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    The Riot Club
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    122 critiques spectateurs

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    Fritz L
    Fritz L

    181 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    On a beau être l’élite d’Oxford et appartenir au fameux Riot Club, cela n’empêche pas d’être un très vilain garnement ! Voilà en substance, le message de ce film pour le moins « bébête » aussi poussiéreux que conventionnel. Les différents personnages, tout bellâtres qu’ils soient, ne sont pas fouillés et les acteurs plutôt mal dirigés et s’agitent main dans la main dans une mauvaise caricature qui aurait demandé un soin certain et plus de profondeur psychologique. Là en gros ils sont méchants parce qu’ils sont riches… plus populiste tu meurs ! D’autant que cette approche, le comportement de l’élite dans un collège renommé anglais, a déjà été abordée à maintes reprises, notamment dans « Another Country » de Marek Kanievska en 1984. Là, le scénario possédait un vrai fond crédible, et la mise en scène était beaucoup plus sulfureuse et enlevée que dans ce machin à midinettes…
    LBDC
    LBDC

    104 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    (...) L’impression persistante d’assister à un épisode de Gossip Girl ou Beverly Hills ne m’a guère quitté devant ce film rempli de beaux gosses, d’opulence et d’insolence. Le Riot Club (« Club de l’émeute » en traduction littérale) regroupe des jeunes issus des plus grands lycées, souvent originaires d’un sérail habitué à l’aisance et à une place tout en haut de l’échelle sociale. Tout comme les jeunes de l’Upper West Side ou de LA, Oxford a enfanté des premiers ministres, d’illustres financiers et des dirigeants depuis des temps immémoriaux. Le futur est garanti, le présent doit donc être le plus agréable possible. Les membres du Club ressemblent à Chuck Bass, Brandon Walsh ou Dylan McKay (pour ceux qui connaissent) et les acteurs hantent les pages des magazines féminins actuels (preuves à l’appui). Difficile donc d’attendre autre chose qu’une dérision sardonique, sans vraie réflexion ou maxime philosophique.

    Le manichéisme est omniprésent. Les deux recrues ont des caractères opposés, la maxime sociale rappelle l’adage de « Cloud Atlas » sans la même profondeur (Weak is Meat that Strong do Eat), les personnages sont avant tout jouisseurs et guère fouillés. Les fêlures psychologiques sont absentes et Lone Scherfig privilégie la facilité aux méandres labyrinthiques. Le drame final est prévisible même si non désagréable. D’ailleurs le film lui-même se suit avec intérêt, car rythmé et suffisamment pervers pour maintenir l’attention. C’est un spectacle hautement divertissant que de voir ce dont sont capables de jeunes éphèbes alcoolisés et imbus d’eux mêmes ; l’attente de savoir quel personnage subira les ires de ces décervelés à cuillère d’argent dans la bouche… Aucun d’eux n’a retenu l’histoire de la création du Club (...

    L'intégralité de notre avis à propos de THE RIOT CLUB, sur Le Blog du Cinéma
    Ted17eme
    Ted17eme

    1 abonné 107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Film sympa avec des dialogues plutôt bons mais rien de bien alléchant. La jeunesse des beaux quartiers est elle réellement comme ça !? J'espère pas car ça fait peur !
    Eymeric B.
    Eymeric B.

