Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
LCI
par Jérôme Vermelin
Le résultat est à la hauteur des attentes, malin et sans temps mort, avec un Alden Ehrenreich largement à hauteur de son modèle Harrison Ford.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par La Rédaction
Le prometteur Alden Ehrenreich reprend le rôle d'Harrison Ford (et ses mimiques) avec une grande facilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Si le film a moins d’ampleur que le premier film dérivé de la saga, « Rogue One », il compense par un traitement « à l’ancienne » qui devrait combler les accros de Star Wars.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Très distrayant.
Positif
par Fabien Baumann
La réussite du projet tient d'abord à cet enjeu intime et lointain (comment devient-on un fieffé séducteur de princesse galactique ?) ainsi qu'à la salutaire faculté des seconds rôles à mourir pour de vrai sans déclencher de vaste tralala sur l'échiquier des guerres stellaires.
CNews
par La rédaction
"Solo : A Star Wars Story" se regarde comme un bon divertissement… la magie et l’emphase en moins, comparé aux précédents volets.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Solo semble faire trop d’effort pour plaire à la jeune génération et, dans sa tentative de spectacle total, en oublie un peu l’ADN de Star Wars.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
GQ
par Alexandre Lazerges
Avec "Solo", Ron Howard fait donc le job et sauve les meubles avec quelques petites trouvailles, mais il aurait pu faire plus court.
La critique complète est disponible sur le site GQ
IGN France
par Sylvain Trinel
Solo fait le job mais surprend par l'inconséquence de son aventure qui aurait peut-être mieux fait de se retrouver en comics plutôt qu'en salle.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Express
par Eric Libiot
Le film est si moyen qu'il ne fera pas de mal à une mouche au moment de passer à la caise.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le scénario prend des libertés avec la chronologie de la saga, ce qui agacera les puristes, et manque d’enjeu dramatique puisque la mission consiste à trouver du carburant ! Mais Alden Ehrenreich est convaincant dans ce dérivé qui privilégie clairement l’action et renouvelle la mythologie.
Le Journal du Geek
par Gaël Weiss
Solo : A Star Wars Story n’est pas un mauvais film. C’est un honnête divertissement qui remplit consciencieusement son cahier des charges, mais sans vraiment chercher à aller plus loin.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Paris Match
par Yannick Vely
Sans posséder la magie des meilleurs épisodes de la saga intergalactique, "Solo: A Star Wars Story" de Ron Howard est un western galactique fun et hautement divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
C'est divertissant, parfois maladroit, mais, in fine, rafraîchissant pour ceux qui sont un peu las des sempiternels discours sur la Force.
Télérama
par Cécile Mury
Certains moments sont très décevants. (...) D’autres scènes débordent au contraire d’inventions visuelles et narratives.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Si, après une exposition laborieuse, "Solo" se laisse voir sans déplaisir, se payant même le luxe d’un dernier acte plutôt réussi, il est très difficile de trouver des traces de singularité dans ce projet.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
En essayant de contrôler deux auteurs brillants perçus comme trop indépendants Disney a décapité un projet prometteur et offert aux fans un des pires Star Wars jamais vus.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ni fun ni emballant, le film est noyé sous une musique assourdissante. Il manque d'enjeux dramatiques et surfe sans inspiration sur le contexte géopolitique (héros exilés, régions pauvres exploitées pour leurs ressources naturelles par des corporations avides de profit).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Manquant cruellement de traits d’humour ou de saillies ironiques, les deux armes que Han Solo dégainait plus vite que son ombre, le film de Ron Howard, honnête artisan hollywoodien appelé à la rescousse après le renvoi des réalisateurs initiaux, se regarde sans déplaisir. Mais sans passion.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Du grand spectacle un peu lassant.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tout le monde semble ailleurs, à commencer par Alden Ehrenreich, qui fait un Solo désespérément insipide.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Loin d’être le naufrage annoncé, une œuvre d’une grande paresse visuelle et d’écriture, sans oublier des personnages inconsistants. On est loin de la surprise qu’était "Rogue One".
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La genèse pirate de Solo n’a-t-elle pas sa place dans un flou imaginé, plutôt que dans cette matérialité ingrate ? La question est ingrate, mais qu’il le veuille ou non, Ron Howard vient d’y répondre..
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sylvestre Picard
"Réalisé par Ron Howard". Ce nom au générique suffira à faire rager ceux qui voulaient que Solo soit shooté par les deux réals hype de 21 Jump Street et La Grande Aventure Lego, Phil Lord et Chris Miller, virés en plein tournage pour avoir oublié qu'ils ne faisaient pas un film à eux, à la déconne, mais qu'ils étaient employés de Lucasfilm pour faire un boulot. Le vétéran Howard, lui, est là pour faire le job.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un nouveau volet qui manque de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Ceux qui ne connaissent pas Star Wars, s’il en reste, pourront toujours y trouver un blockbuster divertissant à défaut d’être novateur, mais tous ceux qui sont un tant soit peu attachés au mythe installé par George Lucas ne pourront que sortir de là lessivés par tant de vacuité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Point
par Philippe Guedj
Ce récit des origines du contrebandier est d'un ennui intersidéral. En cause ? Son héros falot et un scénario sans identité ni panache.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
"Solo" n’est qu’un western-SF dévitalisé qui ne sert à rien sinon à dénuder si nécessaire le genre de cynisme mercantile de ceux qui en commanditent l’existence exténuée, d’autant plus absurde qu’on est censé assister à l’aube frémissante d’une mythologie et non au remix gâteux d’un vieux tube seventies.
