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    Les Jardins du Roi
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    3,3
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    131 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    846 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2015
    J'apprécie beaucoup les films d'époque, les films historiques.
    Celui-ci est intéressant et très bien réalisé et interprété.
    Cependant, je l'ai trouvé assez moyen, c'est plat dans l'ensemble et l'on s'ennuie, c'est dommage.
    Aussi avant de voir enfin le chantier terminé, beaucoup de temps se passe dans l'endroit en construction et dans la boue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mai 2015
    Etant une grande admiratrice d’Alan Rickman, l’annonce de son deuxième film en tant que réalisateur m’a fais bondir tel un puma. J’ai donc couru le jour de sa sortie en salle afin de satisfaire la petite part de fan système qui coule dans mes veines.
    L’histoire se déroule au temps de Louis XVI. Ce dernier confie la réalisation des jardins de Versailles à LeNôtre qui collaborera avec Madame de Barra pour la réalisation du bosquet des Rocailles.

    Dans une interview, Alan Rickman confie ne pas vouloir s’accrocher à une réalité historique. En effet, si vous y allez dans l’idée de voir le Roi Louis XVI dans toute sa magnificence, dans une France qui est à la fois dans la splendeur et dans la mouise : passez votre chemin, vous serez déçu. Ici, le roi Soleil (incarné par Alan Rickman) se veut plus humain, avec ses forces et ses faiblesses. Il en sera d’autant plus sublime lors de ses apparitions publique.
    Au delà d’être fidèle à l’Histoire avec un grand H, Alan Rickman voulait mettre en avant les émotions que pouvaient ressentir les personnages. Sur ce point, le pari est plutôt réussi malgré quelques maladresses. Notamment pour le personnage de Sabine de Barra (Kate Winslet) qui peut sembler stéréotypée par moment.
    Concernant l’histoire du film, on sent une difficulté à mettre l’intrigue en place. Ainsi, la première partie du film est assez lente. Cependant, cette dernière s’étoffe peu à peu et apporte même de nouvelles trames assez interessante. Je prendrai pour exemple des pans de la vie de Madame de Barra (aidé par une réalisation assez intelligente)
    En parlant de la réalisation, le film tient ses promesses sur le plan visuel : L’image est belle. Les plans dans les différents jardins sont magnifiques et les mouvements de caméra sont bien gérés. La musique est parfaitement synchronisée.

    En définitive, ce film, sans être un chef d’oeuvre, est beau sur un plan purement visuel. L’idée de montrer une époque au travers d’une romance peut sembler banal mais ici, l’idée fonctionne plutôt bien.
    Finalement, l’histoire qui n’est pas mise en lumière est tout aussi importante que l’Histoire elle-même.
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mai 2015
    Dix-huit ans après L'invitée de l'hiver, Alan Rickman passe à nouveau derrière la caméra pour nous balader dans les jardins de Versailles. Dans la France du XVIIème, Sabine De Barra est choisie pour concevoir le célèbre bosquet des Rocailles. Elle fera la rencontre d'André Le Nôtre, homme aussi fascinant que mystérieux.

    L'intérêt majeur des Jardins du roi réside certainement dans l'opposition créée entre les figures féminine et masculine. L'homme (Schoenaerts, perdu dans un rôle vaporeux) est efféminé, utilise des formules soutenues et use d'images symboliques. La femme (Winslet, exagérant sa composition dramatique) a le rôle de leader, accomplit les tâches physiques et n'a pas peur de se salir les mains. Mais la singularité des personnages s'arrête là, car l'intrigue de Rickman est purement codifiée et n'apporte aucune surprise aux spectateurs. Bien au contraire, ennui et lieux-communs s'invitent dans un récit paresseux qui ne s'accroche qu'à l'aspect formel de l'œuvre.

