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par La Rédaction

    Benoît Jacquot renoue avec le film d'époque, d'une totale modernité de jeu et de mise en scène, dont la beauté formelle souligne la brutalité du propos.

    Critikat.com

    par Marie Gueden

    Bon exercice de style, la sage adaptation de Benoît Jacquot, en suivant au plus près la chronique de Mirbeau, rend compte de son découragement mais aussi de son retentissement à l’écran.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Ecran Large

    par Simon Riaux

    Pas exempt de défauts et de fausses notes, ce Journal d'une Femme de Chambre vaut pour son réquisitoire glaçant contre la servitude.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Le mérite majeur de Benoît Jacquot est de revenir au texte et de mettre l'accent sur sa contemporanéité.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Les (més)aventures de Célestine (...) sont menées tambour battant. Mais, malgré l’excellence de l’interprétation (Léa Seydoux et Vincent Lindon, notamment), cette version alerte manque un peu de parti pris fort.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    Ce "Journal d’une femme de chambre" garde bien sûr son pouvoir de dénonciation de la domesticité, de son principe de domination, de ses sordides servitudes. Il dresse en contrepoint un portrait corrosif d’une bourgeoisie XIXe siècle décadente (...).

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Les Fiches du Cinéma

    par Nathalie Zimra

    Portée par la grâce, blonde et obstinée, de Léa Seydoux, éclate ici toute la sombre violence de l'inégalité sociale du roman d'Octave Mirbeau.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Clémentine Gallot

    Après une version délicieusement licencieuse et contemporaine de Luis Buñuel (1964), avec Jeanne Moreau et un personnage d’aïeul fétichiste des pieds, Benoît Jacquot présente cette nouvelle relecture, d’un classicisme serein.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Cahiers du Cinéma

    par Joachim Lepastier

    L’ensemble, narré sur un mode fragmentaire, dégage une étrange impression, celle de voir le dessin d’une mosaïque qui se révèle, au bout du compte, bien monolithique.

    Time Out Paris

    par Céleste Lafarge

    Malgré ses longueurs, ses effets un peu galvaudés et son manque de fantaisie, ce Journal d’une femme de chambre morcelé préserve tout de même son pouvoir de dénonciation de la domesticité, de la servitude, du racisme et des ségrégations de classe.

    La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris

    TF1 News

    par Yves Grosjean

    Sans être supérieure aux versions de Renoir et Buñuel, cette relecture de Mirbeau par Jacquot doit beaucoup à sa description des moeurs très Chabrolienne mais aussi à la manière dont Jacquot filme Seydoux, une nouvelle fois après "Les adieux à la reine".

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top