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    Rogue One: A Star Wars Story
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 avril 2018
    En dépit de l'absence de sabres laser, j'ai vu un Star Wars !
    Je ne l'ai pas vu au cinéma sur grand écran, donc ça tue un peu le film mais il n'y est pour rien.
    Manuel P
    Manuel P

    13 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2018
    J'avoue que je ne comprends pas les critiques dithyrambiques car je n'ai pas retrouvé le charme originel et l'esprit Star Wars dans ce film. Quelques scènes sont réussies certes, mais l'ensemble est bien peu prenant à mon sens. Etrangement, le film manque de souffle épique et les combats n'ont rien d'exceptionnels. Le retour de D Vador est sympathique, tant ce personnage dégage une aura à laquelle tout le monde adhère. Le samouraï ultime qui fait corps avec son armure, au point que l'une ou l'autre ne peuvent survivre indépendamment, guerrier intouchable dont on ne perçoit pas encore les tourments. Il se dégage une véritable exaltation à le retrouver, un sentiment grisant qui ravive la nostalgie. Cette dernière étant très porteuse d'un point de vue commercial depuis quelques années, en musique, mais aussi au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 avril 2018
    Et bien sans être totalement imperméable aux charmes de Rogue One, je peux pas dire qu'il m'ai donné beaucoup de plaisir. Je l'ai trouvé un peu long, les acteurs manquaient de charisme. En tout cas, je ne me suis pas attaché à l'un d'entre eux malheureusement.
    Fred D
    Fred D

    29 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2018
    Un véritable plaisir que de retourner voir ce film et surtout de voir tous les petits clins d'œil à la saga qui m'avaient échappés la première fois (et reconnaissons qu'il y en a pas mal !

    Clairement ce film est une véritable réussite à la fois scénaristique et visuelle et qui, plus que l'épisode VII sorti l'an passé, va relancer je pense durablement la saga pour les années à venir !

    Si vous ne l'avez toujours pas vu, il est toujours à l'affiche alors n'hésitez pas d'avantage !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2018
    Rogue One se démarque des films désastreux de la nouvelle trilogie en revenant aux fondamentaux de Star Wars. Le scénario est d'une remarquable complexité et permet d'expliquer parfaitement comment les plans de l'étoile noire ont atterri dans les mains des Rebelles. Les personnages sont bien construits et travaillés ; le méchant de l'histoire, spoiler: Orson Krennic, qui rencontre d'ailleurs une fin ironique
    , est à la fois menaçant et charismatique. Les scènes de combats sont très bien réalisées et la bataille spatiale de fin est époustouflante. La photographie, comme à son habitude, est très jolie.
    On déplorera, cependant, plusieurs imperfections qui ternissent l'image de ce film. Tout d'abord, l'absence de Dark Vader. Vader, qui ne joue quasiment aucun rôle (si ce n'est à la fin du film). Ensuite, quelques longueurs, surtout au début et au milieu du film.
    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Il faudrait rebaptiser ''Rogue One''. Car après l'échec scénaristique grave de ''Star Wars : Le Réveil de la Force'' de J. J Abrams et avant le semi-échec de ''Star Wars : Les Derniers Jedis'' de Rian Johnson, ''Rogue One'' vient redonner une bouffé d'air frais à la saga. Renommons-le donc ''Un Nouvel Espoir'' tant il s'inscrit en sauveur de ce mythe intergalactique qu'est ''Star Wars''. Pourtant moins ambitieux que les épisodes 7 et 8 (dits ''officiels''), ''Rogue One'' est précisément le film qui relance avec énergie et intelligence la saga, prouvant que l'influence de Disney n'est pas totalement néfaste pour la série.

