AlloCiné
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Votre avis sur Invincible ?
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Magnifique film d'Angelina Jolie sur une partie de l'incroyable vie de Louis Zamperini. J'aurais bien souhaité qu'elle continue à retracer sa vie car la deuxième partie de sa vie n'est pas moins intéressante et elle sait bien manier la réalisation pour obtenir l'intérêt du public. Bravo Mme Jolie pour ce très bon moment !
J'adore les films d'aventure, d'autant plus lorsqu'ils sont inspirés de faits réels, mais j'aurais apprécié un plus d'action. Les prisonniers encaissent les coups sans jamais tenter quoique ce soit... quelques longueurs par ci par là.
"Invincible" est particulièrement intéressant dans sa première partie. On y montre de façon spectaculaire et réaliste la guerre aérienne (même si normalement les bombardiers étaient protégés par des chasseurs contre les avions adverses). La deuxième partie (celle dans les camps de prisonniers) est quant à elle moins réussie en raison d'une approche très factuelle laissant peu de place à la psychologie. C'est sans doute un choix pour mieux illustrer la déshumanisation et éviter de tomber dans quelque chose de trop larmoyant. Mais on ne peut pas s'empêcher de comparer le film au "Pont de la rivière Kwai" ou encore à "Furyo" où la psychologie de l'humain reste centrale. Ceci dit, malgré ce bémol de taille, "Invincible" illustre parfaitement son sujet et sait malgré tout émouvoir.
Très beau film d'Angelina ! Un hommage à la paix et au courage, le film est très bien filmé avec de belles images. Malgré la dureté de la guerre, le héros arrive à nous faire sourire et espérer. Voici un bel hommage pour ce sportif.
Un film qui appelle à l'héroïsme, il plaira beaucoup aux hommes mais un peu moins au femmes d'après tout les retours reçus.
Un film qui appelle à l'héroïsme, il plaira beaucoup aux hommes mais un peu moins au femmes d'après tout les retours reçus.
La réalisation certes irréprochable mais bien fade d'Angelina Jolie ne permet jamais de donner force et surtout émotion au récit époustouflant de la vie d'un athlète devenu symbole de résilience et de force mentale dans des conditions particulièrement éprouvantes. Il n'y a rien à reprocher à l'aspect technique ou interprétatif du film mais le souvenir m'en restera évanescent. Mention spéciale à Garrett Hedlund cependant qui se découvre chaque fois sous un jour différent.
Jack O’connell incarne Louie Zamperini, un jeune américain coureur de fond olympique qui se retrouve engagé dans l’aviation militaire américaine lors de la 2ème guerre mondiale. Suite au ceash de son avion, on suit alors son expérience terriblement difficile de survie dans le pacifique, puis dans les camps d’emprisonnement japonais où il devient rapidement le souffre douleur du commandant japonais surnommé « L’oiseau ». Un film qui nous plonge au coeur de la cruauté de la guerre et des camps de prisonniers où sévissaient des tortionnaires abusant de leur position dominante. Un récit émouvant tiré de faits réels, remarquablement interprété.
Un film qui prend aux tripes. Puissant. Qui vous hante encore le lendemain et une découverte du talent d Angelina jolie en tant que réalisatrice. À voir absolument.
Le réalisme saisissant de la scène de bataille dans les airs au début du film, met d'emblée le spectateur sous tension. Une tension gardée jusqu'au dénouement, tant l'horreur de la Guerre du Pacifique est restituée ici avec une précision d'orfèvre. Une période de la 2e Guerre Mondiale méconnue des Français et dont j'ai pris toute la mesure en lisant The Last Ring Home, l'histoire vraie de Minter Dial racontée par son homonyme de petit-fils. Angelina Jolie a su reconstituer les conditions inhumaines de détention des prisonniers de guerre dans les camps japonais. Il s'en dégage un sentiment général de peur, de dégoût, de pitié, d'incompréhension et aussi d'admiration pour Louis Zamperini. Superbe film.
