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Votre avis sur Invincible ?
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Cinéphiles 44
Il est certain qu’en tant que réalisatrice, Angelina Jolie prendra la relève sur le grand Clint Eastwood. Quoi qu’il en soit, son Invincible est un portrait américain avec des valeurs américaines et une mise en scène américaine. C’est donc typiquement le long-métrage qui séduira le grand pays. De l’autre côté de l’Atlantique, il nous faut émettre cette réserve ou peut-même mettre de côté notre jalousie que nous n’avons pas d’aussi grand héros… ou de réalisateur qui en parle. Objectivement, ce long-métrage est qualitatif. Nous pouvons saluer avec Jack O’Connell, Domhnall Gleeson et Jai Courtney un casting adéquatement choisit. Seulement Angelina a dû faire le paru de faire gémir un nombre de spectateur. Sa construction très mélodramatique fatigue. Ce que traversent les personnages est certes éreintant mais il y a d’autres moyens que l’émotion tragique pour nous le faire comprendre. Louis Zamperini était un grand sportif, pourquoi ne pas nous fatiguer dans cette situation. Bref Invincible est un joli film, mais qui manque encore de maturité pour être inoubliable et entrer dans la veine d’un Eastwood.
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4.5/5 Ce film est une vraie bonne surprise pourtant je n'aime pas les films de guerre car on voit que de ça mais l'histoire est plutôt palpitante, la réalisation est vraiment sublime, les acteurs sont charismatiques juste un petit peu long quand il est dans le bateau de secoure.
Un chef d'oeuvre ! Une histoire vraie, extraordinaire, un scénario en béton, une mise en scène magistrale, pas de scène bidon ou superflue et une interprétation sans faille. Ça rappelle les films de David Lean de la grande époque.
Il est indéniable que le jeu d’acteurs est plus que correct, mais il est malheureusement au service d’une histoire peu marquante. Ce serait injuste de dire que je n’ai rien ressenti, parce que l’on compatit avec les personnages et leurs souffrances physiques et morales, du moins autant que se peut, mais j’ai été beaucoup plus marquée par d’autres films, sur la guerre civile entre Anglais et Irlandais au vingtième siècle ou sur l’esclavagisme (12 Years A Slave pour ne citer que lui) notamment, qui finalement traitent du même sujet : un anti-héros qui, par un hasard du destin, se trouve au mauvais endroit au mauvais moment et va endurer des souffrances indescriptibles, mais finalement parviendra à transcender sa condition. Et le problème avec Invincible, c’est que le personnage se surpasse, mais pas le film en lui-même. C’est prévisible, la musique est stéréotypée, bref ça reste classique de bout en bout, et il manque cette envolée qui scotche le spectateur sur son siège (disons que cette envolée est tentée, mais elle ne m’a pas affectée : je n’ai pas pleuré une seule fois, et pourtant je suis relativement facile à émouvoir). Pour être tout à fait claire, ce n’est pas que je n’ai pas aimé ce film, c’est juste que je considère que sur le même thème il existe beaucoup plus poignant.
Suite à la mort de Louis Zemperini l'année dernière, les américains se sont de suite attelé à la réalisation d'un film en son honneur afin de surfer sur la vague de biopic ayant pour protagoniste un héros tout juste décédé. Réalisé par Angelina Jolie, "Invincible" est un film historique poignant qui malgré un patriotisme parfois excessif parvient à brosser un tableau très réaliste sur l'horreur des camps de concentration. En 1942, durant la Seconde Guerre mondiale, un avion s'écrase en mer. Trois membres de l'équipage survivent, dont l'athlète olympique américain Louis Zamperini, survivent durant 47 jours sur un canot de sauvetage. Ils sont ensuite capturés par la marine japonaise et envoyés dans un camp de prisonniers de guerre, à Omori. Inspiré d'une histoire vraie et scénarisé par les frères Coen, dont on ne retrouve nullement la patte, le long-métrage propose une formidable épopée humaine où deux hommes d'apparences ordinaires connaîtront la rudesse des conditions de vie en tant de guerre. Après "Au pays du sang et du miel", qui était déjà un drame sur fond de conflit militaire, la réalisatrice Angelina Jolie passe pour la seconde fois derrière la caméra et nous en met plein la vue avec une très bonne mise en scène inspirée fortement par Clint Eastwood. La reconstitution historique est tout bonnement excellente, avec une scène d'ouverture convaincante qui s'ouvre sur un combat aérien, pour le reste, les décors permettent d'ancrer pleinement la film dans son contexte. Le film s'intéresse donc aux violences faites aux prisonniers dans les camps de concentration et le démontre parfaitement même si la réalisatrice s'emporte parfois et peint les Japonais comme des ennemis sanglants qui cognent sans raison comme l'Oiseau. Les acteurs sont excellents et s'approprient parfaitement leurs personnages, Jack O'Connel rend un immense hommage à ce coureur olympique incarnant la résistance et les valeurs américaines, le reste du casting est également convaincant avec Jai Courtney et Miyavi, très crédible dans le rôle du gardien impitoyable. Malgré quelques petites longueurs, un patriotisme omniprésent et la glorification parfois excessive de son protagoniste, "Invincible" est un super film, touchant, violent et poignant.
