Avis : Gone Girl - Page 5

Impeccable, tout simplement impeccable. Un thriller haletant, à multiples rebondissements, offrant à la fois une histoire captivante et une réflexion plus large, un modèle du genre.

J'ai regarder ce film deux fois en une seule journee tellement il m'a passionne et seduit. Le livre devait etre excellent et je regrette de ne pas l'avoir vu mais apres avoir vu le film je ne vais pas le lire mais je vais lire les autres livres de l'auteur. Le film est terriblement prenant, j'ai eu une boule dans le ventre j'etait impassiant de connaitre la fin mes nerfs etaient a bout c'etait presque insoutenable une pure reussite que nous delivre david fincher c'est clairement un chef d'oeuvre du style un film qui nous emporte et!nous fait vivre pres de 2 h 30 de suspence d'angoisse et de manipulation parfaitement bien huilee et maitrise dans la realisation l'engrenage est parfait et ce film est un bijoux de cinema a deguster

J'ai beau me triturer les méninges, je ne trouve pas la moindre faille à ce film : que je me penche sur le scénario, la façon dont l'histoire est structurée, celle dont les trois parties s'emboîtent les unes avec les autres et éclaircissent les zones d'ombres au fur et à mesure qu'on avance dans l'enquête, le rythme, l'interprétation des acteurs, la qualité des images, la perfection de la musique et de son usage, etc. tout est parfaitement calibré. Un film qu'il me tarde déjà de revoir !

L'effroyable jeu des apparences médiatiques est démontré dans cet implacable thriller, avec d'excellents interprètes, un scénario remarquable, et toute la maestria du réalisateur David Fincher.

"Gone girl", le nouveau film de David Fincher est un thriller noir maîtrisé de bout en bout. La réalisation est impeccable, la photographie de toute beauté. Le scénario est tordu, complexe, stylé mais très cohérent. L'atmosphère est pesante. Un vrai cauchemar mis sur pellicule! Les acteurs sont impressionnants de justesse. La bande-son est captivante. Non vraiment, je ne vois pas de défaut à ce "Gone girl" qui est sans conteste, LE film de cette rentrée.

En adaptant ce roman, David Fincher s'est emparé d'un script absolument prodigieux dans lequel il a pu faire toute la démonstration de son immense talent.
En effet il signe avec ce film un des meilleurs thrillers de tous les temps qui n'est pas sans rappeler le "Basic Instinct" de Paul Verhoeven, car en terme de scenario manipulateur et pervers on tient là sans doute le must en la matière.
Surtout avec la mise en scène exceptionnelle de David Fincher qui maitrise de bout en bout son emprise sur le spectateur qui ne se doute à aucun moment de l'issue de cette histoire que n'aurait pas renié le maitre du suspense : Mr Hitchcock.
Et le suspense justement est distillé avec une maitrise rarement vu qui multiplie les fausse pistes et les rebondissements.
Ben Affleck est impeccable de sobriété, spoiler: quant à Rosamund Pike elle hérite là d'un rôle de manipulatrice perverse qui fera date,
David Fincher qui n'avait plus grand chose à prouver est sans aucun doute un des meilleurs réalisateurs qui est jamais existé qui sait manipuler son public avec génie.

David Fincher revient une nouvelle fois avec un chef d'oeuvre! Toutes les recettes qui font de lui le maître du suspens sont réunis dans ce thriller, à noter les performances époustouflantes de Ben Affleck et Rosamund Pike! Un film plein de rebondissements et de détails à couper le souffle, n'y aller pas, courez-y!

Ce film est... une merveille. Un véritable plaisir de 1h 30 qui nous emmène là où le réalisateur a souhaité que l'on soit. Ce film est brillamment interprété mêlant suspens, action, retournement de situation... Un véritable thriller, et pas des moindres ! Si après avoir vu Gone Girl, vous désirez voir un deuxième très bon film du genre, je vous conseille "avant d'aller dormir".

Gone Girl : Un des meilleurs films de 2014 du maitre David Fincher un thriller remarquable qui tiens en haleine les 2h30 durant avec une tension maximale; mention spéciale aux acteurs Ben Affleck et Rosamund Pike perverse et machiavélique a souhait !

