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Xav S
2 abonnés
1 critique
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0,5
Publiée le 21 janvier 2014
De tres belles images,beau cadre et beau dé action un film plat sans surprise, des acteurs qui ne montrent aucune émotions ,très décevant. Le pire film que j ai vu ces 10 dernières années .
Une étoile et demi pour les belles images de montagne et de ville de Genève. Autrement ? C'est plat, peu cohérent, et sans doute parrainé par un producteur de cigarette!
Un film vraiment original, assez "envoûtant", avec une bonne touche d'humour noire à la "larrieu", j'ai adoré et me suis vraiment laissée embarquer. Les décors et la musique sont sublimes, les acteurs (actrices) n'ont vraiment peur de rien (karin viard, sara forestier vraiment démentes) même si les dialogues, assez "théâtraux", peuvent désarçonner quelques spectateurs.
Thriller porté par 4 figures du cinéma français. On ne s'y ennuie pas un instant, portés par la voix de Matthieu Almaric et ces paysages enneigés. A voir !!
L'affiche est alléchante, malheureusement le film ne m'a pas emballé. Les acteurs sont excellent, mais parlent comme des livres. On se perd dans une suite de scène qui ne s’enchaînent pas vraiment. La musique est quasi inexistante, un vrai ennuie c'est installé rapidement. Une vrai déception. Dommage.
Mais quelle nullité... Mais comment Karine Viard a-t-elle pu se perdre dans un navet pareil ?? Il n'y a pas ou peu de scénario, une histoire glauque d'inceste entre frère et soeur qui n'apporte rien à l'histoire, des longueurs mais des longueurs.... des étudiantes hystériques... nous n'aurons jamais compris pourquoi.... Impossible que ce soit grâce au talent du pseudo intello professeur de littérature, un pauvre chien loup égaré qui débarque de temps en temps à l'écran, on s'ennuie mais on s'ennuie...en attendant qu'il se passe desespérement quelque chose... En fait, j'aurai du faire une sieste à la place !
Des frères Larrieu, j'avoue ne pas attendre de miracles ! Une fois de plus, je n'en ai pas trouvé même si "L'amour est un crime parfait" a parfois des passages de grande qualité. Malheureusement, on ne croit pas une minute à cette histoire qui, de bizarre au début, devient de plus en plus abracadabrantesque. Quant au jeu des comédien.ne.s, à l'exception de Sara Forestier, on les a connus meilleur.e.s.
Marc est un sex toy sur patte. Professeur de littérature dans une université à l'architecture aussi belle et grandiose que le paysage de montagne qui l'entoure, chaque étudiante se pâme littéralement de plaisir devant lui et l'aguiche jusqu'à obtention d'une saillie. Marc , c'est Mathieu Amalric, aux airs de jeune communiant naîf, la voix grave et sentencieuse, le sex appeal bien camouflé (mais je ne suis pas femelle pour juger ), obligé de proférer avec sérieux tout un tas de phrases alambiquées (ce doit être ce verbiage qui fait frissonner les ovaires des jeunes filles). D'ailleurs, Emma ? , Eva ? Barbara ? est heureuse et toute émoustillée, elle va pouvoir jouir du corps de Marc dans son chalet. Le grand soir est arrivé pour elle, la nuit sera chaude, d'ailleurs, elle se tortille déjà toute nue sur le lit de Marc qui n'en croit pas ses yeux mais retire tout de même son boxer.. Quelques jours plus tard, on apprend que Barbara a disparu. Sa jeune belle-mère ( à l'écran Maïwenn) qui se fait un sang d'encre, recherche des témoignages pour la retrouver. Elle rencontre Marc dont le parfum d'étalon lui fait instantanément jouer du cheveu, gonfler les lèvres et onduler de la croupe. L'étreinte torride est annoncée mais la soeur de Marc (Karin Viard) avec laquelle il partage le chalet ne voit pas cela d'un bon oeil. Ce n'est pas pour des prunes qu'elle cultive son allure de vamp. Pas question que sa relation incestueuse soit ternie par cette grande bringue à la tignasse savamment décoiffée ! Jouant la jalousie, elle va draguer le chef de Marc qui trouve l'aubaine trop belle pour résister. Alors qu'entre la grande tige (plus intéressée par les étreintes que par la disparition de sa belle fille) et le mâle irrésistible, on a retiré le dernier vêtement, Annie, autre étudiante dévergondée, se vautre sensuellement sur les tables de cours ou contre tous les piliers de la fac dès qu'apparaît Marc (qui, s'il continue risque d'être à bout de ressources). Elle non plus ne peut résister à cet homme qui exhale le sexe. En plus d'être plus que disponible, elle possède un atout majeur : son père est un mafieux. Alors faut faire gaffe si on ne donne pas satisfaction à la donzelle... Non ce n'est pas un film érotique,c'est un polar que nous proposent les frères Larrieu. On dit qu'ils ont voulu décaler le genre, le passer à la moulinette de leur génie... Pourquoi pas ? Je ne suis pas sûr que ce soit bien réussi car de l'intrigue de polar, ils ne s'en sont souvenus que dans la dernière partie du film pour balancer vite fait, bien fait, deux trois rebondissements et un semblant d'intrigue policière, regrettant visiblement le marivaudage sexuel auquel ils semblent plus s'intéresser, mais ne parvenant pas pour autant à raviver l'intérêt du spectateur. La fin sur le blog
L'intérêt N°1 du dernier film des frères Larrieu, ce sont les décors.