    24 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Très belle interprétation de la part des acteurs du sentiment de supériorité lie à la classe pour un scénario totalement scandaleuse
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    The Riot Club est un très bon film dramatique britannique réalisé par Lone Scherfig (la réalisatrice du très bon Une éducation), écrit par Laura Wade d'après sa pièce de théâtre qui parle d'un cercle très secret d’Oxford fait de la débauche et de l’excès son modèle depuis 3 siècles... son nom c'est le Riot Club qui est réservé à l’élite de la nation britannique.... Un bon film qui commence comme Le Cercle des poètes disparus ou on assiste a l'initiation de deux étudiants (Miles et Alistair) en première année et rejetons d'illustres familles qui vont avoir l'honneur de rentrer de faire parti de ce Club très fermé (ils ne doivent qu’être que dix tous issue de bonne famille)... Sauf que ce n'est pas Le Cercle des poètes disparus (voir le film pour comprendre et tout particulierement les scènes du restaurant)... Très bien joué par les dix jeunes acteurs qui ont tous une personnalité (Max Irons qui joue Miles Richards, Sam Claflin (excellent) qui joue Alistair Ryle, Douglas Booth qui joue Harry Villiers (le beau gosse misogyne), Freddie Fox qui joue James Leighton-Masters (le president du Club), Ben Schnetzer qui joue Dimitri Mitropoulos, Matthew Beard qui joue Guy Bellingfield, Sam Reid qui joue Hugo Fraser-Tyrwhitt (l'homosexuel) et Olly Alexander qui joue Toby Maitland (entre autres)...)... Mais aussi Natalie Dormer (Margaery Tyrell dans la série Game of Thrones) qui joue Charlie la prostituée, Michael Jibson qui joue Michael le pauvre patron du restaurant et Holliday Grainger qui joue Lauren (la future ex copine de Miles)... Peut être pas un grand film, mais un très bon film Britannique réalisé par Lone Scherfig une cinéaste d'origine danoise.a qui ont doit l'excellent Une éducation qui parlait d'une jeune adolescente qui tombe amoureuse d'un homme d'une trentaine d'année dans l'Angleterre des années 1960....A voir
    Mélissa M.
    Mélissa M.

    22 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    Un peu lent... Le vive du sujet n'arrive qu'à la fin, où on reste sans faim... Film sympa mais pas intrigant, un peu déçue
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    The Riot Club, ou la chronique de la version British de "la crème de la crème" de Chapiron sur-protéinée à la haute bourgeoisie.

    Ce film n'est pas si mauvais au fond, mais le scénario est assez peu crédible et un peu trop proche d'un "Projet x" en petit comité. The Riot Club est la quintessence de l'excessif. Le film est "gavant" et redondant, une pseudo histoire d'amour essaye d'alléger le film... sans succès. Le point positif est à donner au responsable du casting qui a su trouver les têtes parfaites pour interpréter une bourgeoisie britannique luxueuse à l'allure de tête à claque.