Une claque monumentale ! Le dernier bébé de Fincher est une véritable bombe. Le film bénéficie d'une histoire prenante, qui nous scotche du début à la fin. Le film se découpe donc en deux parties : d'abord l'enquête sur la mort du personnage d'Amy (Rosamund Pike, impériale), puis les révélations autour de son personnage. Le film doit beaucoup à ses acteurs, particulière Rosamund Pike qui est majestueuse (un Oscar ?). Mais Affleck n'est pas en reste et se révèle excellent dans le rôle du mari suspect. La musique de Trent Raznor est, une fois de plus, sublime et colle parfaitement à l'ambiance malsaine du film. En bref, un grand film. Pour moi, le meilleur que j'ai vu en 2014. Monsieur Fincher, on en redemande.

Il va être difficile de parler de ce film sans spoiler. J'y suis allé sans avoir vu la bande-annonce au préalable et je vous encourage à faire de même (elle supprime déjà une petite surprise). J'étais complètement dedans du début à la fin. Les 2H30 filent à une vitesse folle et en même temps Fincher prend le temps d'instaurer une ambiance froide, une tension qui va crescendo. Le film alterne les scènes où l'on accompagne Ben Affleck qui découvre la disparition de sa femme et les scènes flash-back, narrées par Rosamund Pike, la fameuse "Girl" du titre. Pourtant, le tout s'enchaîne de manière très fluide, on est pas frustré lors du changement de point de vue, les deux étant tout autant intéressants. La partie qui revient sur le passé du couple fait énormément penser à Silent Hill 2 (le jeu pas le film), avec cette ambiance particulière, comme si les répliques des personnages flottaient autour d'eux. La voix sensuelle de Rosamund Pike apporte beaucoup à ces passages et rappelle les personnages de Mary et Maria. La musique est également à l'honneur avec ces sons stridents et saturés qui enrobent le film. Allez écouter "Appearances" et "Clue One" pour vous faire une idée du niveau de la bande-son. Mais la véritable force du film est le fait qu'il arrive à manipuler le spectateur pour qu'il ait de l'empathie pour certains personnages et pas pour d'autres (impossible de rentrer dans les détails sans spoiler), et cela va de paire avec le message du film sur les médias. La fin sort vraiment des sentiers battus et conclut le film d'une manière assez déroutante, même si avec le recul elle est tout à fait adaptée. Fincher n'essaye pas d'atteindre les sommets de Se7en et propose à la place une autre approche du thriller, qui a elle aussi des choses à apporter. Une grande expérience (et en plus Rosamund Pike & Ben Affleck sont nus dans le film, c'est cadeau !)

Je viens de sortir du film, et franchement, je suis épaté! Fincher livre un film intéressant qui montre la puissance de la manipulation. spoiler: à travers le personnage d'Amy, de la presse...
Un film épatant, avec des acteurs géniaux et spoiler: des rebondissement ainsi qu'une fin inattendue.
Il faut vraiment aller le voir!

