Note moyenne
3,1
17 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

17 critiques presse

Transfuge

par Frédéric Mercier

Avec ce film laconique et onirique, tout en boucles répétitives, qui évvoluent par à-coups plein d'humour et d'amour, Strickland réussit à faire de l'univers tout entier et de son cinéma une matière érectile et mouillée.

CinemaTeaser

par Nicolas Bauche

Long métrage épuré jusqu'à l'effacement de toute narration classsique, "The Duke of Burgundy" décrit le désir et ses manifestations plastiques. L'intimité est une énigme à la fois angoissante et excitante.

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

La mise en scène élégante et sensuelle rend justice à cette intrigue envoûtante et envahie parla mélancolie.

Le Monde

par Thomas Sotinel

A chaque fois, la mise en scène de cette mise en scène varie insensiblement, la caméra s'attarde sur la soie qui flotte entre les bulles irisées, cherche ce qui se trame derrière les masques quasi hiératiques des deux actrices de cette dramaturgie intime.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Fiches du Cinéma

par Pierre-Simon Gutman

Peter Strickland continue son exploration d'un cinéma sensitif, mélange de pastiche et d'exercice de style, toujours sauvé par des acteurs qui donnent de la chair au récit.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Première

par Frédéric Foubert

Strickland parvient à dépasser la vignette nostalgique et donne enfin vie à ses fantasmes rétro. Il invente un monde hors du temps, un monde de cinéma, suprêmement voluptueux.

La critique complète est disponible sur le site Première

aVoir-aLire.com

par Nicolas Bonnes

Le film, visuellement somptueux, se pose comme un bel objet de cinéma, qui nous transporte dans un univers dans lequel on aime se lover.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

CinemaTeaser

par Alex Masson

Sous la surface SM, Strickland narre une autre histoire, celle d'un amour poussé à l'extrême pour être sûr qu'il existe encore.

La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

Critikat.com

par Damien Bonelli

D’une indéniable beauté plastique, mais trop référencé, The Duke of Burgundy ne sait pas se concevoir autrement que comme un hommage.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Culturopoing.com

par Benjamin Cocquenet

"The Duke of Burgundy" est un film d'une cohérence à toute épreuve, un objet monolithique qui impressionne par tant d'assurance et de rigueur jusque dans ses limites.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Les Inrockuptibles

par Leo Soesanto

Plus chargé d’émotions que prévu, "The Duke of Burgundy" est surtout un film sur les preuves d’amour (mêmes les plus atypiques) et comment elles modèlent les relations dominants/dominés.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Mad Movies

par Cédric Delelée

L'érotisme SM lesbien auteurisant des années 70 revisité dans un style très poseur mais parfois ensorcelant.

Télérama

par Samuel Douhaire

Peter Strickland (Berberian Sound Studio) met en scène leurs rituels sexuels avec des audaces visuelles et un fétichisme plus raffinés que Jess Franco, pape du nanar sexy de jadis. La singularité de son cinéma doit beaucoup, une nouvelle fois, à la richesse de sa bande son. (...) au risque que le formalisme l'emporte sur l'émotion.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Chronic'art.com

par Théo Charrière

C’est dans ce romantisme plastifié, que se niche sa relative étrangeté, plutôt que dans une veine entomologiste à laquelle il manque une dimension réellement ludique.

La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

TF1 News

par Romain Le Vern

Peter Strickland raconte une romance saphique SM à la manière d'un songe évéillé, tout en boucles et en répétitions. Mais son film se révèle trop appliqué, trop propre : la gabegie d'effets de montage et les coquetteries esthétisantes vident le film de stupre comme de trouble.

La critique complète est disponible sur le site TF1 News

Cahiers du Cinéma

par Stéphane du Mesnildot

On saisit les références à Vampyros Lesbos ou Venus in Furs, mais de l’exubérance de Jess Franco, réel cinéaste panique, Strickland n’offre qu’une version figée et stérile.

Studio Ciné Live

par Véronique Trouillet

Deux femmes vivent une relation amoureuse sadomasochiste, plus psychologique que physique, mais leur dépendance émotionnelle faite d'inlassables rituels ennuie vite, tandis que leur histoire ne va nulle part.

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