    Les jardins du roi brille par ses décors majestueux, ses costumes d'époques et tutti quanti. Mais cela ne suffit pas à faire un bon film. Bien au contraire, cette mollesse narrative se complait dans le luxe et la belle formule. Tout est déjà vu, des sentiments amoureux au flash-back (reprenant le drame familial de Kate) mal construit. L'idée de culpabilité y est balayée par un romantisme mièvre et une tourmente intérieure stérile. Seules les apparitions d'Alan Rickman en Louis XIV fonctionnent réellement. Les notions de pouvoir, d'impuissance et de sacrifices émergent de ces scènes de belle manière, pudique et nuancée. Comme aurait pu l'être tout le film, dommage.
    laurence l
    laurence l

    140 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2015
    Si on aime les films historique et en costume avec une dose de romantisme ce film est fait pour vous. Belle image costumes decor et interprétation. Tous les ingredients avec les petits secret de la cour et ses piques assiette. Beau duo d'acteur. Conquise par ce film. A vous maintenant.
    Danny N.
    Danny N.

    105 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mai 2015
    Je vais voir tous les films avec Kate Winslet depuis TITANIC en 1998 et j'avais peur que le film
    sorte dans peu de salles mais non j'ai pu le voir dans mes cinés habituels UGC à Lyon
    et j'ai été ravi de retrouver ENFIN la voix française de TITANIC Anneliese Fromont qu'elle n'avait plus eu depuis plusieurs films ( les 2 DIVERGENTE, CONTAGION, etc...)
    par contre, le son était très bas, on entendait dans la salle à côté l’autre film !!

    le personnage joué par Kate est une pure invention fictive qui aurait été impossible d'exister à l'époque car trop moderne.

    bien que la réalisation soit très classique et le film plat par moment, il laisse une jolie impression
    notamment à cause des scènes bouleversantes d'émotion et d'alchimie entre Kate Winslet et Alan Rickman.... le comédien Matthias Schoenaerts, que je découvre aussi est intérèssant et ressemble
    à Jared Leto avec ses cheveux longs qui sont une perruque malheureusement ou des rajouts car le comédien a les cheveux très courts dans la vie.
    Mais c'est surtout la merveilleuse et lumineuse Kate qui porte le film sur ses épaules et rappelle à des moments son personnage de TITANIC avec même une scène où dans l'eau elle faillit se noyer !!!

    son seul défaut serait sa durée excessive de 2H.
    les critiques sont mitigées, le gratuit de Lyon LE PETIT BULLETIN l'a détesté et le qualifie de " film bidon " !

    comme le budget était très serré, rien n'a été tourné au château de Versailles et ça se voit.
    A la fin, cette magnifique vue qui s'éloigne avec enfin le château de Versailles NUMÉRIQUE
    derrière est d'horrible qualité ! une maquette aurait mieux rendue que ça ! et pourtant, on se prend à rêver et se demander si cette petit théâtre d'eau dans le bosquet de Rocailles n'aurait pas existé dans le petit bois par côté le château !
    et oh surprise, il existe bien!
    Mondocine
    Mondocine

    76 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2015
    Avec Les Jardins du Roi, Alan Rickman souhaitait revenir à un cinéma très shakespearien dans l’âme, un cinéma en costumes de tradition, à la fois romanesque, classieux et délicat, alliant tenue, grâce et prestance. Tout cela, au service d’une histoire remontant le temps pour prendre la direction de la Cour de Louis XIV, racontant la création des fabuleux jardins du Château de Versailles en 1682. Le sujet semble mince mais probablement que la petite histoire derrière la grande méritait d’être déterrée, sublimée et mise en lumière par un cinéaste (qui au passage s’offre le rôle du Roi) auquel on prête volontiers la même crédibilité qu’un Kenneth Branagh pour embrasser le genre. Sauf que, ô surprise, Les Jardins du Roi n’a strictement rien d’une « histoire vraie ». Son personnage principal est une pure invention fictive à des fins mélodramatiques. Partant de ce point, c’est tout le projet qui va s’effondrer comme un château de sable auquel on aurait donné un coup discret dans ses bases fragiles.