    Le film est le 1er spin-off cinématographique de ''Star Wars'', si on exclut toutefois ces perles nanaresques que sont ''Star Wars : Holiday Special'' et autre aberrations, aujourd'hui disparue de nombreux esprits. Les évènements de ''Rogue One'' se déroulent juste avant ceux de l'épisode 4. L'Empire pour assouvir son autorité a mis en place une arme capable de détruire une planète toute entière : l'Etoile de la mort. Mais un groupe de rebelles a réussi à mettre la main sur les plans de cette Etoile, ce qui permettrait de trouver une faille dans le système de cette machine de guerre. Le film se concentre donc sur ce petit groupe de rebelles qui sont parvenus à transmettre les plans à la Princesse Leia Organa. Sur le papier, le film n'augure rien de bon. La raison est dûe à la contrainte scénaristique : celle qui consiste à vouloir ''coller'' à tout pris à l'épisode 4, au risque de trop privilégier l'histoire aux personnages (quand est-ce que la série prendra enfin un véritable tournant scénaristique?). On aurait pu s'attendre à un film très prévisible : on sait ce qui s'est passé avant et après les événements de cet épisode. Pourtant, force est de constater que, sur une intrigue dont on connaît les tenants et aboutissements, ''Rogue One'' nous surprend plus que les scripts censés être ''originaux'' des épisodes 7 et 8.

    ''Rogue One'' divulgue une curieuse sensation pour un blockbuster. Une sensation de tristesse. Certes, il y a déjà eu avec les précédents Star Wars des moments tristes et sombres, mais ''Rogue One'' surprend par sa tonalité globale. Cela s'explique sans doute d'abord par les personnages. Sur un film qui n'appartient pas à une trilogie et qui est résolument tourné vers l'action et vers la guerre, les scénaristes ont quand même bien pris le temps de développer le background des protagonistes. Et de tirer de ces protagonistes une grande tristesse liée à leur passé. L'héroïne ? Une jeune femme apatride, haissant l'Empire et la Résistance qui n'accepte de travailler pour celle-ci que pour retrouver son père, l'ingénieur de l'Etoile de la Mort, complice de la Rébellion. Le héros ? Se livrant corps et âme à la Résistance, c'est un tueur glacial et méthodique (il abat froidement un homme dans la première scène où il apparaît). Même le droïde K-2SO, présent pour faire de l'esprit dégage quelque chose de funèbre : son look noir s'associe au fait qu'il est un ancien droïde impérial, reprogrammé pour servir la Rébellion. Car c'est ça ''Rogue One'' : un film sur la Résistance, au sein d'un régime dictatorial. Plutôt que de rester sur le schéma efficace mais aujourd'hui trop remâché des gentils résistants face aux méchants dictateurs, Gareth Edwards privilégie une approche plus réaliste en s'interrogant sur ce qu'est une Résistance. ''Rogue One'' est le 1er Star Wars à creuser véritablement ce monde de l'ombre où cohabitent de nombreuses personnes et de nombreux points de vue. Cette diversité au sein de l'Alliance Rebelle, elle est illustrée avec le personnage de Saw Gerrera (Forrest Withaker), un dissident de la Rébellion. Homme violent, il semble lui aussi être la proie au passé (''lie, deception''hurle-t-il à propos de la Résistance, qu'il juge trop laxiste).

