Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Divertissement haut de gamme et réflexion passionnante, Les chevaliers blancs est une remarquable réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Point
par Jean-Christophe Rufin
Ce film est surtout une magnifique parabole sur les rapports véritables entre l'Afrique et l'Europe.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Dans le rôle de Jacques Arnault, Vincent Lindon est formidable. Avec tout son humanisme et sa sympathie, il porte l’ambivalence du personnage, un homme charismatique et généreux mais au service de sa seule cause, un dictateur des bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Pas de manichéisme chez Lafosse. Aucune forme de sensationnalisme. Simplement de l'émotion et de la justesse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Vincent Lindon compose avec la justesse et l’énergie qu’on lui connaît un personnage arc-bouté par ses convictions (...). Autour de lui, Louise Bourgoin (...), Reda Kateb (...) et Valérie Donzelli (...) donnent beaucoup de densité à cette histoire humaine..
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré de l’affaire de l’Arche de Noé, un film qui montre de façon incisive les dérives, par amateurisme et inconscience, d’une entreprise portée au départ par de bons sentiments.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Vincent Lindon incarne le personnage avec énormément de nuances. Il se dégage de l'intrigue une grande intensité, des moments de plénitude et des épisodes de tension extrême.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le regard de Lafosse ne laisse pas de doute sur la duplicité et les infractions commises par son personnage mais n’en fait pas non plus un salaud intégral (…) Le héros de ce film d'aventure des temps modernes est plutôt un homme dépassé par les évènements qu’une machiavélique figure du mal.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Vincent Lindon est très convaincant.
Première
par Gael Golhen
La mise en scène limpide, sans jeu d’ombre ni suspense, Lindon (époustouflant dans le rôle de ce sauveur qui se transforme en voleur, épris de bonté et surtout de lui-même), le script à l’écriture blanche et sèche... Tout obsède, fascine.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) le récit des Chevaliers Blancs intrigue, captive, fascine. Vincent Lindon, dans un rôle incisif, y est impérial.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Vincent Lindon donne toute sa complexité à ce personnage insaisissable (...). Dommage que le réalisateur ne s'intéresse pas autant à ses compagnons de route, réduits à de la simple figuration.
Metro
par Mehdi Omaïs
Si l’intrigue peut paraître adynamique, autorisant des moments de flottement ennuyeux, elle est dopée par une tension blanche sous-jacente.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Yannick Vely
Joachim Lafosse ne cherche pas à asséner une vérité absolue aux spectateurs, mais adopte la neutralité absolue (...). Excellent directeur d'acteurs, il offre des rôles sur-mesures à Vincent Lindon et Reda Kateb (...). Mais le refus manifeste de choisir son camp ou de romancer les faits fixe aussi la limite des "Chevaliers blancs".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
Joachim Lafosse a décidé de moins miser sur l'action [...] que sur la réflexion. Pari dangereux, pas totalement abouti, mais hardi et intriguant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Solide relecture du scandale de l'Arche de Zoé.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film se contente d’une position « dedans, dehors », plus confortable que dérangeante et dont la fausse objectivité est aussi une manière de ne pas choisir entre toutes les implications de son sujet.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Transposer l'affaire de l'Arche de Zoé semblait être un sujet en or pour Joachim Lafosse. La déception n'en est que plus grande : scénario bancal, réalisation hésitante, propos nébuleux : il semble avoir été dépassé par son propre film.
Libération
par Didier Péron
"Les Chevaliers blancs" ne touche à aucune vérité troublante, ni sur l’affaire elle-même ni sur les errements de la pulsion humanitaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le scénario s'intéresse aux incessantes tractations pour récupérer les enfants et répète ad nauseum la même séquence, en oubliant de s'intéresser aux personnages.
TF1 News
par Romain Le Vern
Joachim Lafosse s'empare de l'affaire de l'Arche de Zoé et expérimente de manière prometteuse un genre nouveau pour lui. Las, en dépit de l'attraction du casting, son film ne convainc pas, négligeant tout ce que l'on attendait (le trouble, l'ambiguïté, les motivations) pour épouser une trajectoire fléchée.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Morgan Pokée
Lafosse n’a pas su trouver la bonne distance avec les armes de la fiction pour proposer autre chose que la stricte répétition de la même farce sordide.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Un sujet en or scénarisé de manière étrangement absconse. Pour peu qu'on ne connaisse pas le dossier, impossible de comprendre les motivations et implications des personnages. Cela s'appelle passer à côté d'une histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il y a dans "Les Chevaliers Blancs" trop de contradictions morales, trop de peine à trouver la distance juste, pour, à l'arrivée, ne pas ajouter beaucoup de lumière ou de chair à une histoire qui a déjà été détaillée en reportages et chroniques judiciaires.
20 Minutes
Divertissement haut de gamme et réflexion passionnante, Les chevaliers blancs est une remarquable réussite.
