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Votre avis sur Birdman ?
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Les 5 premières minutes...allez on dira le premier quart d'heure, est plutôt bluffant. Une mise en scène speed et totalement originale de par l'utilisation du plan séquence, des acteurs super expressifs, marrants et qui jouent vachement bien et puis c'est Gonzàles Inarritu on fait un minimum confiance au mec mais passé ce fameux quart d'heure, une envie de hurler encore plus fort que cette bande d'acteurs qui s'excitent sur l'écran vous prend aux tripes. Une batterie qui joue sans arrêt vous rend dingue et une fois qu'on a pigé de quoi il retourne, on dégage. Le petit milieu narcissique d'acteurs à l'égo surdimensionné, j'ai un peu de mal. Pourtant, je kiffe Edward Norton mais là, impossible de tenir devant ce spectacle crispant au dernier degrés.
Riggan Thomson a connu une gloire mondiale au cinéma sous les traits du super héros Birdman. Il tente un come back en mettant en scène et en jouant une pièce de théâtre à Broadway.
Ce qui impressionne c'est la mise en scène faite d'une succession de longs plans séquences et la photographie qui donne une couleur (et même plusieurs) toute particulière au film. L'interprétation de Michael Keaton marque également et le parallèle que l'on fait entre lui et son personnage accentue son intérêt.
En revanche, ce que Birdman nous raconte tourne vite en boucle. Les réflexions d'Inarritu sur les états d'âme d'un acteur sur le retour mauvais père et mauvais mari, la mégalomanie du comédien à la mode, le pouvoir des critiques théâtrales et l'importance du buzz sur les réseaux sociaux, radotent pendant deux heures. Les partis pris artistiques d'Inarratu dont la présence entêtante d'une batterie, alourdissent un peu plus le propos.
Ce qui impressionne c'est la mise en scène faite d'une succession de longs plans séquences et la photographie qui donne une couleur (et même plusieurs) toute particulière au film. L'interprétation de Michael Keaton marque également et le parallèle que l'on fait entre lui et son personnage accentue son intérêt.
En revanche, ce que Birdman nous raconte tourne vite en boucle. Les réflexions d'Inarritu sur les états d'âme d'un acteur sur le retour mauvais père et mauvais mari, la mégalomanie du comédien à la mode, le pouvoir des critiques théâtrales et l'importance du buzz sur les réseaux sociaux, radotent pendant deux heures. Les partis pris artistiques d'Inarratu dont la présence entêtante d'une batterie, alourdissent un peu plus le propos.
Donc une ancienne vedette de l'écran (le héro de Birdman) tente son retour par le théâtre. Si le film souffre de certaines longueurs et d'une scénario compliqué, il a de très nombreux aspects positifs : l'introduction dans le scénario d'un acteur professionnel qui apporte un sel formidable au jeu, des scènes originales de dialogue entre la vedette et Birdman, un travail de caméra très fort et novateur, une musique qui est un véritable acteur du film, une scène en slip dans les rues de New York en fête, un rapport ambigu avec la fille et la femme qui apporte beaucoup d'originalité, etc. Bref, on ne s'ennuie pas même s'il faut parfois s'accrocher surtout si on le regarde sur un petit écran.
le scénario laissait entrevoir une idée originale mais son exploitation est décevante. ce quasi huit clos en coulisses est bavard, assourdissant et à peu près insignifiant. du coup, au bout d'1h il ne s'est rien passé de consistant! en revanche, rien à dire sur la performance de Keaton (et Norton).
Film compliqué où on ressort de la salle avec beaucoup d'intrigues...
De ce fait, il est difficile de dire si j'ai apprécié... Personnellement, je l'ai trouvé "bizarre"...
Peut-être est-ce pour cette raison qu'il a été oscarisé !?
De ce fait, il est difficile de dire si j'ai apprécié... Personnellement, je l'ai trouvé "bizarre"...
Peut-être est-ce pour cette raison qu'il a été oscarisé !?
un acteur rater prit dans sa folie et sa nostalgie, le scénario est déjà moyen. Je n'ai pas trouvé ça ennuyant mais ça manquait cruellement de peps, ça mérite pas d'oscars ou de golden globe
Trois à voir ce film et un seul sur les trois étaient conquis! Bien que très intéressant de part cet unique plan séquence, ce film m'a paru plus souvent ennuyeux (endormie quelques instants au début!) parfois absurde et sans grand message final, mis à part la quête de reconnaissance des acteurs en général qui les emmènent proche de la folie pour certain...
Ce film n'est pas un énième film sur un schizo, c'est un bon film qui traite le sujet plutôt bien, et il amène une fin
spoiler:
tragique tout en poésie, en laissant penser que l'acteur (ou son alter égo) s'est même inventé la fin qu'il veut
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Un film bien mené jusqu'à la fin, avec de belles images, et des scènes qui dévoilent un peu du métier d'acteur. Les acteurs, à ce propos, jouent vraiment bien!
Cependant, manque peut être un peu de rythme, compensé maladroitement par les percussions, qui font office de musique tout le long.
