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    L'Homme qu'on aimait trop
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    WutheringHeights
    WutheringHeights

    101 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    (...

    Adèle Haenel est extraordinaire de force et de sensualité (...). Le film réussit à tenir sur un fil tendu jusqu'à une dernière partie ratée, reconstitution lamentable du procès, trente ans plus tard. On se serait passé de cette fin didactique pour rester dans le trouble d'une jeune femme brûlée vive par la passion.

    La suite :
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 juillet 2014
    Pas mal, mais la psychologie des personnages est à mon gout pas encore assez travaillée, cela aurait mérité d'être approfondi pour l'atmosphère du film.. Le jeu des 3 acteurs est à souligner ...
    William Spindler
    William Spindler

    11 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    La mise en scène est datée, et même si Guillaume Canet s'en sort plutôt bien, les autres acteurs sont décevants, parfois même, pour certains seconds rôles, très mauvais. Tout est très attendu, et on ne croit pas aux relations qu'entretiennent les personnages. Impossible de savoir si le film raconte l'histoire d'un homme ambitieux et opportuniste, ou celle d'une jeune femme passionnée, ou encore celle d'une mère blessée. On met le doigt sur ce qui pêche beaucoup dans cette histoire : impossible de savoir de quel point de vue elle est racontée. Celui d'Agnelet ? Celui de Madame Leroux ? Ou celui de sa fille, Agnès ? C'est un malheureux mélange de tout cela, une sorte de reconstitution malhabile et clichée d'un fait divers médiatique. Téchiné manque de plus en plus d'inspiration. Et ça se voit de plus en plus.
    mousscoco@aol.com
    mousscoco@aol.com

    9 abonnés 221 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    Adèle haenel est incroyable pour ce film je découvre une excellente actrice. Guillaume Canet et Catherine Deneuve sont eux aussi excellents, d ailleurs je trouve que après tant de film et sans avoir rien a prouvé Catherine Deneuve est juste exceptionnelle au sommet de son art. Le film est très bien, il raconte une histoire que les moins de 30 ans connaissent peu et qui continue en rebondissement il y a encore quelques mois. Très bon film, très beau cadre, très bons acteurs.
    jmjbest2
    jmjbest2

    22 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    Film très classique certes, mais tout à fait intéressant et plaisant non seulement grâce aux deux actrices comme lu et entendu : Guillaume Canet décrit pâle, "difficile à cerner" ? mais cela semble tout à fait cohérent vu ce que l'on sait de l'indéchiffrable Maurice Agnelet. On glisse très volontiers de la sympathie du départ vers la perplexité à son égard, mais non vers une franche antipathie. Certes pour la fin on aurait pu se contenter d'un autre procédé que ce procès alourdi par les maquillages (pourtant bien faits du pt de vue technique, car là Canet apparait très proche de l'Agnelet réel)
    caro18
    caro18

    153 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2014
    Le film ne fait que relater ou imaginer les faits de cette mysterieuse affaire.
    ghislaine18
    ghislaine18

    6 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2014
    On suit avec intérêt cette histoire tirée d'un fait divers dont on parle encore ! Les acteurs sont excellents : Guillaume Canet nous rend Agnelet plutôt sympathique, Catherine Deneuve parfaite dans un rôle peu sympathique et Adèle Haenel très bien dans le rôle de cette jeune femme, mal dans sa peau qui vient de divorcer, qui est en conflit avec sa mère et éprise d'un homme qui ne l'aime pas. On ne saura jamais la vérité malheureusement et à la fin du film on est indécis, ça pourrait être lui mais elle pourrait aussi avoir choisi de disparaître. Ce corps qui n'a jamais été retrouvé ..... et l'argent, toujours et encore, l'argent !
    Daniel C.
    Daniel C.

