Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinopsis.com
par Larissa Delcourt
De belles images à consommer de préférence avant le 31 décembre à 23 heures. Un film d'une nouvelle ère: il est livré avec date de péremption...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Cplanet.com
par Jean-Christophe Derrien
La Fin des Temps est un film apocalyptique, pas complètement catastrophique, mais qui, à chaque minute de sa vision, nous fait regretter le bijou qu'il aurait pu être… Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Mise en scène époustouflante de Peter Hyams, mais scénario affligeant qui n'ajoute rien de nouveau à la sempiternelle lutte entre le bien et le mal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Eric Leguèbe
La bonne volonté d'Arnold Schwarzenegger ne suffit pas à donner une véritable consistance à son personnage de Jericho. Gabriel Byrne ne fait pas très « infernal ». Certaines séquences diaboliques portent plus au rire qu'à la peur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Yannick Dahan
Le hic provient de l'inadéquation totale entre une mise en scène qui n'hésite pas à plagier les effets de style de Seven et un scénario qui se voufrait glauque et alarmiste, tout en ne choquant jamais le pulic familial.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christian Jauberty
Les personnages secondaires (...) sont plus gâtés par le casting que par un scénario assez maladroit qui laisse parfois deviner, dès le départ, comment une scène se terminera.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Elyzabeth François
Modèle au patron douteux et aux coutures bien trop voyantes, La Fin des temps n'a pas l'élégance de créer un second degré à partir de ses références et s'applique laborieusement à coller des éléments disparates.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Yves Le Corre
Ça y est ! On la tient ! Plus de doute possible ! La dernière perle du millénaire, c'est celle là ! Van Damme n'aura pas le temps, Christophe Lambert ce sera pour l'année prochaine. Le dernier nanar du siècle c'est Schwarzy qui l'a fait (...) !
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Un scénario filiforme faisant avancer l'action à coup de calembours, un découpage trop appuyé, une interprétation calamiteuse, des scènes d'action mal réglées, une musique assourdissante, font de La Fin des temps un film plutôt navrant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Lenouveaucinema.com
par Olivier Bonnard
Problème : le cachet versé à Arnold Schwarzenegger (près de 15 millions de dollars) a sans doute empêché qu'on embauche un scénariste.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Libération
par Bayon
Script pesant son quintal, rebondissements s'écrasant comme des Scud irakiens au décollage. Le fil conducteur en filigrane (l'ours et la poupée) est un câble de téléphérique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par David Mikanowski
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
Bloc d'incrédulité, Schwarzy traverse sans sourciller le champ de mines d'un scénario qu'on dirait écrit pour Ferrara et piraté par les Monty Python - grands moments de comique involontaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinopsis.com
De belles images à consommer de préférence avant le 31 décembre à 23 heures. Un film d'une nouvelle ère: il est livré avec date de péremption...
Cplanet.com
La Fin des Temps est un film apocalyptique, pas complètement catastrophique, mais qui, à chaque minute de sa vision, nous fait regretter le bijou qu'il aurait pu être… Frustrant.
Le Figaroscope
Mise en scène époustouflante de Peter Hyams, mais scénario affligeant qui n'ajoute rien de nouveau à la sempiternelle lutte entre le bien et le mal.
Le Parisien
La bonne volonté d'Arnold Schwarzenegger ne suffit pas à donner une véritable consistance à son personnage de Jericho. Gabriel Byrne ne fait pas très « infernal ». Certaines séquences diaboliques portent plus au rire qu'à la peur.
Positif
Le hic provient de l'inadéquation totale entre une mise en scène qui n'hésite pas à plagier les effets de style de Seven et un scénario qui se voufrait glauque et alarmiste, tout en ne choquant jamais le pulic familial.
Première
Les personnages secondaires (...) sont plus gâtés par le casting que par un scénario assez maladroit qui laisse parfois deviner, dès le départ, comment une scène se terminera.
Chronic'art.com
Modèle au patron douteux et aux coutures bien trop voyantes, La Fin des temps n'a pas l'élégance de créer un second degré à partir de ses références et s'applique laborieusement à coller des éléments disparates.
Fluctuat.net
Ça y est ! On la tient ! Plus de doute possible ! La dernière perle du millénaire, c'est celle là ! Van Damme n'aura pas le temps, Christophe Lambert ce sera pour l'année prochaine. Le dernier nanar du siècle c'est Schwarzy qui l'a fait (...) !
Le Monde
Un scénario filiforme faisant avancer l'action à coup de calembours, un découpage trop appuyé, une interprétation calamiteuse, des scènes d'action mal réglées, une musique assourdissante, font de La Fin des temps un film plutôt navrant.
Lenouveaucinema.com
Problème : le cachet versé à Arnold Schwarzenegger (près de 15 millions de dollars) a sans doute empêché qu'on embauche un scénariste.
Libération
Script pesant son quintal, rebondissements s'écrasant comme des Scud irakiens au décollage. Le fil conducteur en filigrane (l'ours et la poupée) est un câble de téléphérique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Bloc d'incrédulité, Schwarzy traverse sans sourciller le champ de mines d'un scénario qu'on dirait écrit pour Ferrara et piraté par les Monty Python - grands moments de comique involontaire.