videoman29
Les fans de la belle Angelina Jolie (dont je fais partie) attendaient avec impatience sa deuxième réalisation ; d'autant que la sortie d' « Invicible » était annoncée depuis longtemps à grands coups de publicités Hollywoodiennes. Du coup, je l'ai visionné avec une certaine excitation et beaucoup d'espoir ; c'est sans doute pour cette raison que j'ai été légèrement déçu. Pourtant, l'histoire vraie de ce héros Américain est étonnante et provoque forcément l’empathie. S'il a effectivement vécu le quart des tortures et mauvais traitements décrits dans le film, ça fait de lui la personne la plus résistante du monde et justifie amplement le titre. D'ailleurs je pense que la réalité historique du sujet est inattaquable, le problème n'est pas là. Il provient plus de la forme que du fond et se situe probablement dans la construction du scénario. Le début est passionnant et on se laisse facilement embarquer dans l'histoire de ce jeune sportif de haut niveau qui s'engage dans la seconde guerre mondiale comme pilote de bombardier. Abattu au dessus de l'océan, il réussit à survivre avec une partie de son équipage et est finalement fait prisonnier par les Japonnais. C'est ensuite que ça se complique, toute la seconde partie est centrée sur sa survie dans les camps de concentration où s’enchaînent les scènes de tortures physiques et psychologiques... Malgré la dureté du sujet, ces scènes répétitives et quelques longueurs finissent par alourdir l’ensemble qui se révèle probablement un peu trop académique. C'est dommage mais pas rédhibitoire et l'ensemble reste très satisfaisant et agréable à suivre.
un film vraiment excellent non seulement par l'histoire magnifique de cet homme mais aussi par le montage et les acteurs ! je voudrais tirer mon chapeau à cet homme qui a vécu toutes ce choses horribles avec beaucoup de dignité et de courage et qui a su pardonner.
alors je dis bravo à Angelina Jolie, bravo aux acteurs et bravo à cet homme, paix à son âme !
alors je dis bravo à Angelina Jolie, bravo aux acteurs et bravo à cet homme, paix à son âme !
Une histoire incroyable mais vraie, magnifiquement bien filmé et raconté. Il n'y a pas de longueurs et les acteurs endossent bien leurs rôles. Première performance de Jolie réussie !
Angelina Jolie est particulièrement bluffante en tant que réalisatrice. Non content de posséder une histoire intéressante à raconter, le film se paye le luxe de trouver, par sa musique, le jeu excellent de l'ensemble du casting ou presque et des images magnifiques, une ambiance particulièrement réussie. Dur mais vrai, voilà, avec Imitation Game, un autre excellent film autour de la guerre sans tomber le style propre du film de guerre, ce qui est vraiment savoureux. A voir.
Finalement un film de guerre ...trop lisse ...parfois trop long ...
Bref décevant malgré tout ....une gloire à l'Amérique , bonbon sucré ....
Bref décevant malgré tout ....une gloire à l'Amérique , bonbon sucré ....
Vraiment déçu! Le film manque de rythme, trop long 30 à 45 minutes aurait pu être coupé. Une histoire vrai d'accord mais beaucoup improbabilité
spoiler:
notamment les moments où ils sont dans les canots
. Du too much en veux tu en voila. Enfin bref pas terrible, Angelina à voulu taper trop haut.
. Du too much en veux tu en voila. Enfin bref pas terrible, Angelina à voulu taper trop haut.
Zamperini : Un long chemin vers la liberté
Mention : Ennuyeux
Le titre de cette critique fait référence au récent biopic sur Mandela. Le parallèle est dû à un procédé académique semblable dans la façon de dresser un portrait idyllique. Il s'agit de deux parcours incroyablement d'embûches. "Un long chemin vers la liberté" parce que c'est ce que raconte Invincible, et pour souligner surtout la longueur dont souffre le film. Il y a aussi une comparaison possible avec 12 Years a Slave. Même pugnacité d'un héros en quête de liberté, même utilisation du son.
Cela-dit, la toute première scène est relativement excellente. C'est très dynamique. Bataille assez spectaculaire, la reconstitution est prenante. Avec donc un travail sur le son qui accentue la tension et le réalisme. Un plan séquence très réussi. Après ça se gâte.
Quelques aller-retour temporels entre la vie de coureur et la survie de soldat de Louie Zamperini. Cette alternance est pas inintéressante, cela met en exergue la fragilité de l'instant présent. Le montage semble quand même plutôt hasardeux et le contenu approximatif.