    135 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2014
    Voilà un film porté par ses acteurs. Chacun des trois personnages est incarné avec brio. Lorsque le dernier procès, auquel nous assistons, a lieu, le vieillissement des personnages est impressionnant. Adèle Haenel trouve ici l'occasion de prendre un rôle plus important que lorsqu'elle jouait la soeur de Suzanne (autre magnifique film dans lequel elle jouait aux côtés de Sara Forestier). Son personnage un peu buté, au regard percutant et sans concession démontre comment opère l'emprise exercée par un Guillaume Canet excellent dans son rôle. On découvre aussi les ravages que peuvent engendrer la mort d'un frère, lorsque les parents sont absents pour protéger l'enfant qui survit. On comprend comment Maurice Agnelet décide que plus jamais, il ne souffrira des sentiments, que d'autres lui feraient éprouver, il a du charme, il s'en sert, mais devient implacable, si on en appelle à ses affects. Catherine Deneuve, Renée Le Roux, en mère distante, mais néanmoins parfois attentive, incarne une certaine froideur rigoriste : elle ne sucombe pas au charme d'Agnelet, qui le lui fera payer en séduisant sa fille ou plus exactement, en créant le trouble chez elle -ce qui s'appelle intriguer! On entend en passant évoquer le maire de Nice, Jacques Médecin, que Guy Bedos avait en son temps tant raillé. Bref, un film à voir, qui nous renseigne sur une affaire, qui a fait les gorges chaudes de la presse d'alors. Le personnage d'Agnelet est-il une belle incarnation de ce qu'on désigne par "pervers narcisssique"? C'est probable, en tout cas, le génie maléfique trouve ses limites dans l'attrait pour le danger et la prise de risque, qui a conduit Agnelet à revenir du Panama, où il profitait de sa fortune accumulée grâce à la fille Le Roux, Agnès (Adèle Haenel).
    alain-92
    alain-92

    310 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    La mise en scène très classique s'adapte parfaitement à ce triste et célèbre fait divers criminel. André Téchiné précise : "Nous adaptions le scénario au fur et à mesure des confidences, d'Agnelet, un homme fascinant qui s’emmêle les pinceaux dans ses propres mensonges".

    Les décors d'Olivier Radot, les costumes de Pascaline Chavanne, et la photographie de Julien Hirsch sont une grande réussite pour ce retour dans les années 75, au milieu de ces tons mordorés et ce luxe clinquant d'une époque révolue.

    Depuis des années, la justice est intervenue sur ce dossier en apportant des décisions divergentes, d'où l'impossibilité pour le réalisateur, de chercher une quelconque vérité sur la finalité de cette affaire. Il s'appuie sur un autre angle. Celui de la guerre des casinos et la violence qui va avec.

    Concernant Maurice Agnelet le film démontre le vide total, intérieur et culturel, de ce séducteur, arriviste, sans scrupules, perdu derrière les faux-semblants au milieu desquels il tente d'imposer une image différente de l'être vil qu'il est profondément. Comme démontré par le décor, à la fois pathétique et prétentieux, de son cabinet d'avocat, sans clients, avec une bibliothèque et des rangées de livres de La Pléiade accumulés et visiblement posés là pour tenter de faire croire que .... Tout est faux chez cet homme, il incarne parfaitement la lâcheté caractérisée. C'est lui qui est au cœur du film. Franc maçon, tout comme Fratoni "Mais pas dans la même loge" précisera-t-il, comme pour renier cet engagement quand cette appartenance ne peut plus lui être d'aucune utilité. Il n'hésitera pas malgré tout de s'acoquiner avec le mafieux pour arriver à ses fins.

    Guillaume Canet endosse le costume de cet homme avec un certain talent tout en s'appuyant sur les confidences reçues par Maurice Agnelet, lui même. Un salaud, certes, mais le type de héros parfait pour le grand écran. À ses côtés, la toujours excellente Judith Chemla et la jeune et déjà remarquée Adèle Haenel dans le rôle d'Agnès le Roux. Plusieurs passages appuient sur la grande faiblesse de cette jeune femme et son cruel besoin d'amour. À tout prix ! Une scène devrait rester dans les annales. Celle dans laquelle elle se livre à une incroyable danse africaine pour mieux tenter de séduire celui qui finira par la perdre.

    Une mère trahie, dépossédée, perdue, rageuse et déterminée à la fois, offre à Catherine Deneuve un rôle dans lequel, une fois encore, elle excelle. On retiendra le passage dans lequel elle fredonne sur le Pregherò d’Adriano Celentano. Ou plus encore, son allure de femme vieillie à tout jamais blessée et ruinée, et son regard poignant pendant la scène du procès.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    122 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    Qu'il fait chaud dehors! L'air est presque irrespirable et tout le monde cherche un petit coin d'ombre pour se reposer de cette tendresse caniculaire. Buvant mon petit thé vert bouillant dans sa minuscule tasse, je me rend compte que André Téchiné sort son nouveau film et qu'il est dans les salles dès aujourd'hui! Je me presse donc au cinéma le plus proche et commande ma place pour la séance de 17H20, et m'offre ainsi un fondant au chocolat (gourmandise oblige). Cette dégustation (rapide) terminée, je me presse dans la salle. Nous ne sommes que quatre, je me retrouve ainsi avec trois vieilles dames. Il faut bien le signaler : Téchiné a gardé, de ses années d'expérience, un certain don pour la mise en scène. Et quelle magnifique idée d'avoir choisi la très grande actrice qu'est Catherine Deneuve pour interpréter Renée Leroux, la mère qui veut absolument connaître la vraie histoire! Adèle Haenel est saisissante et pas assez reconnue dans le métier, mais ça viendra, surtout avec "Les combattants", véritable ode à la vie puissante et vivifiante! Guillaume fait du Canet, à ceci près : il interprète très bien le jeune homme qui courtise les femmes fragiles. Je le savais très bien : un Téchiné habile dans sa réalisation fait passer un bon moment, malheureusement troublé par des longueurs inactives et qui gâchent le plaisir d'une passion retrouvée. Un film trop inégal et injuste pour recevoir la (stricte) moyenne d'Allociné, mais une histoire passionnante à ne vivre qu'au cinéma! Que Diable!
    Jean Francois L
    Jean Francois L

