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Incertitudes
205 abonnés
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3,5
Publiée le 27 mars 2019
Elizabeth Banks est incroyable dans cette mini-robe jaune poussin. Si physiquement, elle est parfaite, Blackout Total n'est qu'un succédané de Very Bad Trip. Elle ne se rappelle pas ou vaguement des turpitudes commises la veille. Elle est à la recherche de quelque chose : sa voiture, sa dignité, son portable. Elle va croiser tout un tas de personnages bizarres qui vont refuser de l'aider ou pire l'enfoncer. Un chauffeur de taxi libidineux, un rabbin, un gosse pervers, une conductrice de bus revêche, deux flics idiots. Et même déclencher une mini guerre des gangs. Tous vont la prendre pour une prostituée vu son accoutrement. Dans son discours final, elle dénoncera d'ailleurs toute cette hypocrisie, ces faux-semblants à la télé et dans la vie et étrangement ses propos face caméra sont assez pertinents. Ça ne dénonce pas les petites magouilles télévisuelles, ce n'est pas le sujet, cette fille veut juste se faire aimer et qu'on la considère comme elle est et non pas comme le personnage qu'elle a été. Ce n'est pas qu'une jolie blonde écervelée. Mieux, elle est marrante, romantique, sexy, elle aime la lecture, s'imagine écrivain. Ses copines, toujours prêtes à lui remonter le moral, sont encore plus déjantées qu'elle. Ce ne serait pas la fille parfaite par hasard ?
Vendu comme une sorte de "Very Bad Trip" au féminin, le film est finalement assez loin de cet univers. On est plus dans un Road Trip d'une fille des beaux quartiers atterrissant dans des quartiers malfamés sans argent ni moyen de locomotion. Le tout reste moyen. Aussitôt vu aussitôt oublié.
Ce genre de film avec une femme dans le premier rôle et de plus en plus fréquent c'est pas toujours une réussite mais dans ce cas c'est une bonne surprise. C'est une comédie légère et délurée un peu à la very bad trip même si j'aime pas les comparaisons. C'est un divertissement agréable porté par une très bonne Elizabeth Banks qui pendant sa longue route va faire de nombreuses rencontres avec des personnages bien déjantés ce qui va donner quelques situations bien délirantes, elle va aussi subit les préjugés des gens pas aidée par les situations dans lesquelles elle se trouve. C'est vrai que dans l'ensemble on sourit plus qu'on ne rigole mais au moins on ne s'ennuie pas il y a un très bon rythme et aucune longueur.
Le réalisateur est un tacheron auquel on doit des comédies oubliables notamment avec Adam Sandler dans "Little Nicky" (2000) et "Les aventures de Mister Deeds" (2001) et comme c'est un créatif il s'est dit qu'un "Very bad Trip" au féminin était nouveau !... Mais non, depuis quelques années c'est un sous-genre en soi qui est devenu un truc casse-gueule car trop éculé. On suit donc une femme sexy, journaliste, qui après une cuite doit retourner en urgence à son travail pour sauver son job... Poisse sur poisse la pauvre se refait "After Hours" (1985) de Martin Scorcese en version femme super sexy et en comédie mode Apatow, pour continuer dans l'originalité. Rien n'est franchement surprenant, le scénario est trop classique pour sortir du lot. Mais il y a un bonus de poids, Elizabeth Banks, sexy en diable, une vraie bombe genre bonbon jaune qui attire le regard et nous fait oublier quasimment l'ineptie du reste. Elle prouve une fois de plus qu'elle est une des meilleurs actrices de comédie outre-atlantique à défaut de pouvoir sauver le film à elle toute seule.
Je m'attendais à un film sans prétention et plutôt basique et j'ai eu un film sans prétention et plutôt basique qui fait le nécessaire pour que l'on passe un bon moment avec quelques sourires aux lèvres. Sympathique mais sans grand intérêt.