C'est toujours le problème des récits adaptés de faits-réels. L'authenticité est en question, l'intérêt aussi. Pourquoi ne pas retranscrire cette histoire à travers un documentaire et des témoignages des personnes concerrnées. Qu'est ce qu'il manque à la biographie écrite par Laura Hillenbrand ? Ce qui excède dans la transposition au cinéma c'est la signification donnée.
Il y a un sens spirituel qui ressort de cette mésaventure, c'est sacrément barbant. Le discours religieux est trop plein de fanatisme. La dévotion fait partie de l'histoire originale, c'est quand bien trop démesuré.
Le message de paix et d'amour n'est évidemment pas mauvais en soi, mais la façon de le délivrer est plutôt grotesque. L'amnistie largement défendue par Invincible n'est pas convaincante.
Note : 8/ 20
Mention : Ennuyeux
Le titre de cette critique fait référence au récent biopic sur Mandela. Le parallèle est dû à un procédé académique semblable dans la façon de dresser un portrait idyllique. Il s'agit de deux parcours incroyablement d'embûches. "Un long chemin vers la liberté" parce que c'est ce que raconte Invincible, et pour souligner surtout la longueur dont souffre le film. Il y a aussi une comparaison possible avec 12 Years a Slave. Même pugnacité d'un héros en quête de liberté, même utilisation du son.
Cela-dit, la toute première scène est relativement excellente. C'est très dynamique. Bataille assez spectaculaire, la reconstitution est prenante. Avec donc un travail sur le son qui accentue la tension et le réalisme. Un plan séquence très réussi. Après ça se gâte.
Quelques aller-retour temporels entre la vie de coureur et la survie de soldat de Louie Zamperini. Cette alternance est pas inintéressante, cela met en exergue la fragilité de l'instant présent. Le montage semble quand même plutôt hasardeux et le contenu approximatif.
C'est toujours le problème des récits adaptés de faits-réels. L'authenticité est en question, l'intérêt aussi. Pourquoi ne pas retranscrire cette histoire à travers un documentaire et des témoignages des personnes concerrnées. Qu'est ce qu'il manque à la biographie écrite par Laura Hillenbrand ? Ce qui excède dans la transposition au cinéma c'est la signification donnée.
Il y a un sens spirituel qui ressort de cette mésaventure, c'est sacrément barbant. Le discours religieux est trop plein de fanatisme. La dévotion fait partie de l'histoire originale, c'est quand bien trop démesuré.
Le message de paix et d'amour n'est évidemment pas mauvais en soi, mais la façon de le délivrer est plutôt grotesque. L'amnistie largement défendue par Invincible n'est pas convaincante.
Note : 8/ 20
Angelina Jolie revient à la réalisation avec "Invincible", après son premier film "Au pays du sang et du miel". Toujours au centre de la guerre, Invincible raconte l'incroyable destin de Louis Zamperini, athlète olympique et héros de la seconde guerre mondiale. Le film lui rend un très bel hommage.
Louis est incarné par le jeune talentueux Jack O'connell qui remplit parfaitement son job. Il fut impressionant dernièrement dans "Les poings contres les murs" (sortie en 2014) dans le rôle d'un jeune voyou incarcéré dans une prison pour adulte.
Le film construit son personnage principal de manière un peu trop hollywoodienne plaçant de "grandes" répliques trop prévisibles à des moments attendus. Le film résume plus le vécu de Louis Zamperini que sa propre personnalité. Il ne creuse pas assez le personnage, ce qui provoque parfois un manque de profondeur. Tout comme sa relation avec le chef de camp japonais (joué par Miyavi) qui n'est malheureusement pas assez exploitée. Le film manque aussi parfois de perversité, de violence qui aurait rajouté une réelle dimension. Le choix des figurants laisse perplexe. Tous sont jeunes, beaux... En pleine guerre, dans un camp de prisonniers (?). C'est réellement dommage pour l'immersion dans ce camp. Mais heureusement, l'environnement rattrape ce mauvais choix et nous permet de s'immerger correctement dans le film. Angelina Jolie nous offre des beautés de paysages, aidé par une photographie parfaitement réussi. C'est un grand point fort du film. Quelques scènes sont elles aussi parfaitement réussies (les scènes en pleine mer) (Attention lèger Spoil: spoiler: ou encore la lutte lorsque Louie Zamperini lève à bout de bras la poutre, les yeux dans les yeux avec le chef du camp japonais (joué par Miyavi)
. Certainement la scéne la plus forte scène du film).
Malgré quelques défauts, on prend un réel plaisir à suivre cette histoire vraie époustouflante. Cette combativité surhumaine qu'a fait preuve Louie Zamperini à lutter contre tant de torture et à lutter contre ses limites pour la survie. Une réelle leçon !
