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Ce rôle – tout en douleur, tout en pudeur–, le regretté comédien l’aborde avec une poignante retenue doublée d’une sensibilité suraiguë. Regrets éternels.
Un film sensible, qui offre à Robin Williams un (dernier) rôle d’autant plus bouleversant que son suicide est venu apporter au mal de vivre qu’il y interprète le paraphe de la réalité.
Ce qui surprend le plus, c’est le platonisme du film, qui ne consomme pas l’amour ressenti par le personnage, mais interroge plutôt le désamour dont il fait l’objet – d’où le fait qu’on se sente, tristement, mais de façon très belle et mélancolique, coupable lorsque le noir se fait.
(...) le film vaut surtout pour la prestation d'un acteur qui donne réellement l'impression d'exposer sa propre dépression et de montrer une douleur privée qui le conduira quelques mois plus tard au suicide.
Dommage qu’à l’instar de la partition tout en retenue de son acteur, la mise en scène feutrée de Dito Montiel ne s’émancipe pas vraiment de sa mécanique (espaces géométrisés / gros plans vacillants) pour venir nous bousculer.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) une oeuvre pudique et sensible avec un atout coeur : Robin Williams qui, d'une grande sobriété dans son dernier rôle, livre une composition bouleversante.
Quelques lourdeurs, tout de même, par endroits, mais l'important n'est pas là. On se fiche que le film soit bon ou mauvais. Boulevard est un émouvant écrin funéraire, un bel adieu à un acteur aimé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cette histoire d'amour avortée entre deux êtres brisés par l'existence (...) manque de finesse. En malus, une BO lancinante en mode chantage lacrymal...
CNews
Un rôle puissant comme cadeau d'adieu.
Femme Actuelle
Robin Williams dont c'est le dernier rôle y est bouleversant.
La Voix du Nord
Ce rôle – tout en douleur, tout en pudeur–, le regretté comédien l’aborde avec une poignante retenue doublée d’une sensibilité suraiguë. Regrets éternels.
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible, qui offre à Robin Williams un (dernier) rôle d’autant plus bouleversant que son suicide est venu apporter au mal de vivre qu’il y interprète le paraphe de la réalité.
Le Monde
Un beau portrait d’homme sans colère.
Le Parisien
L’ultime performance de l’acteur, qui s’est suicidé en août 2014, est magistrale.
Les Inrockuptibles
Ce qui surprend le plus, c’est le platonisme du film, qui ne consomme pas l’amour ressenti par le personnage, mais interroge plutôt le désamour dont il fait l’objet – d’où le fait qu’on se sente, tristement, mais de façon très belle et mélancolique, coupable lorsque le noir se fait.
Voici
Emouvant, ce drame l'est à double titre.
Positif
(...) le film vaut surtout pour la prestation d'un acteur qui donne réellement l'impression d'exposer sa propre dépression et de montrer une douleur privée qui le conduira quelques mois plus tard au suicide.
Première
Dommage qu’à l’instar de la partition tout en retenue de son acteur, la mise en scène feutrée de Dito Montiel ne s’émancipe pas vraiment de sa mécanique (espaces géométrisés / gros plans vacillants) pour venir nous bousculer.
Télé 7 Jours
(...) une oeuvre pudique et sensible avec un atout coeur : Robin Williams qui, d'une grande sobriété dans son dernier rôle, livre une composition bouleversante.
Télérama
Quelques lourdeurs, tout de même, par endroits, mais l'important n'est pas là. On se fiche que le film soit bon ou mauvais. Boulevard est un émouvant écrin funéraire, un bel adieu à un acteur aimé.
Critikat.com
Rien que pour la partition de Robin Williams, le film mérite qu’on y prête attention.
L'Express
C'est juste sans intérêt. A part Robin Williams, qu'on regrette.
Le Journal du Dimanche
il ne se passe pas grand-chose dans ce récit sans prétention, qui tourne un peu en rond.
Studio Ciné Live
Cette histoire d'amour avortée entre deux êtres brisés par l'existence (...) manque de finesse. En malus, une BO lancinante en mode chantage lacrymal...