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    Le Fidèle
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    3,0
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    102 critiques spectateurs

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    defleppard
    defleppard

    390 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2018
    Une bonne série noire.........................la scène du braquo façon inspiration "Heat"..................bonne trame dans l'ensemble.................3 étoiles et demie.........!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 février 2018
    Un film correct même s'il y a des gros clichés qui rendent le film grotesque. Adèle possède des répliques manquées. Les patriarches flamands qui glissent des règles de vie en néerlandais ressemblent à des (mauvaises) copies de mafiosios italiens.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 février 2018
    Un jeu d'acteurs remarquables, les césars du meilleur acteur pour Mathias et meilleure actrice pour Adèle seraient mérités. Scénario rythmé et bien construit. Histoire d'amour inconditionnel sur fond de polar noir. MERCI pour ce grand moment de Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 février 2018
    Pauvre Matthias Schonaerts ! qu'est il venu faire dans cette galère ??? pourtant j'adore l'acteur mais on sent bien qu'il fait de son mieux pour nous accrocher à cette histoire sentimentale laborieuse. Autant les scènes d'action sont crédibles, autant tout se qui tourne autour de la relation amoureuse tombe aussi lourdement qu'un "container du haut d'un pont sur l'autoroute" !!! le dernier 1/4 d'heure du film me fait penser aux situations lourdingues d'un mauvais mélo à la française...Pourtant c'est un film belge ;) !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2018
    Tres beau film, bien orchestré et interprété. Un peu surréaliste comme histoire d'amour mais permet de rendre compte d'histoire d'amour plus complexes. Le père de la fille : que tu sois un bon ou mauvais gars peu importe mais tu ment pas, sois un homme. J'adore
    Eric MarceL
    Eric MarceL

    74 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2018
    Alors au début, connaissant le réalisateur et son Bullhead avec le même comédien j'y suis allé la fleur au fusil, bon, j'avoue j'ai des réticences avec Adele Exarchopoulos dont je trouve le jeu limité, mais bon, vu le sujet j'ai foncé. Mais alors c'est comme si on m'avait lancé sur une piste de ski, au début il fait beau, ça descend agréablement et puis... ça a vite dérapé dans le brouillard, la pluie et la boue. D'abord le jeu des comédiens, je n'ai jamais vu Schoenerts si à côté dans son jeu (il n'a jamais trouvé sa place dans ce film), et surtout les deux, leur histoire d'amour : on n'y croit pas une seule seconde !!! À part, à la limite une relation basée sur le sexe, les deux ne fonctionnent absolument pas, il n'ya aucun amour entre eux, aucun, et elle à part garder sa bouche toujours ouverte et avoir une belle plastique, on n'y croit pas du tout non plus en fille de riche conductrice de voitures de sports. Ce qui marche dans ce film ce sont les braquages, mais même là, Mathias S n'a pas sa place, on se demande ce qu'il fait dans cette bande, toujours passif, il n'ya aucun lien.... Et après, le troisième acte, alors là, ce n'est pas que ça frise le ridicule : c'est ridicule ! j'en ai même crié "non j'y crois pas!" car non, je n'y crois pas, quel ratage et ce qui m'ennuie le plus c'est que le Mathias S dont j'étais fan absolu, me donne envie de devenir amnésique.... Ne me refais plus jamais ça Mathias ;-)
    JackfromParis
    JackfromParis

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2018
    réponse belge d'"Un prophète" de Audiard avec un plus de romantisme mais moins de passages de tension extrême.
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2017
    Une romance sous fond de pot d'échappement et de banditisme. Michaël R.Roskam film sous un trait noir un duo d'acteurs réputés pour leur poigne. Le film "se laisse regarder" comme dirait l'autre, avec une mention spéciale pour les scènes de courses sur circuit, magnifiquement tournées. Il y a cette narration virile, cette volonté d'emporter le spectateur en s'attachant aux acteurs. Le problème, c'est que le cinéaste belge utilise ces acteurs dans ce que l'on a l'habitude de les voir. La première, formée par Kechiche, qui à du mal à me convaincre, joue avec son sourire et sa gouaille qui en font son charme. Féline peut-être, mais sa palette de jeu est encore trop réduite à mon goût. Idem pour Schoenaerts. Tellement mieux chez Audiard ou le Maryland d'Alice Winocour, cette brute qu'on ne cesse de calmer joue dans son confort. Simplement un problème de timing, où j'attends ces acteurs dans un contre-emploi.
    Flaw 70
    Flaw 70