    Alan Rickman n’avait strictement rien à raconter dans son scénario au-delà de la mise en scène de son cadre à la magnificence flamboyante. Sauf qu’un cadre resplendissant et sculpté avec talent mais sans toile dedans, ne sert à rien en définitive. Les Jardins du Roi s’expose à la même problématique, celle d’être une œuvre minutieusement splendide voire fascinante en appelant à la beauté des grandes toiles historiques de maître, mais gentiment inutile, proche de l’expérience du rien. Un rien certes magnifique, mais un rien quand même. Et c’est là sans doute que toute l’entreprise d’Alan Rickman devient incompréhensible. Sachant que son personnage principal est une pure invention nécessaire à l’embrasement d’une fiction voulue romanesque, pourquoi ne pas être allé jusqu’au bout de la démarche en inventant également de quoi remplir un film aussi affamé qu’un bagnard échappé d’un goulag traversant un long désert.

    La critique complète sur Mondociné
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 mai 2015
    Avis mitigé. J’ai apprécié certains passages, d’autres moins. Les jardins du Roi est un film visuellement beau, avec des « scènes magiques comme tombées d’un tableau de maître », une réalisation soignée. On y retrouve avec plaisir de très bons acteurs, la belle Kate Winslet qui semble encore une fois vouée à des problèmes avec l’élément liquide (elle manque se noyer, comme dans Titanic) et le séduisant Matthias Schoenaerts, au regard irrésistible, tendre et moqueur … L’ histoire est intéressante, quoique un peu longue MAIS, dommage …Quelques libertés prises avec la réalité historique et, surtout, l’étrange impression que le réalisateur britannique s’est approprié notre roi soleil et sa cour qui semblent bien étrangement devenus très britishs. La chanson en anglais, c’était trop, c’était la goutte d’eau, une erreur : Il nous a dépossédés de notre histoire … ;-)
    Pour terminer sur une note positive, j’ai beaucoup apprécié les images de fin, la cour du roi-soleil, tel un ballet, qui s’éloigne, s’éloigne, très symboliquement. C’est une bonne idée, chargée de sens. Un film à voir néanmoins, par les amateurs d'histoire pas trop pointilleux et par ceux qui apprécient les films esthétiquement beaux.
    Alexis D.
    Alexis D.

