Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Eithne O'neill
La beauté des plans ne vient jamais atténuer l'intensité dramatique. Une oeuvre magistrale.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Cette première œuvre glaçante dénonce toute forme de violence en l’inscrivant dans un cadre scolaire universel. Toutefois, le cinéaste ne tombe jamais dans le piège de l’illustration et livre une œuvre à la fois austère, poétique et tranchante comme une lame de rasoir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Camille Pollas
Une expérience glaçante et un jeune réalisateur désormais à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Fable, songe ou encore énigme policière quand deux meurtres seront commis dans le secret des ellipses. Emir Baigazin restitue une géométrie mentale par la beauté formelle de l’abstraction et des variations laissant place à l’inattendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Franck Nouchi
Derrière ce qui s'apparente à un film noir, se niche bien autre chose, une réflexion sur le darwinisme social (...). "Leçon d'harmonie" est construit comme un thriller dont il serait dommage de gâcher le suspense. Un film sur l'art et la manière de se retrouver en paix avec soi-même, sinon avec les autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un portrait inquiétant, filmé à la limite de la complaisance, par un metteur en scène doué qu'il faudra suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un sujet exigeant pour un premier film travaillé d'Emir Baigazin avec l'étonnant Timur Aidarbekov.
Première
par Isabelle Daniel
Emir Baigazin livre une oeuvre sidérante, où il est question de survie et de croyance. De cette chronique de la bestialité, où les animaux sont de victimes et où les bourreaux périssent, où toute chaleur humaine est proscrite, on ressort secoués et grelottants.
TF1 News
par Romain Le Vern
Bagaizin filme une violence ritualisée, outil de communication qui se transmet comme un virus et, à travers des adolescents destructeurs, traite aussi du contraire et donc de ce qui peut sauver. (...) Aucun doute sur le talent d'un auteur ultra-doué, capable de résumer de façon simple des choses compliquées. Très fort.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Nourri des travaux de Joule et de Darwin ainsi que de la philosophie non violente de Gandhi, "Leçons d’harmonie" s’enlise parfois dans les concepts, mais sans rien perdre de sa beauté formelle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Ses meurtres intéressent si peu le cinéaste kazakh qu'il ne les filme pas. Il les relègue off, en coulisse, comme dans les tragédies classiques. Ce qui semble le passionner, c'est le temps.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On préférera retenir des débuts de Baigazin sa réelle assurance plastique comme celle de sa direction d’acteur et espérer qu’il se révèle moins complaisant avec son œil d’entomologiste.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Plans géométriques, frontaux ou avec une riche profondeur de champ, ellipses, sécheresse du style, montage lent qui contraste avec le bouillonnement de cette communauté, toujours prête à punir, humilier, frapper, tuer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Positif
La beauté des plans ne vient jamais atténuer l'intensité dramatique. Une oeuvre magistrale.
aVoir-aLire.com
Cette première œuvre glaçante dénonce toute forme de violence en l’inscrivant dans un cadre scolaire universel. Toutefois, le cinéaste ne tombe jamais dans le piège de l’illustration et livre une œuvre à la fois austère, poétique et tranchante comme une lame de rasoir.
Critikat.com
Une expérience glaçante et un jeune réalisateur désormais à suivre.
L'Humanité
Fable, songe ou encore énigme policière quand deux meurtres seront commis dans le secret des ellipses. Emir Baigazin restitue une géométrie mentale par la beauté formelle de l’abstraction et des variations laissant place à l’inattendu.
Le Monde
Derrière ce qui s'apparente à un film noir, se niche bien autre chose, une réflexion sur le darwinisme social (...). "Leçon d'harmonie" est construit comme un thriller dont il serait dommage de gâcher le suspense. Un film sur l'art et la manière de se retrouver en paix avec soi-même, sinon avec les autres.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait inquiétant, filmé à la limite de la complaisance, par un metteur en scène doué qu'il faudra suivre de près.
Ouest France
Un sujet exigeant pour un premier film travaillé d'Emir Baigazin avec l'étonnant Timur Aidarbekov.
Première
Emir Baigazin livre une oeuvre sidérante, où il est question de survie et de croyance. De cette chronique de la bestialité, où les animaux sont de victimes et où les bourreaux périssent, où toute chaleur humaine est proscrite, on ressort secoués et grelottants.
TF1 News
Bagaizin filme une violence ritualisée, outil de communication qui se transmet comme un virus et, à travers des adolescents destructeurs, traite aussi du contraire et donc de ce qui peut sauver. (...) Aucun doute sur le talent d'un auteur ultra-doué, capable de résumer de façon simple des choses compliquées. Très fort.
TéléCinéObs
Nourri des travaux de Joule et de Darwin ainsi que de la philosophie non violente de Gandhi, "Leçons d’harmonie" s’enlise parfois dans les concepts, mais sans rien perdre de sa beauté formelle.
Télérama
Ses meurtres intéressent si peu le cinéaste kazakh qu'il ne les filme pas. Il les relègue off, en coulisse, comme dans les tragédies classiques. Ce qui semble le passionner, c'est le temps.
Cahiers du Cinéma
On préférera retenir des débuts de Baigazin sa réelle assurance plastique comme celle de sa direction d’acteur et espérer qu’il se révèle moins complaisant avec son œil d’entomologiste.
La Croix
Plans géométriques, frontaux ou avec une riche profondeur de champ, ellipses, sécheresse du style, montage lent qui contraste avec le bouillonnement de cette communauté, toujours prête à punir, humilier, frapper, tuer.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.