Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur offre un rôle magnifique à Monica Bellucci, superbe en réfugiée italienne qui partage la passion d’un laitier que le réalisateur incarne lui-même. (...) Face à Monica Bellucci, il éblouit par son style inimitable tout en fantaisie burlesque et en musiques entraînantes qui ne gomment pourtant pas la violence d’une période troublée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec sa chute bouleversante, On the Milky Road apparaîtra aux romantiques comme l’un des plus beaux films d’amour que l’on ait vu sur les écrans ces derniers mois.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le retour de Kusturica tel qu’en lui-même : échevelé, baroque, mêlant la guerre et le rire, la violence et la beauté, le réel et l’imaginaire, la musique et les lance-flammes. Avec la Bellucci et sa féminité pulpeuse pour faire triompher l’amour et la vie.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Comédie tragique d’une étrange beauté, "On the Milky Road" est l’expression parfaite d’un onirisme génialement désespéré. Critique sociale et religieuse à la musicalité grinçante, cet impitoyable ballet envoie valser son auteur aux bras d’une Monica Bellucci rarement aussi enchanteresse.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Nicola Brarda
À l’arrivée, le cinéaste reste le seul protagoniste et acteur de son film (n’en déplaise à Monica Bellucci) : et en parfait démiurge, il n’initie pas son spectateur à tous ses secrets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur serbe irradie dans ce récit poétique, burlesque et absurde, dont les maladresses et les sorties de route sont compensées par un charme fou et une énergie positive.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Derrières d’épaisses couches de fantaisie extravertie, Emir Kusturica dessine une issue pour son cinéma en rejoignant une forme de pureté du muet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Il arrive ainsi que l’on sature, mais non sans avoir savouré quelques trésors d’imagination et de mise en scène comme cette grande horloge incroyable qui résume le mix de bricolage et de complexité du geste cinématographique de l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le dernier délire inégal de Kusturica, entre magie et absurde.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Emir Kusturica et Monica Bellucci nous embarquent dans une aventure aussi folle que déconcertante, aussi extravagante que poétique. Entre farce loufoque et conte onirique.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Aucune alchimie à l'écran entre ces deux-là. Dommage, parce qu'avec les intrigues et les personnages secondaires, le cinéaste retrouve sa fougue, sa folie et sa passion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Le cinéaste n'a rien perdu de sa puissance poétique et «On the Milky Road» touche parfois au sublime - la scène de l'arbre, la vision du paradis, quand les amants construisent une maison au milieu des roseaux. Mais cela ne suffit pas à chasser l'arrière-goût...
Première
par Christophe Narbonne
Le mauvais goût, des effets spéciaux cheap, des blagues inappropriées (...) alternent avec des idées romanesques folles et des plans d’un lyrisme puissant. Quelque part, on est content de voir que Kustu en a encore sous la pédale, qu’il reste cet éternel idéaliste anar à l’énergie épuisante que personne n’a jamais su (pu) canaliser. On regrette aussi qu’il ne la mette toujours pas (...) au service des personnages, éternels sacrifiés de ses épopées pittoresques.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Tout semble ici si kitsch, fatigué, faux et forcé qu’il semble peu probable que Kusturica nous inflige à nouveau ce genre de mascarade sans révéler, sous le vernis décati de ses atroces visions numériques, l’obscénité idéologique de ce cinéma.
L'Obs
par François Forestier
Interminable trip.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ici, le trop-plein étouffe. Pour rien. Il faut être juste, Kusturica a une qualité: la galanterie. Il est encore plus mauvais que Monica Bellucci. Ça n'était pas gagné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
La rencontre à l’écran de Monica Bellucci et du cinéaste semble plus contingente que réellement désirée, et la fuite amoureuse de leurs personnages délivre une poésie frelatée (les amants s’envolant dans les airs), d’une laideur parfois sordide (la scène où des moutons explosent sur un champ de mines). Mieux vaut passer son chemin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Le récit est confus. L'imagination débordante de Kusturica a tendance à se saborder... L'aventure devient plus lisible, mais aussi plus mièvre, lorsque les tourtereaux, déjà mûrs, s'enfuient à travers des paysages magnifiques. Monica (Bellucci) dans tout ça ? A peine mise en valeur, ou bien de manière convenue, le démiurge Kusturica tirant plutôt la couverture à lui...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le réalisateur offre un rôle magnifique à Monica Bellucci, superbe en réfugiée italienne qui partage la passion d’un laitier que le réalisateur incarne lui-même. (...) Face à Monica Bellucci, il éblouit par son style inimitable tout en fantaisie burlesque et en musiques entraînantes qui ne gomment pourtant pas la violence d’une période troublée.