    107 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2020
    De retour à la réalisation, Alan Rickman revisite l’Histoire au travers d’un récit romanesque mettant en scène l’architecte paysagiste André Le Nôtre et une certaine Sabine de Barra, atypique figure de femme a priori indépendante. Toutefois l’étonnante modernité de l’approche se double d’un classicisme des plus affectés et d’un sentiment d’artificialité laissant proprement dubitatif. À la veille de l’installation de Louis XIV (Alan Rickman) à Versailles, André Le Nôtre (Matthias Schoenaerts) est chargé d’en élaborer les jardins. En quête de paysagistes pouvant le seconder, il reçoit Sabine de Barra (Kate Winslet) qui, au cours d’un bref entretien d’à peine quelques minutes, le séduit par son audace et sa franchise. Il lui confie la réalisation du "Bosquet des Rocailles". Se lançant entièrement dans l’aventure, la femme doit alors faire face à la réalité de la Cour dont elle ne maîtrise pas les codes et ignore les intrigues… L’ouverture du film nous demande un double travail, celui d’accepter la convention de la langue anglaise (dont la richesse se révèle presque shakespearienne) et l’univers du Roi Soleil tel que fantasmé par Alan Rickman. Mais puisque Louis IV a un rêve, et des exigences, il s‘agit de plonger dans les coulisses de sa mise en place… Trop sirupeux et farouchement mielleux, l’angle d’approche tend à se fondre au regard de Sabine de Barra à qui donne vie avec talent Kate Winslet. Nous la découvrons telle une héroïne moderne incarnant une figure féministe qu’aurait oubliée l’Histoire (comme tant d’autres) dont l’indépendance et la force de caractère sont lumineuses. Toutefois, elle se précipite incommensurablement dans une romance aussi improbable que cousue de fil blanc tandis que son autonomie et son insoumission laissent place à une fragilité grossière (dominée par la culpabilité). L’écriture est efficace et vise à faire de nous les témoins du désarroi de l’héroïne, de son élan maniéré et d’une complicité purement démonstrative avec quelques dames et, presque par magie, le Roi. Elle permet aussi de se fondre ponctuellement au ressenti de Le Nôtre et de changer radicalement de point de vue afin d’assurer quelque suspens (en anticipant le drame, un paradoxe intéressant). Les dialogues sont à ce point léchés que cela en devient une gageure rendant l’écriture proprement palpable. Une impression tristement renforcée dans une séquence en flashbacks qui, en plus d’être ridicule, ôte toute crédibilité à Sabine de Barra dont la personnalité plus que de se redessiner s’efface alors au risque de nous consterner. Soignée, la mise en scène, dont le rythme contraste avec les jeux de langage, oscille entre un classicisme raffiné et un désir évident de rendre le récit et les (maigres) enjeux contemporains. Et c’est entre une pompeuse orchestration musicale et un goût pour l’anachronisme (notamment les vastes lits où se perdent, lancinants, les protagonistes) que la figure de Sabine de Barra s’impose presque comme incongrue : cheveux au vent et sac en bandoulière, elle semble se rendre à la Cour en revenant de Woodstock. Personnage hétéroclite, elle permet de poser un regard critique sur la noblesse de l'époque. Avec élégance et raffinement, Alan Rickman signe une romance historique tendant à renouer avec un vieux cinéma de tradition... Avec "Les Jardins du Roi", Alan Rickman souhaitait revenir à un cinéma très shakespearien dans l’âme, un cinéma en costumes de tradition, à la fois romanesque, classieux et délicat, alliant tenues, grâce et prestance. Tout cela, au service d’une histoire remontant le temps pour prendre la direction de la Cour de Louis XIV, racontant la création des fabuleux Jardins du Château de Versailles en 1682. Le sujet semble mince mais probablement que la petite histoire derrière la grande méritait d’être déterrée, sublimée et mise en lumière par un cinéaste (qui au passage s’offre le rôle du Roi) auquel on prête volontiers la même crédibilité qu’un Kenneth Branagh pour embrasser le genre. Sauf que, ô surprise, "Les Jardins du Roi" n’a strictement rien d’une "histoire vraie". Son personnage principal est une pure invention fictive à des fins mélodramatiques. Partant de ce point, c’est tout le projet qui va s’effondrer comme un château de sable auquel on aurait donné un coup discret dans ses bases fragiles. Alan Rickman n’avait strictement rien à raconter dans son scénario au-delà de la mise en scène de son cadre à la magnificence flamboyante. Sauf qu’un cadre resplendissant et sculpté avec talent mais sans toile dedans ne sert à rien en définitive. "Les Jardins du Roi" s’expose à la même problématique, celle d’être une œuvre minutieusement splendide voire fascinante en appelant à la beauté des grandes toiles historiques de maître, mais gentiment inutile, proche de l’expérience du rien. Un rien certes magnifique, mais un rien quand même. Et c’est là sans doute que toute l’entreprise d’Alan Rickman devient incompréhensible. Sachant que son personnage principal est une pure invention nécessaire à l’embrasement d’une fiction voulue romanesque, pourquoi ne pas être allé jusqu’au bout de la démarche en inventant également de quoi remplir un film aussi affamé qu’un bagnard échappé d’un goulag traversant un long désert ? Beau mais sans âme, propre mais sans passion, plaisant mais confondant de platitude, instructif mais dénué du moindre enjeu dramatique, mature et calme mais dégageant un subtil parfum de doux ennui, porté par une mise en scène au classicisme raffiné mais poussiéreux, interprété avec un professionnalisme sérieux mais zébré par les appels du cabotinage, "Les Jardins du Roi" est le film des sentiments antagonistes. Une œuvre figée, bercée par son équilibre trop tranquille et aussi plat que les vallons de Belgique, évoluant sans frémir du moindre clapotis de vague, comme une barque posée sur les flots d’un lac sans remous. On le comprend assez vite mais si "Les Jardins du Roi" laisse transparaître quelques éléments de fascination envers son académisme rappelant un ancien cinéma d’antan au plasticisme irréprochable, son tort principal qui le vide de sa substance comme une passoire percée est de souffrir d’une absence cruelle de matière, de n’avoir aucun récit fort pour nous accrocher à sa belle peinture techniquement admirable et sans vision défendable. Un documentaire de 45 minutes aurait sans doute été plus pertinent qu’un film de deux heures qui se traîne en redondances coupables et en emprunt de chemins de traverse pour masquer sa fuite en avant à la recherche d’idées narratives. Mais pour cela, encore eut-il fallu que l’entreprise repose sur une réelle volonté d’historicité. Et là encore, "Les Jardins du Roi" se perd dans ses intentions, ni reflet fidèle ni projet ludique. Quel était le but finalement d’un film qui s’autorise même d’abandonner le réalisme de sa reconstitution à des fins de modernisation pour épauler l’identification du public ? Comme par exemple laisser ses personnages arborer des vêtements croisant style d’époque et contemporanéité ? Avec cette fine histoire d’amour aérienne doublée d’un portrait de la Cour de Louis XIV et de la naissance des Jardins de Versailles, Alan Rickman souhaitait renouer avec un grand cinéma de tradition simple et romanesque, quelque part presque littéraire. Et si le résultat atteint certains de ses objectifs, essentiellement visuels, le vide d’un récit bien trop creux pour accrocher nous amène à traverser cette œuvre tellement immobile qu’elle en étouffe toute intensité ou aspérité fiévreuse. Au final "Les Jardins du Roi" se contemple sans déplaisir mais sans jamais enivrer ou soutirer la moindre émotion, la faute à son absence d’intrigue digne de ce nom. Cette romance dramatique demeure toutefois plaisante, grâce à la qualité de l’interprétation dominée par la sincérité de Kate Winslet, et appuyée par le jeu touchant de Matthias Schoenaerts, sublime et très attachant dans le rôle d'André Le Nôtre
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2015
    Je suis aller voir hier soir (le Dimanche 3 Mai 2015), l'avant-première du film "Les Jardins Du Roi" dans Paris en VOST.
    Le film est super, magnifique et à certains moments drôle. Pour ma part j'ai vraiment aimée et je le recommande.
    Allez le voir par vous-même, cela dépend des goûts des gens. Certains n'ont pas aimés le film pour certaines personnes avec qui j'étais dans la salle.

