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    Gone Girl
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    2 035 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 février 2015
    Pas du tout déçu de cette adaptation du livre "les apparences". Il manque certain passage mais rien de très important. Ben Affleck joue vraiment bien. A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 février 2015
    Juste "wah" ! Fincher décortique une nouvelle fois le rêve américain et les méandres psychologiques... avec un talent incontestable !! Ben Affleck et Rosamund Pike ressortent grandis de leurs prestations époustouflantes. L'histoire est totalement captivante et intrigante du début à la fin.
    Jean-Pierre B.
    Jean-Pierre B.

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2015
    Jubilatoire,pervers,brillant ! Monument d'humour noir qui explose les conventions. Ben Affleck excellent en mari ambigu puis totalement largué.Un must !
    leochou
    leochou

    16 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2015
    Après une première partie très interessante, la deuxième partie du film est bien plus classique et moins bien réussi toutefois l'ensemble offre un film de très belle facture. Le duo de stars est impeccable.
    brunocinoche
    brunocinoche

    98 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2015
    Un nouveau film prenant de la part de David Fincher. Thriller psychologique parfaitement bien mené (habile montage, ambiance pesante) sur un scénario riche et étonnant, on ne décroche pas pendant plus de 2 heures. Le peu d'expressivité de Ben Affleck sert ici le personnage mais c'est l'interprétation de Rosamund Pike qui est vraiment bluffante. Un suspense à la "Zodiac", un récit off à la "Benjamin Button", David Fincher signe ici un de ses meilleurs films.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 février 2015
    S'attaquer à un Best-seller tel que Les Apparences, pouvait être très risqué pour une adaptation cinématographique mais pari gagnant pour Fincher! L'intrigue et la mise en scène restent parfaites et les 2h30 sont presque trop courtes. Je recommande ce film chaudement (éviter de le voir en couple, risque de donner des mauvaises idées!). 4/5 largement mérité
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2015
    Un bijoux du cinéma.
    Certes ce n'est pas un scénario original (puisque tiré d'un roman) mais on frise le chef-d’œuvre.
    Une tension rarement égalée.
    Des images soignées.
    Une fin inattendue.
    Des acteurs géniaux.
    A voir et à revoir puisqu'on comprend toujours mieux la seconde fois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 février 2015
    très bien construit. acteurs scénario très bien.
    petit bémol on se doute un peu vite de la fin.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    114 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2015
    Adapté fidèlement un roman à succès, en l’occurrence ici Les Apparences de Gillian Flynn, pourrait s’apparenter à un exercice aisé pour un mastodonte de cinéma tel que David Fincher. Beaucoup de films déboulant dans les salles obscures sont des adaptations. Il en a toujours été ainsi. Pour autant, si beaucoup de cinéastes se cassent les dents en massacrant une œuvre littéraire ou en prenant maintes libertés pour distancier les œuvres, David Fincher, lui, s’enorgueilli simplement d’avoir choisi le bon bouquin. Oui, ici le réalisateur ne réinvente pas l’eau tiède, sûre du potentiel d’un tel récit, d’un travail parfaitement dans ses cordes, là où il pourra laisser exprimer son génie de mise en scène et son amour pour les polars traditionnels. Gone Girl, en dépit de son ingénieuse intrigue, de son impressionnant climat malsain fait de mensonges et de trahisons, s’affiche pourtant comme un projet peu ambitieux dans la carrière d’un cinéaste ayant fait de la création de Facebook une chef d’œuvre du cinéma, ayant fait vieillir Brad Pitt à rebrousse-poil ou ayant tout simplement livré le plus charismatique thriller de ces cinquante dernières années.

    Mais pourtant Gone Girl est une gifle, une de ces bonnes vieilles claques que seules les maîtres de cinéma savent nous flanquer. Classique, oui, mais tout de même surprenant, brillant, son film est une déclaration d’amour à tout ce que fût jadis les intrigues policières et les grands thrillers de ses prédécesseurs. L’autre force de cette adaptation réside sans le moindre doute dans son casting. Outre une Rosamund Pike sortie d’une manche quelconque, qui livre une prestation vraiment glaçante, la venue d’un Ben Affleck tout embourgeoisé dans le rôle du mari est un pari gagnant pour le metteur en scène. La béatitude permanente du comédien, ajoutée à son sourire innocent, en font le candidat idéal pour incarner cette soi-disant victime. La tension monte, au fil des quarts d’heure et le comédien ne perd jamais le fil, toujours parfaitement coordonné avec les avancées du récit, toujours prompt à un naturel très admirable. Ce n’est pourtant pas lui qui se verrait récompenser de son interprétation, mais bel et bien sa comparse féminine, plus logiquement, du fait d’une composition tonitruante. Une nouvelle Rosamund Pike est née.