    12 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    J'y suis allé sans rien connaitre du sujet mais par rapport au réalisateur et aux acteurs, toujours à la hauteur. Particulièrement Adèle Haenel, superbe dans son jeu. L'histoire, j'en avais brièvement entendu parlé, et au bout de ces 2 heures de scénario , même si quelquefois il peut y avoir quelques longueurs, on a envie d'en savoir plus, puisqu'il manque des personnages par rapport à la réalité. Puis ce jugement. Qui en réalité, s'est déroulé sur plusieurs années, par rebondissement, avec l' acharnement et la détermination de cette mère pour arriver à connaitre et faire reconnaître le sort de sa fille. Téchiné a du certainement faire des choix par rapport à la justice qui n'a encore pas finit de donner son verdict final! C'est aussi pour tout cela que le film est intéressant. Le vieillissement des personnages est étonnant, et si ressemblant par rapport à Maurice Agnelet. Ce film permet donc de voir un belle brochette d'acteurs et de s'interroger sur une affaire sensible.
    Caméo
    Caméo

    6 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2020
    On confond souvent classicisme et académisme : L'homme qu'on aimait trop donne à voir toute la virtuosité de la mise en scène de Téchiné qui inscrit personnages et décors dans une véritable tragédie antique. Les trois personnages principaux ont leur part de monstruosité et d'humanité, le cinéaste évitant ainsi de sombrer dans le film à thèse qui juge et condamne tel ou tel personnage. Canet délivre ici sa meilleure composition, Deneuve se montre déchirante et Adèle H. naît littéralement sous nos yeux de spectateurs. Duel au soleil ou Une femme disparaît, tels auraient pu être les titres de ce film qui marche sur les pas du western et d'Hitchcock : rivalité, justice et affrontements pour le premier, la Riviera, le soupçon et le crime pour le second. Ou encore L'histoire d'Adèle H avec ces plans où le personnage se livre et délivre par la parole épistolaire comme dans le film de Truffaut. Un très grand Téchiné qui revisite le cinéma pour mieux explorer l'âme humaine.
    Laurent C.
    Laurent C.

    244 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    Téchiné est sans aucun doute l'un des plus grands cinéastes français. Une nouvelle fois on est emporté par ce flot romanesque, porté à bout de bras par une Deneuve somptueuse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    À Nice, ce mardi 15 Juillet était diffusé en avant-première, quelques heures avant la sortie nationale, le dernier film d’André Téchiné, L’homme qu’on aimait trop. Cette biographie partielle de Maurice Agnelet et Agnès Le Roux retrace l’histoire de leur rencontre, et les circonstances troubles de la disparition de l’héritière du Palais de la Méditerranée. Téchiné réussit un instantané au plus proche malgré la complexité de l’affaire. Ni à charge ni à décharge, L’homme qu’on aimait trop, évite de tomber dans l’interprétation exagérée, et Téchiné livre un exercice réussi en traitant d’un fais d’hiver macabre sans tomber dans le sordide. Tout le contraire d’Arcady.

    Après Eric Ciotti et Christian Estrosi, dégoulinant de bon sentiments lors de l’avant-première de 24 jours, voilà Patrick Allemand qui lance la projection du film. Celui-ci arrive avec une langue de bois extraordinaire à parler des subventions régionales pour le cinéma et des retombées économiques d’un tournage, en citant les quelque trois cents collaborateurs du film, sans évoquer une seule fois la bataille des intermittents. Rajoutons à cela, qu’avant de se féliciter des retombés économiques du tourisme, nos hommes politiques devrait peut-être se pencher davantage sur les conditions de travail désastreuses qui sévissent dans le milieu de l’hostellerie et de la restauration, fonctionnant comme une mafia, et particulièrement sur la côte d’azur. Quand cessera cette sale habitude que prenne les cinémas Pathé d’inviter des hommes politiques venus vendre leurs programmes lors d’avant-première cinéma?

