Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Face à Daniel Prévost, acteur fétiche du réalisateur, Bouajila fait montre d’un sens de la fantaisie remarquable mais il est aussi capable de fragilité devant la mutine Isabelle Carré.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Une chronique familiale et sociale filmée avec beaucoup de tendresse et de fraîcheur, ponctuée d’humour avec la présence au casting de Daniel Prévost.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film sur les gens sans importance, à la fois touchant et drôle, et parfaitement interprété.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Rabaté excelle à raconter un monde de gens humbles avec, mais sans en abuser, de petites touches à la Pierre Etaix.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Tendre et humain.
Positif
par Bernard Génin
Rabaté nous conte cette love story provinciale et colorée en jouant des cadrages insolites. Il l'enrichit de personnages secondaires inattendus, mais aussi de scènes plus grinçantes où le racisme quotidien est dénoncé. Touchant et distrayant !
Première
par Christophe Narbonne
Le réalisateur humanise son propos pour le meilleur : l’histoire d’amour à reculons entre le héros et une célibataire enceinte est très touchante, de même que sa relation contrariée avec son père et son frère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Le dessinateur de BD Pascal Rabaté trouve le ton juste pour parler de gens simples avec beaucoup d'humanité et de sincérité, aidé par des comédiens attachants.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) cette comédie sociale fait un bien fou avec ses dialogues enlevés et son casting sans faute (...).
L'Express
par Sandra Benedetti
Quelques volte-face abruptes n'enlèvent rien au charme léger du film, porté par Sami Bouajila, Isabelle Carré et une galerie de rôles secondaires goûtus.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
A force de flirter avec les registres, "Du goudron et des plumes" semble parfois faire du surplace (...) Mais Pascal Rabaté n'a pas renoncé à son univers, immédiatement reconnaissable.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Le cinéma de Pascal Rabaté choisit un chemin de traverse savoureux, (...). L'émotion est souvent sous-jacente même si parfois le rythme fléchit.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
Dommage que le scénario de cette comédie gentiment caustique ne sorte, lui, jamais des rails. (...) Même si Sami Bouajila est très à l'aise dans le registre du burlesque...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un gentil petit film, habité par des gens simples, second film d'un auteur de BD.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Dans la lignée des Petits Ruisseaux, "Du goudron et des plumes" est une petite comédie romantique et familiale qui rafraîchira les chaudes journées d’été du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Sans relief, "Du goudron et des plumes" livre des observations assez convenues. Le rythme anémique, la lourdeur du trait, ôtent au récit la légèreté qui aurait pu le sauver. L’ennui s’installe vite pour ne plus quitter le malchanceux spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Comédie gentillette, qui ne se fatigue pas trop en prônant la rédemption par le sport.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Le troisième long métrage de Pascal Rabaté pèche fortement par sa paresse scénaristique. Restent d'excellents acteurs et une atmosphère chaleureuse, parfois agréablement décalée.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) à force de ménager la chèvre et le chou (la satire de la ringardise populaire vs le drame du Beur exclu), le cinéaste prend le risque de rentrer dans le rang du cinéma français bien élevé, hypocritement et catholiquement soucieux de son prochain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
A voir, très éventuellement, pour Sami Bouajila (...).
Sud Ouest
par Joël Raffier
On pense partiellement à « Il Bidone », de Fellini, en moins bien mais avec une rédemption tout aussi problématique. (...) Pendant la première demi-heure, chaque scène aborde un thème nouveau mais au final le millefeuille s'affaisse (...). Du coup, le film devient lui-même un terrain vague.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
Face à Daniel Prévost, acteur fétiche du réalisateur, Bouajila fait montre d’un sens de la fantaisie remarquable mais il est aussi capable de fragilité devant la mutine Isabelle Carré.
CNews
Une chronique familiale et sociale filmée avec beaucoup de tendresse et de fraîcheur, ponctuée d’humour avec la présence au casting de Daniel Prévost.
Le Dauphiné Libéré
Un film sur les gens sans importance, à la fois touchant et drôle, et parfaitement interprété.
Le Parisien
Rabaté excelle à raconter un monde de gens humbles avec, mais sans en abuser, de petites touches à la Pierre Etaix.
Ouest France
Tendre et humain.
Positif
Rabaté nous conte cette love story provinciale et colorée en jouant des cadrages insolites. Il l'enrichit de personnages secondaires inattendus, mais aussi de scènes plus grinçantes où le racisme quotidien est dénoncé. Touchant et distrayant !
Première
Le réalisateur humanise son propos pour le meilleur : l’histoire d’amour à reculons entre le héros et une célibataire enceinte est très touchante, de même que sa relation contrariée avec son père et son frère.
Public
Le dessinateur de BD Pascal Rabaté trouve le ton juste pour parler de gens simples avec beaucoup d'humanité et de sincérité, aidé par des comédiens attachants.
Télé 7 Jours
(...) cette comédie sociale fait un bien fou avec ses dialogues enlevés et son casting sans faute (...).
L'Express
Quelques volte-face abruptes n'enlèvent rien au charme léger du film, porté par Sami Bouajila, Isabelle Carré et une galerie de rôles secondaires goûtus.
La Voix du Nord
A force de flirter avec les registres, "Du goudron et des plumes" semble parfois faire du surplace (...) Mais Pascal Rabaté n'a pas renoncé à son univers, immédiatement reconnaissable.
Le Journal du Dimanche
Le cinéma de Pascal Rabaté choisit un chemin de traverse savoureux, (...). L'émotion est souvent sous-jacente même si parfois le rythme fléchit.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Dommage que le scénario de cette comédie gentiment caustique ne sorte, lui, jamais des rails. (...) Même si Sami Bouajila est très à l'aise dans le registre du burlesque...
Voici
Un gentil petit film, habité par des gens simples, second film d'un auteur de BD.
aVoir-aLire.com
Dans la lignée des Petits Ruisseaux, "Du goudron et des plumes" est une petite comédie romantique et familiale qui rafraîchira les chaudes journées d’été du spectateur.
La Croix
Sans relief, "Du goudron et des plumes" livre des observations assez convenues. Le rythme anémique, la lourdeur du trait, ôtent au récit la légèreté qui aurait pu le sauver. L’ennui s’installe vite pour ne plus quitter le malchanceux spectateur.
Le Monde
Comédie gentillette, qui ne se fatigue pas trop en prônant la rédemption par le sport.
Les Fiches du Cinéma
Le troisième long métrage de Pascal Rabaté pèche fortement par sa paresse scénaristique. Restent d'excellents acteurs et une atmosphère chaleureuse, parfois agréablement décalée.
Les Inrockuptibles
(...) à force de ménager la chèvre et le chou (la satire de la ringardise populaire vs le drame du Beur exclu), le cinéaste prend le risque de rentrer dans le rang du cinéma français bien élevé, hypocritement et catholiquement soucieux de son prochain.
Libération
A voir, très éventuellement, pour Sami Bouajila (...).
Sud Ouest
On pense partiellement à « Il Bidone », de Fellini, en moins bien mais avec une rédemption tout aussi problématique. (...) Pendant la première demi-heure, chaque scène aborde un thème nouveau mais au final le millefeuille s'affaisse (...). Du coup, le film devient lui-même un terrain vague.