Ce film, raconté par A. Jolie dont je connaissais pas le travail de réalisatrice, est une ode à la combattivité et au positivisme. Il faudrait s'y référer lorsqu'on se croit au plus mal. Le début du film est particulièrement bien fait, ensuite on s'ennuie un peu notamment lorsque l'action se passe dans les camps de détention. On apprend à bien connaître ce personnage de Zamperini dont le courage devrait servir d'exemple. Un bon petit film à recommander.
Certes, le long-métrage est bel et bien tiré d’une histoire vraie, mais il faut avouer que l’enchaînement systématique de tous ces événements dramatiques finit par anesthésier le spectateur au risque de nous rendre totalement imperméables à ce qui se déroule à l’écran. En gros, si j’ai trouvé le début du film assez impressionnant, cela devient vite long et répétitif, voire carrément ennuyeux pour qui a déjà goûté à la complexité d’un film aussi brillant que Furyo. En fait, le métrage manque clairement d’un point de vue nuancé et s’avère donc une simple évocation de la résilience d’un héros américain face à l’adversité. Bof.
Deux étoiles pour la photographie et les acteurs.
Mais le reste est d'un ennui total. A force de dérouler de la pellicule sur des scènes de souffrance physique et morale, on finit par les rendre banales et sans sens.
N'est pas Redford, Eastwood, Penn ou Afleck qui veut, je commence à me demander si la carrière d'Angélina Jolie ne tient pas plus à sa plastique, la notoriété de son père ...
Mais le reste est d'un ennui total. A force de dérouler de la pellicule sur des scènes de souffrance physique et morale, on finit par les rendre banales et sans sens.
N'est pas Redford, Eastwood, Penn ou Afleck qui veut, je commence à me demander si la carrière d'Angélina Jolie ne tient pas plus à sa plastique, la notoriété de son père ...
J'apprécie lire une partie des critiques avant de rédiger la mienne. J'ai surtout tendance à lire les très mauvaises quand j'ai apprécié un film, et vice versa.
J'avoue rire quand je lis : " c'est n'importe quoi, on ne peut pas survivre autant de jour en mer sans boire ni manger ". Alors, ok, oui, c'est vrai. Mais étant donné que le film est tiré d"un fait réel, je ne vois pas vraiment l'intérêt de douter ...
Après, comme son genre l'indique, c'est un film ( et non un reportage ). On voit une partie de ce qui s'est réellement passé, mais on ne peut pas tout nous montrer non plus. Avec un peu d'imagination, on peut très vite se dire qu'il a dû pleuvoir quelques fois, comme montré dans une scène. Et qu'ils ont dû pêcher à plusieurs reprise. Bref, passons à autre chose qu'à essayer de rendre crédible, aux yeux de certain, une histoire vraie.
Pour ce qui est du film, je l'ai trouvé très bien. Il est vrai qu'il traine parfois en longueur, mais c'est aussi dans les scènes longues, où le héros se bat pour survivre, qu'on comprend à quel point la souffrance était présente.
De mon pont de vue, les acteurs étaient très bons et convaincants dans leur rôle.
Un film à voir au moins une fois.
J'avoue rire quand je lis : " c'est n'importe quoi, on ne peut pas survivre autant de jour en mer sans boire ni manger ". Alors, ok, oui, c'est vrai. Mais étant donné que le film est tiré d"un fait réel, je ne vois pas vraiment l'intérêt de douter ...
Après, comme son genre l'indique, c'est un film ( et non un reportage ). On voit une partie de ce qui s'est réellement passé, mais on ne peut pas tout nous montrer non plus. Avec un peu d'imagination, on peut très vite se dire qu'il a dû pleuvoir quelques fois, comme montré dans une scène. Et qu'ils ont dû pêcher à plusieurs reprise. Bref, passons à autre chose qu'à essayer de rendre crédible, aux yeux de certain, une histoire vraie.
Pour ce qui est du film, je l'ai trouvé très bien. Il est vrai qu'il traine parfois en longueur, mais c'est aussi dans les scènes longues, où le héros se bat pour survivre, qu'on comprend à quel point la souffrance était présente.