    Un film qui ne nous raconte pas grand chose, un film parmi les autres sans plus, qui de plus a pour moral, l'immoralité ou la victoire de l'argent et du pouvoir sur la débâcle et les comportements infantiles,grossiers et non-respectueux du fils à papa.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 juin 2016
    The riot club n'a aucun but, aucun fait intéressant. il n'y a pas d'histoire, pas d'écriture. On regarde un film sans comprendre où l'on nous mène, ni ce que l'on cherche à nous montrer. Les bizutages s'enchainent et nous perdent. Inutile !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    Petit film sympa, qui nous montre bien l'inégalité entre les classes sociales. L'élite d'Oxford, baptisé le "Riot Club", regroupe une dixième d’étudiants, tous des fils de riches, qui se croient tout permis sous prétexte qu'ils ont de l'argent. Deux étudiants, Miles et Alistair vont être recruté dans ce club, au pris de leur amitié.
    L'un, Alistair, mis à l’écart par les autres et jaloux de Miles, l'autre, qui réussit tout, a une copine et est un membre très apprécié du Club. spoiler: Mais lorsque le groupe se soûle et se drogue dans un restaurant, Miles se rend compte que la situation dérape, et que le Club va trop loin. Alistair va alors profité de cette occasion pour se venger de Miles en gâchant sa relation avec Lauren ( la copine de Miles ) et en allant jusqu'à battre quasiment à mort le directeur de restaurant afin de mettre Miles mal à l'aise. Il tentera par la suite de lui faire porter le chapeau, et de l'envoyé en prison. Ce sera pourtant bien Alistair qui sera arrêté mais aucune charge ne sera retenus contre lui et il sortira finalement. Pourquoi ? Parce qu’il a de l'argent.
    Et c'est autour de ça que tout le film tourne, le fait que certains individus pensent pouvoir tout se permettre, y compris spoiler: détruire un restaurant et tabasser le restaurateur
    seulement parce qu’ils ont les moyens de dédommager. Si l'idée est bonne, la réalisation laisse à désiré, il y a pas mal de longueurs et c'est pas toujours hyper bien filmé. Les acteurs sont très bons, les principaux du moins, Sam Claflin, Max Irons, Holliday Grainger, Douglas Booth,Tony Way ou Jessica Brown Findlay interprètent leurs personnages à la perfection et arrivent à nous les faire aimer puis détester avec de subtils transition spoiler: ( je parles de Sam Claflin bien sûr )
    Après je suis resté un peu perplexe devant le jeu de Natalie Dormer, qui gâche un peu la performance des autres, c'est dommage. The Riot Club reste un film pas trop mal malgré ses défauts.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Si les 20 premières minutes du film, je me suis demandé si je n’avais pas fait une erreur, j’ai vite fini par comprendre que le film était plus profond qu’il n’y paraît. Les personnages, bien que parfois clichés pour le besoin du scénar, sont bien écrits, le message dénoncé est évident et sa mise en lumière fait froid dans le dos.
    Un pti’t coup de poing dans un monde bien étriqué !
    Lire ma critique complète en cliquant sur le lien
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2015
    De savoir que c'est Lone Scherfig, ancienne disciple de Thomas Vinterberg et Lars von Trier, qui réalise met l'eau à la bouche. D'autant plus qu'après une introduction un peu longuette, cette nouvelle bourgeoisie se retrouve en huis-clos dans un pub de province pour un jeu de massacre façon Festen. (...) Mais il ne reste pas grand-chose du Dogme et ce Riot Club s'embourbe dans un ennui poli et une mise en scène académique.

    LA SUITE :
    cylon86
    cylon86

    2 506 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Ils sont dix, ils sont beaux, ils sont issus de la haute société anglaise et ils font partie du Riot Club, club mythique d'Oxford et très privé dont le but consiste à bien manger, boire plus que de raison et coucher avec plein de filles, bref à profiter de la vie. Sauf que ces dix jeunes hommes, prétentieux et irrespectueux des autres personnes, vont aller trop loin au cours d'une soirée bien arrosée. Soirée qui occupe d'ailleurs une bonne partie du film et où l'on sent le malaise monter, à mesure que les personnages sont imbibés d'alcool et franchissent des limites qu'ils pensent pouvoir traverser tout simplement parce qu'ils appartiennent à l'élite. Critique virulente d'une certaine aristocratie anglaise qui se considère au-dessus de tout le monde mais qui ne vaut pas mieux que les autres, "The Riot Club" brille par la manière dont il n'hésite pas à nous montrer ce qu'il y a de pire dans ses personnages. Quitte à les rendre tous antipathiques, ce qui n'est pas sans nuire à l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Une belle critique de la haute société anglaise. Les personnages tant féminins que masculins sont entiers et n'hésitent pas à faire leur place. Un portrait complet avec bien des touches d'humour so british ! Un beau film avec un casting superbe, j'en ai pas vu le temps passer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 janvier 2015
    Le huitième film de la réalisatrice danoise Lone Scherfig, The Riot Club, prend le contre-pied complet du dégoûtant La crème de la crème, sorti l’année dernière et dont l’avant-première nous avait laissé nauséeux. Sur le même sujet, bien que souffrant de longueurs interminables au début du film, The Riot Club finit par frapper fort et ne se cache pas derrière un humour prétendu pour cacher la part d’inhumanité du milieu qu’il décrit.

    Miles Richards (Max Irons), au caractère réservé et Alistair Ryle (Sam Claflin) , jeune homme prétentieux et désinvolte ont réussi à accéder à l’Université d’Oxford. En tant que représentant de l’aristocratie anglaise, leur seul but est d’intégrer le secret Riot Club qui a fait de la débauche son credo.

