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    Birdman
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    3,8
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    946 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 mai 2015
    Personnellement je me suis régaler entre autres les références aux autres acteurs connus, de son alter ego Birdman qui lui dis ceux qu'il ne veut pas entendre, les acteurs qui joue merveilleusement bien, la mise en scène, les plans séquence, la réalisation, ont a pas le temps de s'ennuyer, je vous le conseille vivement avec un grand Michael Keyton.
    Petiot L
    Petiot L

    35 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2015
    Encore un film sur le renouvellement de l'artiste et le métier de comédien, tout comme" Gloria " et'"l'artiste". Très bien fait . Mais aussi très bavard. Pas le meilleur d'inarritu, moins divertissant que les autres mais très bon film psychologique, sur la vie, le métier, le couple, l'humain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mai 2015
    Keaton dans une autodérision souvent ambiguë emmène le spectateur dans une mise en abymes subtilement menée, Birdman nous interroge si justement le théâtre n'est pas l'image frustrée du monde réel.
    Alain D.
    Alain D.

    589 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2015
    Excellente comédie du réalisateur et scénariste Alejandro González Iñárritu. La mise en scène est prodigieuse et le jeu d'acteurs époustouflant. Leur crédibilité est telle, que vous n'êtes plus spectateurs d'un film, mais témoins de l'action dans les coulisses de ce théâtre. Le Scénario lui aussi est incroyable, réservant énormément de surprises, comportant des scènes surréalistes : séquence fantastique dans laquelle BirdMan le super Héros écoute sa conscience.

    Riggan Thomson monte, à Broadway, une pièce qui parle d'amour ; elle s'intitule "When we talk about love" ou "L'insupportable vertu de l'ignorance". Vraiment trop ringard pour son premier rôle, il débarque Ralph du projet. Pour le remplacer, il prend Mike, le répétiteur : un sacré numéro, un génie q spoiler: ui néanmoins sabote l'avant première pour une futilité.

    Ancien super-héros très connu, il garde l'espoir de renouer avec sa gloire perdue en faisant de cette pièce un succès. Cette tache est une véritable passion voire une obsession ; bien que soutenu par sa fille et son ex femme, les difficultés ne vont pas manquer et la critique l'attend au tournant.

    Les dialogues font mouche ; la Bof est fantastique et efficace, essentiellement rythmique à la batterie, soulignant l'action et terminant les scènes. Les rôles masculins sont fabuleusement interprétés : Michael Keaton dans le personnage de Riggan et Edward Norton dans celui de Mike. Le casting féminin n'est pas en reste avec d'excellentes comédiennes : Emma Stone, craquante et émouvante dans le rôle de Sam, la fille de Riggan. Lindsay Duncan joue Tabitha, la critique du NY Times et Naomi Watts le personnage de Lesley, l'héroïne de la pièce ...
    Film, à juste titre 4 fois Oscarisé, à voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 mai 2015
    L'usage de la caméra est très intéressant tout comme la trame du film dont la fin laisse songeur... Film à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Un très grand film. On aime ou on déteste. Vous comprenez a la première ligne mon oignon. Un film dans le film. Avec un acteur ultra carismatique. On va de surprise en surprise. Le rythme du scénario est fou et le casting parfait. A voir absolument.
    warhoaz
    warhoaz

    92 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2015
    Ce film est d'un ennui mortel. Tout est prévisible et téléphoné, aucune surprises, les clichés et les poncifs s'accumulent les un après les autres sans aucune surprise... Le film aurait pu être sauvé par une réflexion un peu approfondi par l'un des nombreux thèmes qu'il aborde, malheureusement il ne fait qu'effleurer les débats et les sujets et zapper entre différentes idées totalement déconnectées les unes des autres...
    J'ai commencé à m'ennuyer au tiers du film, et seule la présence de mes amis 'ma retenu de sortir avant la fin...
    Un monument de dandisme et d'onanisme intellectuel. Un film a oublier très vite...
    Ti Nou
    Ti Nou

    497 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2015
    Alejandro Gonzales Innaritu a certainement plein de choses à dire sur la création artistique, sur le rapport avec la critique. Mais son parti pris de mise en scène sert-il vraiment son propos ? La prouesse technique est admirable mais, trop démonstrative, elle finit par envahir tout le reste en monopolisant toute l'attention.
    Maïwenn G.
    Maïwenn G.