    En abordant ces soldats de l'ombre (personnages qu'on avait peu vus dans Star Wars), Gareth Edwards livre un film parfois désespéré. Désespéré, et réaliste. Ainsi, Edwards rompt avec la rigueur classique qui était de mise dans les précédents films (Lucas préférant en effet se reposer sur la qualité hors du commun des effets spéciaux). Il décide une approche plus frontale et terre-à-terre dans ses scènes d'action. Cela se remarque dans l'utilisation de la caméra à l'épaule (qui renforce l'aspect immersif de ces scènes d'action) mais aussi dans le rôle accordé à l'échelle. C'est sur ce point-là que ''Rogue One'' est très novateur : on peut apprécier le travail accordé à la taille, au gigantisme de cet univers et de ses composants. Plusieurs exemples peuvent être pris pour illustrer cette idée. On se souvient que Lucas filmait les detroyers en nombre et à leur ''hauteur''. Or, Edwards préfère filmer à hauteur d'homme. Un seul destroyer filmé en contre-plongée fait peser un lourd sentiment d'inquiétude. De même, l'Etoile de la Mort n'est plus une simple boule qui tire un rayon laser. Edwards la met particulièrement en valeur. Une fois de plus, il filme parfois depuis la terre l'Etoile, laquelle devient une véritable menace. Le jeu sur les ombres participe aussi à cet aspect plus sinistre. On peut par exemple penser à ce plan magistral où la caméra filme d'abord un Tie fighter avant de filmer un destroyer qui était caché dans l'ombre. Le destroyer semble se trouver sur un fond étoilé. Nouveau plan : le fond étoilé se trouvait être les fenêtres de l'Etoile de la mort, qui était elle aussi cachée dans l'ombre. Mais le meillleur exemple de cet notion de gigantisme, c'est sans conteste la séquence de la destruction de la capitale de Jedha. Parmis la peuplade de défauts qu'accumulaient ''Le réveil de la force'' (on n'a toujours pas fini de les lister...), on peut citer l'indifférence totale ressentie devant la première utilisation de la Starkiller (qui faisait office de nouvelle Etoile de la Mort). Dans cette scène, plusieurs villes étaient détruites en l'espace de quelques secondes : et c'est très simple, on s'en fichait complètement. ''Rogue One'' réussit avec une ville là où ''Le réveil de la Force'' échouaient avec quatre planètes puiqu'il nous fait prendre conscience de l'ampleur de la destruction et des vies qui se sont éteintes. Dans l'épisode 7, on ne ressentait rien car l'explosion des planètes n'avait droit qu'à un seul plan depuis l'espace. Ici, Gareth Edwards filme l'explosion depuis l'espace et carrément sur la planète (on se met alors à penser à Hiroshima) où les héros font face à un gigantesque raz-de-marée de pierre ( spoiler: et où Saw Gerrera se livre délibérément à la mort comme tous les protagonistes du film


    Mais le réalisme du film et son côté frontal ne risquent-pas de trahir l'esprit de Star Wars ? Non, car Gareth Edwards n'a pas oublié de prolonger l'univers. Ceux qui avaient trouvé ''Le réveil de la Force'' avare en décors originaux ne seront pas déçus ici. Dès la scène d'ouverture, on est face à un environnement qu'on ne connaît pas : une planète où les planètes sont verdoyantes mais où le sol est noir. On peut aussi citer cette planète montagneuse inondée par la pluie (ce qui nous vaut une scène magnifique où l'obscurité de cette planète est perçée uniquement par les néons des X-wings). Et quelle bonne idée de situer la grosse scène d'action finale sur une plage qui serait paradisiaque sans les installations métalliques de l'Empire.

