Derniers Avis : Le Chasseur et la reine des glaces - Page 18

Superbe film et suite....
Charlize Theron magnifique en reine et son role de mechante elle lui va si bien...
Le chasseur est plus dynamique que le premier opus.
Par contre la bande annonce donne le tempo avec Charlize Theron et la on la voi au debut du film et dans les 30 dermieres minutes. Un pres avant et suite de blanche neige et le role de la reine des glaces surprenant.... Il est top ce film....

J'ai adore, un peux déçu que la reine des glaces meurt lol mais vraiment bien, l'histoire est bien, les effets spéciaux sont canon

ce nouvel opus de"blanche neige" est assez loin du chef oeuvre de Disney et l'absence de blanche neige se fait cruellement ressentir cependant le trio de choc ( chastain, blunt et surtout theron) le monde féerique du film et nombreuses péripéties rendent celui-ci attrayant jusqu'à bout.

Ce film est plutôt pas mal dans l'ensemble, c'est du divertissement intéressant et soigné.
C'est mieux que je pensais.
Les effets spéciaux sont très bien.

Soporifique, le flashback flashforward autour du film précédent est complètement raté, les personnages sont ridicules, les effets spéciaux aussi. Ou quand Universal pique très grossièrement les bonnes recettes de la Reine des Neige de Disney... Même les nains qui disent des gros mots semblent complètement à côté de la plaque. À éviter, dommage, j'y allais avec de bons sentiments: ce que j'avais le moins aimé du précédent étant... Blanche Neige, absente de cet opus

Grâce à Batman V Superman maintenant n'importe quel navet passe pour un chef-d'œuvre. La magie du cinéma. Donc après la reine des neiges voici la reine des glaces, la même version badass quoi, et oui ils ont osés... J'avais bien aimé le côté heroic fantasy du premier, surtout que cela donnait une nouvelle version du conte que l'on connait tous par cœur, sauf que là on brode une suite à partir du personnage focus du premier, le chasseur incarné par Chris Hemsworth égal à lui même, sur fond d'Hansel et Gretel mal assumé. Il demeure quelques aspects sympathiques dans cette suite, quelques retournements de situation, un bon casting féminin et pas mal d'humour... Mais globalement on aurait pu s'en passer, l'intrigue et tout ce qui gravitent autour sont très convenus. C'est toujours la surenchère visuellement, on est dans le kitsh explosif. La palme revient à Charlize Theron, qui semble par moment faire une autoparodie de sa pub Dior version acharnée. Bon on aura compris, à part quelque ajouts, la suite des aventures de Blanche Neige (sans Blanche Neige) est pas vraiment exceptionnel. Sois disant pour adulte mais avec une morale tel que "l'amour triomphe toujours " on se demande. Pas plus qu'un divertissement qu'on risque de vite oublier.

film extraordinaire, peut être avec un peu de longueur, les 3 actrices sont magnifiquement belles , les effets spéciaux sont très bien fait, les costumes supers, a voir et a revoir

Le plus gros soucis de Blanche-Neige et le Chasseur, c’était Blanche-Neige, une fois le personnage remercié ne restait donc que le meilleur le Chasseur interprété par Chris Hemsworth ! Un homme dans un monde peuplé de belles icônes féminine. On retrouve Charlize Theron (la reine), Emily Blunt (La reine des glaces) et Jessica Chastain (Sara). Des femmes fortes autour des thèmes de l’amour, de la loyauté et de la trahison.
A défaut de voir Kristen Stewart on est content de voir Sam Claflin dans le rôle du prince. L’humour est aussi présent avec notamment les nains dont Nion interprété par Nick Frost, assorti par d’autres camarades.
On y retrouve tout ce qui fait une bonne histoire de fantasy. Une balade dans la forêt, des monstres hideux, des aventures, une bagarre dans une taverne et des combats épique. Bref, si l’originalité n’est pas au rendez-vous au moins tous les codes sont respectés ! Si vous lisez un temps soit peu de la littérature de ce genre vous devriez avoir votre compte.
Le Chasseur est bien parti pour devenir une nouvelle franchise ce qui n’est pas pour me déplaire. Le succès semble une fois de plus au rendez-vous.