    D'ailleurs, dans les titres du film, que ce soit " A Little Chaos" (signifiant : un petit chaos) ou "Les jardins du roi", tout est dit dedans, cela parle des jardins du roi lors de la création du château ainsi que des jardins de Versailles, mais également et surtout d'amour lié au projet de Versailles.
    Et ce n'est pas non plus un film historique suivant l'histoire de la France à 100%, même loin de là. Dans de nombreuses interview Alan Rickman l'a mentionné.
    Je dis cela afin de prévenir en cas où, car certaines personnes ce sont plaintes du film pour ce genre de raisons.
    Les acteurs ont été par ailleurs très bien choisis ^w^

    Ce n'est pas non plus un film niais pour ceux qui se poserais la question. Donc aller voir et juger par vous-même, cela peut surement en surprendre plus d'un ^^
    D'ailleurs j'irais surement le revoir pour ma part =)
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 mars 2015
    Les jardins du roi profite d'une situation historique pour raconter une histoire finement traitée, sur fond de sujet féministe. Le problème est que Les jardins du roi est un de ces film réalisé par un comédien, et ça se voit tant la caméra ne cesse de se perdre sur le jeu des acteurs. Pas toujours utiles à la narration, ces plans ont tendance à ralentir la cadence.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    Enlevons la romance à deux balles cinq minutes et concentrons-nous sur la qualité du film : oui les acteurs sont bons, oui l'histoire nous tient en haleine jusqu'à la dernière seconde et oui, les paysages et contextes donnent envie. Mais quand on sait que tout cela est faux, on garde comme un goût amer. Sabine De Barra n'a jamais existé. Alors s'il s'agit d'un film pour rappeler que des femmes ont été oublié de l'histoire, alors je dis chapeau. Par contre, s'il s'agit d'une simple fiction pour faire de la fiction, je dis scandaleux car je déteste l'inexactitude historique, surtout quand les autres pays font un film sur la France. Puisque je ne connais pas les intentions de Rickman, je noterai le film comme une fiction d'un pays inconnu, mais si c'était une reproduction historique ma note aurait été toute autre.
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