Very Bad Bitch ! Le seul plaisir que pourra trouver le spectateur face à ce spectacle consternant se résume à la somptueuse silhouette d'Elizabeth Banks... Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
bon. faut pas trop reflechir en fait..c est vrai que le physique de la petasse de la télé y est pour beaucoup. .aucun fou rire juste qq sourire..et là je dis merci le pass gaumont...
Une comédie assez moyenne finalement, je pensais rire beaucoup plus. Le film n'en reste pas moins plutôt sympathique, tout comme la prestation énergique d'Elizabeth Banks. 10/20
On abuse ici de quiproquos tellement niais et improbable que s'en est lassant à défaut d'être comique. Dommage car mieux vaut rire qu'être lassé devant un film... surtout devant une comédie! D'autant que cette suite de mésaventures aurait pu être réglée en moins d'une minute même sans téléphone ni argent. Enfin, c'est de l'humour dont les Américains sont friands. A croire que ça aie fonctionné si le film est arrivé chez nous. Quoique? à voir au second voir troisième degré. Moi, j'en ai été incapable. Elizabeth Banks aussi sexy que pétillante évite le pire à ce scénario.
Ni vraiment trash malgré ses tristes tentatives pour choquer la ménagère (oh mon dieu des dealers ! noirs en plus !), et évidemment pas très fin non plus (mais pourquoi pas ça n’est pas le problème), Blackout total ressemble finalement assez bien à son titre original (Walk of shame en anglais) : un long moment assez gênant de maladresse et de futilité, où les quelques très rares bonnes blagues abandonnées de temps en temps sur le bas-côté ne parviennent pas à faire oublier que l’on est vraiment dans le très bas de gamme.
Machine commerciale visiblement conçue dans le seul but d’installer officiellement Elizabeth Banks dans la catégorie des actrices qui comptent, Blackout total annonce la couleur dès les premières secondes avec un générique aussi débile qu’une vidéo de Jackass mais qui a au moins le mérite de très vite nous faire comprendre le ton général du film. Parfois vaguement drôle mais le plus souvent complètement téléphoné, Blackout est toutefois un peu tiré vers le faut par la performance honnête d’une Elizabeth Banks qui réussit bravement à ne pas complètement se noyer dans cette farce aussi fade qu’inconsistante, qui ne fait pourtant rien pour l’aider.
Ce morceau de bravoure n’empêche cela dit pas le naufrage final, consacré par une fin d’une stupidité comme on en voit rarement et qui clôture donc deux heures où l’on aura vraiment rien appris, à part peut-être que l’on peut très bien courir le 100 mètres en moins de 10 secondes avec des talons de 15 cm et une robe de soirée. Ce qui n’est certes pas rien.
Je sais pas si ce film aurais tres bien marche avec une actrisse toute deguelasse, perso je l'ai aprecier en partie pour ca.... apres toute nest pas a jeter non plus, quelque scene sont niesse certe meme certaine sont drol aussi
Il n'y a pas vraiment de quoi rire avec ce film. On sourit à la limite mais les gags sont prévisibles et déjà vu cent fois! Au moins l'actrice principale est la seule qui joue correctement et elle permet d'éviter au film de plonger dans le nanar. On ne voit pas beaucoup l’intérêt de faire un tel film.
Elizabeth Banks a 40 ans est toujours aussi magnifique. C'est un film qui n' est pas très original. La journaliste sans histoire qui un soir où elle fait un petit écart et tout le reste par en sucette même quand elle se croit sauver ça part en vrille quand même. Il y a quelque scène marrante qui sauve le film, mais bon, il n'y a pas de quoi être excité de le voir.
Une aventure farfelue qui se veut drôle, mais qui ne l'est pas du tout ! La palme d'or du navet de cette semaine (enfin du moins des films que j'ai vus) !
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3,0
Publiée le 24 juillet 2019
Quelle journèe de folie pour Elizabeth Banks qui assume son statut de bimbo blonde comme corps comique en tenant un film à bout de bras! Elle est perdue et n'a ni argent ni tèlèphone portable! Lâchèe en pleine nuit dans les rues de Los Angeles, Elizabeth Banks / Meghan Miles va vivre une soirèe mouvementèe qu'elle n'est pas prête d'oublier! Quand le soleil se lève dans la Citè des Anges, les choses se compliquent encore et toujours pour cette prèsentatrice qui prèsente les infos [...] Une actrice crèèe sur mesure est un instrument essentiel! Les producteurs, pour mieux atteindre leur but, font èvoluer Banks dans une robe moulante jaune au coeur des quartiers chauds de L.A avec ses dealers et ses tapineuses! Le phènomène dure exactement ce qu'il pouvait durer, c'est à dire 95 minutes montre en main où le spectateur se laisse prendre au charme de cette pauvre et marrante bimbo en dètresse! Certes c'est une comèdie US prèvisible mais l'ensemble est drôle et largement suffisant pour maintenir l'intèrêt...