    262 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2017
    Alors qu'en 2011 il s'était imposé comme un vrai petit prodige avec son premier film Rundskop, et qu'il avait effectué un tournant de carrière plutôt solide avec The Drop en 2014, sa première production américaine, on était curieux de voir ce qu'allait nous réserver Michaël R. Roskam pour la suite de sa carrière. Revenant à une production franco-belge, il promet de revenir à un cinéma plus personnel avec son Le Fidèle dont il en a écrit le scénario. Malheureusement il s'avère que son dernier né est un film qui ne sait pas sur quel pied dansé et qui finit par tourner en rond avant de totalement s'effondrer sur lui-même.

    Le premier défaut de Le Fidèle, celui qui saute très vite aux yeux, c'est la volonté de Roskam de s'imposer comme un auteur. Le cinéaste à très clairement conscience de ses obsessions et impose grossièrement ses thématiques à son oeuvre, notamment celle qui le fascine, l'animosité humaine. Dans Rundskop il affiliait son héros à un bœuf sous stéroïdes, le filmant et l'écrivant comme un animal enragé et indomptable. Cette filiation avec les animaux on la retrouvait aussi dans une moindre mesure dans The Drop, quand le personnage principal se confondait avec le chien qu'il adopte. Ici, Roskam mélange sa thématique de l'animal pour encore une fois caractérisé son héros, soulignant le paradoxe de sa peur des chiens car il se reconnait en eux. A la fois victime de leurs maîtres et prisonniers de leurs destins mais aussi du fait que ce sont des animaux impulsifs qui agissent plutôt qu'ils réfléchissent. Il y a une manière assez intéressante de symboliser son héros de cette façon, un braqueur qui suit plutôt qu'il ne décide et vers le dernier acte du film il y a quelque chose d'assez fort qui se dégage de tout cela. Mais le problème c'est que cela est amené sans la moindre subtilité et est en plus noyé au milieu de tout ce que le film essaye aussi d'accomplir.

    Car au milieu de ce foutoir scénaristique, on se rend compte qu'il y a trois films en un, tous découpés de manière très didactiques. On a en guise de prologue et d'épilogue cette oeuvre métaphorique sur l'indomptabilité de la vie où son héros n'est qu'un chien effrayé qui fuit ce qui pourtant le rattrape toujours. C'est la partie la plus proche de ce Roskam affectionne et elle dispose de jolis métaphores malgré le fait qu'elle soit totalement forcé dans le récit au point qu'elle n'y trouve pas sa place. Car ensuite en guise de premier acte, on plonge dans le film de casse classique avec le braqueur au grand cœur qui tombe amoureux d'une fille qui sera tiraillée entre son amour pour lui et la justice. Sans surprise, très peu palpitant et avec des dialogues souvent risibles, ce premier acte n'impressionne guère. Pas aidé par l'absence d'alchimie entre les deux acteurs principaux qui ont du mal à nous faire croire à cette romance. Puis on bascule dans un deuxième acte plus centré sur le personnage d'Adèle Exarchopoulos où l'actrice à tout le loisir de nous montrer qu'elle ne sait pas jouer. Le tout devient alors un drame misérabiliste sur la maladie et les regrets qui tranche totalement avec le reste avant de revenir pour l'épilogue au héros et son caractère animal, comme une boucle qui se boucle maladroitement avec effets narratifs bien pompeux.

    Totalement mal écrit et tiraillé par des ambitions contraires, le film ne parvient même pas à être sauvé par sa réalisation pour le moins insipide. Les rares scènes musclées manquent de punch et paraissent très artificielles, et le tout est guidé par une mise en scène trop appuyée dans ses effets dramatiques et qui accentue le misérabilisme ambiant. Il y a pourtant une certaine maîtrise qui ressort ici et là, notamment dans la composition des plans et un sens du cadrage habile mais Michaël R. Roskam étouffe trop cela dans des scènes d'un ridicule sans nom. Comme lorsque le personnage principal met un coup de pied dans un chien qui vient de le mordre et que tout le monde se retourne contre lui, que la police était là au même moment et que tout les éléments l'accablent sans la moindre finesse. Une scène surréaliste de bêtise.

