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    Haewon et les hommes
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    22 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2024
    Les tourments amoureux charmants mais guère passionnants d’une jeune femme indécise en quête de bonheur.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 septembre 2020
    Quelle dommage que les films Coréens soit toujours aussi ennuyeux. Une fois de plus le réalisateur explore les thèmes familiers des relations humaines et de la romance, en se concentrant cette fois sur une relation élève et enseignant. Cela a déjà été fait et même les acteurs sont aux abonnés absents et sont ici pour une autre perte de temps fatiguée. Haewon et les hommes est un film qui teste votre patience. Un film dans lequel absolument rien ne se passe à part des personnages ennuyeux et sans intérêt qui se déplacent et déplorent leur destin. La seule chose qu'il y a dans ce film est un beau morceau de musique de Beethoven qui est joué tout au long de la production. Voilà un bon remède contre l'insomnie...
    Vincent D
    Vincent D

    4 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 août 2019
    es ce qu'on peut faire des grands films sur des choses anodines? En voyant certains films de Rohmer ou d'Ozu, je dirais que oui mais je ne peux m'empêcher de penser que Hong Sangsoo fait des films un peu anodins sur des choses anodines.
    Ayant vu plusieurs films de lui, je suis plusieurs années après incapable de me rappeler quelle histoire correspond à quel titre de ses films ni de toute façon de me rappeler de quoi parlait ses films.( les uns se confondant aux autres ).
    Avec cependant la nuance importante que j'ai quand même du plaisir à voir sur le moment ses films même si je les oublie complètement peu de temps après.
    Ce qui me fait dire que Hong Sangsoo est un véritable auteur qui fait des films aussi fragiles que des bulles de savon.
    Captant une certaine réalité ordinaire ( que ce soit les mêmes décors urbains tout au long du film filmés sous des angles différents que le comportement flottant des personnages qui n'ont pas un caractère bien délimité et déambulent sans but précis) Hong Sangsoo nous refait un peu toujours le même film comme s'il faisait des gammes toujours sur la même partition ( constituée de variations infinies sur le thème le plus ambivalent et indéfinissable qui soit à savoir l’amour)
    On y retrouve à chaque fois les mêmes ingrédients tels qu'un humour désenchanté, des chassés croisés faites de petits mensonges ou de lâchetés mais aussi de petits moments de grâce fugitifs, des petits riens qui font qu'au final rien n'aboutira mais peu importe car Haewon a encore toute la vie devant elle et aura l'occasion de rencontrer d'autres hommes et nous de retrouver à peu près les même types de personnages dans les films suivants de Hong Sangsoo ( qu'on regardera avec le même plaisir un peu léger mais réel en étant content de retrouver la même petite musique en terrain déjà connu ).
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 058 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2019
    Deuxième film de Hong Sang-soo que je vois et franchement c'est vraiment bien. J'aime beaucoup son style. Ici il n'y a pas de précipitation, on prend le temps d'installer les personnages, les situations. La mise en scène est posée et ça donne beaucoup de vie à l'ensemble. Je m'explique, on a une longue séquence où Haewon et son amant sont dans un restaurant avec d'autres étudiants. C'est un plan séquence, la caméra ne bouge quasiment pas et on a la scène qui se déroule devant nos yeux, sans champ contre champ, tous les personnages sont dans le cadre et mine de rien on voit les réactions de tous, comment se distribue la parole et même les personnages les plus taciturnes ont ainsi une réelle existence. Je trouve ça génial.

    Puis mine de rien il arrive à sublimer quelques passages comme lorsqu'ils vont à un fort, que l'amant décide de faire écouter du Beethoven, le son n'est pas très bon, mais la simplicité du cadre, le fait que les deux personnages soient assis là, calmement, à se parler... C'est très beau, il n'y a rien besoin de plus, rien besoin de moins, on comprend ce qui se joue dans la scène. Et surtout encore une fois ça permet de voir le jeu des acteurs... et ils sont tous excellents.

    Après bien sûr dans ce film là, il y a les rêves... j'avoue que ça m'a un peu perdu la fin, c'est tellement brutal... mais aussi tellement logique... Il y a un petit côté ludique où on se fait manipuler par HSS, comme Haewon se fait avoir par ses fantasmes...

