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    Fahrenheit 451
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    112 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2019
    Une intrigue où il faut brûler tous les chef-d’œuvre de la littérature historique nous absorbe par sa mise en scène particulièrement stylée. On se croirait dans le magazine « vogue », des meubles accessoires chaises et du chic, le kitsch de l’uniformité pompiste et l’histoire d’un régime autoritaire issu du féodalisme. Cela dit un tel système rigoureusement anti-intellectuel peut être n’importe laquelle à travers les âges, garder les incultes pour mieux les contrôler. Aussi ça m’a beaucoup plus de voir à la française cette ravissante réalisation dont le reste est britannique, l’anglais s’apprend avec le temps pour François Truffaut qui concocte un chef-d’œuvre parfumé goût truffe exquis et appétissant. Tous les romans dont l’auteur lui même de cette adaptation cinématographique, les illustres grands littéraires intellectuels existentiels chocs, sous le coup d’une motion de censure décrétant cet autodafé à cœur joie. Ni sans état d’âme pour les exécuteurs d’ordre parfaitement coordonné, tout se fera à l’envers du décor technologie science fictive fantaisiste. Détruire les papiers imprimés à l’encre, réduit en cendre noir consumé au feu ardent est du cinéma fascination, le feu 🔥tourné fut réellement allumé aux étincelles d’allumettes ou briquets. Le visionnaire nous avertit du danger même pendant la décennie des années 2000, de la surveillance étatique, antenne reliée partout où soit connecté. Les moindres faits et gestes peuvent être manipulés à leurs guises, y compris les vidéos arrêt sur image télévisuel. Une fausse mort crée en édition reportage spéciale pour ce représentant d’autorité devenu rebelle fugitif par usage d’outil propagandiste. Il brûlera le matérialisme plutôt que de continuer à obéir bêtement aux ordres disciplinés hors-la-loi réprouvant, la raison au bonheur république dictatoriale interdite est révoltante. Lire la lecture culturelle est universellement parlant en plusieurs langues et écritures sophistiquées, soyons intelligents que d’être ignorants loin de la réalité actuelle, menteur-menteur cache-moi ça depuis combien de temps ces livres subversifs sulfureux licencieux.
    Henrico
    Henrico

    168 abonnés 1 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2019
    La première adaptation du roman de Bradbury par Truffaut, certes n’était pas inintéressante. Le Français avait perçu, de toute évidence, tout l’intérêt philosophique et politique de l’œuvre. Hélas, son irrespect pour le genre qu’est la science-fiction, semblait aussi tout évident. Truffaut sans vergogne, avait sciemment orienté ses acteurs, pourtant excellents, vers des performances de théâtre. Négligeant complètement l’importance de l’aspect visuel et dynamique de la SciFi, ses décors, ses costumes, ses dialogues, et ses scènes d’action convergent vers une impression d’ensemble qui frôle toujours un peu plus le ridicule, à mesure que le temps passe. La récente adaptation de Ramin Barhani voulait mieux rendre hommage à l’œuvre. Mais elle n’y réussi pas vraiment. En effet, le metteur en scène Américain respecte scrupuleusement son cahier des charges du genre qu’est la science-fiction. Son rendu visuel est pris très au sérieux, et ses scènes d’action sont très réussies. Hélas, son tissage entre les ressorts dramatiques est peu travaillé, à l’image des dialogues en général, et surtout d’une scène finale qui laisse un fort goût d’amertume et de gâchis. L’hommage le moins réussi reste tout de même celui tenté par Kurt Wimmer dans son « Equilibrium ». Il parvient assez bien à mettre en valeur le terreau scénaristique de Bradbury. Bradbury, qui soit dit en passant, s’était inspiré du Big Brother autoritaire, intrusif et omniprésent de George Orwell, ainsi que le génisme humain exposé par Aldous Huxley dans son « Brave New World ». Hélas Wimmer intègre à cet amalgame, et de manière assez fumeuse, un autre concept, celui de l’équilibre physique et mental. Tout cela servi par des scènes de bagarres interminables, rendant l’ensemble hautement soporifique.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Le film date clairement des années 1960 et a pas mal vieilli, mais en a gardé un charme désuet. Surtout, le film brille par son scénario. Sur la forme, le film revêt clairement une apparence irréaliste, presque farfelue, avec des décors et costumes "cheap". Sur le fond en revanche, cette histoire de gouvernement qui s'attaque à toute forme de savoir, d'intelligence, d'individualité pour le bien de la population résonne particulièrement. Le propos est intemporel, que ce soit dans les années 1960, avec le danger soviétique, ou aujourd'hui (médias mainstream, algorithmes, fichage généralisé...). Les acteurs sont convaincants. Le danger, la menace, rôdent partout, ce qu'incarne bien Cyril Cusack en capitaine des pompiers patelin. La promotion qu'il propose à Montag déstabilise plus ce dernier qu'elle ne le réjouit. La fin, savoureuse, est quand même pessimiste...