    Il n'y a au final que très peu de chose à retenir de Le Fidèle. Seul Matthias Schoenaerts peut se féliciter de sortir la tête haute de ce naufrage, car l'acteur s'impose véritablement par son charisme et l'intensité de son jeu. On ne peut pas en dire autant d'Adèle Exarchopoulos où son jeu est plus que jamais proche du bovin qui rumine. Mais les acteurs ne peuvent pas faire grand chose face à un scénario pas tenu, grossièrement écrit et ridicule à souhait au sein d'une mise en scène sans relief et misérabiliste. Le Fidèle est donc un mauvais film et une déception de taille pour tout ceux qui portaient des espoirs en Michaël R. Roskam.
    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2017
    Gino, réputé dans l'import export, braqueur dans la vraie vie, tombe amoureux de Bénédicte (Bibi), une jeune femme pilote de course. Il lui cache ses activités illégales tandis que l'amour s'épanouit entre eux et qu'il lui parle de mariage. Le dernier braquage avec ses potes de toujours tourne mal.

    Le Fidèle est un film franco-belge réalisé par Michaël R. Roskam, sorti en 2017. Roskam s'était fait connaitre avec le polar nerveux Bullhead qui avait révélé Matthias Schonaerts.
    Le fidèle m'a déçu. Le film éveille un certain intérêt dans sa première partie, cette intrigue amoureuse contrariée à cause des mauvaises habitudes de braqueur de Monsieur aurait pu déboucher sur un film intéressant. La deuxième partie du film fait malheureusement sombrer le métrage dans le ridicule.

    A ceux qui ont vu le film et à ceux qui n'auraient pas envie de le voir, le paragraphe garanti 100% spoils ci-dessous est pour vous:

    Après son braquage aboutissant à son arrestation, Gino écope de 15 ans de prison. C'est alors qu'il décide de faire un enfant à "sa belle" qui dans la foulée, attrape un cancer agressif des ovaires qui finira par la tuer. Pendant un congé pénitentiaire, Gino sortant d'une boutique de vêtements pour enfants, tout dévoué à sa future nouvelle condition de père, réussit même à "shooter" un chien ratier qui l'avait mordu, prenant la fuite après avoir remis ses papiers à la police...
    Avant sa mort, Bibi fomente l'évasion de Gino par des Albanais et son départ pour l'Argentine, leur rêve commun. Le problème, c'est que Gino ne veut plus partir seul....il se fait alors "dérouiller" par les albanais qui l'enferme dans une cage entourée de chiens de combats (alors qu'il a la phobie des chiens). (pffff....).

    Le scénariste du film a du perdre la raison pendant l'écriture du scénario même si on doit lui reconnaitre que l'évolution de l'histoire est aussi ridicule qu'elle n'est imprévisible.

    Les personnages n'éveillent aucune empathie chez le spectateur. Ni M.Schonaerts ni A. Exarchopoulos ne parviennent réellement à intéresser le spectateur qui assiste, indifférent, l'oeil rivé sur sa montre, au naufrage des 2 personnages principaux.

    Le dernier défaut du film est sa longueur, plus de 2 heures, si bien que l'on peut finir par s'ennuyer fermement devant ce polar dramatique bizarroide.

    Rien à dire sur le casting sinon qu'Adèle Exarchopoulos au regard toujours aussi vide, aime toujours autant jouer dans "le plus simple appareil", ce qui demeure plutôt agréable à regarder.
    ffred
    ffred