Gone girl (En français, fille partie), correspond moins au film que le titre du roman Les apparences, que je n'ai pas lu, mais qui doit être très intéressant.
Bon en gros le film aurait mieux fait de s'appeller, Les apparences que fille partie.
Bref on a le deuxième meilleur film du meilleur réalisateur, David Fincher.
Franchement ce sont les plus belles couleurs qu'on ait pu réaliser jusque là, un teint très pâle, désaturé et maitrisé, comme celui-ci.
Après j'ai vu Gothika de Mathieu Kassovitz qui est passé devant, mais bref les couleurs sont magnifiques.
Comme dans tous les Fincher on est au bord de la crise de nerfs et on se sent très mal à la fin de la projection.
C'était déjà insoutenable avec L'étrange histoire de Benjamin Button mais ça a été pire avec Gone girl, qui nous présente la plus grosse psychopathe de l'histoire devant Hannibal Lecter.
Une histoire auto destructrice thème récurrent chez Fincher, que l'on avait déjà vu dans Fight club avec le schizophrène qui prépare de faire sauter des tours
Ou encore dans Seven avec le plus ou moins suicide de John Doe.
C'est une histoire absolument implacable et immorale
On a une intervention nocive des médias, autre thème récurrent chez Fincher, que l'on avait déjà vu dans The social network où l'on découvrait le parcours de Marc Zuckerberg jeune quand il créerait Facebook.
Ou encore dans Fight club avec le meurtrier qui se fait passer pour un journaliste et en profite pour tuer toute la famille du policier.
On a un dénouement traumatisant, superbe technique pour rendre le film plaisant que Fincher utilise en permanence, notamment dans Seven avec la scène de la boîte, dans The game avec la découverte de la vérité ou encore avec L'étrange histoire de Benjamin Button avec ces derniers plans qui font chialer quand Benjamin meurt.
Je ne vais pas spolier mais franchement si au stade des 2 heures de film, on m'avait dit que le plan d'ouverture allait en fait être la fin du film, je crois que j'aurais pété un câble et je n'aurais pas compris comment ça aurait pu être possible.
Bref ce dénouement est inattendu et angoisse profondément.
On a une scène de prise de sang, chose que l'on voit souvent chez Fincher, une fois de plus, notamment dans Alien 3, ou Panic room avec l'horrible piqure.
Cette prise de sang perturbera des années après, encore tous les phobiques de cette opération médicale, je peux vous le dire. Je le déconseille aux moins de 16 ans.
Et on a des meurtres, chose omniprésente chez Fincher, mais je ne vais pas dire de qui. 5/5

Bien qu’il s’est essayé à différents genres tels que la science-fiction (Alien 3), le drame fantastique (L’étrange histoire de Benjamin Button) et le biopic (The Social Network), David Fincher a toujours eu le thriller comme genre de prédilection (Se7en, Fight Club, The Game, Panic Room, Zodiac, Millénium – Les hommes qui n’aimaient pas les femmes). Et c’est toujours dans ce domaine que le réalisateur nous revient, après un passage remarqué à la télévision (la série House of Cards) et un long projet qui n’a pas abouti (une nouvelle version de 20 000 Lieues sous les Mers), avec Gone Girl, attendu au tournant et annoncé comme l’un des meilleurs films de cette année 2014 (il n’y a qu’à voir la filmographie de Fincher pour en espérant tant !). Avions-nous eu raison de patienter autant ?

Quand on fait une critique, il est préférable de ne jamais spoiler le film, au risque de révéler certains éléments importants du film qui, pourtant, peuvent servir d’arguments solides. Avec Gone Girl, cela va être d’une complexité extrême ! En effet, le nouveau Fincher fait partie de ces films qu’il est formellement interdit gâcher le suspense sous peine, déjà, de se faire lyncher par l’assistance, mais aussi de pourrir le plaisir du spectateur. Car si vous connaissez le cinéma de Fincher, vous savez alors que le bonhomme sait y faire avec les thrillers au scénario tordu et travaillé au possible, ce dernier réservant tout un lot de moments inattendus. De rebondissements menés tambours battant jusqu’à, pou certains (Se7en, Fight Club, The Game) un twist final d’une ampleur démesurée. Tout ce que nous pouvons dire de la trame de Gone Girl, c’est qu’il s’agit d’un homme mettant tout en œuvre pour retrouver sa femme disparue lors de leur cinquième anniversaire de mariage mais dont il serait le coupable idéal. Et que tout cela est tiré d’un livre intitulé Les Apparences. Une fois ça bien assimilé, vous ne vous empêcherez pas de vous concentrer dès les premières secondes pour essayer de trouver les indices qui sauront vous dévoiler le film petit-à-petit. Surtout que le film ne fait que suivre l’enquête tout en proposant en parallèle des flashes-back révélant comment cette histoire d’amour s’est effritée au cours du temps. Mais avec Fincher, rien n’est simple ! spoiler: Car le pitch principal du film ne concerne en réalité que la première partie de Gone Girl
(c’est le seul spoiler que vous aurez dans cette critique). Le reste est une cascade de rebondissements véritablement inattendus qui vous dressent une image peu flatteuse du mariage.

