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🎬 RENGER 📼
Né garçon à sa naissance en Algérie, Jean-Pierre a toujours eu une obsession, celui d’être une femme. Sa condition masculine et son prénom, il ne les aimait pas, alors il se fera appeler Marie-Pierre. Et c’est avec la découverte du cabaret de travestis “Le Carrousel de Paris” que sa vie basculera et prendra tout son sens.
Après s’être intéressés aux homosexuels nés dans l'entre-deux-guerres (Les Invisibles - 2012), cette fois-ci, Sébastien Lifshitz dresse le portrait touchant d’une transsexuelle et des difficultés qu’elle (et toutes les autres) ont pu rencontrer aux débuts des années 50. Il revient sur l’incroyable histoire (semée d'embûches) de celle qui deviendra l’une des premières transsexuelles françaises et l’une des figures mythiques des cabarets parisiens des années 50 & 60 sous le nom de “Bambi”.
A cette occasion, le réalisateur, accompagné de Marie-Pierre Pruvot, reviennent sur son parcours atypique, de son enfance à Alger à ses débuts dans les cabarets parisiens ("Chez Mme Arthur" et au "Carrousel"), jusqu’à ses années dans l'éducation nationale où elle enseignera le français dans différents collèges (dans l’anonymat le plus total). Le tout, accompagnés d’images d’archive en super-8, on découvre une personne tout aussi touchante qu’attendrissante et qui a dû trouver sa place dans une société qui n’était pas aussi ouverte d’esprit qu’elle peut l’être aujourd’hui (sans parler de la prise d’hormones et du changement de sexe, qui étaient encore très marginaux dans les années 50).
Il en résulte un magnifique témoignage qui bénéficiera d’une version longue avec Bambi - Une nouvelle femme (2021).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Après s’être intéressés aux homosexuels nés dans l'entre-deux-guerres (Les Invisibles - 2012), cette fois-ci, Sébastien Lifshitz dresse le portrait touchant d’une transsexuelle et des difficultés qu’elle (et toutes les autres) ont pu rencontrer aux débuts des années 50. Il revient sur l’incroyable histoire (semée d'embûches) de celle qui deviendra l’une des premières transsexuelles françaises et l’une des figures mythiques des cabarets parisiens des années 50 & 60 sous le nom de “Bambi”.
A cette occasion, le réalisateur, accompagné de Marie-Pierre Pruvot, reviennent sur son parcours atypique, de son enfance à Alger à ses débuts dans les cabarets parisiens ("Chez Mme Arthur" et au "Carrousel"), jusqu’à ses années dans l'éducation nationale où elle enseignera le français dans différents collèges (dans l’anonymat le plus total). Le tout, accompagnés d’images d’archive en super-8, on découvre une personne tout aussi touchante qu’attendrissante et qui a dû trouver sa place dans une société qui n’était pas aussi ouverte d’esprit qu’elle peut l’être aujourd’hui (sans parler de la prise d’hormones et du changement de sexe, qui étaient encore très marginaux dans les années 50).
Il en résulte un magnifique témoignage qui bénéficiera d’une version longue avec Bambi - Une nouvelle femme (2021).
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
C’est autant le film de Sebastien Liefschitz que de Bambi, touchante transexuelle ayant fui l’Algérie pour devenir artiste de cabaret puis professeure de français. Un peu scolaire et contrôlé, le récit qu’offre Bambi de sa vie empêche de s’en émouvoir complétement, comme si Liefschitz avait un peu renoncé à son talent face à celui de Bambi.
Bambi date de 1942 est on n’en parle toujours aujourd’hui !
Bambi était le Disney préféré de Walt Disney, le fondateur de Disney. Apparemment, avant ça mort en 1968, il avait regardé plus de 20 fois Bambi.
Moi, j’avais hâte de voir ce film, il est considéré comme le deuxième Disney le plus triste, pour certains la meilleure morale de Disney, le Disney favori de Walt etc.
En le voyant, j’ai vite retrouvé le vieux Disney.
Ce qui me dérange absolument pas, les vieux dessins et doublage sont nostalgiques (même si j’étais pas née😂)
Mais dans les vieux Disney, il y a souvent les mêmes problèmes et Bambi est le parfaite exemple. Pratiquement tout les personnages sont inutiles, même si ils sont (presque) tous attachant, c’est un peu inutile.
J’attendais avec grande impatience spoiler: la Mort de la mère de Bambi et finalement, j’ai été un peu déçu. Je m’attendais à une mort comme Mufasa, mais la non. Même si montrer ça à un enfant de 3 ans est pas super.. Il faut un peu attendre, car ça parle de mort.
J’ai préféré la première partie, juste pour la mère de Bambi qui est pour moi le meilleur personnage du film.
La Vf est bonne et je le conseil, parce que c’est un des plus grand classique Disney !
Il faut le voir pour ça culture.
Je lui donne:
5,5/10
Bambi était le Disney préféré de Walt Disney, le fondateur de Disney. Apparemment, avant ça mort en 1968, il avait regardé plus de 20 fois Bambi.
Moi, j’avais hâte de voir ce film, il est considéré comme le deuxième Disney le plus triste, pour certains la meilleure morale de Disney, le Disney favori de Walt etc.
En le voyant, j’ai vite retrouvé le vieux Disney.
Ce qui me dérange absolument pas, les vieux dessins et doublage sont nostalgiques (même si j’étais pas née😂)
Mais dans les vieux Disney, il y a souvent les mêmes problèmes et Bambi est le parfaite exemple. Pratiquement tout les personnages sont inutiles, même si ils sont (presque) tous attachant, c’est un peu inutile.