    Nous sommes en 1976. Agnès Le Roux (Adèle Haenel), fille de la propriétaire du Palais de la Méditerranée, revient vivre à Nice, après l’échec de son mariage, et une escapade en Afrique. La jeune femme entretient des relations compliquées avec sa mère, Renée (Catherine Deneuve), qui refuse de lui racheter ses actions. Elle rencontre un jeune avocat, Maurice Agnelet (Guillaume Canet), travaillant aux côtés de sa mère. Tombant éperdument amoureuse de ce dernier, elle accepte qu’il est plusieurs maîtresses. Dans le même temps, celui-ci la convint de trahir sa mère au conseil d’administration, au profit de Fratoni (Jean Corso), parrain local, acoquiné avec l’administration Médecin, dont on connaît la gestion mafieuse du temps de son règne niçois. Elle partage l’argent obtenu de Fratoni, en deux parts égales, et donne un procuration à Maurice Agnelet. Quelques mois plus tard, Agnès Le Roux disparaît.

    L’homme qu’on aimait trop est un titre qui inquiéterait au premier abord, tant il suggère que cette homme serait une sorte de victime, aimé malgré lui. C’est le ressenti que l’on a dans une première phase du film. Première partie, où l’avocat Agnelet, séduisant et intelligent, est en opposition avec la propriétaire du Palais de la Méditerranée. C’est elle qui est présentée sous son plus mauvais jour. Elle est mauvaise gestionnaire, arrogante, et peu aimante envers sa fille. Des traits de caractère, qui ressortent lors des minutes du procès, où elle manque de faire larmoyer la salle en expliquant que, pour payer les poursuites judiciaires, elle doit faire sa cuisine et son ménage toute seule. L’amour unilatérale qui unit Agnès à Maurice se forge dans cette opposition. Téchiné met en lumière des rapports familiaux abîmés par des intérêts financiers jugés primordiaux pour les deux partis. L’image, malheureuse mais réaliste de ces gens-là, comme dirait Jacques Brel. Quant à Maurice, s’il a un mode de vie dissolu, il énonce clairement le contrat, et Agnès l’accepte. Seulement voilà, par petites touches, nous sont révélés les signes probants d’un esprit manipulateur. Agnelet enregistre toutes ses conversations avec une minutie maladive, et les réécoutent avec un fétichisme non dissimulé. À plusieurs reprises, sa manière d’humilier Agnès en exigeant des excuses, alors qu’il devrait la serrer dans ses bras, met le spectateur particulièrement mal à l’aise. C’est en naviguant dans ces eaux troubles, qui ont donné trois procès en assise, et des retournements de situations retentissants, que Téchiné réussit à donner un portrait nuancé d’une histoire compliquée. Mieux que cela, Téchiné fait émerger en nous des sentiments universels. Qui ne remuerait pas ciel et terre, à l’image de Renée Le Roux, et selon les mots de Stig Dagerman, pour que "le bourreau et la malheureuse ne jouissent pas de la même mort". Le plus dur à supporter est finalement, la détresse d’une mère qui ne pourra pas offrir de sépulture à sa fille.

    Aux yeux de la justice, Agnelet a été reconnu coupable, mais il continue de clamer son innocence. Guillaume Canet, qui a entretenu une correspondance avec lui, pour les besoins du film, parle d’un homme d’apparence manipulatrice. Au-delà du meurtre, le silence d’Agnelet empêche les proches d’Agnès de faire leur deuil. Agnès Le Roux est morte d’aimer, par excès de confiance, et l’absence de corps la prive des honneurs que l’on doit à tout les amants malheureux. Téchiné en a fait une icône tragique, remarquablement interprétée par la solaire et saisissante Adèle Haenel. À l’inverse de 24 jours, Téchiné ne fait pas son beurre d’un fait divers récent, en versant dans le voyeurisme crasse et les stéréotypes. Nous vous conseillons L’homme qu’on aimait trop qui s ‘éloigne du biopic mélodramatique pour offrir une véritable tragédie grecque.

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    Nicolas J
    Nicolas J

    117 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    Je viens de sortir de ce film que je conseille à tous nos amis cinéphiles. Ce film est inspirée d'une histoire vraie d'amour et d'escroquerie. Deneuve et Guillaume jouent très bien leurs rôles.
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