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    Birdman
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    3,8
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    936 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 décembre 2016
    Excellent film ! Une réa parfaitement maîtrisé, des acteurs parfaits et un scénario réaliste et très bien mis en scène !! A découvrir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 novembre 2016
    Un film virtuose et assourdissant. Bourré de mise en abime, de scènes rotor et de poésie. Un casting au top. Je regrette simplement les dialogues parfois médiocres.
    Roger Cola
    Roger Cola

    28 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2017
    Un film d'une grande virtuosité, certains diront époustouflant, d'autres diront poussif et prétentieux: la réalisation est un plan-séquence poussé à l'extrême, on se demande comment ils ont réussis à filmer ça. Les acteurs sont tous excellents et semblent reprendre leur réputation dans la vraie vie (Edward Norton qui joue un acteur qui n'en fait qu'à sa tête, Michael Keaton qui joue un acteur en déclin après avoir joué le rôle d'un super-héros). On suit à 100% le délire de Keaton, qui perd totalement pied avec la réalité, et qui recherche désespérément sa gloire perdue. Critique, grandiose et amusant, Birdman deviendra certainement un classique d'Inarritu par la suite.
    Houssam A.
    Houssam A.

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    Birdman, ou "La Surprenante Vertu De L'ignorance", est une comédie dramatique de Alejandro Gonzalez Iñarritu. Il faut préciser que ce film a remporté un paquet de récompenses, notamment quatre Oscars.

    C'est l'histoire de Riggan Thomson, qui fut jadis l'interprète du justicier (super-héros) "birdman", et considéré aujourd'hui comme ''has-been", ne se souciant plus que de sa carrière, il décide de devenir le metteur en scène et l'acteur principal d'une pièce de théâtre du nom de "What We Talk About When We Talk About Love" et veut briller face au projecteur pour toucher le sommet, il aura pour but de soigner son image avec le public, ses amis et sa famille (avec tout le monde). Mais pour ça il doit faire face à l'ancien version de lui, Birdman, qui le hante et aggrave sa FOLIE…
    Le réalisateur a abordé un sujet sérieux et universel et qui est identique à la carrière de Michael Keaton ( Birdman---->Batman), Iñarritu critique Hollywood qui donne de plus en plus d'importance à des super héros ringards et inintéressant qui prennent le monopole du box-office. Tout ça orné d'une petite dose de comédie hilarante et d'effets spéciaux. Le film nous confronte à une confusion entre le réel et ce qui est un fruit de l'imagination du personnage, en nous laissant comme repère quelques indices (le chauffeur de taxi qui demande d'être payé), les paroles sont très significatives et plaisantes, j'ai été stupéfait par plusieurs scènes notamment celle de la fin du film où on fait plus la distinction entre le réel et le fictif, on reste bouche bée attendant le dénouement final. Tout ça maitrisé par une mise en scène unique, avec un plan séquence énorme (un faux plan séquence oufisime qui passe crème), et une réalisation sans
    précédent qui donne de la dynamité au film, j'ai adoré le mixage de song (le batteur). Et ce n'est pas encore fini, le film vient ajouter la cerise sur la tarte, qui est le jeu d'acteur splendide, époustouflant, marquant… On y retrouve, Michael Keaton qui fait un come-back de triomphe le plus important de sa carrière et réussi le coup de maître dans cette interprétation, Emma Stone toujours aussi magnifique et exceptionnel qui rapporte toujours une nouvelle chose et qui méritait l'oscar dans un rôle bien interprété d'une ados toxico au cœur brisée, Edward Norton très très bon et joue à merveille le rôle du new-yorkais à la fois connard et touchant, et finalement Zach Galifianakis comme d'habitude drôle et très correct.

    Finalement ce film est intelligemment réalisé avec une maîtrise absolue bourré de bonne idée, un film exceptionnel qui nous fait penser aux œuvres d'Hitchcock.

    Un chefs-d'œuvre, à voir absolument. Immédiatement !!!
    caro18
    caro18

    145 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 octobre 2016
    Successions d'interminables plans-séquences suivant une galerie de personnages caricaturaux. Au secours !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Oscarisé comme une bête, le mérite-t-il? Faut reconnaître la virtuosité de ses longs plans séquences qui ont du demander un boulot dingue, pour un résultat surprenant. Keaton, oui, on peut dire que c'est le rôle de sa vie (marrant qu'ils le fassent presque tous à un âge relativement avancé. Norton est comme d'habitude impeccable aussi. Et puis il y a surtout cette capacité à entremêler la réalité (ce qui me fait penser à un autre film que j'ai trouvé beaucoup moins réussi, mais bon), le rêve (ou la fiction)...ce qui est peut être un peu la définition du cinéma....La bande musicale est essentiellement constituée d'un long solo de batterie, ça peut saouler, mais faut reconnaître l'efficacité pour souligner l'action. Bon, moi, j'ai beaucoup aimé ce drôle de film, et perso, mention spéciale pour les dix dernières secondes du film, ou un simple regard décide de l'issue de l'histoire. Chapeau.
    OwneD
    OwneD