Le Point
Ce film est surtout une magnifique parabole sur les rapports véritables entre l'Afrique et l'Europe.
Femme Actuelle
Dans le rôle de Jacques Arnault, Vincent Lindon est formidable. Avec tout son humanisme et sa sympathie, il porte l’ambivalence du personnage, un homme charismatique et généreux mais au service de sa seule cause, un dictateur des bons sentiments.
Franceinfo Culture
Pas de manichéisme chez Lafosse. Aucune forme de sensationnalisme. Simplement de l'émotion et de la justesse.
La Croix
Vincent Lindon compose avec la justesse et l’énergie qu’on lui connaît un personnage arc-bouté par ses convictions (...). Autour de lui, Louise Bourgoin (...), Reda Kateb (...) et Valérie Donzelli (...) donnent beaucoup de densité à cette histoire humaine..
Le Dauphiné Libéré
Inspiré de l’affaire de l’Arche de Noé, un film qui montre de façon incisive les dérives, par amateurisme et inconscience, d’une entreprise portée au départ par de bons sentiments.
Le Parisien
Vincent Lindon incarne le personnage avec énormément de nuances. Il se dégage de l'intrigue une grande intensité, des moments de plénitude et des épisodes de tension extrême.
Les Inrockuptibles
Le regard de Lafosse ne laisse pas de doute sur la duplicité et les infractions commises par son personnage mais n’en fait pas non plus un salaud intégral (…) Le héros de ce film d'aventure des temps modernes est plutôt un homme dépassé par les évènements qu’une machiavélique figure du mal.
Ouest France
Vincent Lindon est très convaincant.
Première
La mise en scène limpide, sans jeu d’ombre ni suspense, Lindon (époustouflant dans le rôle de ce sauveur qui se transforme en voleur, épris de bonté et surtout de lui-même), le script à l’écriture blanche et sèche... Tout obsède, fascine.
aVoir-aLire.com
(...) le récit des Chevaliers Blancs intrigue, captive, fascine. Vincent Lindon, dans un rôle incisif, y est impérial.
Le Journal du Dimanche
Vincent Lindon donne toute sa complexité à ce personnage insaisissable (...). Dommage que le réalisateur ne s'intéresse pas autant à ses compagnons de route, réduits à de la simple figuration.
Metro
Si l’intrigue peut paraître adynamique, autorisant des moments de flottement ennuyeux, elle est dopée par une tension blanche sous-jacente.
Paris Match
Joachim Lafosse ne cherche pas à asséner une vérité absolue aux spectateurs, mais adopte la neutralité absolue (...). Excellent directeur d'acteurs, il offre des rôles sur-mesures à Vincent Lindon et Reda Kateb (...). Mais le refus manifeste de choisir son camp ou de romancer les faits fixe aussi la limite des "Chevaliers blancs".
Télérama
Joachim Lafosse a décidé de moins miser sur l'action [...] que sur la réflexion. Pari dangereux, pas totalement abouti, mais hardi et intriguant.
VSD
Solide relecture du scandale de l'Arche de Zoé.
Cahiers du Cinéma
Le film se contente d’une position « dedans, dehors », plus confortable que dérangeante et dont la fausse objectivité est aussi une manière de ne pas choisir entre toutes les implications de son sujet.
Les Fiches du Cinéma
Transposer l'affaire de l'Arche de Zoé semblait être un sujet en or pour Joachim Lafosse. La déception n'en est que plus grande : scénario bancal, réalisation hésitante, propos nébuleux : il semble avoir été dépassé par son propre film.
Libération
"Les Chevaliers blancs" ne touche à aucune vérité troublante, ni sur l’affaire elle-même ni sur les errements de la pulsion humanitaire.
Studio Ciné Live
Le scénario s'intéresse aux incessantes tractations pour récupérer les enfants et répète ad nauseum la même séquence, en oubliant de s'intéresser aux personnages.
TF1 News
Joachim Lafosse s'empare de l'affaire de l'Arche de Zoé et expérimente de manière prometteuse un genre nouveau pour lui. Las, en dépit de l'attraction du casting, son film ne convainc pas, négligeant tout ce que l'on attendait (le trouble, l'ambiguïté, les motivations) pour épouser une trajectoire fléchée.
Critikat.com
Lafosse n’a pas su trouver la bonne distance avec les armes de la fiction pour proposer autre chose que la stricte répétition de la même farce sordide.
L'Express
Un sujet en or scénarisé de manière étrangement absconse. Pour peu qu'on ne connaisse pas le dossier, impossible de comprendre les motivations et implications des personnages. Cela s'appelle passer à côté d'une histoire.
Le Monde
Il y a dans "Les Chevaliers Blancs" trop de contradictions morales, trop de peine à trouver la distance juste, pour, à l'arrivée, ne pas ajouter beaucoup de lumière ou de chair à une histoire qui a déjà été détaillée en reportages et chroniques judiciaires.