Lors de l’annonce d’un nouveau film en rapport avec « Blanche-Neige et le chasseur » qui fut un honorable succès critique et public, on sentait le projet mercantile à plein nez et on se demandait quelle allait être la direction prise par ses auteurs, surtout avec le refus du projet par Kristen Stewart, la Blanche-Neige du premier film. On ne peut nier que le script n’est clairement pas le point fort du long-métrage. Il semble avoir été écrit de manière purement utilitaire mais n’en est pas déplaisant pour autant, il fortifie l’univers du premier opus et l’étend de manière significative à défaut de le faire de manière indispensable. Mais, bizarrement ça tient tout à fait la route durant deux heures.
Et on ne l’aurait pas cru, mais ce « Chasseur et la Reine des glaces » se révèle au final supérieur à son ainé car il choisit de mettre de côté l’aspect conte de fées pour voguer en quasi-totalité sur les terres plus fertiles et adultes de l’héroïc fantasy. Entre les combats mêlant l’aspect médiéval et les arts martiaux, un petit bestiaire visuellement plutôt original et les décors fastueux qui en mettent plein la vue, le film finit par davantage avoir la trempe d’un succédané du « Seigneur des anneaux » que d’un film avec princesse et prince charmant et c’est tant mieux. D’ailleurs on notera le soin accordé au design des décors et aux sublimes costumes, qui dénote une direction artistique soignée et frôlant la perfection.
Il y a un ventre mou en milieu de bobines et on ne pourra pas dire que ce film renouvelle quoi que ce soit à force d’emprunts plus ou moins avoués mais cela aboutit à une mixture pop tout à fait comestible. C’est sympathique, rythmé et au final sans autre prétention que de nous divertir sans nous prendre pour des imbéciles. Mais ce qui place ce long-métrage au-dessus de la moyenne c’est bien entendu ces deux reines incarnées par Emily Blunt et Charlize Theron qui s’en donnent à cœur joie sans en rajouter dans des rôles récréatifs qui leur vont à merveille. Elles minaudent, se délectent de leurs dialogues et de rôles de méchantes très théâtrales qui font que lorsqu’elles ne sont plus à l’écran, on le ressent fortement. Elles sont le point fort d’un film pleinement dans l’air du temps.

Je fais parti des rares à avoir beaucoup apprécié Blanche-Neige et le Chasseur lors de sa sortie en 2012. Sans toutefois être parfaite, je trouvais cette relecture plutôt convaincante avec une porte ouverte sur un univers plus large et vaste qui donnait envie au spectateur d'en connaître plus, et bien évidemment un casting de qualité avec une superbe Charlize Theron.

Je ne pensais jamais voir une suite, où du moins cette idée m'était rapidement sorti de la tête durant ces quatre dernières années. Et pourtant... voici qu'un projet de film centré sur le personnage du chasseur vient pointer de son nez, et on annonce déjà que Chris "Thor" Hemsworth reprendrait son rôle mais que le film ne verrait pas le retour de Stewart dans la peau de la tendre princesse.
Bref, le temps passe et voici "Le Chasseur & la Reine des Glaces". Un film dont le titre pourrait dérouter pas mal de ces cher bambins élevé aux biberons Minnie et aux chansons de la Reine des Neiges. Parce qu'ici, il est bien question de deux soeurs mais non ce ne sont pas les gentilles Esla et Anna d'Arendelle (sortir leurs noms comme ça sans difficulté me fait d'ailleurs penser que je suis sans doute un peu trop endoctriné par ce film, mais bref) mais Ravenna (la méchante Reine démoniaque) et sa soeur Freya.
Elles servent de point de départ à cette histoire qui se passe à la fois avant les événements de Blanche-neige et après. Et dire que pas mal de monde s'attendait à voir un simple préquel centré sur le personnage de Eric, le chasseur... autant vous dire de suite que le scénario, si toutefois il demeure assez prévisible et parfois très simple, surprend.

Alors est-ce qu'on voit Blanche-Neige du coup ? Et l'histoire d'amour ancienne du chasseur, est-elle creusée ici ? Ravenna est-elle vraiment morte ou les apparitions de Charlize Theron ne sont que celles datant d'avant la période Blanche-Neige ? Et les nains dans tout ça ?

Tant de questions qu'on pourra se poser et on vous rassure : vous aurez vos réponses.
C'est en ça que le film surprend : son récit n'est pas dingue et ne réinvente rien mais à le mérite de se créer sur une temporalité qui amène à la rencontre de nouveaux ou d'anciens personnages dans des lieux toujours plus magiques les uns que les autres.
Y'a de l'action, des effets spéciaux plutôt bien foutus mais surtout, une énorme dose de fantasy et d'obscurité à la fois, ce qui est assez rare dans l'horizon des films actuels de ce genre (le premier opus et Maléfique avait ce "truc").