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    J'avais un peu peur avec la bande annonce mais c'est gentiment et magnifiquement décalé et interprète magestralement ce rôle d'acteur en perdition pour lequel tout fout le camp.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    L'une des raisons (si ce n'est LA raison) qui m'a poussé à voir ce film était l'oscar qu'il avait obtenu pour sa réalisation et que je trouvais injuste de ne pas voir remis à Interstellar. Et je dois admettre qu'il le mérite, étant donné l'originalité de cette réalisation, qui est pour moi le point fort de ce film. Malgré tout, elle a tout de même le défaut de brouiller les pistes spatio-temporelles de l'histoire, ce qui peut provoquer la confusion. Ensuite, les acteurs sont tous assez bon. Enfin, je trouve la dénonciation du monde du spectacle assez intéressante : tout le monde en prend pour son grade (les acteurs, metteurs en scène ou critiques abusifs), et un sent un investissement personnel dans ce travail.
    Ensuite il y a un point que je trouve assez étrange, ce sont les pouvoirs du personnages : au même titre que la réalisation, ils sont capables de brouiller totalement le spectateur car ils sont dans un contexte réaliste où ils ne sont pas attendus. Pourtant, on peut leur donner une véritable interprétation. spoiler: Personnellement je pense qu'il témoigne du désir du personnage a revenir dans son personnage d’antan ( C'est très probablement l'explication la plus logique, mais quid de la fin ?)

    Birdman est donc un film intéressant mais assez confusant que je vous conseille de voir, bien que ce soit assez difficile, voir même parfois impossible dans certains villages.
    Kverketo
    Kverketo

    11 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2015
    On retrouve toute la complexité des ressentis des artistes. Le doute, l'ego, le rapport aux autres... les répliques sont parfois déroutantes, la mise en scène est juste brillante. Très bon film.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2015
    Alejandro Gonzales Innaritu occupe un statut à part dans la galaxie hollywoodienne, car créateur avec son ex-fidèle scénariste Guillermo Arriaga d’un style narratif très particulier et déroutant qui entraine le spectateur sur plusieurs histoires apparemment distinctes se déroulant dans des milieux, voire sur des continents différents et dont les liens se nouent peu à peu jusqu’à aboutir à un climax final donnant toute sa cohérence à l’ensemble. En 2000 « Amours chiennes » leur premier film en commun et sans doute leur meilleur, produit au Mexique fit l’effet d’un coup de tonnerre autant pour la force crue de son propos que pour sa virtuosité. Depuis Inarritu a fait de nombreuses émules y compris le grand Sidney Lumet qui en 2007 avant de tirer sa révérence montra avec « 7h58 ce samedi-là » que le procédé n’avait aucun secret pour lui. De Mexico à Hollywood il n’y a qu’une encablure et c’est dans la Mecque du cinéma que le jeune réalisateur a mis en chantier en 2003 son deuxième long métrage « 21 grammes », un peu moins digeste mais néanmoins salué par la critique. Après « Babel » (2006) fresque altermondialiste avec Brad Pitt et Cate Blanchett, Inarritu s’est séparé de Guillermo Arriaga sentant peut-être que le procédé narratif ingénieux proposé par les deux hommes déboucherait fatalement sur une impasse les contraignant à une surenchère qui finirait pas lasser et les exclure définitivement d’un cinéma certes plus conventionnel mais davantage accessible. En 2010 « Biutiful » avec son sujet plombant sur la fin de vie est resté relativement confidentiel. Inarritu passé pour la première fois à l’écriture avait donc besoin de prouver qu’il pouvait exister sans Arriaga. Rien de mieux pour séduire les critiques américains que les pensums doloristes sur les affres de la célébrité. « Birdman » le cinquième film du réalisateur a décroché la timbale, remportant deux statuettes majeures aux Oscars 2015 avec celle du meilleur réalisateur et celle du meilleur film. Les festivals du monde entier ont récompensé le retour en grâce de Michael Keaton retombé dans un relatif anonymat après avoir côtoyé les sommets grâce à son rôle de Batman dans les deux épisodes dirigés par Tim Burton en 1989 et 1992, lors de la première tentative d’Hollywood pour réactiver les comics au cinéma afin de profiter à plein de l’essor prochain des effets spéciaux et aussi pour venir en relai de la panne d’inspiration des scénaristes de studios. Le flop des épisodes 3 et 4 mis en scène par Joel Schumacher mis pour un temps en berne la reconquête, l’heure n’ayant pas encore sonné. Vingt ans plus tard ce sont bien les adaptations Marvel et DC Comics qui font les blockbusters. Sélectionné à l’époque pour le rôle de Batman parmi une liste impressionnante de candidats potentiels dont Kevin Costner, Mel Gibson ou Tom Cruise parce qu’il avait déjà collaboré avec Tim Buron pour « Beetlejuice », Michael Keaton apparait aujourd’hui comme ces tirailleurs sénégalais de 14-18 que l’on envoyait en première ligne au sortir des tranchées pour encaisser la première salve des feux ennemis. Si les comics ont un peu plombé la carrière de Keaton, ils ont au contraire réveillé celle de Robert Downey Jr. qui est devenu l’acteur « bancable » du moment. La preuve qu’en matière de célébrité le timing fait tout. Comme Spike Jonze avait pénétré dans le cerveau de John Malkovich (« Dans la peau de John Malkovich », 1999), Inarritu s’immisce dans la psyché de Keaton que sa caméra suit d’un bout à l’autre du film pour ce qui sera malgré quelques trucages le plus long faux plan-séquence de l’histoire du cinéma. On découvre donc Riggan Thompson (Michael Keaton) en lévitation dans sa loge grâce au pouvoir imaginaire qui lui reste du temps lointain où star mondiale éphémère, il incarnait « Birdman ». Il a décidé dans un ultime sursaut de se confronter à l‘exercice périlleux de la mise en scène à Broadway d’une nouvelle de Raymond Carver (Parlez-moi d’amour) pour tenter de relancer encore une fois une carrière encalminée par le poids trop lourd d’un super-héros qui l’a momifié dans l’inconscient collectif. Vieilli et usé, n’ayant plus que sa vanité à laquelle se raccrocher il doit se frotter à la férocité critique new-yorkaise pour tenter d’acquérir enfin ce qui lui a été refusé toute sa vie, le statut d’acteur. Complètement désinhibé et entièrement tourné vers sa quête d’échapper à la voix obsédante de Birdman qui le rabaisse en permanence, Thompson/Keaton gère au débotté son spoiler: manager angoissé, un partenaire de jeu défaillant qu’il évince de manière peu élégante, son remplaçant rempli de ce qu’il croit être le don du jeu, sa fille à peine sortie d'une cure de désintoxication, sa maîtresse croyant être enceinte ou encore une diva de la critique qui lui a déjà réglé son compte avant même la première
    . Rien n’y fera, la tentative restera piteuse, la pièce ne devant son succès qu’à une série d’évènements fortuits tenant plus du fait divers faisant le buzz que de la performance scénique de l'acteur. Thompson devra se rendre à l’évidence, il est Birdman pour toujours. Inarritu toujours à la limite de l’épate et en recherche de performance ne fait pas dans le ciselé, ne reculant devant aucun effet choc pour démythifier la célébrité sous toutes ses formes qui asservit l’homme bien plus qu’elle ne le libère. Cette lourdeur démonstrative qui sert davantage la forme que le fond ne fait pas entrer le spectateur en empathie avec les personnages, obéissant ainsi aux visées répulsives du réalisateur qui veut faire ici œuvre sanitaire pour les trop nombreux candidats à la brillance des sunlights. Entreprise de destruction réussie mais néanmoins célébrée unanimement par la profession qui n’aime rien tant que s’autoflageller. Michael Keaton quant à lui prend une sacrée revanche, omniprésent à l’écran après avoir dû jouer plus souvent qu’à son tour les utilités depuis vingt-cinq ans.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    202 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2015
    "Birdman" mérite amplement ses Oscars. Le réalisateur du film, Alejandro GONZALEZ INARRITU, réalise un véritable coup de maître avec cette partition entre fiction et réalité. Le mexicain propose des plans-séquences impeccables, rendant la mise en scène encore plus pertinente. C'est éblouissant, original et, Michael KEATON livre une performance incroyable pour son retour sur le devant de la scène. Les rôles secondaires sont bien écrits. Les dialogues et les situations demeurent bien ficelés. En somme, ce "Birdman" est une véritable réussite !
    Backpacker
    Backpacker