La Croix
Avec sa chute bouleversante, On the Milky Road apparaîtra aux romantiques comme l’un des plus beaux films d’amour que l’on ait vu sur les écrans ces derniers mois.
Le Dauphiné Libéré
Le retour de Kusturica tel qu’en lui-même : échevelé, baroque, mêlant la guerre et le rire, la violence et la beauté, le réel et l’imaginaire, la musique et les lance-flammes. Avec la Bellucci et sa féminité pulpeuse pour faire triompher l’amour et la vie.
Rolling Stone
Comédie tragique d’une étrange beauté, "On the Milky Road" est l’expression parfaite d’un onirisme génialement désespéré. Critique sociale et religieuse à la musicalité grinçante, cet impitoyable ballet envoie valser son auteur aux bras d’une Monica Bellucci rarement aussi enchanteresse.
Critikat.com
À l’arrivée, le cinéaste reste le seul protagoniste et acteur de son film (n’en déplaise à Monica Bellucci) : et en parfait démiurge, il n’initie pas son spectateur à tous ses secrets.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur serbe irradie dans ce récit poétique, burlesque et absurde, dont les maladresses et les sorties de route sont compensées par un charme fou et une énergie positive.
Les Fiches du Cinéma
Derrières d’épaisses couches de fantaisie extravertie, Emir Kusturica dessine une issue pour son cinéma en rejoignant une forme de pureté du muet.
Les Inrockuptibles
Il arrive ainsi que l’on sature, mais non sans avoir savouré quelques trésors d’imagination et de mise en scène comme cette grande horloge incroyable qui résume le mix de bricolage et de complexité du geste cinématographique de l’auteur.
Studio Ciné Live
Le dernier délire inégal de Kusturica, entre magie et absurde.
Femme Actuelle
Emir Kusturica et Monica Bellucci nous embarquent dans une aventure aussi folle que déconcertante, aussi extravagante que poétique. Entre farce loufoque et conte onirique.
Le Parisien
Aucune alchimie à l'écran entre ces deux-là. Dommage, parce qu'avec les intrigues et les personnages secondaires, le cinéaste retrouve sa fougue, sa folie et sa passion.
Paris Match
Le cinéaste n'a rien perdu de sa puissance poétique et «On the Milky Road» touche parfois au sublime - la scène de l'arbre, la vision du paradis, quand les amants construisent une maison au milieu des roseaux. Mais cela ne suffit pas à chasser l'arrière-goût...
Première
Le mauvais goût, des effets spéciaux cheap, des blagues inappropriées (...) alternent avec des idées romanesques folles et des plans d’un lyrisme puissant. Quelque part, on est content de voir que Kustu en a encore sous la pédale, qu’il reste cet éternel idéaliste anar à l’énergie épuisante que personne n’a jamais su (pu) canaliser. On regrette aussi qu’il ne la mette toujours pas (...) au service des personnages, éternels sacrifiés de ses épopées pittoresques.
Cahiers du Cinéma
Tout semble ici si kitsch, fatigué, faux et forcé qu’il semble peu probable que Kusturica nous inflige à nouveau ce genre de mascarade sans révéler, sous le vernis décati de ses atroces visions numériques, l’obscénité idéologique de ce cinéma.
L'Obs
Interminable trip.
Le Figaro
Ici, le trop-plein étouffe. Pour rien. Il faut être juste, Kusturica a une qualité: la galanterie. Il est encore plus mauvais que Monica Bellucci. Ça n'était pas gagné.
Le Monde
La rencontre à l’écran de Monica Bellucci et du cinéaste semble plus contingente que réellement désirée, et la fuite amoureuse de leurs personnages délivre une poésie frelatée (les amants s’envolant dans les airs), d’une laideur parfois sordide (la scène où des moutons explosent sur un champ de mines). Mieux vaut passer son chemin.
Télérama
Le récit est confus. L'imagination débordante de Kusturica a tendance à se saborder... L'aventure devient plus lisible, mais aussi plus mièvre, lorsque les tourtereaux, déjà mûrs, s'enfuient à travers des paysages magnifiques. Monica (Bellucci) dans tout ça ? A peine mise en valeur, ou bien de manière convenue, le démiurge Kusturica tirant plutôt la couverture à lui...