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Ce film est un chef d'oeuvre. Pourtant, je ne suis pas un fan de films dramatiques. Pourtant, ce film à un rythme incroyable, encouragé par la batterie en fonds sonore. On est vraiment intrigué dès les premières minutes du film spoiler: lorsque Keaton est en lévitation
    . Puis, on en apprends davantage sur lui spoiler: et sa double personnalité
    , en quête de succès. Bref, le genre de film où il ne faut pas lire le synopsis, de peur de trouver cela ennuyant. Il suffit simplement de regarder le casting et l'engouement auprès du film pour comprendre que c'est une réussite cinématographique.
    mlight
    mlight

    20 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2017
    On se laisse immédiatement absorber par l'atmosphère de ce film, par ses jeux d'acteurs, Michael Keaton et Edward Norton c'est un vrai régal, la fluidité des transitions, la poésie que transmettent les musiques, des scènes aussi grotesques que dramatiques s'enchaînent avec une main de maître. Quasiment tout était réuni pour réellement me plaire et me faire décoller, ce fut le cas la plupart du temps, j'ai malheureusement été déçu par certains choix.. spoiler: Le fait de voir Sam regarder dans le ciel au tout dernier plan comme pour nous dire qu'il vole vraiment casse un peu cette scène où l'on aurait pu partir encore plus dans le délire de Riggan
    , quelques détails de ce genre font que je suis légèrement déçu mais rien de bien méchant, ce film reste à voir dans le genre film psychologique.
    liamsi
    liamsi

    11 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2016
    Visuellement beau, techniquement impressionnant, histoire qui avance avec fluidité, réalisation maitrisée, jeu d'acteurs parfait, que demander de plus ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 octobre 2016
    Yaurait-il une tendance des BO à base de percussions ? Après l’horrible Whiplash, cet impressionnant Birdman est lui aussi rythmé, presque conduit, par des accélérations, freinages et syncopes de batterie. Cette BO percussive n’est pas le seul attribut notable du nouveau film d’Iñárritu. A l’instar de La Corde ou de L’Arche russe, Birdman se déploie dans le souffle d’un unique plan-séquence (ou dans son illusion).

    Arrêtons-nous un instant sur cet exploit technique. Hitchcock avait créé son film-plan-séquence dans le cadre d’un lieu unique et limité : un salon d’appartement new-yorkais. Il avait pensé à tout, le mouvement des nuages par la fenêtre, les lumières qui baissent au fur et à mesure de la soirée, mais il restait tributaire de la lourdeur des tournages en 35 mm, recourant au stratagème du gros plan/fondu au noir pour les changements de bobines toutes les dix minutes. Sokourov avait lui exploité les ressources mobiles et illimitées du numérique en promenant sa caméra légère à travers les dizaines de pièces et couloirs du musée de l’Ermitage.

    Iñárritu pousse encore plus loin l’extension du domaine de la caméra avec son plan-séquence presque aussi libre que l’air, qui se faufile à travers toutes les pièces, coursives, coulisses, étages, cintres d’une salle de théâtre de Broadway, et jusque dans la rue, les bars, toits et immeubles voisins. Il faut l’admettre, on est saisi, souffle souvent coupé, par la virtuosité de cette caméra fluide, labile, passe-muraille, qui semble branchée sur le pouls d’un théâtre et d’un quartier de New York en se riant des murs, ou de notions telles que le dedans et le dehors. Cette caméra omnisciente est à l’aune de notre époque de transparence où, sous la pression des possibilités technologiques, l’intimité, le privé, le secret reculent face au tout-visible.

    Cela précisé, Birdman ne se réduit pas à une performance technico-visualo-sportive, aussi impressionnante soit-elle. Le “Birdman” en question, c’est le superhéros hollywoodien qui a jadis valu richesse et célébrité à l’acteur Riggan Thomson, joué par Michael Keaton. Toute ressemblance entre l’acteur et son double, entre Birdman et Batman, entre Keaton et Riggan, etc. Détail amusant, Riggan semble doué dans la vie des superpouvoirs de Birdman, comme par exemple léviter, voler, faire bouger des objets à distance… Mais à l’instar du Vincent de Thomas Salvador, ses superpouvoirs ne lui sont d’aucune utilité. Riggan Thomson n’aspire qu’à une chose: briller dans une pièce de Raymond Carver, jouir des éloges de la critique new-yorkaise, troquer sa gloire de superhéros contre une trace artistique prestigieuse et durable. Après l’argent du beurre, Riggan Thomson voudrait le beurre, voire 
le cul de la crémière (et de la critique).