    79 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2015
    Même si d'autres très bons films ("The Grand Budapest Hotel" ou "Whiplash" auraient très bien pu obtenir la même récompense, "Birdman" mérite son Oscar pour son humour, son ironie et son intelligence. C'est le genre de long-métrage tendance bobo, filmé caméra au poing, aux innombrables dialogues fusant sans cesse, laissant certainement sur le carreau pas mal de spectateurs cela dit. Un pur régal pour moi en tout cas.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2015
    Ultra attendu depuis qu'il a remporté l'Oscar du meilleur film, Birdman est un film qui parle du milieu des acteurs, du théâtre, du cinéma et de la gestion des acteurs. De manière assez troublante, le personnage joué par Michael Keaton a exactement le même passé que lui, qui incarnait le Batman de Burton fin 80's début 90's. Depuis, le bonhomme a rapidement disparu des radars, et le personnage principal de cette histoire décide de revenir sur le devant de la scène avec un projet audacieux à Broadway. Le film contient à mon avis deux aspects très intéressants ; le premier est la relation entre les artistes, les acteurs, le réalisateur, les agents et les critiques, soit tous ceux qui composent ce petit monde. On comprend bien toute la difficulté à créer une pièce qui sorte de l'ordinaire, voire qui touche l'excellence, alors qu'à quelques détails prêts, elle serait complètement banale, voire ratée. Le second aspect concerne la mise en scène du film, et son incroyable traitement de la caméra. On a l'impression qu'il ne s'agit que d'un long plan-séquence sans aucune coupure, et c'est franchement bluffant. Les acteurs sont bons, avec à noter Edward Norton et Emma Stone. Ce qui me dérange, c'est que la seconde partie du film quitte l'aspect relationnel pour se focaliser sur l'aspect fantastique, mythique, schizophrène de notre anti-héros. C'est un peu long, confus, et le mélange de genre rend le film un peu lourd à digérer, alors que ce côté rêve intégré à la réalité fonctionnait bien jusqu'au dernier tiers.
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