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Un visiteur
0,5
Publiée le 18 avril 2018
ma critique de ce film sera à la hauteur de ce dernier: tout pourri. Pire que perdre son temps! Dégouté. Faut quand même préciser un point non négligeable: absence totale de scénario, dans le descriptif comme si c'était fait pour les enfants et fait à base de pauvres formules. Le suspens a duré 1 minute, à la moitié du film après c'est la descente glauque vers le néant, sans intéret.
J'ai pas mal attendu ce film, je le reverrai avec plaisir, j'ai beaucoup aimé l'esthétique. J'ai aussi apprécié le nom de famille de bibi qui quand on le prononce est une référence au film ULTIME consacré au sport auto, suis je le seul à l'avoir remarqué ?
Une très bonne moitié de film, mais malheureusement après une scène où le film bascule, le film devient une succession d'événements tragiques qui tombent comme ça. .. Et le film devient un mélodrame. Même si je me doutais dès la bande annonce que le film n'était pas un film avec une fin heureuse.
Pourtant la toute dernière scène du film m'a ému. Bref, celà aurait pu être un excellent film. Je le reverrai quand même avec plaisir.
Après un Rundskop campé en terre limbourgeoise sur fond de mafia des hormones, The Drop dans une ville du nord des Etats-Unis sur fond de recel maffieux, Roskam nous revient avec ce Fidèle, en Belgique sur fond de braquages et de courses de voitures.
Chaque film semble se fondre dans un style narratif lié aux productions qui sous-tendent la réalisation : Rundskop décrivait des personnages ancré dans leur terroir flamand à la manière des films flamands, The Drop avait l'énergie descriptive d'un excellent film américain et Le fidèle ressemble beaucoup à un film français aux dialogues souvent murmurés.
Heureusement, la caméra qui suit les visages des personnages et décrit en silence leurs émotions fugaces reste celle de Roskam, à la manière d'un peintre.
Chacun de ses trois films est lent à sa façon. La lenteur de la banalité dans Rundskop, celle de la simplicité dans The Drop et celle des sentiments dans ce film-ci. A la française, donc, et c'est ce qui affadit le trait pourtant si vif des deux précédentes oeuvres.
Après une heure d'intensité très inégale, l'histoire se transformespoiler: , quand Sandra débarque avec la police dans l'appartement de Gino où se recueillait Bénédicte, et prend une toute autre tournure.
La scène du téléphone est d'une beauté réaliste absolue et déclenche une suite ininterrompue d'autres scènes en plus ou moins longs plans séquences toujours aussi lents mais de plus en plus prenants, où les regards des personnages nous font percevoir leurs émotions. A ce niveau, Adèle Exarchopoulos nous livre une prestation magnifique, donnant la réplique à un Matthias Schoenarts qui, comme il en a l'habitude, se dévoile au fil de l'histoire.
Au final, l'histoire de gangster sert de prétexte à une très belle et très triste histoire d'amour fou, au rythme inégal mais avec des scènes d'une poignante finesse émotionnelle, soutenue par un acteur et une actrice réellement doué·es.
Je m'attendais à mieux c'est vrai mais ce film est tout de même agréable à regarder. On ne s'ennuie pas. Le couple Exarchopoulos/Schoenaert fonctionne bien. Le jeu de Matthias Schoenaert est vraiment au top, très naturel et tellement sexy !
Ça commence façon love story du badboy avec la belle innocente. Ça se termine en melo qui n'a ni queue ni tête. Tout ça dans une seconde partie qui n'en finit pas.
Ne lisant jamais les pitch, je pensais voir un film sur la religion. Mais ce n'est pas du tout ça, très belle histoire, mélange de genres, braquages, violence et amour pour finir en grand mélodrame. L'actrice est jolie comme un cœur, notre bon Matthias a toujours sa tronche et joue toujours aussi bien, les scènes d'action sont fort bien réalisées et spoiler: j'ai beaucoup aimé le coup du container, c'est très original ! En bref, un bon film à voir.
Particulièrement déçu par le sénario qui accumule les tragédies sans intérêt. Pour ma part il ne s'agit sûrement pas d'un thriller , ni d'un film d'action et encore moins un film d'amour. Difficile de s'accrocher à ce film qu'on ne plus bancale. Les personnages manquent cruellement de personnalité. Les échanges du couple amoureux sont tellement limité qu'il nous est impossible de se laisser envouté par leur histoire d'amour. Particulièrement ennuyant.
Matthias Schoenaerts sourit dans ce film.. C'est assez rare pour être souligné. Sinon film excellent, rythmé, Actrice au top. Une heure est demi sur le fil du rasoir. L'amour, la vitesse, le risque, la peur, la vie, la mort...Tout y est... à 200 Km/h. A ne pas rater.
Je tiens à signaler tout d’ abbord le grand jeu d’ actrice d’ Adele K. qui est juste de A à Z dans le rôle d’ une jeune femme qui tombe amoureuse d’un voyou...Le film est propre, dans le sens ou la mise en scène est de qualité même si parfois un peu lente, c’ est un film noir, sombre qui traite au final beaucoup plus d’ un drame amoureux que du polar annoncé...l’ histoire d’ amour est profonde voir viscérale mais malheureusement l’ émotion ne prend pas et c’ est là ou le bas blesse! A voir tout de même au moins pour la performance d’ acteur...