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Hastur64
222 abonnés
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2,0
Publiée le 20 septembre 2017
Pour être honnête (je pense comme beaucoup de ceux qui ont vu ce film) je n’en avais jamais entendu parler avant de tomber dessus par hasard et de voir que l’acteur principal était Sam Worthington, acteur que j’apprécie et donc seule raison du visionnage de ce film. Si on pousse l’honnêteté jusqu’au bout, il en constitue également la seule qualité… Pour le reste le film n’est pas vraiment un chef-d’œuvre ! L’intrigue est assez commune : une jeune fille sous menace d’un contrat pour la tuer, un tueur chargé de la tâche et qui se ravise, enfin une course-poursuite pour échapper ensemble au commanditaire qui entend bien que l’exécution ait lieu. Seule petite originalité dans cet océan de banal : un road-trip entre la Suisse et l’Angleterre via la France. Alors, cela se suit sans ennui, mais sans enthousiasme non plus et si au contraire de moi on n’est pas fan de Worthington, l’ensemble vous paraîtra même assez fade. Un petit film d’action sorti directement en DVD et qui dans une qualité téléfimique permet de tuer une heure trente, mais sans plus. Pas foncièrement désagréable, mais d’une platitude achevée.
Un film qui n'a rien d'extraordinaire car l'idée est très classique et n'a rien d'original . Une histoire avec des rebondissements et quelques surprises où l'on comprend ce qu'il y a à comprendre avant la fin . Il n'y a pas d'incohérence et c'est dans une logique. Un scénario efficace . Sam Worthington est très bon comme le reste du casting . Un film permettant de passer un bon moment .
22, revoilà Mostow ! En effet, huit ans après Clones, le réalisateur de Terminator 3 revient par la petite porte avec un DTV d'action porté par un Sam Worthington totalement inexpressif. Il y a d'ailleurs un peu de Terminator chez ce tueur à gages et un peu de Sarah ou John Connor chez cette jeune fille qu'il est censé protéger. Et cet homme aux abois, qui ne peut faire confiance à personne, pas même à une agent de la CIA, fait penser au héros de Breakdown, son premier film sorti en 1997, incarné par Kurt Russell. Heureusement, il est bien plus doué que le pauvre Jeff Taylor. On sait qu'il a été en mission à Falloujah. Partant de ce principe, c'est vrai qu'on peut tout expliquer. Comme la facilité qu'à le bonhomme de se servir de ses poings et de son pistolet. Pour comprendre les angoisses d'une adolescente de seize ans, en revanche, c'est autre chose. Et Worthington paraît curieusement à l'ouest. Il passe son temps à se shooter, certes, ce qui pourrait expliquer son air absent. Mais j'ai l'impression que, même sans drogue, il n'a que peu d'intérêt pour ce qu'il joue. Comme s'il avait la tête ailleurs. Vers les suites d'Avatar du père Cameron autrement plus intéressantes que ce petit polar tourné sous le ciel gris de la campagne anglaise. Et c'est pas avec ça que Mostow va se refaire une santé malheureusement. Mieux vaut retourner se mater U-571.
Pas grand chose à dire ici, histoire basique sur fond de blanchiment d'argent, trahison et tueurs à gages, le film se laisse regarder grâce à la prestation de Sam Worthington en tueur cherche à se repentir et la trés jolie Odeya Rush en cible que le premier cherche à protéger. Le scénario est fumeux et le charisme du méchant (digne d'une boite de thon sechant au soleil) et ses motivations d'enfant gaté sont assez risibles spoiler: ( il veut faire tuer la fille avant les parents pour que ceux ci souffrent, mais une fois que les parents morts pourquoi vouloir s'enteter à tuer la fille? aprés, on comprend qu'elle possede l'argent détourné, mais le bad guy ne la savait pas avant...bref du tiré par les cheveux).