    ''Rogue One'' est donc un Star Wars original. Rien à voir avec l'épisode 7 qui embourbait la saga dans un hommage stérile. Néanmoins, Star Wars semble dorénavant avoir les yeux tournés vers le passé. Certes, ''Rogue One'' offre quelque chose de nouveau, mais on retrouve bien des choses des films précédents. Si Gareth Edwards renouvelle la manière de filmer les vaisseaux que l'on connaît bien maintenant (style X-wings, Tie fighter, Destroyer et Etoile de la Mort), il réintroduit certains anciens personnages. Et là, le pari se casse à moitié la gueule. Passons sur la scène clin d'oeil où l'on voit R2-D2 et C-3PO, innofensive et inutile. En revanche, constatons l'échec de la résurrection de Peter Cushing, alias Grand Moff Tarkin. Revoilà tout en numérique l'acteur mort en 94. Et le problème n'est pas de savoir se cela se voit ou non, c'est le manque d'expression criant de la ''reconstitution'' du faciès de l'acteur. Ainsi, on a le visage de Peter Cushing, mais il lui manque ses expressions. Pire encore : était-ce vraiment nécessaire de faire apparaître à la toute fin Léia ''Inutile et mal fait'' ont dit les détracteurs du film à propos de cette apparition. On ne peut cette fois-ci que leur donner raison. Mais le plus important, c'est évidemment le retour de Dark Vador. Et là, on peut le dire : on est gâté ! Les deux scènes où il est présent sont excellentes et sont très travaillés (on sent que le réalisateur s'est dit qu'il ne devait absolument pas rater le come back D V). On aurait pu craindre un retour de Dark Vador juste pour satisfaire les fans. Mais ce n'est pas le cas, Gareth Edwards évite le piège en refusant de donner un rôle prédominant à Dark Vador (et prouve qu'on peut faire un Star Wars sans méchant tout de noir vêtu) : en ce sens il ne cherche pas à revenir aux vieilles recettes, à ce qui marchait avant. La première scène avec Vador fait renaître en nous des souvenirs (idéé très séduisante que celle de faire de la résidence de Vador une forteresse sur Mustafar, lieu de son échec face à son ancien maître Kenobi ; comme si Vador ne pouvait découdre de ce funeste affrontement). Et la deuxième... Toujours en jouant sur l'obscurité, Edwards refait naître le temps d'une courte scène Dark Vador, le vrai, celui qui terrifiait toute la galaxie. Peut-être est-ce une des meilleurs scènes mettant en présence le seigneur noir. Enfin, le dernier rapport qu'on peut établir entre ''Rogue One'' et les précédents films concerne la Force. Au centre de tous les films Star Wars (puisque chaque épisode présente un protagoniste extrêmement réceptif à la Force), la Force se fait plus discrète dans ce spin-off. Et c'est tant mieux, compte tenu des débilités scénaristiques qu'elle offrait dans ''Le réveil de la Force''. Justement, la beauté de ''Rogue One'' réside aussi dans le fait qu'il ne reste d'elle que des vestiges. C'est ce que représente cette énorme statue de Jedi effondrée ainsi que ce temple Jedi pillé par l'Empire. L'idée présente dans ''Les derniers Jedis'', à savoir que la Force et les Jedis sont d'ordre religieux trouve sa source dans ce film à travers le personnage de Chirrut Imwe (Donnie Yen). Moine, gardien du temple, non voyant (mais certainement pas non-croyant), il semble être plus où moins sensible à la Force. C'est un personnage qui trouve tout-à-fait sa place dans l'univers puisqu'il ne faut pas oublier qu'à l'origine, Lucas s'est inspiré de l'univers asiatique pour créer Star Wars (d'où des noms à connotation nippone, style Obi-Wan Kenobi). Imwe fait écho à ''La forteresse caché'', le film de Kurosawa qui inspira Lucas. Et, bien entendu, on pense aussi fortement à Zatôichi, le guerrier aveugle japonais.

    ''Rogue One'' est donc le film salutaire d'une saga abîmée par un J. J Abrams trop référentiel. Sans révolutionner Star Wars, il est clair que ce spin-off lui redonne du souffle. En renouant avec un tragique digne de ''La Revanche des Sith'' ( spoiler: tous les personnages périssent dans ''Rogue One''
    ), la fin parvient même à être très émouvante. Bien joué (quel dommage que l'excellentissime Mads Mikkelsen n'apparaisse pas d'avantage !), bien mis en musique (la BO de Michael Giacchino est tellement supérieure à celle de John Williams pour les épisodes 7 et 8), ''Rogue One'' est donc un film à recommander à tout le monde.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Rogue One – A Star Wars Story semble tiraillé entre la simplicité déconcertante de sa trame narrative et la complexité de la place qu’il occupe dans la saga, simple histoire entre deux épisodes officiels. De cet entrelacs Gareth Edwards ne tire qu’une poignée de plans iconiques qui tendent à faire de la matière mythologique une abstraction proche de l’esthétique – et des thématiques, en somme – du cinéaste Denis Villeneuve. De plus, nous retrouvons un goût pour la confrontation du petit avec l’immense par un travail de l’échelle précieux que nous observions déjà dans Godzilla (2014) : la dernière demi-heure, la plus réussie d’un film oscillant combats illisibles et échanges verbeux futiles, mobilise ainsi une imagerie de la guerre du Vietnam, exploitant une matière américaine sensible pour rejouer la lutte d’une résistance limitée en termes de moyens et d’hommes contre la superpuissance ennemie.