Gone Girl n’est pas seulement un thriller de haute volée. Il s’agit également d’un drame conjugal d’une parfaite maîtrise sur bien des plans. Une sorte d’examen de la vie en couple qui se montre à la fois glacial au possible, via une mise en scène diablement oppressante : la musique de Trent Reznor et d’Atticus Ross, la photographie étouffante (dans le bon sens du terme) de Jeff Cronenweth, les lumières et couleurs grisâtres/jaunâtres qu’arbore le film… tout est fait pour que le spectateur soit mis mal à l’aise et qu’il ne sorte pas de la salle de projection indemne. Une incursion au pays des faux-semblants d’une redoutable efficacité, où chaque personnage dévoile au fur et à mesure ses diverses identités. Où les faits nous paraissent incertains quand ils nous sont racontés la première fois. Et quand Gone Girl s’aventure dans le domaine de la critique, le résultat n’en est que plus imposant. En s’attaquant aux médias, qui peuvent remodeler la vérité à foison et offrir une image contraire aux coulisses à ceux qui y participent, le mot « apparence » et le côté machiavélique du film prennent tout leur sens ! Ajoutez à cela un humour noir inattendu, mis à petit dose mais placé comme il faut dans le scénario, et l’ensemble se montre encore plus diabolique et malsain que sur le papier.

Alors, quand vous avez un casting aussi exceptionnel que celui-ci, la sauce ne peut que prendre ! Il faut dire que David Fincher, en plus d’être un conteur hors pair et un metteur en scène talentueux, sait diriger les comédiens comme il faut. L’exemple flagrant de Gone Girl est Ben Affleck. Comédien réputé pour son jeu assez fade, dont le réalisateur use ici à merveille. Comme d’habitude, Ben Affleck exprime des expressions qui paraissent maladroites et peu crédibles. Idéal pour un personnage qui a bien du mal à cacher ses secrets, non ? Quant à Rosamund Pike, qui a démarré par un James Bond (Meurs un autre jour) pour continuer sa carrière via des films indépendants (Orgueil & Préjugés, Une éducation, Le Monde de Barney, We Want Sex Equality) et des produits hollywoodiens (La Faille, La Colère des Titans, Jack Reacher), trouve enfin le rôle de sa carrière. Celui qui arrivera enfin à la hisser sur la marche des actrices à suivre ! Hormis ce couple, la distribution propose bon nombre de seconds rôles brillantissimes, allant d’un Neil Patrick Harris qui casse aisément son image de bouffon séducteur dans la série How I Met Your Mother à une Carrie Coon naturelle au possible, en passant par une Emily Ratajkowski (la brune du clip Burred Lines) qui s’en sort avec les honneurs pour sa première incursion au cinéma.

Si la filmographie de David Fincher touche la quasi perfection, avec des films d’une qualité exemplaire (malgré des débuts oubliables avec Alien 3), le réalisateur montre qu’il n’est pas prêt de se contenter de ses œuvres passées. Avec Gone Girl, le bonhomme nous livre une nouvelle réussite, si ce n’est le meilleur long-métrage de sa carrière. Un thriller déroutant et dérangeant, un uppercut douloureux qui montre le mariage sous un angle diablement pessimiste. À tel point que vous n’aurez envie que d’une seule chose une fois le film fini : courir dans les bras de votre conjoint et de lui lancer des « je t’aime » à tout bout de champ. Et même si vous retrouvez contre lui vous rassure, Gone Girl restera dans un petit coin de votre tête pendant un très, très long moment !

Incroyablement retors, pervers et brillant, Gone Girl est le nouveau piège diabolique et jouissif de David Fincher. Dire que ce film est plein de surprises est un véritable euphémisme tant Gone Girl scotche sur place et laisse pantois face à tant de génie. Une réalisation impeccable, un duo d’acteurs fantastique et une histoire excellente, David Fincher nous offre indéniablement un des meilleurs films de l’année (et de sa carrière), entre jeux de pouvoirs et manipulation. Amen.

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