    Yetcha
    Yetcha

    895 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2018
    Après avoir vu le récent remake de Netflix et n'ayant toujours pas vu la version de Truffaut, je m'attendais à souffrir. Mais pas du tout, voire même le contraire. Même si le rythme est plus lent, l'époque de réalisation oblige, le fond est plus fort et plus marqué que dans le remake. On vit à 100% cet univers dystopique, véritable satyre de la disparition de la culture écrite au profit de la télévision et son abrutissement des masses. Un pamphlet toujours d'actualité qui vaut son pesant d'or. Un monument qui n'a donc rien perdu de sa superbe.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2018
    Un chef d'oeuvre de science-fiction. Un magnifique film de François Truffaut. Une très bonne adaptation du roman de Ray Bradbury.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    L’adaptation de la dystopie de Ray Bradbury est peut-être le film de François Truffaut le plus connu du grand-public - et le plus célèbre au niveau internationale - alors que le réalisateur, miné par un tournage dans une langue qu’il maîtrisait mal, par les relations conflictuelles avec son acteur principal et par l’impossibilité de réaliser précisément le film qu’il avait en tête, l’avait plus ou moins renié. Passé l’introduction, expliquée oralement d’une voix monocorde puisque plus personne ne sait lire dans cet univers, on retrouve assez peu d’idées de mise en scène audacieuses durant tout ce qui suivra. Tout le monde connaît aujourd’hui le concept de cette société de consommation amorphe dans laquelle les livres ont été interdits et les pompiers, chargés d’éliminer par le feu ces objets subversifs, 451 degrés Fahrenheit étant la température de combustion du papier. L’élément déclencheur du récit survient le jour où le pompier Montag, qui vivait jusque là sa morne existence sans se poser de questions, prend le risque de l’illégalité en ouvrant un livre. Peu intéressé par la science-fiction en tant que telle, Truffaut considérait “Fahrenheit� avant tout comme une fable qui délivrait un message fort : un vibrant plaidoyer en faveur de la lecture, certes (si, comme moi, vous êtes bibliothécaire, le roman a même dû vous être présenté au cours de vos études comme une sorte de Petit Livre Rouge ou de mythe fondateur du métier) mais aussi une charge virulente contre l’autoritarisme “bienveillant�, celui qui sous couvert d’apporter confort et sécurité à ses concitoyens, les prive de la possibilité la plus élémentaire de réfléchir et d’ouvrir leurs esprits. Cette réflexion reste encore aujourd’hui le principal atout du film qui, s’il se perd parfois en explications trop théoriques, reste très intéressant à suivre. En bon cinéaste de la Nouvelle Vague, Truffaut ne goûtait que fort peu l’imaginaire lié à la science-fiction futuriste et, en dehors des brèves images de la traque de Montag par ses collègues aux commandes de curieux jetpacks à hélices, l’environnement visuel reste strictement réaliste et contemporain de son époque. Cependant, avec le recul, la modernité architecturale et décorative telle qu’on l’imaginait dans les années 60 a si mal vieilli qu’elle cristallise la morosité déprimante qui sied à l’univers de Fahrenheit. On s’amusera aussi de ces quelques éléments anecdotiques sur lesquels le scénario avait vu juste sans le savoir, comme les écrans plats géants et la fascination pour la téléréalité.
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2019
    Dans un monde « imaginaire » dans le futur, les pompiers ont une toute autre activité qu’éteindre les incendies. En effet, il les allume intentionnellement afin de brûler tous les livres, Montag est l’un d’eux. Suite à sa rencontre avec Clarisse, la passion lui vient, malgré les interdictions, de s’adonner à la lecture.

