Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Josué Morel
(...) la vitalité comique du film tient au goût prononcé de Bujalski pour les ruptures de ton (...)
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le trop-plein (visuel, comique et spéculatif) sculpte un film profondément disloqué, plus humain et incertain qu’il n’y paraît.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Bujalski évoque donc aussi notre présent, où le virtuel et ses outils font écran au monde sensible. D’où la beauté de cette comédie slow burn et fétichiste qui explore les failles d’un rituel mécanique et fonctionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Un hybride de conte philosophique et de farce très douce, ancré au temps des origines de cette fascination pour un appareillage électronique qui se sera insidieusement substitué depuis à nos plus intimes terminaisons nerveuses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Louis Séguin
"Computer Chess" loin de n'être qu'un objet vintage capitalisant sur le "geek chic" actuel, tient donc sa beauté de cette indétermination esthétique dans laquelle il flotte: à l'image des plus grandes inventions, on ne sait jamais vraiment ce que c'est.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un spécimen radical qui risque d'en déconcerter plus d'un.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Andrew Bujalski a choisi de tourner avec une "vieille" Sony des années 70 en noir et blanc pour mieux témoigner de ces balbutiements. L’image n’est pas très nette, le son idoine, les ordinateurs aussi, comme les costards : tout est raccord. Bienvenue dans les années 80 !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
D'un récit aux multiples implications, Andrew Bujalski bascule dans un pensum chichiteux, parfois à la limite de l'antipathie. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le résultat devient ainsi une sorte de film-médium dont les étranges dialogues se mettent à évoquer (rétrospectivement ? Par avance ? On ne sait plus) la naissance des réseaux sociaux ou la possibilité de calculateurs réfléchissant par eux-mêmes, jusqu'à un ultime plan pour le moins inattendu.
Première
par Hendy Bicaise
Voilà un sujet capable de refroidir le plus aventureux des cinéphiles. Heureusement, Andrew Bujalski s'intéresse plus à la chaleur humaine qu'à celle produite par les ordinateurs. [...] Il interroge subtilement la pérennité des sentiments dans un monde de plus en plus virtuel.
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec moins de condescendence que de tendresse, le chantre du mumblecore s'amuse du malaise de ses personnages dépassés, assume le mauvais goût et la laideur des années 80 et raconte sur un mode minimal, avec un humour ésotérique, comment la machine nous a bouffés.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Il est possible — merci de faire suivre vos propres interprétations — que le film raconte justement ceci, le grand basculement, la mutation de la civilisation par l'apparition de l'intelligence artificielle, l'imminence au mieux de la « petite poucette », comme dirait Michel Serres, au pis de la solitude numérique. Marrant ou glaçant ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Faux documentaire sur la création des logiciels de jeu d’échecs, Computer chess bénéficie d’une crédible reconstitution du début des années 80, tout en explorant des territoires narratifs originaux. Mais tout ceci ne reste qu’à l’état de pistes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Positif
par Adrien Gombeaud
Bujalski nous livre un petit objet vintage et snob, volontairement laid et sans doute accidentellement ennuyeux et sentencieux. (...) nous pouvons désormais tout à fait vous conseiller d'éviter ce film.
Critikat.com
(...) la vitalité comique du film tient au goût prononcé de Bujalski pour les ruptures de ton (...)
Cahiers du Cinéma
Le trop-plein (visuel, comique et spéculatif) sculpte un film profondément disloqué, plus humain et incertain qu’il n’y paraît.
Les Inrockuptibles
Bujalski évoque donc aussi notre présent, où le virtuel et ses outils font écran au monde sensible. D’où la beauté de cette comédie slow burn et fétichiste qui explore les failles d’un rituel mécanique et fonctionnel.
Libération
Un hybride de conte philosophique et de farce très douce, ancré au temps des origines de cette fascination pour un appareillage électronique qui se sera insidieusement substitué depuis à nos plus intimes terminaisons nerveuses.
Transfuge
"Computer Chess" loin de n'être qu'un objet vintage capitalisant sur le "geek chic" actuel, tient donc sa beauté de cette indétermination esthétique dans laquelle il flotte: à l'image des plus grandes inventions, on ne sait jamais vraiment ce que c'est.
CinemaTeaser
Un spécimen radical qui risque d'en déconcerter plus d'un.
Franceinfo Culture
Andrew Bujalski a choisi de tourner avec une "vieille" Sony des années 70 en noir et blanc pour mieux témoigner de ces balbutiements. L’image n’est pas très nette, le son idoine, les ordinateurs aussi, comme les costards : tout est raccord. Bienvenue dans les années 80 !
Les Fiches du Cinéma
D'un récit aux multiples implications, Andrew Bujalski bascule dans un pensum chichiteux, parfois à la limite de l'antipathie. Dommage.
Mad Movies
Le résultat devient ainsi une sorte de film-médium dont les étranges dialogues se mettent à évoquer (rétrospectivement ? Par avance ? On ne sait plus) la naissance des réseaux sociaux ou la possibilité de calculateurs réfléchissant par eux-mêmes, jusqu'à un ultime plan pour le moins inattendu.
Première
Voilà un sujet capable de refroidir le plus aventureux des cinéphiles. Heureusement, Andrew Bujalski s'intéresse plus à la chaleur humaine qu'à celle produite par les ordinateurs. [...] Il interroge subtilement la pérennité des sentiments dans un monde de plus en plus virtuel.
TF1 News
Avec moins de condescendence que de tendresse, le chantre du mumblecore s'amuse du malaise de ses personnages dépassés, assume le mauvais goût et la laideur des années 80 et raconte sur un mode minimal, avec un humour ésotérique, comment la machine nous a bouffés.
Télérama
Il est possible — merci de faire suivre vos propres interprétations — que le film raconte justement ceci, le grand basculement, la mutation de la civilisation par l'apparition de l'intelligence artificielle, l'imminence au mieux de la « petite poucette », comme dirait Michel Serres, au pis de la solitude numérique. Marrant ou glaçant ?
aVoir-aLire.com
Faux documentaire sur la création des logiciels de jeu d’échecs, Computer chess bénéficie d’une crédible reconstitution du début des années 80, tout en explorant des territoires narratifs originaux. Mais tout ceci ne reste qu’à l’état de pistes.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Positif
Bujalski nous livre un petit objet vintage et snob, volontairement laid et sans doute accidentellement ennuyeux et sentencieux. (...) nous pouvons désormais tout à fait vous conseiller d'éviter ce film.