    Tout cela ne saurait pourtant rattraper cette pulvérisation de courtes scènes qui sautent d’un lieu à un autre, brouillent artificiellement les pistes sans raison valable sinon la volonté de conférer au film un semblant de profondeur et de densité. Le montage charcute davantage qu’il ne lie et expédie des moments pourtant chargés en émotion. La musique signée Michael Giacchino déçoit, forte d’un thème original répété ad nauseam qui réveille une partition anecdotique, à l’instar de cette histoire Star Wars plongée « dans la nuit glacée du vide sidéral »
    Sildenafil
    Sildenafil

    77 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mars 2018
    Le niveau des derniers Star Wars (7 & 8) est tellement bas que celui-ci passe pour un bon film. C'est sûr qu'à force de manger de la pâtée pour chien, on prendrait le MacDo pour un restaurant gastronomique des plus raffinés. Car ce Rogue One, c'est bien du fast food movie : les clichés s'accumulent comme dans un film d'action lambda, les personnages sont sans relief, les enjeux inexistants, etc.
    P.  de Melun
    P. de Melun

    55 abonnés 1 125 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mars 2018
    Même si le film est un petit peu long à démarrer et malgré des héros inconnus qui a dérouté le grand fan de cette saga que je suis, le scénario et l’action ne cessent de monter en puissance pour offrir un spectacle absolument exceptionnel. C’est visuellement très beau, prenant mais difficilement compréhensible pour les non initiés à l'univers Star Wars. Il est donc indispensable d’avoir vu les différents opus pour s’imprégner de cet univers dantesque et pour comprendre cet épisode qui se situe entre le III et le IV.
    Pour en revenir à « Rogue One », l'univers est bien là accompagné d'une multitude de nouveautés. Le scénario est vraiment bien ficelé, on ne s'ennuie pas (aucune sensation de déjà-vu). C’est du grand spectacle ! Et que la force soit avec vous !
    Fred B.
    Fred B.

    10 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 février 2018
    Un excellent qui fait un pont magnifique entre les deux trilogies, celle des années 2000 racontant le passé de Dark Vador et celle des années 80 avec Luke Skywalker en tête d'affiche
    L'histoire est parfaitement articulé et tout s'emboite magnifiquement jusqu'à la scène finale.
    les personnages principaux sont charismatiques (Jyn Erso, Cassian Andor, ou même l'excellent Chirrut Imwe) qui sont tous des personnages ordinaires (pas de Jedi à l'horizon) mais qui vont devenir exceptionnels par leur volonté de lutter contre l'Empire naissant et Dark Vador. Son apparition à plusieurs est d'ailleurs savamment orchestrée et fait le pont avec le début du film IV
    A noter également quelques analogies avec les essais nucléaires (champignons atomiques lors de la destruction de Jedha)
    En somme un Star Wars 3.5 remarquable avec toujours des combats aériens et des personnages qui ont une vraie histoire. les nombreux Oscars attribués à ce film sont mérités
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2018
    Énorme !!!!!! J'ai tout aimé !!!! Même si les jedis sont tombés précédemment. ..😔
    Je pense, qu' au niveau de tout les opus cette histoire est l'une des meilleures !
    Les personnages sont authentique et ça fait du bien de suivre une femme forte et un duo explosif !!! Avec quelques clins d'oeil à la clé. Les fans ne pourrons pas cracher dessus et les non fan peuvent toute à fait suivre l'histoire !
    [C-Veddona]
    [C-Veddona]

    10 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2018
    Impossible de ne pas sortir quelque peu déçu après le visionnage de cette épisode. Pour un première épisode labellisé « Star Wars Story », le film est clairement en déca de la saga principale et on sent malheureusement que le film a bénéficié d’un soin tout de même moins important que le VII.

    Le plus gros problème est pour moi les acteurs, surtout côté rebelle, qui sont pour la plupart d’une niaiserie aberrante. Mention spéciale au deux acteurs principaux qui, sur certaine scène, donne vraiment l’impression qu’ils se demande ce qu’ils font la…

    Alors oui, le film se veut très certainement plus « intimiste », d’une façon, ce qui n’est en soit pas une mauvaise chose, mais le déroulement du film manque clairement de rythme ; en passant de scène émotionnel à des scènes d’actions, elle-même entrecoupé de séquence de parlotte qui manque énormément profondeur et de travail d’écriture. C’est parfois vraiment simpliste spoiler: (la scène du bouclier est les réflexions faites sur comment faire pour le désactiver, passer les fichiers etc sont d’une niaiserie…)
    .

    Les scènes d’actions sont soit dit au passage franchement réussi, les effets visuels sont à la hauteur de la franchise. L’OST est aussi pas mal du tout même si beaucoup plus en retrait, on sent que John Williams n’est pas présent sur cette épisode, ça manque d’une touche épique pour accompagner certaines scènes.

