Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un assortiment de trois films courts en 3D – ou non – dominé par celui de Godard, tout en oracles funestes et grandioses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Film de nationalité portugaise, produit dans le cadre de l’initiative européenne "Guimarães, capitale de la culture" (qui a déjà donné lieu à une volée de courts métrages remarquables : Oliveira, Erice, Kaurismäki…), ce "3 x 3D" surprend et convainc.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
Si le régional de l'étape offre un maelström indigeste, Greenaway s'amuse : ses talents de plasticien rendent la vision de l'épisode Just in Time fort plaisante. Explorant la profondeur de champ qui permet la 3D et les tricheries infinies offertes par le numérique, il propose un faux plan-séquence s'étalant sur 2000 ans.
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Regards croisés sur la 3D et ses possibilités formelles par trois cinéastes singuliers, dans trois fragments audacieux dont la force visuelle dépasse l’usage hollywoodien actuel du dispositif technique...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Arnaud Hée
Objet d’une grande inégalité qui vaut évidemment pour son segment godardien.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On recommandera, moins au nom des amitiés francophones qu'en vertu de son détournement de la commande, le film de Jean-Luc Godard, prologue à son premier long-métrage en 3D annoncé dans la compétition cannoise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Trois auteurs livrent leur vision de la 3D. Peter Greenaway et Jean-Luc Godard ébauchent de stimulantes perspectives mais Edgar Pêra s'enlise dans une bouffonnerie indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Hendy Bicaise
Dans ce triptyque en 3D sur l'histoire et le cinéma, pas de surprise, Godard surclasse ses camarades.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Mais plutôt qu'un objet chic d'avant-garde, "3X3D" se voit comme un film-baromètre délivrant des informations rabâchées.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Trois cinéastes, donc. Dans son sketch, Peter Greenaway fait du Peter Greenaway : plans-séquences baroques qui retracent l'histoire de la ville portugaise de Guimarães. Brillant, certes, mais aussi inutile que la 3D, dont on se demande pourquoi il l'utilise...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Face à ces assauts de cuistrerie, "Les Trois Désastres" de Jean-Luc Godard témoignent au contraire d’un certain flegmatisme formel, interrogeant réellement l’outil tridimensionnel.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Résultat de ce dispositif très conceptuel, « 3x3D », ensemble plus ou moins cohérent de trois courts-métrages, laisse chacune de ces figures du 7e art cheminer dans leurs obsessions et extravagances. Au final, il reste l’impression d’une œuvre étrange, boursouflée, oscillant entre un didactisme un peu benêt et d’inaccessibles considérations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
Un assortiment de trois films courts en 3D – ou non – dominé par celui de Godard, tout en oracles funestes et grandioses.
Libération
Film de nationalité portugaise, produit dans le cadre de l’initiative européenne "Guimarães, capitale de la culture" (qui a déjà donné lieu à une volée de courts métrages remarquables : Oliveira, Erice, Kaurismäki…), ce "3 x 3D" surprend et convainc.
Positif
Si le régional de l'étape offre un maelström indigeste, Greenaway s'amuse : ses talents de plasticien rendent la vision de l'épisode Just in Time fort plaisante. Explorant la profondeur de champ qui permet la 3D et les tricheries infinies offertes par le numérique, il propose un faux plan-séquence s'étalant sur 2000 ans.
aVoir-aLire.com
Regards croisés sur la 3D et ses possibilités formelles par trois cinéastes singuliers, dans trois fragments audacieux dont la force visuelle dépasse l’usage hollywoodien actuel du dispositif technique...
Critikat.com
Objet d’une grande inégalité qui vaut évidemment pour son segment godardien.
Le Monde
On recommandera, moins au nom des amitiés francophones qu'en vertu de son détournement de la commande, le film de Jean-Luc Godard, prologue à son premier long-métrage en 3D annoncé dans la compétition cannoise.
Les Fiches du Cinéma
Trois auteurs livrent leur vision de la 3D. Peter Greenaway et Jean-Luc Godard ébauchent de stimulantes perspectives mais Edgar Pêra s'enlise dans une bouffonnerie indigeste.
Première
Dans ce triptyque en 3D sur l'histoire et le cinéma, pas de surprise, Godard surclasse ses camarades.
TéléCinéObs
Mais plutôt qu'un objet chic d'avant-garde, "3X3D" se voit comme un film-baromètre délivrant des informations rabâchées.
Télérama
Trois cinéastes, donc. Dans son sketch, Peter Greenaway fait du Peter Greenaway : plans-séquences baroques qui retracent l'histoire de la ville portugaise de Guimarães. Brillant, certes, mais aussi inutile que la 3D, dont on se demande pourquoi il l'utilise...
Cahiers du Cinéma
Face à ces assauts de cuistrerie, "Les Trois Désastres" de Jean-Luc Godard témoignent au contraire d’un certain flegmatisme formel, interrogeant réellement l’outil tridimensionnel.
La Croix
Résultat de ce dispositif très conceptuel, « 3x3D », ensemble plus ou moins cohérent de trois courts-métrages, laisse chacune de ces figures du 7e art cheminer dans leurs obsessions et extravagances. Au final, il reste l’impression d’une œuvre étrange, boursouflée, oscillant entre un didactisme un peu benêt et d’inaccessibles considérations.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.