Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Une tonalité calme, faite de musique et de chuchotements, une persévérance qui devient peu à peu la forme même du film, qui sécrète une extraordinaire puissance d’émotion.
Critikat.com
par Josué Morel
"Love is Strange", et le film l’est tout autant : l’émotion advient sans fracas et pourtant étreint soudainement, sans que l’on puisse s’y préparer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film discrètement mélancolique qui sait, de façon pudique et légère, parler moins d’homosexualité que d’amour, et confronter celui-ci à l’âge qui vient.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pas d’apologie du mariage gay ou d’affirmation identitaire, mais une chronique douce-amère interprétée par un tandem attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un film délicat qui s'inspire de très près des minuscules accidents de la vie pour en faire l'instrument d'un destin (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Cette chronique douce-amère d'un couple gay très classique dans sa forme en dit long sur (...) les discriminations dont les homosexuels sont parfois l'objet aux Etats-Unis.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un travail qui mêle délicatement réflexion sur le lien amoureux et critique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le plaisir pris au film, à sa mise en scène élégante, humaniste et classieuse, est tel qu’on lui pardonnerait tout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
"Love is Strange" n’est pas du tout un film déprimant, il baigne dans une limpidité bouleversante, aucun personnage, aussi fugace soit-il, n’est découpé à la hâte, tout le monde existe dans le tremblement d’une singularité humaine que l’on a terriblement envie de chérir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un mélodrame doux-amer traité avec délicatesse.
Transfuge
par Louis Séguin
Un hymne à l'amour version new-yorkaise, gay et troisième âge.
Télérama
par Louis Guichard
(...) Une réflexion fine, et finalement tendre, sur la famille dans ses acceptions les plus contemporaines, et sur l'amour au sens le plus large.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Françoise Delbecq
Le film d'Ira Sachs explore par petites touches de nouveau chapitre de vie et nous dépeint avec délicatesse une intimité fragmentée.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est sensible et fin, mais pas très concret.
La Croix
par La Rédaction
Un film juste, porté par une belle interprétation.
Première
par Laura Meyer
En additionnant ces presques rien, (...) le film d'Ira Sachs construit peu à peu une édifice émotionnel qui en dit bien plus long qu'un discours militant.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Jean-Patrick Géraud
Le drame semble alors se propager, se diffracter, ce qui donne lieu à des épisodes comiques et réjouissants. Alfred Molina et John Lithgow en rayonnent d’autant plus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Une triste et belle ellipse conclusive ne suffira pas à sauver le film de cette confusion fatale entre simplicité et banalité, qui reviendra peser sur l'ultime plan de tout son poids de niaiserie irisée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cahiers du Cinéma
Une tonalité calme, faite de musique et de chuchotements, une persévérance qui devient peu à peu la forme même du film, qui sécrète une extraordinaire puissance d’émotion.
Critikat.com
"Love is Strange", et le film l’est tout autant : l’émotion advient sans fracas et pourtant étreint soudainement, sans que l’on puisse s’y préparer.
Le Dauphiné Libéré
Un film discrètement mélancolique qui sait, de façon pudique et légère, parler moins d’homosexualité que d’amour, et confronter celui-ci à l’âge qui vient.
Le Journal du Dimanche
Pas d’apologie du mariage gay ou d’affirmation identitaire, mais une chronique douce-amère interprétée par un tandem attachant.
Le Monde
Un film délicat qui s'inspire de très près des minuscules accidents de la vie pour en faire l'instrument d'un destin (...).
Le Parisien
Cette chronique douce-amère d'un couple gay très classique dans sa forme en dit long sur (...) les discriminations dont les homosexuels sont parfois l'objet aux Etats-Unis.
Les Fiches du Cinéma
Un travail qui mêle délicatement réflexion sur le lien amoureux et critique sociale.
Les Inrockuptibles
Le plaisir pris au film, à sa mise en scène élégante, humaniste et classieuse, est tel qu’on lui pardonnerait tout.
Libération
"Love is Strange" n’est pas du tout un film déprimant, il baigne dans une limpidité bouleversante, aucun personnage, aussi fugace soit-il, n’est découpé à la hâte, tout le monde existe dans le tremblement d’une singularité humaine que l’on a terriblement envie de chérir.
Ouest France
Un mélodrame doux-amer traité avec délicatesse.
Transfuge
Un hymne à l'amour version new-yorkaise, gay et troisième âge.
Télérama
(...) Une réflexion fine, et finalement tendre, sur la famille dans ses acceptions les plus contemporaines, et sur l'amour au sens le plus large.
Elle
Le film d'Ira Sachs explore par petites touches de nouveau chapitre de vie et nous dépeint avec délicatesse une intimité fragmentée.
L'Humanité
C’est sensible et fin, mais pas très concret.
La Croix
Un film juste, porté par une belle interprétation.
Première
En additionnant ces presques rien, (...) le film d'Ira Sachs construit peu à peu une édifice émotionnel qui en dit bien plus long qu'un discours militant.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Le drame semble alors se propager, se diffracter, ce qui donne lieu à des épisodes comiques et réjouissants. Alfred Molina et John Lithgow en rayonnent d’autant plus.
Chronic'art.com
Une triste et belle ellipse conclusive ne suffira pas à sauver le film de cette confusion fatale entre simplicité et banalité, qui reviendra peser sur l'ultime plan de tout son poids de niaiserie irisée.