    Le film colle au train de Riggan pendant les quelques jours précédant la grande première : répétitions, changement de partenaire acteur, pressions de son agent, junkets avec la presse, défilé des anciennes maîtresses, confrontation avec sa fille, débats sur les avantages et inconvénients de la célébrité 2.0, conflit interne entre Riggan-Carver et Riggan-Birdman… En quelques heures et quelques mètres carrés sont condensés et concentrés tous les rêves, désirs, échecs, cauchemars, paradoxes publics et privés d’un acteur – et au-delà, de tout quinqua ou sexagénaire qui sent que les potentialités de son avenir se réduisent et qui cherche désespérément, urgemment, un sens à son existence. Car si Riggan a été un super Birdman, il a été un mari médiocre, un amant veule, un père nul, et un acteur… justement, il ne sait pas et c’est ce qu’il cherche à étalonner à travers la pièce de Carver.

    Il y a dans Birdman une dimension bling-bling, extravertie, “m’as-tu-vu”, consubstantielle au style d’Iñárritu, et qui souvent agace chez lui, mais il faut reconnaître aussi le côté pile de ces défauts : une énergie carnassière invraisemblable, qui emporte tout ici, bien aidée par la performance hallucinante du sosie de Julien Lepers, déployant toute son artillerie d’acteur chevronné avec une puissance et une jouissance très contagieuses (les autres, Norton, Watts, Stone… sont tous très bien aussi, mais la dynamo centrale, c’est Keaton).

    Et puis pour une fois qu’Iñárritu ne nous sert pas son humanisme Benetton surligné à la truelle mais dédie toute ses forces à une réflexion acide sur la culture, la célébrité et les métiers du spectacle, c’est bon à prendre. Pas bégueule, on prend.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 octobre 2017
    Ce serait faire preuve de mauvaise foi que de traiter Birdman de mauvais film. Loin de là. Seulement, 7 oscars, ce n’est pas rien. En le voyant, je m’attendais à un réel chef-d’oeuvre, et puis j’ai été déçu, comme un enfant devant une boule de glace qui s’écrase sur l’asphalte, il reste le biscuit, et c’est tout.

    Le biscuit, c’est la forme, un plan séquence tant encensé autour duquel on ne tarit pas d’éloges. C’est mérité. C’est joli. Ça va entièrement dans le sens du film qui veut dépeindre une certaine réalité, montrer toutes les coulisses d’une pièce de théâtre, suivre ses personnages dans tous leurs travers, nous amener à être presque mal à l’aise en nous plongeant dans leur intimité. Quelques belles prouesses d’écriture dans certains dialogues.
    Et puis il y a la glace par terre, cet aspect intellectuel propre au film d’auteur, qui se veut passer des messages, faire des métaphores. Ça c’est sur papier. Dans Birdman, cet aspect intellectuel prend la forme d’une surenchère de fantastique, d’une fin qui sous tous ses aspects sinon l’absurdité de la vie n’a aucun sens, lâchée comme un ultime « démerdez-vous à trouver une interprétation magnifique et cohérente, si vous n’y arrivez pas c’est que vous n’avez rien compris », une bande sonore réalisée dans sa majeure partie par une batterie à faire mal à la tête et quelques plans fixes qui se veulent pétris d’un intellect illusoire.
    Une histoire originale, celle de Ronald Reagan, un acteur de blockbusters qui veut se reconvertir au théâtre, mais comme le fait remarquer Emma Stone (la fille de Reagan) : Tout le monde se fout de ces histoires de célébrités et de leur ego trip. On cherche à critiquer les blockbusters, voire la critique en général ( spoiler: qui crie au conceptuel quand un homme se suicide sur scène
    ), mais finalement il n’y a pas tant de matière, si ce n’est que les blockbusters engrangent les recettes en utilisant toujours les mêmes recettes. Le reste des thèmes, c’est du déjà-vu, sous traités à cause de la volonté du trop-plein de sous-thèmes: on citera le thème du père absent spoiler: qui, par miracle, renoue avec sa fille et son ex-femme à la fin
    . Trop de thèmes, trop d’intellectualisme, trop de volonté d’originalité (dans la musique à la batterie par exemple), trop de laisser-place à l’imagination. Trop de choses dans Birdman, ce qui en fait un film brouhaha et fourre-tout dans une carapace d’intellect saupoudré de sa réalisation au top. Il mérite indéniablement certains de ses oscars, un par un, sa pléthore d’oscars, mais si l’on assemble tout, le film est un désordre qui attend que les spectateurs veuillent bien lui donner un sens.
    Creepy_Chinchilla
    Creepy_Chinchilla