J'attendais sans doute un peu trop de cette comédie avec E. Banks en vedette. Le film propose une virée intéressante dans un L.A urbain loin des beaux quartiers avec ce voyage retour d'une présentatrice TV vers chez elle afin de décrocher le job de ses rêves. Le plus intéressant dans le film, c'est quand il présente une société qui fonctionne à l'envers avec les agents des services publics, ceux qui sont censés aidés leur prochain, incapables de porter secours à notre héroïne tandis que les dealers et quelques autres personnages sont bien plus utiles. Ce n'est pas hilarant et surtout, il peine parfois à exploiter le potentiel comique de ses acteurs mais il dresse le portrait assez acide de notre société, prompte à juger aux apparences. C'est bien fait, plutôt bien rythmé et quelques gags sont réussis mais je reste un poil sur ma faim. D'autres critiques sur
Un "very bad trip" pour filles qui se laisse regarder. Honnêtement, on rit plus d'une fois, même si le côté "pour filles" est un peu trop présent (romance à la noix, héroïne qui a un peu trop l'air de débarquer d'un épisode de "sex and the city"...). Certains gags sont un peu lourdingues, mais dans l'ensemble, cette surenchère de situations excessives est amusante.
Depuis Very Bad Trip, on a droit à une bonne dizaine de films qui racontent comment une nuit peut déraper avec un verre en trop. Le dernier en date, c’est Walk of Shame de Steven Brill.
Walk of Shame est donc une comédie burlesque contant le trajet chaotique d’une fille sympathique (c’est tellement rare dans ce genre de comédie que le protagoniste principal soit quelqu’un d’ouvertement sympathique) entre un appartement dans un quartier qu’elle ne connaît pas et le bureau de son futur employeur. Bien évidemment, cela donne lieu à une belle fournée de gags bien régressifs et souvent réussis, grâce à l’abattage exceptionnelle d’une Elizabeth Banks qui se transforme de plus en plus en une actrice incontournable de comédie et un supporting cast de bit players talentueux, comme Alphonso McAuley, Larry Gilliard Jr., Ethan Suplee ou encore le toujours excellent Bryan Callen. En effet, ces acteurs ont bien plus d’importance que les réels seconds rôles, comme James Marsden, Gillian Jacobs et Sarah Wright Olsen, franchement sous-utilisés. Etrangement, Steven Brill semble manquer de sens du rythme dans la mise en scène, heureusement contrebalancée par une écriture habile, qui si elle ne révolutionnera pas la comédie, permet au spectateur de passer un bon moment.
Walk of Shame n’est évidemment pas la comédie de l’année, mais c’est une comédie furieusement drôle et surtout jamais autant cynique que les autres comédies du même genre.
Un petit film un peu dans l'esprit de very bad trip. L'humour est assez lourd, il n'y a aucune surprise. Après, ça se regarde sans trop de difficulté malgré tout car les temps morts sont assez faibles.
Énième comédie de Steven Brill qui est clairement son genre de prédilection, "Blackout total" est porté cette fois ci par Elizabeth Banks, qui pour une fois a le rôle principal et ca lui va plutôt bien, surtout dans son cliché de la journaliste américaine qui fait une course contre la montre pour arriver a son (peut être) futur job. La scène du chat est épique même si elle ne dure que quelques seconde. Ethan Suplee en flic débile est excellent. Le groupe de fumeur de crack qui l'aide au début est épique. Il faut avouer que je m'attendais a une comédie américaine de plus sans saveur et bien je me suis trompé, les copines de Mégan sont complètement déjantées et il n'y a aucun temps mort dans cette comédie déjantée a souhait.
Rien de bien surprenant , un bon film de divertissement sans grande prétention. L histoire n est pas très originale est à même du Mal à décoller sa reste lourdingue. On oubliera très vite ce film qui ne fait que reprendre ce qui a déjà été fait. Sans intérêt
La comédie post alcool est malheureusement devenue un genre à recettes. Après la trilogie Very Bad Trip et les pseudos jumeaux Babysitting et Projet X, Blackout Total essai de se démarquer en donnant le rôle principal à une femme. Or, les ingrédients restent les mêmes. Après une cuite, la protagoniste enchaîne les gags stupides et grossiers dans le seul but de faire rire ses spectateurs. Mais si on sourit beaucoup, on ne se tord jamais de rire. Pourtant la comédie se regardera d’une traite grâce à l’énergie débordante d’Elizabeth Banks. Celle-ci nous se surpasse dans sa performance qu’on croira presque être à ses côté. Blackout Total est une comédie dénuée d’originalité qui utilise un scénario facile et basé sur les conventions actuelles. Mais le jeu de l’actrice principale rend l’ensemble rythmé et quelque peu efficace. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44