    Tout en sobriété, sans éclats ou artifices ringards, David Fincher déroule. Il filme ses protagonistes aussi bien dans une forme d’intimité malsaine que leurs apparitions ou leurs statuts auprès des masses. Plus qu’un simple polar, Gone Girl est aussi, en deux temps, une critique acerbe du mariage et de l’univers de médias. En effet, le couple et ses valeurs sont la clef de voûte d’un film qui renvoie directement aux pires conflits conjugaux ayant faits les gros titres auprès des médias. Des médias, justement, qui pimentent le travail de la Police en rassemblant son public pour alléguer, essayé à tort de mettre d’accuser, de traîner dans la boue. Le rôle de la télévision, des journaux, prend ici une place prépondérante dans le destin des personnages, principalement du mari. Ce sous-thème, aussi efficace que sordide, est traité très adroitement par le metteur en scène qui parsème son film d’extrait de show, enchaînement de spéculations nocives qui rendent impossible à la Police d’y voir clair.

    Voilà donc un film inespéré à l’heure des grandes libertés prises par les studios pour manager eux-mêmes les films qu’ils produisent. David Fincher est un artiste à part entière et livre un produit fini, non coupé en post production, non retourné pour satisfaire des égos. Cette adaptation appartient tout bonnement à son créateur de génie, partageant le mérite avec son auteur sur papier, deux personnages qui ont eu le bon goût de collaborer pour livrer le thriller de l’année 2014, en somme l’équivalent de Prisoners l’année précédente. Un film majeur qui s’inscrit parfaitement dans la filmographie de Fincher, l’homme qui transforme le thriller en lingots d’or. 18/20
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    139 abonnés 836 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2015
    Pour tout dire, au moment de la révélation de l’invraisemblable stratagème en cours vers le milieu de Gone Girl, je me suis d’abord dit qu’une partie du joli mystère nimbant le film jusque-là s’envolait bêtement, que ça virait au grand guignol, que trop, c’était trop. Et je maintiens que ce segment a quelque chose d'un peu lourd qui tue en partie tout ce qui s’est joué d'ambigu auparavant… Sauf qu'un thriller moyen dans les années 90 et 2000 se serait terminé là-dessus et basta. Or avec Fincher, on est à peine à la moitié du film et on se demande légitimement comment l’histoire va bien pouvoir rebondir après un truc pareil ? Or ce moment n'est qu'un terreau fertile Et ce qui vient après continue non seulement de surprendre mais rajoute même des couches réalistes à des couches habiles de cauchemar. Au lieu de se tasser, le film continue de grandir jusqu’à une forme d'apothéose. D'abord et simplement parce qu’on a un temps pensé qu’elle était complètement cintrée, sorte de vent multidirectionnel dans la tempête, alors que le plus effrayant chez elle, c’est bien de réaliser qu’elle a la folie droite de ces pervers narcissiques doués comme personne pour une bonne vieille partie d’échecs, capables de tout prévoir, des dizaines de coups à l’avance, capables d’improviser dans une forme de rationalisme échevelé qui rend fou. Le mari victime de ces stratagèmes mortifères finit par se sentir comme dans la peau d'une mouche prise dans une toile d’araignée. Le spectateur étouffe alors avec la victime et le film peut sécréter son venin divin.

    D’ailleurs la dernière ligne droite du film est un sommet de cynisme et de cruauté. J'ai pensé au final extraordinaire d'un livre que je conseille : Nuit de Fureur (Jim Thomson). Deux personnages enchaînés ensemble à l’attente d’un dénouement forcément tragique, condamnés l’un à l’autre, et qui attendent, attendent dans un climat irrespirable. Aucune autre issue à ce huis-clos que cette ouverture qui évoquait le crâne qu'on exploserait bientôt pour regarder se déverser les raisons de l'acharnement, d'une rage qui n’avait évidemment jamais été de l’amour mais une prise d’otage pure et simple. Pas d’autre mot. Dans sa compréhension à elle, il devra ramper et se mettre à genoux pour qu’elle revienne, pour qu'elle le sauve de la chaise électrique. Et pour être certaine qu’il ne s’échappera jamais, elle commettra un crime et, cerise sur le gâteau, lui fera un enfant ! On regarde déjà venir cette descendance qui les rejoindra bientôt comme une bombe à retardement. Comme ce crâne prêt à exploser, comme ce ventre prêt à cracher sa vérité. L'enfant comme monnaie d'échange pour une paix des lâches. Complicité de façade et petits secrets bien gardés. Pour avoir la vie tranquille, faisons l'autruche et table rase du passé.