La critique complète est disponible sur le site Libération
LCI
Le résultat est à la hauteur des attentes, malin et sans temps mort, avec un Alden Ehrenreich largement à hauteur de son modèle Harrison Ford.
Le Figaro
Le prometteur Alden Ehrenreich reprend le rôle d'Harrison Ford (et ses mimiques) avec une grande facilité.
Le Parisien
Si le film a moins d’ampleur que le premier film dérivé de la saga, « Rogue One », il compense par un traitement « à l’ancienne » qui devrait combler les accros de Star Wars.
Ouest France
Très distrayant.
Positif
La réussite du projet tient d'abord à cet enjeu intime et lointain (comment devient-on un fieffé séducteur de princesse galactique ?) ainsi qu'à la salutaire faculté des seconds rôles à mourir pour de vrai sans déclencher de vaste tralala sur l'échiquier des guerres stellaires.
CNews
"Solo : A Star Wars Story" se regarde comme un bon divertissement… la magie et l’emphase en moins, comparé aux précédents volets.
CinemaTeaser
Solo semble faire trop d’effort pour plaire à la jeune génération et, dans sa tentative de spectacle total, en oublie un peu l’ADN de Star Wars.
GQ
Avec "Solo", Ron Howard fait donc le job et sauve les meubles avec quelques petites trouvailles, mais il aurait pu faire plus court.
IGN France
Solo fait le job mais surprend par l'inconséquence de son aventure qui aurait peut-être mieux fait de se retrouver en comics plutôt qu'en salle.
L'Express
Le film est si moyen qu'il ne fera pas de mal à une mouche au moment de passer à la caise.
Le Journal du Dimanche
Le scénario prend des libertés avec la chronologie de la saga, ce qui agacera les puristes, et manque d’enjeu dramatique puisque la mission consiste à trouver du carburant ! Mais Alden Ehrenreich est convaincant dans ce dérivé qui privilégie clairement l’action et renouvelle la mythologie.
Le Journal du Geek
Solo : A Star Wars Story n’est pas un mauvais film. C’est un honnête divertissement qui remplit consciencieusement son cahier des charges, mais sans vraiment chercher à aller plus loin.
Paris Match
Sans posséder la magie des meilleurs épisodes de la saga intergalactique, "Solo: A Star Wars Story" de Ron Howard est un western galactique fun et hautement divertissement.
Télé 7 Jours
C'est divertissant, parfois maladroit, mais, in fine, rafraîchissant pour ceux qui sont un peu las des sempiternels discours sur la Force.
Télérama
Certains moments sont très décevants. (...) D’autres scènes débordent au contraire d’inventions visuelles et narratives.
Bande à part
Si, après une exposition laborieuse, "Solo" se laisse voir sans déplaisir, se payant même le luxe d’un dernier acte plutôt réussi, il est très difficile de trouver des traces de singularité dans ce projet.
Ecran Large
En essayant de contrôler deux auteurs brillants perçus comme trop indépendants Disney a décapité un projet prometteur et offert aux fans un des pires Star Wars jamais vus.
L'Obs
Ni fun ni emballant, le film est noyé sous une musique assourdissante. Il manque d'enjeux dramatiques et surfe sans inspiration sur le contexte géopolitique (héros exilés, régions pauvres exploitées pour leurs ressources naturelles par des corporations avides de profit).
La Croix
Manquant cruellement de traits d’humour ou de saillies ironiques, les deux armes que Han Solo dégainait plus vite que son ombre, le film de Ron Howard, honnête artisan hollywoodien appelé à la rescousse après le renvoi des réalisateurs initiaux, se regarde sans déplaisir. Mais sans passion.
Le Dauphiné Libéré
Du grand spectacle un peu lassant.
Le Monde
Tout le monde semble ailleurs, à commencer par Alden Ehrenreich, qui fait un Solo désespérément insipide.
Les Fiches du Cinéma
Loin d’être le naufrage annoncé, une œuvre d’une grande paresse visuelle et d’écriture, sans oublier des personnages inconsistants. On est loin de la surprise qu’était "Rogue One".
Les Inrockuptibles
La genèse pirate de Solo n’a-t-elle pas sa place dans un flou imaginé, plutôt que dans cette matérialité ingrate ? La question est ingrate, mais qu’il le veuille ou non, Ron Howard vient d’y répondre..
Première
"Réalisé par Ron Howard". Ce nom au générique suffira à faire rager ceux qui voulaient que Solo soit shooté par les deux réals hype de 21 Jump Street et La Grande Aventure Lego, Phil Lord et Chris Miller, virés en plein tournage pour avoir oublié qu'ils ne faisaient pas un film à eux, à la déconne, mais qu'ils étaient employés de Lucasfilm pour faire un boulot. Le vétéran Howard, lui, est là pour faire le job.
Sud Ouest
Un nouveau volet qui manque de souffle.
aVoir-aLire.com
Ceux qui ne connaissent pas Star Wars, s’il en reste, pourront toujours y trouver un blockbuster divertissant à défaut d’être novateur, mais tous ceux qui sont un tant soit peu attachés au mythe installé par George Lucas ne pourront que sortir de là lessivés par tant de vacuité.
Le Point
Ce récit des origines du contrebandier est d'un ennui intersidéral. En cause ? Son héros falot et un scénario sans identité ni panache.
Libération
"Solo" n’est qu’un western-SF dévitalisé qui ne sert à rien sinon à dénuder si nécessaire le genre de cynisme mercantile de ceux qui en commanditent l’existence exténuée, d’autant plus absurde qu’on est censé assister à l’aube frémissante d’une mythologie et non au remix gâteux d’un vieux tube seventies.