    Reste tout de même un film avec des qualités, extrêmement aider par le fan service omniprésent, mais sans en faire trop. Certaine scène sont jubilatoire et certain passage font vraiment plaisir à voir. Voir le lien entre l’épisode III et IV se créer devant nous est quand même génial. Mention aussi pour la direction artistique réussi, surtout sur le travail effectué pour la planète Scarif.

    En espèrent que le prochain « Star Wars Story » bénéficie d’un soin plus important.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2018
    Après un réveil de la force globalement décevant (une impression de déjà-vu qui n'est d'ailleurs pas qu'une impression avec un fort recyclage de la première trilogie, un bad-guy "Kylo Ren" purement ridicule, une quasi "non évolution" de l'univers ...), quelle formidable surprise que ce "Rogue One" !!!
    Une vision plus sombre et plus complexe des héros anonymes de la Rébellion. Un vrai, un pur Star Wars, où l'on ne croise certes pas des jedis ou siths à tous les coins de rue et c'est tant mieux ! Un choc émotionnel et un space opéra épique porté par une brochette de personnages intéressants qui sont interprétés avec brio par les acteurs (contrairement à certains avis que j'ai pu lire, même si je les respecte à défaut de les comprendre). Bref un régal pour les sens et les émotions !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 février 2018
    Premier spin-off ne se situant dans aucune trilogie, Rogue One se démarque de ses prédécesseurs. Si l’intrigue du film est intéressante (comment un groupe de rebelles s’est emparé des plans de l’Étoile Noire), son exécution pêche sur de nombreux aspects. En effet, si l’on ne peut que saluer le respect de la coutume propre à la franchise consistant à privilégier des acteurs inconnus du grand public, les personnages ne parviennent jamais à faire preuve d’un réel charisme, la faute à un manque de profondeur. Même Jyn Erso, l’héroïne, qui bénéficie d’une construction plus poussée que les autres, paraît bien fade à côté de ce à quoi la franchise nous a habitués. Peut-être le but n’était-il pas d’égaler la grandeur des personnages des trilogies précédentes, néanmoins, face à la dramaturgie des évènements, il aurait été appréciable de donner un peu plus d’importance à ce commando pour laisser une chance au spectateur de s’y attacher.
    Car c’est bien là que réside le gros problème de Rogue One : le temps passé. On perd BEAUCOUP TROP de temps à construire une histoire pas très intéressante autour de Jyn, de son père et de l’Étoile Noire pour finalement pas grand-chose… Résultat : on s’ennuie ferme. Il faudra donc attendre les 40 dernières minutes pour que le film ne démarre véritablement. Et là, il y a beaucoup à dire : l’action est partout. Au sol et dans les airs, ça mitraille dans tous les sens, c’est hyper dynamique, c’est très riche en terme de réalisation, ça flatte la rétine… Bref, c’est génial. J’irais même jusqu’à dire qu’il s’agit des meilleurs combats spatiaux que j’aie pu voir au sein de la franchise. L’action au sol n’est pas en reste, on se croirait véritablement dans un film de guerre. Ajoutons à cela une magnifique apparition de Dark Vador, des clins d’œil toujours utiles pour tisser des liens entre les épisodes III et IV, et un final des plus réussi pour permettre de rehausser le sentiment de platitude laissé par cet opus.
    En conclusion, Rogue One est un épisode bancal : majoritairement ennuyeux, il explose littéralement dans son dernier tiers. Malgré des personnages creux et un rythme déséquilibré, Rogue One se rattrape de par son action, son originalité (Scariff), sa maturité, ses moments de bravoure, ainsi que ses petites surprises, pas seulement là pour assurer le fan-service mais véritablement utiles à l’intrigue.
    Rody Ponchin
    Rody Ponchin

    9 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2018
    Le film est bien cohérent dans la désormais tradition des Star Wars mais que trois étoiles, car il y a pas peu de rattachement (dark vador, ou très vague clin d’œil à star wars rebels) avec les titres principaux. De plus le sort de ces protagonistes (tous) confirme bien que ce film est à part ou sans incidences dans la saga principale.
    Mais cela reste une bonne mouture.
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