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Le fameux canard
2 abonnés
68 critiques
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3,5
Publiée le 26 mai 2020
Sympa. Moins bien que le premier, mais pas mauvais pour autant. Il y a un changement radical fait dans la saga avec cet épisode plus bourrin que flippant. Un film d'action cliché au premier abord, mais qui se regarde avec beaucoup de plaisir. A voir dans sa Director's Cut pour ne rien raté, la version cinéma charcute beaucoup de passage important.
Après l'excellent et culte "Alien, le huitième passager" de Ridley Scott en 1979, James Cameron reprend la suite, il faut toujours se méfier des suites mais là c'est réussi. Après les présentations faites dans le premier et le climat particulier d'Alien , James Cameron rentre dans le vif du sujet et envoie l'armée nettoyer le site. Un film de SF, un film de guerre, les marines face aux bestioles pondeuses inspirera certainement Paul Verhoeven pour Starship Troopers. James Cameron traite Alien à sa façon et c'est bien, il reprend de nombreux éléments du premier, il fait du Cameron sans dénaturer l'esprit d'Alien. Une durée généreuse, du bon spectacle, de la bonne S.F et du bon film d'action des années 80. Les années 80 et 90 sont deux belles décennies pour le genre. Si David Fincher et Jean Pierre Jeunet réussiront à maintenir des suites acceptables, la reprise, pourtant produite et réalisée par Ridley Scott sera plus difficile.
Le Premier opus "le 8eme passager était une surprise à tous les niveaux ; un magnifique film de science Fiction , un merveilleux film d'horreur, un excellent suspense et last but not least une brochette d'acteurs peu connus qui tous connaitront une brillante carrière....ces acteurs se complétaient d'ailleurs très bien...habillés de combinaisons fatiguées paraissant tous plus ou moins égaux parlant de primes avant tout ils étaient à mille lieues des robots humains aseptisés formatés pour sauver l'univers.. "Aliens le retour" ne tient pas ses promesses loins de là ! car la bande de copains a disparu : il n'y a plus que Sigourney et des faire-valoir....la sympathique contremaitre est devenue une superheroine alien-killer.... Je me souviens du tonnerre de rires dans la salle dans son face à face final avec la grosse bebete !...le mythique film d'angoisse a fait place à un bon film d'action
Helen Ripley revient dans un deuxième volet et cette fois ci en compagnie de l'armée. James Cameron nous fait un film d'action comme il sait si bien le faire. C'est une Ripley Badass qui vient en decoudre des aliens. J'adore ce film, et particulièrement l'acteur Bill paxton. Super film, l'éclate.
2ème opus de la saga de science-fiction et horreur Alien. Le 2ème resplendit de nouveau dans une ambiance stressante absolument terrifiante. Cette fois ce n'est plus une bête, mais des milliers... Un excellent film de science-fiction et sans doute un des meilleur. Alien le retour et un chef-d'oeuvre de James Cameron. Il vous tiendra en haleine jusqu'à la toute fin du film spoiler: 3m,2m,1m... .
Cette suite d’Alien est avant tout celle de James Cameron : Quelle maestria dans la réalisation ! C’est davantage orienté action et le rythme monte crescendo pour aboutir à un final des plus réjouissants. Le lieutenant Ripley a pris de l’épaisseur et le côté mère de substitution ajoute un élément important au récit. Paul Reiser est parfait en méchant absolu maîtrisant les gestes les plus simples spoiler: (par exemple, éteindre l’écran de surveillance relié à une caméra) qui engendre les pires conséquences. Par contre, les membres du commando sont moins crédibles, si on les compare à ceux d’un film comme « Predator ». Heureusement qu’ils ont emmené Ripley avec eux !
Un épisode 2 réussi, après le chef d'oeuvre qu'était le huitième passager, Cameron étoffe le lore du xenomorphe avec notamment la maman Alien qui est une bonne idée. Plus bourrin , il met en scène un groupe de militaires envoyé dans une colonie qui ne donne plus signe de vie. Ripley plus badass que jamais est de la partie et le cauchemar recommence... Ici l'ambiance est moins étouffante que le premier, et on y voit pléthore d'Aliens opposés à des marines pour un film basé sur l'action, dans le style des années 80 avec des personnages clichés et autres punchlines qui donnent à ce Aliens le Retour un délicieux côté kitsch. Une référence une fois de plus, avec des moments épiques et dantesques qu'on n'oublie pas.