    Dans cette adaptation de Ray Bradbury, Truffaut et Oskar Werner s’aventure sur une pente dangereuse, si bien que le réalisateur préférera la version française qu’anglaise.
    Les décors très kitch et années 70 montrent que la science fiction est un genre difficile à manipuler et non totalement maîtrisé par le cinéaste.
    La qualité du scénario et du film n’en sont pas moins excellentes avec une fable fictive sur la nécessité des livres.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 781 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    Le meilleur du film reste l'idée de départ de Bradbury! Intellectuellement, la disparition des livres est un juste combat que Truffaut a tenté d'illustrer sans pour autant apporter des éléments nouveaux. Est-ce que le voir en v.o apporterait un plus, pas sur? La tentative de reproduire un monde de SF a terriblement vieilli - tout le monde n'a pas le talent de Kubrick-, la lutte pour la connaissance n'a pas la puissance de mise en scène d'un Nom de la Rose. Les situations sont convenues, les résistants à la dictature bien sympathiques, mais aucun souffle dramatique ne vient porter l'ensemble. Un film froid, probablement volontairement, mais au final, qui fait des clins d'oeil à Hitchcock sans emporter notre enthousiasme ni créer de véritable suspens. TV 1 vf - juillet 2018
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 juin 2018
    L'intention politique - dans le meilleur sens du terme - est incontestablement bonne, les images sont belles et les acteurs bons. De là à crier au chef d’œuvre... Le scénario n'est ni vraisemblable ni même cohérent. Par exemple pourquoi les résistants de l'Ohio qui on inventé l'Omnis veulent-ils l'envoyer au Canada ? Ce pays est-il épargné par le totalitarisme anti-livres qui règne;;; sur quel territoire au juste ? Si la dictature d'une sorte de Big Brother, semble-t-il se limite aux USA, la Civilisation n'est pas forcément en danger. On est là dans la convention ordinaire des histoires de prétendue science-fiction dans lesquelles un danger qui menace la Civilisation (ou la Planète, voire la Galaxie et pourquoi pas l'Univers.) peut être conjuré par l'action d'une poignée d'individus insoumis. Ici du reste la poignée en question finit grillée et l'Omnis (tout le savoir du monde précédemment contenu dans une bibliothèque de papier) s'envole dans l'ADN d'un étourneau pour on ne sait quel destin... Sans compter que les échantillons qu'on nous propose de ce savoir merveilleux se limitent à quelques formules philosophiques pas forcément convaincantes. Tout ça pour ça ?
    Nicolas S
    Nicolas S

    46 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2017
    Truffaut fait ce qu'il peut avec ce qu'il a - des moyens techniques limités et un scénario somme toute assez convenu. Plaisant, mais pas inoubliable.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2017
    En vérité cet homme se transforme par amour. Et la vraie révélation vient de la mort de la femme qui choisit de mourir avec ses livres, événement choc dans sa vie. L'homme devient différent car un monde s'ouvre totalement à lui et Truffaut filme cette errance, ce regard vide, la solitude de celui qui sait face à ceux qui croient savoir. Les "hommes-livre" c'est magnifique comme invention.
    Wagnar
    Wagnar

    86 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Ce film est peut-être intelligent dans son propos, mais franchement, moi, la science-fiction intello, ce n'est guère mon genre. En plus, les personnages sont mal approfondis, impossible d'éprouver la moindre empathie pour eux, et la fin flirte avec le ridicule. Je préfère la science-fiction plus "fantaisiste" style Star Wars, le Cinquième Elément ou encore Alien.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2017
    Fahrenheit 451 est une adaptation plutôt réussie du chef-d’œuvre de Ray Bradbury.
    L'intrigue est excellente (le mérite revient surtout à Bradbury). Le monde futuriste qui y est décrit est absolument terrifiant et nous amène à nous poser beaucoup de questions, j'ai même envie de dire encore plus aujourd'hui qu'à la sortie du film (puisqu'à l'époque, l'industrie du livre n'était pas menacé par l'ère numérique).
    L'histoire est plutôt bien retranscrite sur le grand écran. C'est une adaptation très fidèle du livre. C'est peut-être même là son principal défaut. Le film pourrait se permettre quelques écarts avec l’œuvre originale, dont certains éléments (notamment la fin où les personnages apprennent par cœur des livres entiers) sonne bizarre dans un film. Le film a également pris un vrai coup de vieux, notamment pour les décors et les différents gadgets qui sont censés faire futuristes en vain. À sa décharge, il date tout de même des années 60, et en cinquante ans, notre perception du futur a bien changé.