    1 730 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2017
    Après le choc Bullhead et le plus classique mais non moins réussi Quand vient la nuit, revoici Michaël R.Roskam. Sans changer vraiment de registre le metteur en scène belge nous offre un nouveau film fort où l’action côtoie cette fois le romanesque. Ça part comme un film de gangsters pour glisser progressivement et se terminer en mélodrame. L’ensemble est solide, toujours parfaitement mis en scène et en images. Le scénario étant cette fois peut être un petit peu moins convaincant. D’aucuns diront que c’est « too much », surtout la dernière partie. L'interprétation est quant à elle très convaincante. Matthias Schoenaerts toujours parfaitement à l’aise dans ce genre de rôle. Adèle Exarchopoulos s’en sort également très bien. Le duo est aussi magnétique et charismatique que sexy. Le reste du casting suit le mouvement. Au final, pas le meilleur film de son auteur (sans parler de déception) mais un polar noir et romantique, aux allures de tragédie grecque, qui prend aux tripes et nous fait passer un bon moment. Je m’attendais peut être à quelque chose d’un peu plus puissant mais Le fidèle restera l’une des plus belles histoires d’amour vue cette année sur grand écran...
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2017
    Amour stérile

    Michaël R. Roskam est un réalisateur à part dans l’univers Belge. Après nous avoir cloué au sol avec “Bulhead” (un petit chef d’oeuvre) puis emballé avec “Quand vient la nuit“, on ressort déçu par “Fidèle”.

    Dommage, le film commence bien et la première partie nous emporte. Malheureusement au bout d’une heure, tout devient interminable et truffé d’invraisemblances.

    Matthias Schoenaerts est toujours félin, un mélange subtil de charisme, d’élégance et de bestialité font de ce comédien, un cas particulier.

    Adèle Exarchopoulos est une bombe à retardement, la camera la dévore, elle est sensuelle et électrique, comme Schoenaerts, elle joue à l’instinct.

    L’intrigue est classique mais Michaël R. Roskam sait jouer une partition différente, les personnages sont à part. L’ambiance se fait “ombre et lumière” et la réalisation est nerveuse et sans détour.
    Seulement le scénario s’enlise dans une relation amoureuse obsessionnelle sans grandeur d’âme. Gigi n’est, finalement, pas le “fidèle” même si son amour est absolu, c’est Bibi qui trinque et salement de plus.

    Puis la deuxième partie du film s’éternise dans des situations parfois grotesques : la réunion avec les Albanais, l’étrange homme d’affaire qui tient les ficelles, il n’est pas plus crédible qu’un poisson rouge. On note, quand même, un excellent braquage. La phase de maladie de Bibi est larmoyante et le tout part en sucette. On repart triste d’avoir attendu avec conviction le dernier film de Michaël R. Roskam, persuadé qu’il allait encore une fois nous surprendre et nous déranger.

    Évidemment, il a le droit de se planter, donc on patiente encore, plein d’espoir, pour découvrir le prochain projet.
    Shinny
    Shinny

    41 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2017
    Deux acteurs inégaux un Mathias qui impressionne et une Adèle sublimée par le réalisateur qui malheureusement ne réussit jms à nous émouvoir ...peut être encore trop immature on a le sentiment de voir l'actrice et sa beauté avant le personnage. Le scénario et les dialogues restent en superficie et classiques. Le mélange fait qu'on n'est touche par le tragique de leur histoire. Dommage.
    Revo67
    Revo67

    16 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2017
    Une rencontre qui va changer le destin d'un braqueur lorsqu'il rencontre cette fille, pilote de voiture. Une histoire d'amour qui donne du sens à sa vie mais qui va s'avérer concrètement difficile à se réaliser. Le scénario est intéressant et les acteurs sont très bons. Dommage que la deuxième partie du film se disperse ,on perd un peu l'attention. Certaines scènes sont trop longues mais cela reste quand même un bon moment de cinéma.
    elbandito
    elbandito

    349 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2017
    Matthias Schoenaerts et Adèle Exarchopoulos ont beau être deux talentueux acteurs formant un beau couple de cinéma, il est difficile de croire leur romance impossible, tant les personnages sont éloignés de la réalité. Là ou Michael R. Roskam nous avait stupéfaits par la violence sourde et explosive de Bullhead, il échoue ici à rendre crédible cette histoire qui se veut ancrée dans le réel social flamand. La bande annonce mensongère laissait espérer un bon film de braquage, mais on en est très loin au final car les scènes d'action sont invraisemblables et numériquement bâclées, l’histoire se recentrant sur un mélodrame inattendu. Reste une seconde partie du film assez efficace sur la fuite en avant du couple.
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