    Très agréable ! J'en verrai d'autres.
     Kurosawa
    Kurosawa

    581 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2016
    Une jeune étudiante voit sa mère partir au Canada et entretient une relation avec un de ses professeurs : c'est cette crise affective que met en scène Hong Sang-soo dans "Haewon et les hommes", film qui mise avant tout sur des situations incongrues et gênantes afin que les personnages révèlent leurs sentiments les plus forts, empreints d'une vérité amère et inavouable. Ne reculant jamais devant les situations les plus dramatiques (les scènes de rupture) qui procurent une émotion palpable, le film maintient toutefois une douceur et une drôlerie qui désamorcent la tension envahissant Haewon. Cette façon d'alterner de façon imprévisible le chaud et le froid, le sérieux et la légèreté met le spectateur dans une situation d'inconfort assez rare au cinéma et fait éprouver des sensations très contradictoires, provoquées aussi par le brouillage habile entre rêve et réalité qui rend la perception que Haewon a du monde qui l'entoure instable et complexe. "Haewon et les hommes" est un film touchant, qui vaut pour la précision de son écriture et d'une mise en scène jamais intimidante, modeste dans son approche des personnages et à la hauteur de ses ambitions formelles.
    overlook2
    overlook2

    23 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2016
    La petite musique de Hong Sang-Soo prend dans ce nouvel opus une tonalité plus sombre, sans doute parce que l’habituelle lâcheté des hommes est cette fois vécue par un protagoniste féminin, et donc d’avantage subie, moins diluée dans une errance plus large. « Haewon et les hommes » n’a pas perdu pour autant la dimension ludique chère au cinéaste, avec ses rencontres incongrues (Jane Birkin !) et ses dérapages intempestifs, mais les dissonances sont plus prononcées que d’habitude (la violence du professeur à l’égard de l’héroïne, la médisance des étudiants,…) et si le récit se teinte d’onirisme, il prend peu à peu l’aspect d’un mauvais rêve. Cette amertume, plus incisive que d’habitude, ne rend que plus poignant ce magnifique portrait de femme.
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Les films de Hong Sang-soo ont l’impression de se répéter : c’est le charme d’un réalisateur en perpétuelle reconnaissance du terrain artistique sur lequel il façonne une œuvre pleine et entière. Un jour, on les mettra bout à bout pour découvrir l’origine du monde, et la beauté éternelle des jeunes femmes qui l’accompagnent. Ici, celui d'Haewon nous raconte comment les hommes sont tombés si bas. Pas larmoyant, ni nostalgique, mais la mélancolie des âmes en quête d’un absolu imaginaire, impossible, inattendu. Les composantes d’un cinéaste qui ne cesse d’explorer le monde. Voyager en sa compagnie est du plus bel effet.
    Pour en savoir plus
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    Ce film plein de charme et à là mise en scène très réussie nous offre un beau portrait de femme et une étude juste, touchante et tout en délicatesse des "complications" amoureuses.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    Quasiment absent des écrans occidentaux il y a une dizaine d'années, le cinéma coréen nous est de plus en plus familier.
    Kim Ki Duk a ouvert la voie avec son très beau "Printemps, automne, hiver, été ... et printemps" en 2003.
    Puis on a découvert Lee Chang-Dong (Oasis, Secret Sunshine, Poetry), Bong Joon-Ho (Memories of murder, The Host, Mother) et Im Sang-Soo (The President's Last Bang, Le vieux jardin, The Housemaid).
    Hong Sang-Soo est représentatif de ce jeune cinéma, sensible et instinctif. Sa filmographie est déjà bien remplie. "Haewon et les hommes" est son 14ème long métrage. Je ne les ai pas tous vus, mais y retrouve à chaque fois les mêmes éléments : des histoires d'amour hésitantes, des déambulations citadines dans la Corée contemporaine, l'ivresse comme échappatoire au réel.
    Sélectionné au festival de Berlin de 2013, "Haewon et les hommes" reprend cette petite musique. Il a pour héroïne une jeune étudiante gracile dont la mère lui annonce son exil au Canada. Désemparée, elle renoue avec un ancien amant, un professer marié et indécis. Elle croise également le chemin d'un bouquiniste transi d'amour et d'un vieux monsieur à la recherche d'une jeune épouse.
    A la façon d'un Rohmer ou d'un Ozu, Hong Sans-Soo filme les affres de l'amour avec délicatesse.
    On s'ennuie un peu. Mais toujours avec élégance.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    91 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    Il serait facile de dire de Hong Sang-soo qu'il réalise toujours le même film, ressassant jusqu'à plus soif (terme de circonstance) les mêmes thèmes. Ce serait facile, pas complètement faux et terriblement réducteur. Le cinéaste sud-coréen qui a porté à son pinacle l'indécision amoureuse et l'art des dialogues n'en finit pas de réinventer son cinéma, d'y apporter des variations infimes ouvrant à toujours plus de possibilités. Un cinéma de l'abysse et de l'épuisement des possibilités qui, film après film, dans une régularité stakhanoviste rendue seulement possible par les faibles moyens et la modestie du dispositif, tape dans sa boite de madeleines très proustiennes. On connait dorénavant par cœur les longs plans fixes, les échanges fournis entre deux personnages pareillement filmés de profil, les repas alcoolisés plus que de raison où le ton parfois monte, les déambulations propices aux confessions dans le parc local. On retrouve ces lointains cousins asiatiques des héros de Rohmer avec toujours le même plaisir, même si la mélancolie s'inscrit davantage dans le paysage. Le motif de l'endormissement qui brouille la frontière entre rêve et réalité placera à son tour le spectateur dans un état de doux abandon et de demi-sommeil où sa propre sphère onirique ne manquera pas de confluer avec celle de Haewon et ses hommes. Avec ses zooms anachroniques, son parti pris d'une simplicité qui confine à la radicalité, Hong Sang-soo continue à assurer la pérennité d'une certaine Nouvelle Vague française. Pour notre plus grand bonheur.
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2013
    La petite musique de Hong Sang-Soo fonctionne plus ou moins bien, suivant le substrat sur lequel le prolifique cinaste coréen la déploie.