    19 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2016
    Avant même de connaitre le synopsis de Birdman, je connaissais le film sous le terme de « ce-film-entièrement-réalisé-avec-un-faux-plan-séquence ». Curieuse de voir une nouvelle prouesse d’Alejandro Gonzalez Innaritu (après Babel et The Revenant), et cette affiche qui me faisait de l’oeil, je me suis lancée. Après visionnage, je dirai que je m’attendais à plus ou à quelque chose de différent. Je ne peux pas parler de déception, mais ce ne serait pas non plus le genre de comédie dramatique que je pourrai revoir inlassablement. Il est à voir, c’est tout.
    J’ai eu du mal à rentrer dans le film durant la première demi-heure, tant j’étais focalisée sur la performance technique. Parmi les premières images du film, il y a celle de Riggan Thomson au premier plan et derrière lui, un poster d’un héros sombre et masqué. On ne peut pas vraiment évoquer le hasard, lorsque la première idée qui me vient à la vue de ce plan est celle de Batman. En effet, c’était intelligent de faire référence à la carrière de Michael Keaton de Batman à aujourd’hui, en utilisant la carrière fictive de Riggan Thomson de Birdman à Broadway. Tout le film oscille d’ailleurs à la frontière entre réalité et fiction, entre la scène et la vie réelle. Et ce, dès la scène d’ouverture : vole-t’il vraiment ? spoiler: A noter qu'à la fin du film, Riggan enlève son pansement, son masque, il embrasse sa nature d’oiseau…Et saute. Ou s’envole. La boucle est bouclée car incrédules, on se repose la question. Que ce soit au début ou à la fin, le spectateur est libre d’interprétation.

    spoiler: La condition psychologique de ce protagoniste, me rappelle l’oeuvre de Marianne Satrapi, The Voices : on oscille entre la vision magnifiée du héros, sa manière d’encrer ses fabulations dans le réel et puis l’on découvre l’envers du décor.

    Je n’ai parlé que du personnage de Michael Keaton, cependant Emma Stone et Edward Norton, ont un joli jeu d’acteurs. Un peu cliché mais, j’ai beaucoup aimé cette scène d’Action ou Vérité où tout deux se révèlent. Leurs personnages sont aussi là pour apporter une petite touche d’humour.
    Nous avons donc le point de vue de la caméra qui s’infiltre partout, nous sommes en backstage et même plus : nous sommes jusque dans la tête du personnage central. Nous sommes dans les coulisses de sa vie, nous entendons ses pensées, grâce à cette voix grave et envoûtante qui nous les narre. L’introspective de ce dernier porte majoritairement sur la question de l’égo, ou plutôt de la reconnaissance.
    Birdman nous parle des frontières entre ce que l’on est, ce que l’on croit être et ce que l’on veut être. Mais dans une interprétation plus globale, Birdman est une critique sur le cinéma d’aujourd’hui, ou plus particulièrement, une critique des blockbusters plus ou moins issus de comics.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    96 abonnés 1 189 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2016
    La mise en scène est élégante et joue, de ses longs faux plans séquences, avec le spectateur. Doté d'un casting en béton, Inarritu filme cette incroyable introspection de Michael Keaton, à la frontière de la vie de l'acteur lui-même et celle de son personnage, sans faire d'erreur sur ce périple visuel constant. On en sort facilement séduit, pleins de questions et admiratif. Le traitement paraît démonstratif, survolant un sujet pleins de promesses, mais a su revenir à des fondamentaux classiques mais efficaces, au moment souhaité, sans tourner au ridicule. La musique est étonnante, le rythme puissant, les intentions honnêtes. Le film est bavard mais certaines séquences valent le détour à elles seules. Je me serai attendu à plus de parallèles avec le rêve, l'inconscient, à rentrer beaucoup plus dans la folie, ou quelque chose de plus sombre. L'ensemble reste soigné, culotté et surprenant.
    Serpiko77
    Serpiko77

    50 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2016
    Une maîtrise parfaite du plan-séquence, ultra-rythmé, cynique, drôle et dialogues très bien ficelés, la première partie de ce film est un régal. Malheureusement la seconde se concentrant uniquement sur le héros et délaissant totalement les personnages secondaires qui étaient pourtant intéressant l'est beaucoup moins.
    Pierre P.
    Pierre P.

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2016
    Birdman est un très beau film avec des acteurs de talents, une mise en scène magique et un scénario riche en rebondissements. Mais malgré toutes ces bonnes notes la fin du film me déçoit énormément, pour moi la film devait ce terminer sur scène avec la mort de l'acteur ! La fin ouverte de inaritu est trop ouverte et laisse trop de mistere ! Très bon film mais une fin décevante !
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