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Un film bien mené jusqu'à la fin, avec de belles images, et des scènes qui dévoilent un peu du métier d'acteur. Les acteurs, à ce propos, jouent vraiment bien!
Cependant, manque peut être un peu de rythme, compensé maladroitement par les percussions, qui font office de musique tout le long.
les blockbusters hollywoodiens se ramassent à la pelle et ce film les aligne proprement et au travers d'eux l'industrie du cinéma. Michael Keaton est excellent et en tant que premier Batman apporte une véracité à ce personnage en quête de reconnaissance. à voir absolument.
Quelle virtuosité dans la mise en scène, et les acteurs sont à l'avenant.
Birdman : époustouflant ! Toute l'âme de Broadway dans ce film avec son très bon et ses pires. Seule la dernière demi-heure tire un peu en longueur et la fin reste un mystère.
Acteur déchu, Riggan Thomson (M. Keaton) a volé très haut 20 auparavant grâce à son rôle de super héros dans la saga BIRDMAN . Il reste une célébrité fréquentant les talk-shows mais il veut redevenir un acteur à part entière, mais que c’est dur de se débarrasser de son encombrant homme oiseau qui lui prend la tête. Pour se faire, il tente un pari osé : un retour à Broadway, sur les planches, dans une pièce de théâtre adaptée, et jouée par lui. Mais qui dit théâtre, dit troupe avec acteurs aux egos surdimensionnés donc conflits perpétuels et Inarritu s’en donne à cœur joie n’épargnant personne (comédiens, producteur, critique, etc.…). Sa mise en scène est grandissime, haletante et la musique syncopée illustre bien les tempêtes qui ravagent les crânes de tous ces individus qui oscillent entre euphorie et dépression. Les acteurs sont tous parfaits et Keaton est magnifique. Riggan Thomson réussira à gagner son pari, pas forcement grâce à son talent, et à reprendre de la hauteur sans l’aide cette fois de son Birdman. Mais non sans mal !
J'ai fini par voir Birdman suite à une erreur de programmation de mon cinéma de quartier. J'étais peu convaincue mais ça a été une plutôt bonne surprise. On est happé par l'histoire et le superbe jeu de rôle de Keaton et de Norton qui ne perdent pas de leur charme malgré les années.
Une belle description de la mégalomanie et le narcissisme des comédiens et la solitude dont ils souffrent.
Une mise en scène originale et qui laisse place à l'imaginaire.
Une belle description de la mégalomanie et le narcissisme des comédiens et la solitude dont ils souffrent.
Une mise en scène originale et qui laisse place à l'imaginaire.
Les acteurs sont généralement très bons (Keaton en particulier), mais alors que l'histoire est présentée d'une manière qui se veut originale (notamment le long plan séquence, qui est très bien réalisé), elle est finalement très fade, et peu originale. A la rigueur, un épisode des contes de la crypte qui montrait une opposition entre acteur de cinéma et comédien de théâtre, m'avait paru plus agréable.
La réflexion n'est pas inintéressante, mais elle n'amène aucune surprise tant c'est déjà traité à longueur de temps (l'acteur et sa soif de reconnaissance, la différence entre le personnage et l'acteur, le côté narcissique et borderline des stars, la différence entre le cinéma hollywoodien et le film d'auteur ou le théâtre... Rien de neuf quoi). Pour autant, on tente d'y mettre une couche d'effets de réalisation pour donner une profondeur à toute cette platitude, et le résultat semble un peu vain. Le rythme de jazz qui sert de fond sonore a achevé de me donner cette mauvaise impression de regarder un film prétentieux s'adressant à une pseudo-élite culturelle imbue d'elle-même. Bref, trop d'auto-satisfaction et de démagogie à mon goût, même si certaines idées ou certains dialogues peuvent être sympathiques.
La réflexion n'est pas inintéressante, mais elle n'amène aucune surprise tant c'est déjà traité à longueur de temps (l'acteur et sa soif de reconnaissance, la différence entre le personnage et l'acteur, le côté narcissique et borderline des stars, la différence entre le cinéma hollywoodien et le film d'auteur ou le théâtre... Rien de neuf quoi). Pour autant, on tente d'y mettre une couche d'effets de réalisation pour donner une profondeur à toute cette platitude, et le résultat semble un peu vain. Le rythme de jazz qui sert de fond sonore a achevé de me donner cette mauvaise impression de regarder un film prétentieux s'adressant à une pseudo-élite culturelle imbue d'elle-même. Bref, trop d'auto-satisfaction et de démagogie à mon goût, même si certaines idées ou certains dialogues peuvent être sympathiques.
1ère vision - film schizophrénique, rarement vu un film de ce genre, le casting est très bon (Keaton aurait mérité l'Oscar) et niveau réalisation c'est impressionnant, tout le film est en "plan-séquence", bluffant.
C'est mon 1er film chez ce réalisateur mais ça donne envie de voir le reste. A revoir pour un avis "définitif"
C'est mon 1er film chez ce réalisateur mais ça donne envie de voir le reste. A revoir pour un avis "définitif"
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