Avons-nous besoin de justifier une note de cinq étoiles à l'un des meilleurs films de science-fiction de son époque ? Il est le meilleur des films de la saga et c'est un film indémodable
Il est certains qu'en 1979, *Alien, le huitième passager* signé Ridley Scott fût une oeuvre qui à la fois augmentée l'estime de la science-fiction, et avait en même temps marquée à sa façon l'histoire du genre horrifique (un film dont les aspects sont toujours fortement valables aujourd'hui). Comment alors reprendre le flambeau de ce monument et continuer - sans se planter - l'histoire futuriste et mouvementé de Ripley ? Avec *Aliens : Le Retour*, c'est James Cameron qui arrive en 1986 avec sa sombre science-fiction. Cinéaste confirmé avec le fort succès de *Terminator*, James Cameron arrive à garder à *Alien* sa facette horrifique et violente, tout en y ajoutant dans ce second opus une dose insoupçonnées des codes du film de guerre !
Apres les terribles événements du vaisseau Nostromo, Ripley (Sigourney Weaver) est retrouvé par un vaisseau militaire après avoir vécu une cinquantaine d'année à la dérive à travers l'espace. Une longue convalescence lui est offerte et le temps des sombres souvenirs est de mise avec un grand interrogatoire sur les raisons de cette véritable défaillance spatiale. Mais rapidement, il est demandé à Ripley une mission de haute importance : retourné à la planète LV-426 en compagnie d'une équipe de militaires expérimentés. L'objectif est celui de découvrir la vérité sur ces ''choses'' avec en plus celui de trouver une solution concernant la fin subite des contacts entre les nouveaux colonisateurs (désormais établis sur cette planète) et la troupe militaire. Ripley revient au cœur de ses lointains et traumatisant souvenirs : là où pour la première fois, les hommes et la chose se sont rencontrés.
Apres avoir côtoyé de simple chargés de marchandises dans *Le huitième passager*, Ripley se retrouve aux côtés de militaires féroces, ultra-musclés et assoiffés d'armes et de sang. Le film de guerre quitte la réalité des fortes persécutions de notre histoire terrestre pour s'inviter dans un futur sombre où des mystérieuses bêtes bourrées à l'acide s'attaquent aux humains. James Cameron convoque cette unité d'élite pour les amener vers cette étrange et visqueuse planète peuplé d'Aliens en grand nombre : la guerre d'aujourd'hui est celle des hommes futuristes face aux bestioles ancestrales ! La folle imagination de Cameron nous rappellent évidement les idées artistiques de son *Avatar* sortie 23 ans après : ses énormes hélicoptères et voitures d'élites spécialement confectionnes pour les dangers les plus féroces et spécialisés pour évoluer dans les climats les plus hostiles; ou encore bien-sûr ces grands robots contrôlés en leurs cœur même par les humains. Les Marines américains sont désormais appelés dans les confins de l'espace et James Cameron arrive avec brio à capter ces décors pensés et maîtrisés pour nous faire ressentir cette guerre à venir entre les hommes entraînes et les féroces Aliens.
Mais heureusement, ce second opus n'oublie pas qu'*Alien* est un avant-tout une saga horrifique et que *Le huitième passager* doit son talent dans cette ambiance palpitante inégalable. Les néons multiples et angoissant subliment ces décors visqueux et hautement asphyxiants. Ripley et ces compagnons évoluent dans l'enfer de LV-426 : l'humain est confronté à ce qu'il ne connait pas, une notion calquée des plus grands cauchemars. A travers sa caméra, James Cameron se ballade dans ces étranges couloirs - comme le faisait Scott - et adapte sa vision à travers les yeux de ces militaires jetés dans la gueule du loup. Néanmoins, sa réalisation devient un peu plus brouillonne quand il s'agit de filmer la tension à l'état pure.
*Aliens : Le Retour* marque aussi une avancée sur son confrère *Le huitième passager*. Là où encore ce sont de simples et marginales humains qui sont envoyés se faire dévorer, James Cameron propose une vision de récit aux horizons volontairement beaucoup plus étendues et à la remise en question du sujet de l’intelligence artificielle. D'une part, c'est Ripley qui se découvre une facette inattendue de mère protectrice avec le recueil de cette jeune fille nommé Newt (Carrie Henn). Une volonté à la fois d'augmenter le volume émotionnel et en même temps de voir des épisodes supplémentaires pour la saga. Mais de plus, Cameron revalorise le visage de ces humains artificielles. Celui du premier opus était un tueur, alors que celui du second est un sauveur. Les mentalités des personnages changent, mais celle de la réflexion - plus ou moins - profonde d'*Alien* ne change pas : la volonté de profit et la question de l'argent restera toujours au-dessus des figures humaines.
