Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une expérience intéressante de correspondance entre décor clinique et désillusion existentielle.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La singularité de ce mélo aux allures de roman-photo chic réside dans son incertitude, dans sa rétention de l’information, qui constitue en soi une forme de suspense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Benoît Smith
Les idées esthétiques sont souvent séduisantes, mais cette séduction même encombre la perfection que ces images engendrent par ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cinéaste Asli Ozge assume la banalité de la situation, met en scène l'impossibilité de communiquer entre deux êtres et l'ennui qui étouffe le couple. Cette intelligence a son revers, car l'ennui, comme le bâillement, est communicatif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Hendy Bicaise
Une mise en scène rigoriste qui évoque celle de Nuri Bilge Ceylan.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Quelques longueurs, mais une tension sourde et insidieuse, renforcée par les décors (maison hyper moderne, restaurant, musée), qui semblent constamment séparer les êtres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Artiste, Ela mène grand train dans sa joie maison d'Istambul. Sa "révélation" dilue son mal-être au gré d'un film qui nous parle, certes, de la haute société turque, mais reste banal d'un point de vue universel.
L'Humanité
Une expérience intéressante de correspondance entre décor clinique et désillusion existentielle.
Les Inrockuptibles
La singularité de ce mélo aux allures de roman-photo chic réside dans son incertitude, dans sa rétention de l’information, qui constitue en soi une forme de suspense.
Critikat.com
Les idées esthétiques sont souvent séduisantes, mais cette séduction même encombre la perfection que ces images engendrent par ailleurs.
Le Monde
Le cinéaste Asli Ozge assume la banalité de la situation, met en scène l'impossibilité de communiquer entre deux êtres et l'ennui qui étouffe le couple. Cette intelligence a son revers, car l'ennui, comme le bâillement, est communicatif.
Première
Une mise en scène rigoriste qui évoque celle de Nuri Bilge Ceylan.
Télérama
Quelques longueurs, mais une tension sourde et insidieuse, renforcée par les décors (maison hyper moderne, restaurant, musée), qui semblent constamment séparer les êtres.
Studio Ciné Live
Artiste, Ela mène grand train dans sa joie maison d'Istambul. Sa "révélation" dilue son mal-être au gré d'un film qui nous parle, certes, de la haute société turque, mais reste banal d'un point de vue universel.