De mon pont de vue, les acteurs étaient très bons et convaincants dans leur rôle.
Un film à voir au moins une fois.
Fêtons le cinéma
Un pays a le droit de consacrer ses valeurs et ses idéaux par le biais d’une figure héroïque nationale ; la difficulté réside alors dans le traitement réservé à l’Histoire. Car on ne peut pas raconter ce que l’on veut lorsqu’on postule « ceci est tiré d'une histoire vraie ». Ou la petite histoire qui fait la grande. Et la seule erreur – assez lourde en conséquence – que commet Angelina Jolie réside dans l’unicité du point de vue adopté malgré une (seule) scène exhibant un village japonais ravagé et ses habitants décimés. Il fallait au contraire promouvoir le dialogue des guerres et non s’embourber dans la torture d’un Christ en puissance : ce que fit Clint Eastwood avec son diptyque Mémoires de nos pères et Lettres d’Iwo Jima, ce que fera Martin Scorsese avec Silence. On pourra aussi reprocher à Invincible une tentative un peu balourde de justifier la violente outrancière d’un Japonais par une photographie paternelle ainsi qu’un final commercial qu’Angelina Jolie n’a, on peut le penser, pas choisi (Coldplay est vraiment malvenu). Ces défauts ne doivent pourtant pas masquer les nombreuses, très nombreuses qualités du film, à commencer par sa mise en scène et sa photographie. Jolie sait parfaitement où poser sa caméra et livre des plans époustouflants qui parviennent à immortaliser ses protagonistes et leur combat tout en rendant son récit fluide et dynamique. La construction en flashbacks est intelligente, fonctionne bien ce qui réserve des scènes de tension mémorables. La composition musicale signée Alexandre Desplat accompagne discrètement le métrage tout en livrant un très beau thème principal. Surtout, Angelina Jolie a cette manière de capter l’homme face à l’immensité qui donne un réel vertige au spectateur : il est en ainsi du naufragé contemplant l’horizon d’océan cerné, ne sachant où poser le regard. Elle confère à son personnage principal une essence divine sans pour autant le rendre passif face à la barbarie : il se tient debout, chute et se relève ; ainsi, il n’est pas le Christ mais plutôt sa version héroïque, américanisée en quelque sorte. Il ne se laissera pas crucifier, ne deviendra pas un modèle de souffrance ; Zamperini se relèvera et triomphera par sa patience – du patior latin signifiant souffrir. Peut-on reprocher à Invincible de prôner la ténacité, de rétablir un sentiment religieux à une époque où l’égotisme et les intérêts personnels semblent régner en maîtres ? Il ne manque, en fin de compte, au personnage de Zamperini qu’une remise en question personnelle doublée du doute et de l’erreur ; car il est paradoxal d’avoir un héros lisse à la blancheur intérieure totale dans une guerre qui change l’homme en machine monstrueuse.
Quelle histoire et quel homme!
Bouleversant de voir l'acharnement qu'à du subir cette homme..
Je ne comprends pas pourquoi, on ne nous enseigne pas cela à l'école..
Je n'ai jamais été un grand partisan des cours d'histoire mais des films comme ça me donne envie de tout savoir..
Une cruauté sans nom. 3.5/5
Bouleversant de voir l'acharnement qu'à du subir cette homme..
Je ne comprends pas pourquoi, on ne nous enseigne pas cela à l'école..
Je n'ai jamais été un grand partisan des cours d'histoire mais des films comme ça me donne envie de tout savoir..
Une cruauté sans nom. 3.5/5
Excellent film d'Angelina !!!! Quelle force, quelle leçon !! dans l'énergie et le courage de l'histoire de Louis Zamperini très bien interprété par Jack O'Connell . Attention c'est un film difficile, notamment en tant que prisonnier des japonais - où les scènes sont insupportables, et formidable de résistance - après l’amerrissage de leur avion, 43 jours je crois en mer avec un radeau certes, mais rien d'autre. Ce héros nous a quitté l'année dernière à 97 ans et c'est un bel hommage qui lui est rendu. Sa famille peut être fière !! **
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