Les acteurs sont tous très bons, avec une Jessica Chastain toujours plus charmeuse que jamais dans ce rôle de guerriere badass mais hanté par un passé incertain. Emily Blunt est une bonne surprise et son personnage est le plus intéressant du film mais on ne pourra que saluer le retour de Charlize Theron en Ravenna. Elle n'apparaît pas longtemps mais suffit à faire opérer un personnage sensuel, attirant et effrayant à la fois. Nul doute, c'est un rôle qui lui sied vraiment.

Chris "Thor" Hemsworth fait du bon travail mais peine parfois à montrer qu'il est le héros de cet épisode aux dépend d'autres personnages.

Sinon que dire d'autre ? Ces "Chroniques de Blanche-Neige" ne s'achèvent pas ici (voir le dernier plan du film qui laisse clairement dubitatif et pas forcément confiant mais nous verrons bien) et il ne fait presque aucun doute que nous aurons bientôt de nouveau affaire à ce fabuleux univers.

Un conte de fée moderne, à l'histoire simple, mais alliant parfaitement magie, fantasy, violence et humour afin de combler les attentes de petits (mais pas trop quand même) et grands.
On en demandait pas tant et c'est vraiment sympa.

Belle histoire qui plaira au grand public avec des effets bien réussis et de somptueux décors. un bon moment de cinéma à savourer en famille...

Pas mal, mais je préfère le premier Dommage qu' on voit pas assez Ch.Theron. On passe un bon moment, pas un chef d'oeuvre non plus

J'écris ma toute première critique sur Allociné pour noter ce film. J'ai vu le premier qui était assez-bien, mais le second je le trouve mieux car je trouve l'histoire bien ficelée, situé avant et après le 1er. Mais avant d'aller voir ce film regardé le 1er pour mieux comprendre, et surtout ne regarder pas trop de bande-annonce car je me suis gâché le film tout seul: spoiler: la bande-annonce montrait que la méchante reine avait tué le bébé de Freya en manipulant le père de celui-ci.
Alors éviter d'en regarder trop pour vous spoiler à la fin. Et sur ce bon film à tous ;)

- Quand Andersen rencontre les frères Grimm -

Les contes ont été racontés et re-racontés. Valeur sûre car ancrés dans la culture populaire, les contes au septième art doivent toutefois pouvoir proposer quelque chose de nouveau au spectateur. A l'instar de Maléfique, il est possible de repenser le conte en changeant de point de vue. Mais il est possible d'aller plus loin. Pour le cas présent, il a été question de croiser l'univers de Blanche-Neige (sans cette dernière toutefois) des frères Grimm à ce qui semble être la Reine des Neiges d'Andersen, même si cela n'est pas confirmé officiellement. Freya, la Reine des Glaces, ressemble énormément au personnage du conteur danois, bien plus que le personnage d'Elsa du fameux Disney. Au niveau de la cohérence, le film s'arrime parfaitement au premier film de 2012 qui proposait la version classique de l'histoire de Blanche-Neige. Le Chasseur et la Reine des Glaces se situe avant et après le premier film tout en respectant l'histoire déjà présenté au spectateur. Le film réussit donc le pari du spin off - prequel - sequel cohérent, ce qui est un petit exploit.

