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Avec ce film laconique et onirique, tout en boucles répétitives, qui évvoluent par à-coups plein d'humour et d'amour, Strickland réussit à faire de l'univers tout entier et de son cinéma une matière érectile et mouillée.
Long métrage épuré jusqu'à l'effacement de toute narration classsique, "The Duke of Burgundy" décrit le désir et ses manifestations plastiques. L'intimité est une énigme à la fois angoissante et excitante.
A chaque fois, la mise en scène de cette mise en scène varie insensiblement, la caméra s'attarde sur la soie qui flotte entre les bulles irisées, cherche ce qui se trame derrière les masques quasi hiératiques des deux actrices de cette dramaturgie intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Peter Strickland continue son exploration d'un cinéma sensitif, mélange de pastiche et d'exercice de style, toujours sauvé par des acteurs qui donnent de la chair au récit.
Strickland parvient à dépasser la vignette nostalgique et donne enfin vie à ses fantasmes rétro. Il invente un monde hors du temps, un monde de cinéma, suprêmement voluptueux.
La critique complète est disponible sur le site Première
"The Duke of Burgundy" est un film d'une cohérence à toute épreuve, un objet monolithique qui impressionne par tant d'assurance et de rigueur jusque dans ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Plus chargé d’émotions que prévu, "The Duke of Burgundy" est surtout un film sur les preuves d’amour (mêmes les plus atypiques) et comment elles modèlent les relations dominants/dominés.
Peter Strickland (Berberian Sound Studio) met en scène leurs rituels sexuels avec des audaces visuelles et un fétichisme plus raffinés que Jess Franco, pape du nanar sexy de jadis. La singularité de son cinéma doit beaucoup, une nouvelle fois, à la richesse de sa bande son. (...) au risque que le formalisme l'emporte sur l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C’est dans ce romantisme plastifié, que se niche sa relative étrangeté, plutôt que dans une veine entomologiste à laquelle il manque une dimension réellement ludique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Peter Strickland raconte une romance saphique SM à la manière d'un songe évéillé, tout en boucles et en répétitions. Mais son film se révèle trop appliqué, trop propre : la gabegie d'effets de montage et les coquetteries esthétisantes vident le film de stupre comme de trouble.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
On saisit les références à Vampyros Lesbos ou Venus in Furs, mais de l’exubérance de Jess Franco, réel cinéaste panique, Strickland n’offre qu’une version figée et stérile.
Deux femmes vivent une relation amoureuse sadomasochiste, plus psychologique que physique, mais leur dépendance émotionnelle faite d'inlassables rituels ennuie vite, tandis que leur histoire ne va nulle part.
Transfuge
Avec ce film laconique et onirique, tout en boucles répétitives, qui évvoluent par à-coups plein d'humour et d'amour, Strickland réussit à faire de l'univers tout entier et de son cinéma une matière érectile et mouillée.
CinemaTeaser
Long métrage épuré jusqu'à l'effacement de toute narration classsique, "The Duke of Burgundy" décrit le désir et ses manifestations plastiques. L'intimité est une énigme à la fois angoissante et excitante.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène élégante et sensuelle rend justice à cette intrigue envoûtante et envahie parla mélancolie.
Le Monde
A chaque fois, la mise en scène de cette mise en scène varie insensiblement, la caméra s'attarde sur la soie qui flotte entre les bulles irisées, cherche ce qui se trame derrière les masques quasi hiératiques des deux actrices de cette dramaturgie intime.
Les Fiches du Cinéma
Peter Strickland continue son exploration d'un cinéma sensitif, mélange de pastiche et d'exercice de style, toujours sauvé par des acteurs qui donnent de la chair au récit.
Première
Strickland parvient à dépasser la vignette nostalgique et donne enfin vie à ses fantasmes rétro. Il invente un monde hors du temps, un monde de cinéma, suprêmement voluptueux.
aVoir-aLire.com
Le film, visuellement somptueux, se pose comme un bel objet de cinéma, qui nous transporte dans un univers dans lequel on aime se lover.
CinemaTeaser
Sous la surface SM, Strickland narre une autre histoire, celle d'un amour poussé à l'extrême pour être sûr qu'il existe encore.
Critikat.com
D’une indéniable beauté plastique, mais trop référencé, The Duke of Burgundy ne sait pas se concevoir autrement que comme un hommage.
Culturopoing.com
"The Duke of Burgundy" est un film d'une cohérence à toute épreuve, un objet monolithique qui impressionne par tant d'assurance et de rigueur jusque dans ses limites.
Les Inrockuptibles
Plus chargé d’émotions que prévu, "The Duke of Burgundy" est surtout un film sur les preuves d’amour (mêmes les plus atypiques) et comment elles modèlent les relations dominants/dominés.
Mad Movies
L'érotisme SM lesbien auteurisant des années 70 revisité dans un style très poseur mais parfois ensorcelant.
Télérama
Peter Strickland (Berberian Sound Studio) met en scène leurs rituels sexuels avec des audaces visuelles et un fétichisme plus raffinés que Jess Franco, pape du nanar sexy de jadis. La singularité de son cinéma doit beaucoup, une nouvelle fois, à la richesse de sa bande son. (...) au risque que le formalisme l'emporte sur l'émotion.
Chronic'art.com
C’est dans ce romantisme plastifié, que se niche sa relative étrangeté, plutôt que dans une veine entomologiste à laquelle il manque une dimension réellement ludique.
TF1 News
Peter Strickland raconte une romance saphique SM à la manière d'un songe évéillé, tout en boucles et en répétitions. Mais son film se révèle trop appliqué, trop propre : la gabegie d'effets de montage et les coquetteries esthétisantes vident le film de stupre comme de trouble.
Cahiers du Cinéma
On saisit les références à Vampyros Lesbos ou Venus in Furs, mais de l’exubérance de Jess Franco, réel cinéaste panique, Strickland n’offre qu’une version figée et stérile.
Studio Ciné Live
Deux femmes vivent une relation amoureuse sadomasochiste, plus psychologique que physique, mais leur dépendance émotionnelle faite d'inlassables rituels ennuie vite, tandis que leur histoire ne va nulle part.