Reste que James Cameron arrive à proposer une suite réussite du chef d'oeuvre de Ridley Scott ! En plus de garder cette certaine facette horrifique traditionnelle, Cameron propose une revisite du film de guerre de façon maîtrisée. **Moins marquant que *Le huitième passager* certes, mais à la qualité non-négligeable !**
Un film d'action, rien de plus, d'autant plus que la version longue est vraiment la seule qui puisse remonter le niveau. Techniquement, le film est parfait, mais le scénario aurait mérité un approfondissement.
Suite bien meilleure et plus étonnante que l'original de 1979. Là où l'original était plein de suspense, ce film est plein d'action. Dans ce film, Sigourney Weaver cimente véritablement le Lt Ellen Ripley comme héroïnes. Ce film prouve juste que James Cameron peut prendre toutes les franchises qu'il veut et les rendre encore plus incroyables qu'elles ne l'étaient déjà !!!
James Cameron prend les rennes pour cet excellent retour. Cette fois-ci, les protagonistes sont une bande de militaires un peu niais mais armés jusqu'aux dents. L'horreur laisse la place à l'action. Les scènes sont très angoissantes. Petit plus pour les détecteurs de présence qui provoquent l'anxiété et la frayeur. L'atmosphère est toujours aussi pesante et obscure et les Xénomorphes sont légions. La demi-etoile ôtée équivaut au côté un peu trop "bourrin" du film qui aurait pu être atténué.
Une identité, le capitalisme et l'armement en toile de fond, des Aliens moins mobiles, plus massifs et se tenant plus droit, c'est par ailleurs l'épisode suivant qui justifiera cette nouvelle posture du monstre. Une identité propre à son réalisateur. Un film technique, qui voit une Steadicam utilisée en tant qu'exosquelette, c'est l'éclate et la démesure. Les décors sont parfaitement exploités, Ripley devient Bad Ass, autoritaire et mais n'abandonne pour autant pas sa posture maternelle. Une mère contre une autre.
Un pur chef d'oeuvre. Le meilleur film de la saga alien, la version réalisateur est encore meilleur que la version classique du film. James Cameron a parfaitement réalisé cet excellent film. Un film parfait mélangeant science fiction et action. Un excellent casting d'acteurs avec Sigourney Weaver,Michael Biehn, Lance Henriksen et Bill Paxton.
J'enchaîne de suite avec le second volet de la saga, qui comme le premier est une totale découverte pour moi. La première chose qui m'a sauté aux yeux c'est l'on voit bien que c'est Cameron désormais à la réalisation de cette franchise avec "Alien : Le Retour", si son appellation est has Been et complètement archaïque le film lui ne l'est pas.
Déjà que j'avais été agréablement surpris par la modernité du premier film, celui-ci pousse encore le schmilblick un peu plus loin même si un hiatus de 7 ans les séparent. On retrouve clairement la "Touch Cameron", difficile de ne pas penser à Avatar lorsque l'on voit les Marines avec leur arsenal ultra sophistiqué, ou de ne pas faire l'analogie entre l'exosquelette qui maintient Stephen Lang dans Avatar et celui qui aide Sigourney Weawer à combattre la reine des Xénomorphes. Il emportera aussi avec lui une partie de ce casting pour la suite de Terminator. Autre atout supplémentaire : le scénario, qui a été plus travaillé.
Concernant les points négatifs j'en vois deux prépondérant, tout d'abord le manque de réaction de Ripley ( Sigourney Weawer ) lorsqu'elle apprends qu'elle s'est réveillée de sa biostase après ... 57 ans ! elle ne s'interroge pas de savoir comment va sa fille, sa famille ce qui est totalement incompréhensible. Après recherche il s'avère que la scène a été coupé de la version courte du film donc la version cinéma pour des soucis de longueurs, ce qui mis en rage Weawer qui selon ses dires a misé toute sa performance sur cette tragédie, à l'instar d'un McConaughey dans "Interstellar", c'est selon moi un TRES GROS point négatif qui lui coûtera un demi point dans ma note finale.
Autre incohérence dans le premier film que j'ai vu la veille, donc c'est tout chaud, L'androïde explique a l'héroïne avant d'être débranché que les Aliens ne peuvent pas être tués facilement, et effectivement ils paraissent quasi-immortels, seul l'ouverture du Sas de décompression aura eu raison de lui, dans celui-ci ils sont soudainement beaucoup plus vulnérables, ce qui me laisse très perplexe.
Pourtant pas un grand passionné du genre, je pense que ce film mérite au moins 3,5/5 mais Cameron a supprimé une scène CAPITALE du film, ce n'est pas pardonnable à ce niveau la, et il a pris certaines libertés qui moi me dérange.