    Ici, rien ne permet au sujet de pleinement se développer, ni la perfection cotonneuse de l'image comme dans The day he arrives, ni le brio scénaristique comme dans Another country ou HA HA HA.

    Hong Sang-Soo récite donc ici son cinéma, toujours sur les mêmes bases, à savoir des dialogues rohmérien, des... la suite ici :
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2013
    Ce qu'il y a de bien (ou, plutôt de mal !) avec Hong Sang-Soo, c'est que, en entrant dans la salle de cinéma, on sait déjà ce qu'on va voir : on sait que, parmi les protagonistes, il y aura un réalisateur de cinéma, on sait qu'il aura des rapports amoureux avec une jeune et belle étudiante, on sait qu'il y aura au moins une scène de picole, on sait qu'il y aura plein de plans séquence remplis de répliques totalement creuses, etc... On sait en plus que les critiques vont trouver ce film génial et qu'ils ne manqueront pas, une fois de plus, de comparer Hong Sang-Soo à Rohmer, ce qui, une fois de plus, aura le don de me mettre dans une colère noire : franchement, cela vous plairait de voir comparer Richard Clayderman à Jean-Sébastien Bach ? Résumons : "Haewon et les hommes" est un film où la vacuité des dialogues le dispute à l'indigence du scénario et où les comédiens donnent l'impression de jouer comme des pieds (D'habitude, ils sont peut-être excellents mais quand Hong Sang-Soo dirige un comédien ou une comédienne, il ou elle se met à jouer comme un pied, rappelez vous Isabelle Huppert dans "In another country", son film précédent). De toute façon, comment être étonné du côté plus que bâclé de ses films quand on sait qu'il signe 3 films tous les 2 ans tout en étant prof de cinéma à la fac ! Vous allez me dire : êtes vous masochiste pour continuer à aller voir les films de ce réalisateur que, manifestement, vous n'aimez pas ? C'est vrai, on peut le dire mais là, pour mon excuse, je pouvais le voir sans débourser un centime d'Euro, sinon, même pour un centime, ça ne vaut pas la dépense !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    On ne voit qu’elle. Grande, plus grande que les autres, élancée, un pull rouge vif sous une élégante veste beige, le visage rayonnant, Haewon est différente. C’est en tout cas ce que disent d’elle ses camarades de l’université, la « soupçonnant » d’être une métisse, ce qui expliquerait sa bizarrerie. Plus tard aussi, une des ses proches amies dira qu’elle n’est peut-être pas faite pour la Corée et qu’une vie à l’étranger lui correspondrait mieux. Quelle est donc la place de cette jeune fille qui semble se chercher au gré de ses balades dans Séoul ?