    Saluons déjà l’initiative de Lone Scherfig de présenter un film sur les congrégations étudiantes sans les tourner en ridicule dans une comédie pour adolescents prépubères type American Pie ni dans une parodie de satires en faisant l’apologie déguisée comme La crème de la crème. Effectivement, ce n’est pas un sujet à traiter à la légère. Nous savons l’intérêt limité que ces mouvements ont pour le bien commun organisant de dispendieuses fêtes mais s’assurant bien peu du bien-être étudiant, phagocytant les subventions par copinage et surtout, de temps à autre, défrayant la chronique avec des bizutages qui tournent mal et laisse un membre sur le carreau. Il ne s’agit pas de dire ici que le marché libre est une loi inaliénable transcendant toutes les autres libertés et donnant même le droit de cracher sur la dignité humaine, non, il s’agit de dénoncer le cynisme effarant avec lequel certaines élites capitalistes s’en accommodent et les défendent, même sous le vernis des apparences.

    On ne sait pas grand-chose, durant la longue première partie du film où il ne se passe rien, qu’elles sont les ambitions sociales et politiques des jeunes aristocratiques qui constituent le Riot Club. Si ce n’est que la scène d’ouverture a donné le ton avec la mort ridicule de Lord Ryot, celui qui a inspiré trois siècles plus tôt la création du club, on ne sait pas trop où veut en venir Lone Scherfig. C’est après une interminable attente, où l’on manque de s’assoupir, que la jeunesse dorée dévoile son vrai visage : mépris de classe, sexisme crasse et pulsions violentes refoulées. Comme dans La crème de la crème, les protagonistes considèrent que toutes les femmes prolétaires sont des prostitués et peuvent s’acheter pour quelques billets. Ils poussent l’ignominie jusqu’à s’arroger le droit de tout saccager dans un restaurant sous prétexte qu’ils payent, que le client serait roi… Mais dans The Riot Club, le peuple sait dire non à cette racaille en costume luxueux. Et dans une certaine mesure, la fin offre une alternative aux moins idiots de la troupe pour retrouver un semblant d’humanité en tournant le dos aux principes écœurants du Club.

    Là où La crème de la crème faisait l’apologie du proxénétisme et considérer sans second degré que la loi du marché prévaut sur tout, The Riot Club envoie valser ces pervers ambitieux, qui croient tenir le monde entre leur main, à leurs responsabilités, ne cherchant jamais à les dédouaner ou à porter un regard compréhensif sur eux. Un regard qu’il ne mérite pas.

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    Manon Dame
    Manon Dame

    2 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2015
    Ce film est une réelle déception ! Il était pourtant très prometteur : bien filmé, une bonne histoire (même si vu et revu, on ne se lasse jamais du mec sympa qui se laisse entraîner dans une fratrie de mauvais garçons), bon (et beaux) acteurs, belle photographie, un lieu magnifique, une bonne BO... Malheureusement, c'est un film qui manque cruellement de profondeur et qui comporte beaucoup trop de longueurs. spoiler: La première partie du film s'intéresse superficiellement aux différents membres du club et à leurs centres d'intérêts et occupation. On a donc le club, il manque deux personnes, les membres repèrent deux jeunes hommes qui correspondent parfaitement aux critères et sont intégrés directement (heureusement sinon ils se seraient retrouvés bien bêtes). Puis la deuxième partie du film sur le repas du Riot Club, repas interminable qui se termine, bien entendu, sur un drame. Le repas est beaucoup trop long, on passe par tous les stade d'alcoolisation des protagonistes, une fin qu'on aurait pu deviner (très malin le patron qui reste seul dans son pub au milieu de nulle part avec des jeunes visiblement violents et surtout très alcoolisés).


    Il aurait été intéressant de commencer par le repas (version résumé) pour ensuite voir les conséquences sur le club et ses membres qui se révèlent moins superficiels qu'il n'y paraît lors de "l'évènement".
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