    C’est d’ailleurs à mon sens un des plus grands films qui soient sur le mariage depuis Scène de vie conjugale (Bergman) ou Faces (Cassavetes) voire dans un registre plus comique et satyrique La guerre des Rose (De Vito) ou l’Honneur des Prizzi (John Huston). Une scène marquante évoquant ces deux derniers films est celle où elle revient ensanglantée et tombe dans les bras de son mari qui se fend d'un phrase discrète et assassine. Sauf que là où la caricature allait bon train dans les films de De Vito et Huston, on en prend ici pour son grade, plein la gueule, parce ça sonne vrai et vous prend à la gorge comme ce cutter dans celle d'un aristo naïf, aveuglé par une fausse idée de l'amour (ou de la possession ?) et qui en fera cruellement les frais dans une scène qui n’est pas sans rappeler le fameusement sadique Basic Instinct.

    Tous les personnages secondaires sont d'ailleurs passionnants. De cette victime collatérale (murée dans son palace et ses illusions de nanti coupé des vraies réalités) au couple crapuleux d'un motel qui rappelle à la jeune disparue que "ce monde", celui d'en bas n'est pas vraiment fait pour elle....

    Une autre force du film réside aussi dans cette dialectique omniprésente privé / public (sur le plateau de télé/ dans la voiture, dans la maison/dans la rue, au creux de l'oreille/à la cantonade...) qui offre le vrai visage de la famille américaine, puritaine et prompte à défendre ses acquis, ses valeurs sous les projecteurs aussi longtemps que ces derniers restent allumés ou que des intérêts supérieurs (la descendance) sont en jeu, voire menacés.

    Et que dire de la narration ? D’une intelligence rare et qui sait ménager ses rebondissements car la première partie est évidemment une version toute partiale de la vie quotidienne et privée de ce couple allant s’installer dans le Missouri (terre de grands écrivains s’il en fut) dans un mouvement presque littéraire (qui parle ? qui s'adresse à nous ? Sommes-nous dans la réalité ? dans le journal intime ?) qui n’est pas sans rappeler le précédent de Shining (les premiers mots – la tête, la cervelle, comment voir dedans ? - y font évidemment allusion comme le grand escalier de la maison du couple).

    Je parle de film sur le mariage, mais on tient aussi avec Gone Girl un authentique thriller mettant en scène le pendant féminin d’American Psycho, une sociopathe dénuée de toute empathie pour son prochain. Elle rayonne dans un monde où plus rien ne semble avoir d'importance que de penser à soi, que d'être "pas comme les autres", au sens où les autres coagulent pour devenir cette masse informe, cette agglutination d'objets qu'on utilise puis qu'on jette pour mieux atteindre ses petits rêves de pacotille (le pouvoir, l'influence, la gloire et la renommée).

    Dernier point captal dans un film qui achève de faire exploser tous les codes : Combien de fois un meurtrier se fait attraper à la toute fin par un petit micro glissé sous la chemise du héros. Cela donne ici la scène fabuleuse de la douche où assurée de pouvoir parler en toute "franchise" (dire le fond de sa pensée) - sauf que nous spectateurs sommes là, attentifs, voyeurs aussi - l'épouse retorse monnaye la paix des ménages en exigeant de son benêt de mari de prendre la responsabilité des achats compulsifs de la remise chez sa soeur. Elle a décidément tout prévu jusqu'au dernier détail...

    Bref Gone Girl est un film d’une infinie richesse. Il ne fait pas que redéfinir un genre, le thriller, il se pose aussi comme une nouvelle référence du film matrimonial et nous parle par dessus-tout de l'air du temps. D'un temps où l'individu se perd en confondant amour et propriété, où le pervers narcissique n'est plus dès lors que le fruit des dérives du Capitalisme. Un bon titre eut d'ailleurs été l'Amour au temps du Capital. Non décidément, Gone Girl est le plus grand film de Fincher, le plus ample, Magistralement Sublime !
    Lecter_H
    Lecter_H

