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Sa façon de recomposer un territoire intime à partir de petits riens du quotidien de la ville, de tricoter une cartographie sentimentale d’une prodigieuse minutie à partir d’un fouillis de lieux historiques et de lieux familiers, font de HSS le plus proustien des cinéastes contemporains.
Un délicat portrait d'une femme dont il faut à la fois saisir le comportement immédiatement visible mais aussi la vie intérieure, sans déroger aux principes que s'est fixés le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
C’est donc à juste titre que le cinéaste considère qu’en explorant inlassablement son petit monde il réalise des films de voyage. Celui-ci en est un, des plus aventureux et exaltants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
C’est comme si le monde tel que Hong Sang-soo le représente de film en film était arrivé au bord de la crise de nerfs, comme si un voile de subtilité reposant sur cette représentation avait fini par se fissurer, laissant poindre comme une plaie ouverte la violence qu’elle laissait deviner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le film à pas légers s’achemine vers la mélancolie (...). Hong Sang-soo est bien un maître du "je ne sais quoi" ou du "presque rien" déchirants sans quoi le cinéma n’est qu’un vain passe-temps.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Hong Sang-soo arpente ses terres bien connues de l'indécision sentimentale, dans une mise en scène libre et rigoureuse, porté par l'énergie de son héroïne.
Façonné comme à l’accoutumée de peu de décors et de situations, aux inépuisables ressources sans cesse malicieusement modulées, déclinées et reformulées par la seule grâce d’un changement de cadre ou de lumière, le film travaille ainsi la différence et les répétitions, les contingences et l’arbitraire qui composent un territoire enchevêtré et versifié de fictions chimériques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Où commence le réel, où débute la fiction ? Comment discerner l’amour véritable du jeu de la séduction ? En grand peintre des sentiments, Hong Sang-soo ne donne pas de réponses pré-machées, mais préfère effleurer ses personnages et ses situations.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Hong Sang-soo, (...) énonce la quintessence de son cinéma. Un cinéma confinant à l'épure géométrique, avec un récit tout en cercles, rehaussé de touches de couleurs éclatantes et agrémenté par les accidents du hsard, (...).
Il y a, dans "Haewon et les hommes" (...) une drôlerie mélancolique, une intelligence du dialogue, une manière simple et rohmérienne de filmer des hommes maladroits, ivres d'amour ou d'eux-mêmes, tourner autour d'une ravissante étudiante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Sa façon de recomposer un territoire intime à partir de petits riens du quotidien de la ville, de tricoter une cartographie sentimentale d’une prodigieuse minutie à partir d’un fouillis de lieux historiques et de lieux familiers, font de HSS le plus proustien des cinéastes contemporains.
Le Monde
Un délicat portrait d'une femme dont il faut à la fois saisir le comportement immédiatement visible mais aussi la vie intérieure, sans déroger aux principes que s'est fixés le cinéaste.
aVoir-aLire.com
C’est donc à juste titre que le cinéaste considère qu’en explorant inlassablement son petit monde il réalise des films de voyage. Celui-ci en est un, des plus aventureux et exaltants.
Critikat.com
C’est comme si le monde tel que Hong Sang-soo le représente de film en film était arrivé au bord de la crise de nerfs, comme si un voile de subtilité reposant sur cette représentation avait fini par se fissurer, laissant poindre comme une plaie ouverte la violence qu’elle laissait deviner.
L'Humanité
Le film à pas légers s’achemine vers la mélancolie (...). Hong Sang-soo est bien un maître du "je ne sais quoi" ou du "presque rien" déchirants sans quoi le cinéma n’est qu’un vain passe-temps.
Les Fiches du Cinéma
Hong Sang-soo arpente ses terres bien connues de l'indécision sentimentale, dans une mise en scène libre et rigoureuse, porté par l'énergie de son héroïne.
Les Inrockuptibles
Nouvelles variations sur le même thème amoureux pour le cinéaste coréen. Connue mais toujours renouvelée, une partition proche de la perfection.
Libération
Façonné comme à l’accoutumée de peu de décors et de situations, aux inépuisables ressources sans cesse malicieusement modulées, déclinées et reformulées par la seule grâce d’un changement de cadre ou de lumière, le film travaille ainsi la différence et les répétitions, les contingences et l’arbitraire qui composent un territoire enchevêtré et versifié de fictions chimériques.
Paris Match
Où commence le réel, où débute la fiction ? Comment discerner l’amour véritable du jeu de la séduction ? En grand peintre des sentiments, Hong Sang-soo ne donne pas de réponses pré-machées, mais préfère effleurer ses personnages et ses situations.
Positif
(...) ce constant retour au même motifs est synonyme d'approfondissement, d'enrichissement.
Première
Par touches successives, se dessine le portrait d'une femme en quête d'une place, tissé de moments mélancoliques, bouleversants.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Hong Sang-soo, (...) énonce la quintessence de son cinéma. Un cinéma confinant à l'épure géométrique, avec un récit tout en cercles, rehaussé de touches de couleurs éclatantes et agrémenté par les accidents du hsard, (...).
TéléCinéObs
Il y a, dans "Haewon et les hommes" (...) une drôlerie mélancolique, une intelligence du dialogue, une manière simple et rohmérienne de filmer des hommes maladroits, ivres d'amour ou d'eux-mêmes, tourner autour d'une ravissante étudiante.
Télérama
(...) le "Rohmer sud-coréen" chronique une nouvelle fois le malentendu entre les hommes et les femmes, et ses conséquences tragi-comiques.