- Une direction artistique irréprochable -

C'est au réalisateur français Cédric Nicolas-Troyan qu'est finalement revenu le projet du Chasseur et la Reine des Glaces, lui qui était second réalisateur sur le premier film. La mise en scène est simplement au service de la narration; la scène la plus élaborée étant la belle scène d'introduction avec le jeu d'échec, métaphore des plans de la méchante Reine. Cela n'empêche pas le film d'être par ailleurs très beau. Dans un style toujours aussi proche (que le premier) de l'heroic fantasy, le film impressionne par sa direction artistique. Le film présente des créatures jamais vues (monture de la Reine des Glaces) et réussit à présenter des gobelins innovants et crédibles, tâche difficile après l'adaptation au cinéma de Tolkien. L'univers du conte est lui présenté par le biais de plans généraux sur les différents paysages, pour la plupart réalisés à partir de paysages existants en Angleterre. Les plans sont épiques et iconiques fidèles héritiers du travail de Peter Jackson. Une grande partie des décors ont été reconstruits pour un effet réaliste très saisissant qui force à l'immersion. Les costumes sont magnifiques; ceux des deux reines sont particulièrement sublimes. Les autres personnages ont eux des costumes très réalistes et fonctionnels. Soulignons les magnifiques armures des différentes armées. Ce n'est pas un hasard si l'on retrouve la trois fois oscarisée Colleen Atwood derrière ce travail qui mériterait ici une nouvelle nomination.
Le travail des acteurs n'est pas en reste. Plus précisément, c'est le casting féminin qui force le respect. La simple présence de Charlize Theron, Jessica Chastain et Emily Blunt est un argument suffisant pour aller voir le film. Charlize Theron, moins présente que ses comparses, illumine l'écran dès qu'elle s'y trouve, capable d’éclipser le reste du casting, très à l'aise dans le rôle de la méchante Reine. Emily Blunt est sublime dans le rôle de la Reine des Glaces qu'elle interprète avec grande justesse, glaciale avec un soupçon de fragilité. Quant à Jessica Chastain, elle est impressionnante en guerrière, réalisant une grande partie de ses cascades. Dommage néanmoins qu'elle ne soit pas plus dans l'émotion car dès qu'elle offre une interprétation plus subtile, l'effet est poignant. Chris Hemsworth, qui lui campe le personnage principal, n'est finalement pas le plus intéressant parmi ces dames, son jeu étant un peu lourd mais toujours impressionnant au combat.
Pour terminer ici, notons le bon travail de James Newton Howard à la bande musicale qui contribue à souligner le côté épique et grandiose du film. La chanson du générique de Halsey est aussi excellente.
En substance, il est évident que la direction artistique est le point fort de film.

- Un scénario banal pour un fond peu travaillé spoiler: - [spoiler]Le film pêche néanmoins au niveau de son scénario, plutôt banal faisant juste le travail. Il existe à regret seulement deux petits retournements de situation prévisibles. Si le film est avant tout narratif, le moteur de l'intrigue est très simple et le schéma de l'histoire attendu. Il est par ailleurs dommage que les deux grandes méchantes, qui sont les personnages les plus saisissants et flamboyants, ne s'affrontent pas plus frontalement. Quitte à faire un film simple, ne pas lésiner sur l'action.

Il existe également une question subsidiaire sur la représentation des ethnies dans ce conte, qui prend place vraisemblablement en fonction des costumes, des paysages, des bâtiments et de l'histoire, sur un continent inspiré de l'Europe centrale (germanique) et de l'Europe scandinave moyenâgeuse. Bien qu'il s'agisse d'une Europe relevant de l'imaginaire, la machine Hollywood semble vouloir représenter sa population actuelle dans ces contes, ce qui produit un effet étrange. En développant simplement l'histoire, en faisant intervenir par exemple des conquêtes lointaines, des populations de type subsaharienne auraient pu apparaître sans problème dans l'histoire. Mais amener ainsi, le choix ne va pas de soi pour des petits villages du Nord, alors qu'il y a un effort de réalisme sur l'univers. Cela semble relever du quota. Quitte à vouloir promouvoir la diversité, il fallait proposer un personnage principal à la minorité afro-américaine avec un background développé et explicatif. Les quatre personnages principaux restent presque hypocritement blonds ou roux aux yeux bleus...
Néanmoins, c'est au niveau du message que le bât blesse le plus car dans un conte, la morale est primordiale. Il n'y a ici qu'un thème : l'amour. La notion n'est pas du tout travaillée ; il n'y a que la Reine des Glaces qui tente de s'y confronter en soulignant que l'amour peut rendre aveugle à la raison. Cela ne va pas plus loin. Il y a pourtant plusieurs types d'amour mais le film ne semble pas s'en inquiéter. spoiler: Le Chasseur connaît l'amour donc il est capable de triompher de tout.
Mais le film ne nous dit pas ce qu'est véritablement l'amour. Présenter ainsi, c'est presque cliché dans un conte.

En définitive, Le Chasseur et la Reine des Glaces est un bon divertissement qui offre une aventure immersive dans un monde d'heroic fantasy. Malheureusement, tout cela reste trop superficiel. Un plaisir coupable.

Une histoire banale sans intérêt, une suite de scènes qui donnent l'impression d'avoir déjà vu le film. Rien pour sauver le film du naufrage.