    On reproche souvent à Hong Sang-soo de se répéter, et de refaire toujours le même film. Et effectivement, dans son cinéma, c’est l’art de variation et de la reprise qui est prime. Alors encore une fois, il y a un réalisateur-professeur (comme Hong Sang-soo lui même), des élèves, il y a Séoul, les restaurants et le soju, encore et toujours le soju. D’ailleurs, Haewon n’arrête pas d’en réclamer : elle répétera a plusieurs reprises qu’elle a envie de boire. Le film fonctionne sur la répétition, et se dessinent alors de subtils jeux de miroir, de scène en scène. Hong Sangsoo compose une cartographie sur laquelle il balade son héroïne : le parc Sajic, le fort Hamnan, un café librairie. Elle revient sur ces lieux, un peu toujours la même et toujours différente, seule ou accompagnée.

    Haewon, de par son itinéraire et la suite de rencontres qu’elle fait tout au long du récit, ressemble alors à une héroïne de conte. Seulement celui-ci a quelque chose d’aussi cruel que vain, puisqu’aucune (...

    Suite la critique sur mon blog, Ombres Électriques
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 novembre 2013
    L'affiche du nouveau film de Hong Sang-Soo induit en erreur : Hae-Won, son héroïne, n'est pas une collégienne insouciante qu'un pervert suit dans un bois. Par contre, elle annonce la couleur, celle d'un générique d'ouverture à la fois simple et remarquable, à l'instar de l'œuvre qu'il introduit : un bleu surprenant, éblouissant, qui se révèle détonant et sur fond duquel s'inscrit en blanc 제인버킨 ; un bleu qui plonge radicalement dans l'univers honguien, au cœur d'une Corée qui ne lassera jamais et dont il contraste avec le ciel souvent gris.
    Hea-Won, étudiante en cinéma et future comédienne, rêve en numérique. Elle rêve qu'elle croise le chemin de Jane Birkin (제인버킨), qui lui trouve une certaine ressemblance avec sa fille. Elle rêve qu'elle renoue avec sa mère, cette étrangère, le temps d'un après-midi sans rancœur ni véritable espoir. Elle rêve qu'elle boit pour se consoler de son départ, parce que le soju est un bien meilleur amant que son professeur ; qu'elle boit avec ses amis, qui profitent de sa brève absence pour la taxer de riche, de métisse et de garce. Elle rêve qu'à deux reprises, elle rompt avec ce lâche et pleurnichard ; qu'entre-temps, un autre professeur, qui vit aux États-Unis et connaît Martin Scorsese, lui propose de l'épouser. Elle rêve qu'elle boit avec un vieillard pour se consoler, cette fois, de la rupture d'une relation sercrète qu'elle a entièrement dévoilée. Elle rêve puis se réveille, seule à la table d'une bibliothèque universitaire.
    Ou peut-être qu'Hae-Won, loin des préoccupations de Miss Corée, évolue dans une dimension qui hésite entre le rêve et la réalité, absorbée par sa solitude comme par un trou noir. D'ailleurs, la progression de son histoire décrit un cercle : elle emprunte les mêmes chemins sinueux d'un quartier de Séoul et du fort de Namhan, y joue les variantes d'une même scène. Mais Hong Sang-Soo radote avec économie et précision : la répétition, clé du film, s'observe au travers de plans rares et francs, superbes drapeaux donnant à voir le vent. En outre, si de cette répétition se dégage une forme de théâtralité, elle est largement compensée par le naturel bluffant de l'image, du son dramaesque et du jeu des acteurs.
    Hae-Won et les hommes a tout d'un air de Beethoven (1) détourné par la qualité pitoyable de l'enregistrement : il mêle violente mélancolie et drôlerie asiatique, préparée à base d'inconvenance et de high kicks -métaphoriques ou non. "Comment va votre dépression ?"
    (1) En l'espèce, il s'agit du deuxième mouvement de la Septième Symphonie.
    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    Le charme discret des contes de Hong Song-soi agit toujours mais il reste la sensation que le cinéaste filme toujours la même histoire.
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