Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
Berry décrypte cette banalité du mal, cette tragédie de l'ignorance et sa cohorte de préjugés racistes avec une limpidité implacable. D'une sobriété glaçante, son film en dit long sur la dérive de notre société.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Richard Berry filme très bien, au plus près de ses personnages, car ce sont eux qui l'intéressent. C'est à travers eux qu'il expose sa thèse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Richard Berry retrace sans pathos, avec une sécheresse forte, l’itinéraire de l’innommable.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
En plongeant au coeur du "gang des barbares", (Richard Berry) dissèque la banalité du mal en pointant le racisme, la lâcheté et l'incommensurable bêtise des auteurs de ce crime antisémite. Et signe son meilleur film.
Critikat.com
par Nicolas Journet
En recherchant à tendre vers l’objectivité, en se refusant de choisir un camp ou de sombrer dans le sensationnalisme (les scènes les plus dures de torture sont hors-champ), le film décrit de manière crédible l’engrenage qui se met en place jusqu’au dénouement tragique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Retour sur le gang des barbares, en mode (parfois trop) coup de poing. Cela écrit, il comporte quand même des séquences fortes - celles sans musique, ni effet.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À la bonne distance, Berry tisse un thriller efficace où, malgré le dénouement hélas connu, on se prend à espérer le geste d’un des comparses pour la libération d’Ilan.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(Richard Berry) respecte la chronologie des faits en parvenant à un tour de force : ne pas déraper dans la complaisance ou le voyeurisme malgré les atrocités et la souffrance qu’il décrit.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le dossier est complet et plutôt bien interprété, mais le film ne va pas plus loin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Berry montre, avec la bonne distance, comment le plan antisémite de Fofana bascule dans l'horreur la plus abjecte et de quelle façon ses complices se retrouvent dépassés. Le film se contente de relater les faits, son absence de point de vue constitue la limite.
Télérama
par Samuel Douhaire
Résultat : moins de pathos, plus de rigueur dans la réalisation, et moins de complaisance dans la représentation de la violence du « gang des barbares ». Ce qui n'empêche pas le film d'être particulièrement éprouvant..
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
En revenant sur la tragique affaire Ilan Halimi, Richard Berry radioscopie tout un pan de la France actuelle où la bêtise crasse côtoie une monstruosité ordinaire. Un récit détaché et oppressant mais ô combien nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Construit comme un banal épisode de "Faites entrer l’accusé" (avec moins de psychologie criminelle et plus d’indignation), le film enfile les témoignages comme des perles, réduisant le fait divers à une suite d’anecdotes infectes. En résulte un gros bidule souffreteux, insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
Berry décrypte cette banalité du mal, cette tragédie de l'ignorance et sa cohorte de préjugés racistes avec une limpidité implacable. D'une sobriété glaçante, son film en dit long sur la dérive de notre société.
Franceinfo Culture
Richard Berry filme très bien, au plus près de ses personnages, car ce sont eux qui l'intéressent. C'est à travers eux qu'il expose sa thèse.
Le Dauphiné Libéré
Richard Berry retrace sans pathos, avec une sécheresse forte, l’itinéraire de l’innommable.
Télé 7 Jours
En plongeant au coeur du "gang des barbares", (Richard Berry) dissèque la banalité du mal en pointant le racisme, la lâcheté et l'incommensurable bêtise des auteurs de ce crime antisémite. Et signe son meilleur film.
Critikat.com
En recherchant à tendre vers l’objectivité, en se refusant de choisir un camp ou de sombrer dans le sensationnalisme (les scènes les plus dures de torture sont hors-champ), le film décrit de manière crédible l’engrenage qui se met en place jusqu’au dénouement tragique.
L'Express
Retour sur le gang des barbares, en mode (parfois trop) coup de poing. Cela écrit, il comporte quand même des séquences fortes - celles sans musique, ni effet.
La Croix
À la bonne distance, Berry tisse un thriller efficace où, malgré le dénouement hélas connu, on se prend à espérer le geste d’un des comparses pour la libération d’Ilan.
Le Journal du Dimanche
(Richard Berry) respecte la chronologie des faits en parvenant à un tour de force : ne pas déraper dans la complaisance ou le voyeurisme malgré les atrocités et la souffrance qu’il décrit.
Le Monde
Le dossier est complet et plutôt bien interprété, mais le film ne va pas plus loin.
Studio Ciné Live
Berry montre, avec la bonne distance, comment le plan antisémite de Fofana bascule dans l'horreur la plus abjecte et de quelle façon ses complices se retrouvent dépassés. Le film se contente de relater les faits, son absence de point de vue constitue la limite.
Télérama
Résultat : moins de pathos, plus de rigueur dans la réalisation, et moins de complaisance dans la représentation de la violence du « gang des barbares ». Ce qui n'empêche pas le film d'être particulièrement éprouvant..
aVoir-aLire.com
En revenant sur la tragique affaire Ilan Halimi, Richard Berry radioscopie tout un pan de la France actuelle où la bêtise crasse côtoie une monstruosité ordinaire. Un récit détaché et oppressant mais ô combien nécessaire.
L'Obs
Construit comme un banal épisode de "Faites entrer l’accusé" (avec moins de psychologie criminelle et plus d’indignation), le film enfile les témoignages comme des perles, réduisant le fait divers à une suite d’anecdotes infectes. En résulte un gros bidule souffreteux, insoutenable.