Donc un film qui vous occupera un dimanche aprés midi pluvieux, pas plus.
le réalisateur de spoiler: Clones, hancock et autres films plutôt bien construits semble ici nous avoir fait un petit patchwork mal ajusté dans lequel même spoiler: S. Worthington semble se diluer. Petit polar à la saveur fade d'un mauvais téléfilm qui n'est pas sauvé par les quelques scènes d'action semblant redonner de l'intérêt. Les personnages sont des caricatures sans grand relief à l'image du méchant stéréotypé à l'extrême au charisme de courgette. Reste donc une sensation un peu frustrante
dès le départ, un thriller plutôt prometteur. l'intrigue alterne des combats et courses poursuites haletantes mais aussi invraisemblances, aspects flous dans le scénario et moments plus creux. 1h30 calibrées qui ne laisseront pas un souvenir impérissable!
« The Hunter’s Prayer » est un film d’action qui se situe tout juste au-dessus de la moyenne. On peut envisager de le regarder lorsque l’on a 90 minutes à occuper un jour de mauvais temps. Le métrage se laisse regarder, mais finalement l’histoire n’est guère intéressante et tout est beaucoup trop prévisible. L’absence de rebondissement et de personnage réellement marquant font fortement chuter la note générale du film. La distribution offre des prestations honorables, mais sans plus. Les scènes d’actions sont propres et réalistes. Reste donc un film qu’on regarde et qu’on oublie aussitôt…
Un assassin sous l'influence de la drogue, lui permettant ainsi de mener à bien ses missions, est soudainement pris de remords ou d'affection pour une ado et s'oppose à sa mission, la tuer. Leur fuite nous transporte en Europe, de la Suisse à l'Angleterre. Sam Worthington rejoint et subventionne au passage Jonathan Mostow qui, après quelques échecs à gros budget, décident l'un comme l'autre de s'engager dans un projet plus intimiste. L'histoire de rédemption du tueur et d'affection pour la cible on connais tous très bien, alors passons le spitch et qu'en est-il du reste ? Et bien, il ne s'y passe rien. Deux scènes de fusillade et une bonne dose de temps perdu. Cette prière du chasseur est une longue messe déjà diffusée et qu'on aurait même déjà conservé sur bande magnétique... Alors pourquoi se lever ce dimanche? Entre deux énormes productions, que l'acteur choisisse de se glisser dans un rôle conventionnel par l'adaptation d'une mince nouvelle, Cela se comprend. Mais on préfèrerait voir Mostow au commande d'un projet moins mineur, car même si Clones ou T3 restent inaboutis côté histoire, il reste un faiseur S.F intéressant.
En général quand on voit pas le réalisateur de ..., vous pouvez être certain que c'est un navet, ce film ne déroge pas à la règle , malgré un bon début , cela se termine par une course poursuite sans aucun suspens, ni émotion , un dtv à oublier
Jonathan Mostow signe là un revenge movie des plus classiques, sans grand talent et sans conviction. La qualité de jeu des acteurs ne parvient que très difficilement à sauver ce film du naufrage où le plonge la platitude du scénario, et les nombreuses erreurs de script (un manque de rigueur à peine croyable). Que vient faire l'excellent Sam Worthington et la prometteuse Odeya Rush dans cette galère? Et surtout, quand est-ce que Jonathan Mostow retrouvera-t-il le talent auquel il nous avait habitué dès le début de sa carrière? Un film qui sera aussi vite oublié qu'il a été tourné. Je serais curieux de connaître l'avis de Kevin Wignall sur l'adaptation (manifestement raté) de son roman.... Finalement, le plus réussi dans ce film, c'est l'affiche.
Huit ans après "Clones", Jonathan Mostow revient avec un film qui manque d'originalité et qui fait surtout penser à un simple DTV. Ce n'est pas la même histoire et les mêmes enjeux, mais le film m'a fait penser à "Term Life" avec ce duo composé d'un homme et d'une adolescente qui est poursuivi par des tueurs et d'ailleurs à la base, c'était Hailee Steinfeld qui devait incarner Ella. "Hunter's Prayer" est un film sympathique qui se laisse suivre sans problème grâce à un rythme soutenu et quelques scènes d'action seulement l'histoire n'est pas très intéressante et surtout trop prévisible. Que ça soit pour la fuite ou la "vengeance", on ne peut pas dire qu'ils galèrent vraiment, c'est beaucoup trop linéaire, ça manque vraiment de rebondissements. Je ne connais pas le roman de Kevin Wignall, mais je doute qu'il soit aussi léger que ne l'est le scénario de ce film... En gros, un film divertissant sur le moment, mais qui sera vite oublié...