    206 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2015
    Dans le genre, c'est DIABOLIQUE!
    Quelle histoire machiavélique ! Ce thriller pousse à fond le registre du complot par un être on ne peut plus détestable. Quelle histoire de dingue !
    J'en ai eu presque mal au ventre. Ce n'est pas que le film fait peur, mais c'est infernal la manipulation extrême de cette femme dans ce film.
    Je vous assure que vous n’allez pas décoller une seconde de votre écran !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 211 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2015
    Chaque film (dix au total depuis 1992) de David Fincher constitue un évènement à sa sortie. "Gone girl" n'a pas dérogé à la règle, réussite commerciale autant que critique. Souvent comparé à ses débuts à Ridley Scott pour son cinéma essentiellement visuel né de son passé de réalisateur de vidéo clips, Fincher s'en écarte un peu depuis "Zodiac", s'appuyant sur un classicisme mettant davantage l'intrigue et le sous-texte en avant. Nous sommes dans un thriller, genre de prédilection du réalisateur, tiré du roman éponyme de Gillian Flynn dont elle a écrit elle-même le scénario. Derrière une intrigue assez classique qui vaut surtout pour ses retournements complets de point de vue, Fincher se livre à une charge très acide contre les médias de son pays. Les méandres sinueuses de l'enquête quant à la disparition d'Amy (Rosamund Pike), la femme de Nicolas Dunne (Ben Affleck), le jour de leur cinquième anniversaire de mariage sont clairement dessinées par les médias qui devant cet épais mystère influent directement sur son déroulement. Fincher démontre que selon l'attitude de Nicolas face à la caméra lors des interviews nombreuses générées par cette affaire qui passionne les foules, la police orientera ses pistes dans une direction ou une autre révélant ainsi son incapacité à travailler sereinement. Billy Wilder dans un autre décor et sur un autre prétexte avait lui aussi dénoncé l'impudeur et le cynisme des médias avec "Le gouffre aux chimères" (1951). Le couple modèle montré dans les flashbacks introductifs s'avère vite insupportable par l'autosatisfaction que procure au deux protagonistes leur amour soi-disant unique et Fincher s'y prend à merveille pour insinuer le doute sur cette construction forcément artificielle. On sait d'emblée que derrière la façade rose bonbon de ce bonheur, tapis dans une villa ultra chique mais sans âme, se cache une réalité plus complexe et moins idyllique. La disparition d'Amy va nous y plonger en révélant progressivement la véritable nature de leur relation. Ben déboussolé par le déferlement médiatique est en permanence appelé à la rébellion par sa sœur jumelle qui tient le bar du village où lui et sa femme se sont retirés suite à la perte de leur job new-yorkais. Ben Affleck dont on ne cesse de louer le virage à 360 degrés qu'il a su donner à sa carrière est parfait dans ce rôle qui demande tout à la fois du charisme mais aussi une dose certaine de fatuité. Pour son premier grand rôle qui ne devrait pas la mener très loin de l'Oscar, Rosamund Pike rejoint d'emblée les grandes psychopathes du thriller américain. Ce casting pas évident au départ est au diapason du cinéma un peu froid de David Fincher qui s'est parfois perdu dans la longueur de son film aux invraisemblances un peu grossières et dont le déroulement s'avère vite prévisible pour les habitués du genre. Un très bon cru qui ne méritait peut-être pas toutes les éloges dont la presse s'est répandu depuis sa sortie. Mais Fincher ne démontre t-il pas lui-même dans son film que l'influence des médias a parfois une portée auto-réalisatrice ?
    Skynet-Child
    Skynet-Child

    13 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2017
    C'est film est tout bonnement excellent et une des meilleures oeuvres a voir de 2014.
    L'actrice R.P mene la barre tres tres haut avec une intrigue parfaite et sans conteste rebondissante.
    Le scenario tient admirablement la route et serait digne de succeder a un "Basic Instinct 2".

    Seul ombre dans le film, c'est l'acteur principal qui nous ennui toujours autant a mourrir. Manque de panache, de punch, de carisme, et meme l'huitre de mari mortifiant il n'arrive pas a le jouer correctement.
    Son role ici etait pietrement calqué sur celui qu'il avait dans "A la merveille". Quel regret...
    Ca coutera une bonne etoile, cette distribution a moitié ratée.

    Pour le reste, Gone Girl est admirable.
    Pasthen
    Pasthen

    61 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Nick se rend à son bar et s'épanche auprès de sa sœur, son mariage bat de l'aile et Nick souhaiterait bien y mettre un terme. Dans le même temps, sa femme Amy disparaît. Rapidement la police mène l'enquête et les médias s'emparent de l'affaire. Quel genre de couple forme-t-il ? Nick aurait-il pu tuer sa femme ? A mesure que l'on avance, les questions se multiplient. Pas trop fan du jeu de Ben Affleck dans la plupart de ses films, il faut bien admettre qu'ici il est dans le ton. Sa partenaire Rosamund Pike est comme souvent très crédible. Gone Girl est un excellent thriller qui évite adroitement les fautes du genre (à l'exception de la légendaire naïveté des policiers dépeinte dans le dernier quart d'heure).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 février 2015
    Diabolique. Haletant et à rebondissements. Du Fincher pur jus.
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