    Les acteurs m'ont semblé jouer plutôt juste : Oskar Werner est bon dans le rôle principal et Julie Christie est bien également.
    Bon film, mais le livre est bien meilleur.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2016
    François Truffaut s'empare du roman de Ray Bradbury en adaptant "Fahrenheit 451", qui décrit un régime totalitaire où les pompiers n'éteignent pas le feu mais l'allume pour brûler les livres. Ce qui intéresse le cinéaste, c'est bien entendu la critique de la dictature mais c'est aussi l'objet détruit et ce que son extinction implique. Faire disparaître la littérature, c'est non seulement anéantir la matérialisation de la pensée mais c'est aussi empêcher les gens de réfléchir, de se faire leur propre avis sur ce qu'ils lisent. Même si le film a parfois tendance à tomber dans une dénonciation illustrative, en particulier dans les scènes avec le capitaine, il pointe les limites de cette propagande quand le chef des opérations met sur le même plan la philosophie, les encyclopédies, les grands romans du XIXème et "Mein Kampf" : on empêche le peuple d'accéder à toute forme de trace écrite et donc de savoir. L'émotion que procure le film réside dans les personnages qui luttent contre ce régime, que ce soit Montag et Clarisse ou bien cette femme qui refuse de quitter sa maison en feu. Ces personnages sont des résistants dans la mesure où ils tentent d'échapper aux autorités ou bien de les défier mais ils souhaitent aussi convaincre la population qu'elle est manipulée. Dans la plus belle scène du film, Montag lit quelques lignes d'un livre à sa femme et à ses amies quand l'une d'elles se met à pleurer. Ce que le gouvernement assène, c'est l'idée que la littérature rend les gens tristes; ce qu'affirme Montag, et à raison, c'est que si les mots font pleurer c'est parce qu'ils sont l'exact reflet de la réalité et de nos vies. Le film rend ainsi un vibrant hommage à la littérature, qui va prendre une dimension poétique dans un final sublime où les livres deviennent littéralement vivants et immortels. Efficace dans sa trajectoire scénaristique, ambitieux dans ses expérimentations formelles et émouvant dans son rapport aux personnages et à l'histoire, "Fahrenheit 451" est un film important de Truffaut, l'un de ses plus politiques.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 juin 2016
    Sans conteste, c'est un film à voir, vraiment captivant en lui-même. On m'a souvent répété que c'était un chef-d'oeuvre, et c'est le cas. Après, il faut reconnaître que la trame qui sert tant à Truffaut vient de Bradbury, et c'est là qu'on doit commencer à comparer les deux.
    L'essence même de l'histoire et ses morales sont bien respectées, dans un univers futuriste des années 60 qui participe grandement au charme du récit. A l'instar d'autres adaptations néanmoins, certains changements viennent soit étoffer, soit noyer quelques aspects. Le rôle de la jeune fille est considérablement accru au point de changer la fin. Exit la guerre qui détruit la ville, exit le chien-robot qui poursuit Montag lors de sa fuite, et surtout exit l'ami lettré qui ne sert plus à rien vu qu'on a développé le rôle de Clarisse, laquelle du coup n'est plus portée disparue suite à la rafle. Elle qui n'était qu'un déclencheur dans le livre devient l'alliée et le compagnon de fuite. La fin perd en profondeur nucléo-catastrophique mais gagne en poésie.
    Film et livre apportent tous deux beaucoup. Le charme de l'image de Truffaut (son traitement excellent de la "Famille", le décorum de la brigade de pompiers, le train suspendu...) comble les manques descriptifs chez Bradbury, mais le livre apporte beaucoup plus en termes de réflexion et critique. Le livre va plus loin en abordant le thème de la Blitzkrieg (à peine frôlé dans le film) à laquelle tout le monde s'attend mais qui détruira finalement la ville, tout comme insiste beaucoup plus sur l'influence de la non-lecture sur la vie quotidienne.
    Chacun a ses défauts, chacun ses bonus. Les deux se complètent et je recommande chaudement de ne pas se contenter d'un seul.

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