Louis est incarné par le jeune talentueux Jack O'connell qui remplit parfaitement son job. Il fut impressionant dernièrement dans "Les poings contres les murs" (sortie en 2014) dans le rôle d'un jeune voyou incarcéré dans une prison pour adulte.
Le film construit son personnage principal de manière un peu trop hollywoodienne plaçant de "grandes" répliques trop prévisibles à des moments attendus. Le film résume plus le vécu de Louis Zamperini que sa propre personnalité. Il ne creuse pas assez le personnage, ce qui provoque parfois un manque de profondeur. Tout comme sa relation avec le chef de camp japonais (joué par Miyavi) qui n'est malheureusement pas assez exploitée. Le film manque aussi parfois de perversité, de violence qui aurait rajouté une réelle dimension. Le choix des figurants laisse perplexe. Tous sont jeunes, beaux... En pleine guerre, dans un camp de prisonniers (?). C'est réellement dommage pour l'immersion dans ce camp. Mais heureusement, l'environnement rattrape ce mauvais choix et nous permet de s'immerger correctement dans le film. Angelina Jolie nous offre des beautés de paysages, aidé par une photographie parfaitement réussi. C'est un grand point fort du film. Quelques scènes sont elles aussi parfaitement réussies (les scènes en pleine mer) (Attention lèger Spoil: spoiler: ou encore la lutte lorsque Louie Zamperini lève à bout de bras la poutre, les yeux dans les yeux avec le chef du camp japonais (joué par Miyavi)
. Certainement la scéne la plus forte scène du film).
Malgré quelques défauts, on prend un réel plaisir à suivre cette histoire vraie époustouflante. Cette combativité surhumaine qu'a fait preuve Louie Zamperini à lutter contre tant de torture et à lutter contre ses limites pour la survie. Une réelle leçon !
Basé sur une histoire vraie, forte et intense, ce film nous emmène au cœur de la seconde guerre mondiale tout comme l’avait fait le film Fury en 2014 avec Brad Pitt. Dans Invincible, c’est sa femme Angelina Jolie qui passe derrière la caméra pour nous offrir un chef d’œuvre. Avec un très bon scénario et une excellente réalisation, rythmée, avec de l’action, de l’émotion et sans passage à vide. On accroche à l’histoire pendant les 2h20. Sans véritable tête d’affiche, le casting est tout de même très bon. En plus de ressembler à son personnage, Jack O’Connell joue son rôle de Louie Zamperini à merveille. Sans doute l’un des films de l’année. Un grand bravo à Angelina Jolie.
Christoblog
La morale du deuxième film d'Angelina Jolie est simpliste.
L'américain est bon, résistant, courageux, loyal, intelligent, en un mot : invincible. Le japonais est vil, pervers, lunatique, sadique, faible : c'est un salopard. Et les requins aussi sont méchants.
C'est un peu court, surtout que le film ne présente aucun trait vraiment original. Les images sont d'une beauté tapageuse et un peu factice comme dans l'Odyssée de Pi, on y croise le fantôme du Clint Eastwood sportif période Invictus (rigolo : c'est quasiment le même titre), la partie centrale du film est une redite de All is lost en moins bien, les japonais dans la forêt évoquent furieusement Furyo, etc...
On ne peut même pas dire qu'on se laisse prendre par l'histoire (sauf peut-être lors de la première scène), tellement celle-ci paraît avoir été déjà racontée mille fois sous plusieurs formes différentes.
Où est passée la réalisatrice exigeante qui signait il y a quelques années un film audacieux et original sur un sujet complexe (Au pays du sang et du miel) ? En tout cas, elle n'est aucunement présente dans ce pensum longuet, long calvaire doloriste autocélébrateur.
Aux 1000 articles :
L'américain est bon, résistant, courageux, loyal, intelligent, en un mot : invincible. Le japonais est vil, pervers, lunatique, sadique, faible : c'est un salopard. Et les requins aussi sont méchants.
C'est un peu court, surtout que le film ne présente aucun trait vraiment original. Les images sont d'une beauté tapageuse et un peu factice comme dans l'Odyssée de Pi, on y croise le fantôme du Clint Eastwood sportif période Invictus (rigolo : c'est quasiment le même titre), la partie centrale du film est une redite de All is lost en moins bien, les japonais dans la forêt évoquent furieusement Furyo, etc...
On ne peut même pas dire qu'on se laisse prendre par l'histoire (sauf peut-être lors de la première scène), tellement celle-ci paraît avoir été déjà racontée mille fois sous plusieurs formes différentes.
Où est passée la réalisatrice exigeante qui signait il y a quelques années un film audacieux et original sur un sujet complexe (Au pays du sang et du miel) ? En tout cas, elle n'est aucunement présente dans ce pensum longuet, long calvaire doloriste autocélébrateur.
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