Elizabeth Banks est typiquement le genre d'actrice que l'on a déjà vu partout sans jamais retenir son nom. De la trilogie Spider-Man de Sam Raimi à Hunger Games, l'actrice a enchaîné beaucoup de second rôles dans de grands films mais n'a eu que très rarement le cas de tenir un premier rôle. Le peu de fois où cela est arrivé, les films sont encore inédits en France ou sortis directement en DVD. Blackout Total est pour la première fois l'occasion d'enfin apprécier toutes les qualités de cette comédienne qui n'a jamais eu peur de jouer avec son image.
Persuadée de ne pas avoir décroché le poste de présentatrice dont elle rêvait et larguée par son fiancé dans la même journée, Meghan se laisse convaincre par ses copines d'oublier ses soucis en allant faire la fête pour une nuit de beuverie qui va se finir dans le lit d'un barman. Au petit matin, elle reçoit un message lui annonçant qu'elle a finalement décroché le poste et qu'elle doit passer un ultime test le soir même mais après cette nuit de folie, Meghan voit sa voiture embarquée par la fourrière avec son téléphone et tout son argent à l'intérieur. La journée de la présentatrice semble mal partie et la route vers son travail va être semée d’embûches inimaginables.
Après le délirant films à sketchs My Movie Project, Elizabeth Banks retrouve le réalisateur Steven Brill qui lui offre son tout premier rôle en tête d'affiche en solo. Si l'actrice avait déjà était en tête d'affiche dans d'autre comédies telles que Zack & Miri Tournent Un Porno de Kevin Smith, elle était tout de même en duo avec Seth Rogen. Ici, c'est bien elle qui mène la barque de cette journée cauchemardesque pleine de mésaventures. Une genre de comédie déjà vu des centaines de fois mais qui pourtant fonctionne encore une fois à merveille.
Il faut dire que, dans le genre, Steven Brill n'en est pas à ses débuts. Il a déjà à son effectif d'autres comédies très réussies avec Adam Sandler, Ben Stiller ou bien encore Owen Wilson. C'est lui qui signe aussi le scénario de cette histoire qui voit une présentatrice du journal d'information de 17h devenir bien involontairement le coeur du fait divers du jour. La jeune femme qui n'avait certainement jamais eu l'occasion de se retrouver dans les bas fonds de Los Angeles va devoir sillonner à pied les quartiers les plus glauques et mal peuplés de la ville pour retourner à temps à son travail.
Le titre original Walk Of Shame est une expression anglo-saxonne pour qualifier le retour de fêtes trop arrosées le lendemain matin alors qu'on assume plus sa tenue de la veille et qu'on ne parait plus très frais. Souvent en fait de jeunes femmes à la robe trop courte et au maquillage coulant comme l'a illustré la chaîne de magasin Harvey Nichols dans une publicité en 2011 qui a du influencer Steven Brill. Un titre qui n'a pas vraiment de traduction adéquate en France qui opte pour un Blackout Total pas vraiment judicieux puisque l'héroïne n'a pas vraiment de trou de mémoire comme les héros de Very Bad Trip. L'histoire rappelle plutôt Eh Mec Elle Où Ma Caisse où Ashton Kutcher et Sean William Scott galérait eux aussi pour retrouver leur voiture.
Si Elizabeth Banks est le premier rôle, la plupart des ressorts comiques de cette histoire reposent principalement sur ses rencontres : Deux policiers tire au flanc et pas très malin, un trio de dealers stone, un chauffeur de taxi floué et surtout ses deux meilleures copines jouées par Gillian Jacobs et Sara Wright. Tout plein de second rôles qu'on a eux aussi déjà vu ailleurs sans jamais connaitre leur nom. L'exception est l'ancien X-Men James Mardsen qui prête sa belle gueule pour la romance.
N'allez pas chercher la moindre originalité dans cette comédie de Steven Brill en dehors du fait qu'elle inverse pour une fois les rôles. On a plutôt tendance à voir des acteurs tenir ce genre de rôles tandis que les femmes sont là pour faire jolie à l'écran. Une revanche porté par Elizabeth Banks qui prouve comme Anna Farris ou Emma Stone avant elle que l'on peut être drôle et sexy. Un changement de mentalité certainement aidé par le succès du film Mes Meilleurs Amies.