Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Un superbe élan de cinéma, une mise en scène intrépide et une histoire risquée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Il faut en remercier aussi une direction d'acteurs éblouissante de justesse. Et deux comédiens à leur meilleur (...)
Télérama
par Pierre Murat
Un jeu (...) impudique et fascinant, dont on devient peu à peu les voyeurs complices.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
La mise en scène, extrêmement stylisée, ne manque ni d’audaces, ni de libertés, en dépit de l’économie de moyens déployés pour mener ce projet.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Dominique Widemann
Doillon choisit cette fois encore le huis clos qui, par sa remarquable mise en scène, parvient à épouser tous les mouvements de ses acteurs, la dynamique de leurs torsions et tensions.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
L'émotion naît du mouvement de ces corps qui se cherchent, qui se frottent, se frappent, s'attrapent, se tordent, comme de la glaise entre les mains du cinéaste (...) Un érotisme violent repoussant ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Transfuge
par Frédéric Mercier
Jamais auparavant le cinéma de Doillon n'avait atteint une telle puissance viscérale.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Jacques Doillon, cinéaste du verbe, attrape son sujet à la gorge. Servi par l’investissement de ses deux acteurs, tourné comme toujours en plans-séquences, le film – à prendre ou à laisser – atteint, pour peu qu’on y soit sensible, une très puissante intensité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Mathilde Parapiglia
Peu à peu le couple nous amène vers une lutte charnelle, à la fois violente et douce. Des images fortes, des dialogues charnus, piquants et douloureux qui nous laissent sans voix.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
S’il y a bien deux films dans "Mes séances de lutte", celui qui consiste en circonvolutions oratoires autour d’un nœud amoureux et familial plutôt tordu est aisément tenu à distance par l’autre, qui se penche sur deux corps et leur rapprochement – et celui-là est assez extraordinaire.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Jacques Doillon filme comme un ballet, et remplace les incessantes conversationsde son cinéma par des corps-à-corps, pour finalement traiter des mêmes thèmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
Ici, malgré de belles fulgurances et l'engagement total des acteurs, l'exercice de style tourne un peu en rond.
Le Parisien
par La rédaction
On ne comprend pas où Doillon veut en venir avec cette histoire aux dialogues fort ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Louis Blanchot
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec ce psychodrame oiseux et campagnard Doillon ne cherche pas vraiment la réconciliation, et paraît même redoubler d’effort pour donner le sentiment à ses détracteurs, mais aussi à son public, d’être clairement de trop.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
Un superbe élan de cinéma, une mise en scène intrépide et une histoire risquée.
Positif
Il faut en remercier aussi une direction d'acteurs éblouissante de justesse. Et deux comédiens à leur meilleur (...)
Télérama
Un jeu (...) impudique et fascinant, dont on devient peu à peu les voyeurs complices.
20 Minutes
La mise en scène, extrêmement stylisée, ne manque ni d’audaces, ni de libertés, en dépit de l’économie de moyens déployés pour mener ce projet.
L'Humanité
Doillon choisit cette fois encore le huis clos qui, par sa remarquable mise en scène, parvient à épouser tous les mouvements de ses acteurs, la dynamique de leurs torsions et tensions.
Le Monde
L'émotion naît du mouvement de ces corps qui se cherchent, qui se frottent, se frappent, s'attrapent, se tordent, comme de la glaise entre les mains du cinéaste (...) Un érotisme violent repoussant ses limites.
Transfuge
Jamais auparavant le cinéma de Doillon n'avait atteint une telle puissance viscérale.
TéléCinéObs
Jacques Doillon, cinéaste du verbe, attrape son sujet à la gorge. Servi par l’investissement de ses deux acteurs, tourné comme toujours en plans-séquences, le film – à prendre ou à laisser – atteint, pour peu qu’on y soit sensible, une très puissante intensité.
aVoir-aLire.com
Peu à peu le couple nous amène vers une lutte charnelle, à la fois violente et douce. Des images fortes, des dialogues charnus, piquants et douloureux qui nous laissent sans voix.
Cahiers du Cinéma
S’il y a bien deux films dans "Mes séances de lutte", celui qui consiste en circonvolutions oratoires autour d’un nœud amoureux et familial plutôt tordu est aisément tenu à distance par l’autre, qui se penche sur deux corps et leur rapprochement – et celui-là est assez extraordinaire.
Les Fiches du Cinéma
Jacques Doillon filme comme un ballet, et remplace les incessantes conversationsde son cinéma par des corps-à-corps, pour finalement traiter des mêmes thèmes.
Première
Ici, malgré de belles fulgurances et l'engagement total des acteurs, l'exercice de style tourne un peu en rond.
Le Parisien
On ne comprend pas où Doillon veut en venir avec cette histoire aux dialogues fort ennuyeux.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec ce psychodrame oiseux et campagnard Doillon ne cherche pas vraiment la réconciliation, et paraît même redoubler d’effort pour donner le sentiment à ses détracteurs, mais aussi à son public, d’être clairement de trop.