Les architectures sont non seulement magnifiques, mais de plus admirablement filmées. L'occasion est donc idéale de découvrir le fameux Rolex Learning Center, conçu par le cabinet d'architecte SANAA, qui est d'une beauté stupéfiante. Le chalet des deux personnages principaux est également sublime, dans un style plus traditionnel. Dans le genre moderne, la villa où se passe le barbecue nordique (un grand moment du film) est somptueuse également. L'appartement du père d'Annie et... la suite ici :
LA mise en scène est certes, plutôt raffiné ou ce polar au air érotico-littéraire ; aurait pu amplement ce démarquer. Mais malheureusement cela en fait un peu trop. Trop de moment, rendant l'intrigue un peu trop fouillis... Même si l'intigue aussi perverse qu'astucieuse aurait pu donner un thriller de renom. Il n'en ait malheureusement pas le cas. C'est confus, fouillis, et décalé ; mais décalé mais pas dans le bon sens. LE film souffre de lenteur, pour ne laisser apparaitre les motivations des personnages que petit à petit... Et cela arrive bien trop tard. Il y avait pourtant matière à faire. Une sorte de mélange entre comédie noire et "polar". Le mélange est plutôt pas mis en scène assez habillement. Un peu comme si l'ensemble, était à chaque fois ; un peu de trop (tant au niveau des blagues parfois surréalistes qu'au niveau de certains jeu d'acteur). Donc oui, si l'on cherche un thriller tortueux, sophistiqué, et mélangeant certains styles. Certains apprécieront certainement. MAis pour le coup, c'est beaucoup trop d'un coup. Surtout pour un film qui n'est qu'un remake d'un film ayant des décennies. On a donc du mal à distinguer ce qui va se relever de la vérité mais en même temps ce qui va se relever de la mystification (la faute sans doute à une mise en scène et à une volonté du réalisateur de trop vouloir en mettre). On se perd plus, que l'on est happé par l'histoire. Pourtant faisant référence et digne d'un Hitchcock. On en est malheureusement assez loin et c'est là que le film va dévoiler toute ses fautes de réalisations. Après si l'on cherche quelques choses d'enigmatique, diabolique ou encore d'une grande beauté. Ce film est pour vous. Mais il ne faut pas aller chercher trop loin. On ne peut considérer ce film comme un simple thriller. Un thriller amoureux, admettons. Mais qui s'aura décevoir et fasciner par moment car tout n'est quand même pas à jeter. Même si une construction plus constante et propre aurait peut être rendu le film un peu plus clair et pourquoi pas ; plus clair. BRef, le réal n'aurait surement pas du se lancer dans ce type de réalisation (pour le genre) ou l'on voit qu'il maitrise difficilement les codes qui fonctionnent. Sa se laisse regarder, mais sans en garder un souvenir impérissable. Une fois à la limite.
L'amour est un crime parfait est un thriller mais pas un thriller traditionnel. Les personnages de ce film sont troubles. Une enquête est ouverte suite à la disparition d'une jeune étudiante à l'université ou enseigne Marc. Marc est un enseignant pervers qui entretient une relation ambigue avec sa soeur. Relation qui retient notre attention. L'action se passe dans les Alpes suisses, un beau paysage blanc et froid, tout comme l'université de Lausanne ou se déroule quelques scènes. Il n'y a pas vraiment d'actions dans ce polar. Ca manque un peu de rythme. L'attention est sur les personnages, leurs névroses et leurs univers troubles, feutrés. Leurs relations ambigües sont troublantes, les pulsions sexuelles, l'attirance incestueuse entre le frère et la soeur.... Tout ceci fait ressortir une violence sourde.
C'est un sans faute pour le casting. Mathieu Amalric est inquiétant à souhait, et parfait. L'excellente Karin Viard joue la soeur. Maïwen est l'histoire d'amour inattendue et vouée à l'échec. Et la rafraîchissante Sara Forestier vient mettre un peu de piquant. Denis Podalydès en universitaire raté est toujours aussi convaincant.
On passe un bon moment devant ce polar noir inhabituel. Ambigu. Les décors sont splendides.