J’attendais avec grande impatience spoiler: la Mort de la mère de Bambi et finalement, j’ai été un peu déçu. Je m’attendais à une mort comme Mufasa, mais la non. Même si montrer ça à un enfant de 3 ans est pas super.. Il faut un peu attendre, car ça parle de mort.
J’ai préféré la première partie, juste pour la mère de Bambi qui est pour moi le meilleur personnage du film.
La Vf est bonne et je le conseil, parce que c’est un des plus grand classique Disney !
Il faut le voir pour ça culture.
Je lui donne:
5,5/10
Criant de vérité, on mesure le fossé entre les mentalités des années 60 et celles , beaucoup plus ouvertes, de nos jours, reportage touchant et sage
Documentaire sur l'histoire de Bambi. Transexuelle qui connu ses moments de gloire dans un cabaret à Paris. C'est juste, jamais racolleur et plein d'humanisme. ça fait pas de mal en ce moment...
Malgré tout le respect et l'empathie que peut inspirer la (toujours) très belle Bambi, le portrait de cette femme au parcours extraordinaire laisse quelque-peu sur sa faim. Est-ce du à son aspect trop linéaire, ou bien au fait qu'il soit peut-être trop centré sur l'intime, au détriment de l'historique? Car on n'en apprend ici finalement peu sur l'histoire des transexuel(le)s en France. Restent le regard et la voix inoubliables de Bambi, dont l'itinéraire et la force de caractère provoquent l'admiration.
Magnifique documentaire sur une femme au parcours exceptionnel et qui sera toujours en décalage
Emouvant voyage dans les années 50/60. Sebastien Lifshitz a repris du galon après son décevant et mièvre "Presque rien". Ici le coté documentaire est vraiment intelligememnt construit et avec beaucoup d'émotions et de subtilités. Même si certains moments sont inutiles. Mais quel courage à Marie-Pierre Pruvot de se confier à nous entre la réalité d'aujourd'hui et ces images d'archives. Cela aurait été interessant de nous montrer des images de la grande époque de Madame Arthur et du Carousel de Paris à cete folle époque.
Yves G.
J'avais adoré le précédent documentaire de Sébastien Lifshitz qui avait amplement mérité son César. "Les invisibles" présentaient avec une délicatesse rare les témoignages d'homosexuels ordinaires, loin des outrances des pro- et des anti-mariage pour tous.
C'est avec la même sensibilité qu'il relate la vie de la célèbre transsexuelle Bambi.
Né(e?) en Algérie française à la fin des années 30, Jean-Pierre déteste son prénom et les habits masculins qu'on lui/la force à porter. Il/Elle s'enfuit à Paris et trouve sa voie (voix ?) dans les revues de cabaret. La trentaine venue, après avoir été opérée, elle deviendra professeur de français dans l'éducation nationale mais restera une icône dans les milieux queer.
Comme dans les Invisibles, Lifshitz n'est pas dans le militantisme agressif. Il ne réalise pas un film à thèse mais brosse le portrait d'une femme à la recherche de son identité.
Diffusé sur Canal +, ce documentaire de 58 minutes a eu les honneurs d'une sortie en salles malgré son format inhabituel. Largement méritée.
C'est avec la même sensibilité qu'il relate la vie de la célèbre transsexuelle Bambi.
Né(e?) en Algérie française à la fin des années 30, Jean-Pierre déteste son prénom et les habits masculins qu'on lui/la force à porter. Il/Elle s'enfuit à Paris et trouve sa voie (voix ?) dans les revues de cabaret. La trentaine venue, après avoir été opérée, elle deviendra professeur de français dans l'éducation nationale mais restera une icône dans les milieux queer.
Comme dans les Invisibles, Lifshitz n'est pas dans le militantisme agressif. Il ne réalise pas un film à thèse mais brosse le portrait d'une femme à la recherche de son identité.
Diffusé sur Canal +, ce documentaire de 58 minutes a eu les honneurs d'une sortie en salles malgré son format inhabituel. Largement méritée.
Bravo au réalisateur pour ce documentaire tout en finesse sur un itinéraire de vie complexe.
Jean-Pierre, un bel adolescent, devenu Bambi, meneuse de revue puis Marie-Pierre, professeur de lettres au sein de l'Education Nationale, devint une femme incroyablement belle.
Aujourd'hui, à 77 ans, cette personne authentique, très intellectuelle et toujours belle apparait comme ayant une belle intériorité.
Jean-Pierre, un bel adolescent, devenu Bambi, meneuse de revue puis Marie-Pierre, professeur de lettres au sein de l'Education Nationale, devint une femme incroyablement belle.
Aujourd'hui, à 77 ans, cette personne authentique, très intellectuelle et toujours belle apparait comme ayant une belle intériorité.
Très beau film qui révèle en Bambi une personnalité attachante et vrai.
j'ai trouvé ce docu très émouvant montrant Bambi un transexuel dans les années 50/60 et son parcours jonché de difficultés pour arriver à être Bambi et plus tard Marie Pierre prof et écrivaine
Un joli documentaire sur la première transsexuelle en France. Un témoignage émouvant sur ce qu'elle à vécu, et qu'elle partage avec tendresse. Son discours est à la fois un aperçu historique des pensées d'une époque et aussi la trajectoire singulière d'une femme forte qui a su vivre sa vie malgré les obstacles familiales et sociétales.
Cette sous-partie des Invisibles est moins drôle que ledit premier morceau, mais la vie de Marie-Pierre ne manque pas de sel !
Un magnifique documentaire touchant, délicat et intelligent. Une parfaite utilisation des images d'archive, des décors et de la musique. Après le très beau "les invisibles", Sébastien Lifshitz filme à nouveau avec talent une personne hors du commun qui nous raconte ici sa destinée singulière avec beaucoup d'humanité et de positivisme : une belle leçon de vie.
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