Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Charme, discrétion, intelligence, comédie et drame subtilement mixés… Ce film ressemble décidément à son auteur. Et fait de nous, plus que jamais, des aficionados.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
On pense souvent au cinéma de Maurice Pialat devant cette chronique riche en découvertes. Le jeune Sanson Dajczman, étonnant de naturel, est une véritable révélation tout comme la maîtrise de la cinéaste pour faire exister des personnages se cherchant un présent entre passé et avenir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Clément Graminiès
C’est dans ce fragile interstice que le cœur du "Sens de l’humour" bat et dévoile toute sa belle vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Chrystel Chabert
C’est donc un beau portrait de femme, pétrie de contradictions et qui ne se montre pas toujours sous son meilleur jour que nous offre Marilyne Canto.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au bout du compte, malgré quelques scènes assez mouvementées entre les amants, cela confère au film une intensité et une concentration quasi bressoniennes. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître (ou de maîtresse).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par La Rédaction
Comme le disait si bien Jean-Daniel Pollet, l'amour c'est gai, l'amour c'est triste. Ainsi, Manlyne Canto oscille sans cesse entre drame et comédie, gravité et légèreté. La sûreté du trait, la précision des cadres, l'économie de moyens évoque même parfois Gérard Blain. Le sens de l'humour en plus.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Le film sonne juste, et la distance prise avec la vie douloureusement vécue prend même, du fait de son passage à l'écran, le détachement d'un humour discret qui permet de reconstruire sa vie.
Le Figaroscope
par Marie-noelle Tranchant
Entre thriller et peinture sociale, un premier film intrigant, qui joue avec maîtrise de l’ellipse pour découvrir sous le quotidien des énigmes inquiétantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Marilyne Canto a fait le choix judicieux d'un récit clair et simple, empreint d'autobiographie. Au service de ses personnages et de leurs interprètes, sa réalisation, d'une élégance délicate, est à la hauteur de ses belles intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ariane Allard
Si le premier long métrage de Maryline Canto (devant et derrière la caméra, à juste titre) possède un atout, c'est bien son climat, alternant zones d'ombre et éclaircies.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Pas de demi-mesure ici : soit on reste à la porte, soit on adhère au trait sensible et très beau de cette actrice formidable qu’est aussi Marilyne Canto.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Les scènes d'intérieur sont ici écrites avec délicatesse et donnent le sentiment d'entrer dans les coulisses d'un avenir possible entre Elise et Paul, entre Paul et l'enfant. La fragilité si émouvante des recommencements est là. Tout est filmé au bord de l'espoir. Et pas des larmes. Le titre ne ment pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Si l'on passe outre ce parti pris narratif (une héroîne pas toujours aimable), restent les personnages fragiles et attachants d'une chronique pleine d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
Ce portrait de femme ambivalente, alimenté par une matière autobiographique, ne manque ni d'émotions ni de complexité. Mais sa propension à la banalité plombe les délicates ambitions de l'actrice et réalisatrice Marilyne Canto.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Pamela Pianezza
(...) A trop miser sur des dialogues très écrits, elle (Marilyne Canto) en oublie un peu sa mise en scène.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce premier long-métrage de Marilyne Canto démontre la capacité de la réalisatrice à saisir de beaux instants de vie, et ceci malgré quelques défauts d’écriture. Les acteurs, eux, sont tous impeccables.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Au bout du compte, on voit bien les intentions de Maryline Canto. On ne voit pas de film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il s'en faudrait de peu, aussi, pour que ce film soit tout simplement bouleversant, si Marilyne Canto, qui cosigne le scénario et joue le rôle d'Elise, avait veillé à apporter une vraie densité à son affaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
"Le Sens de l’humour" se révèle au bout du compte sans réels conflits ni aspérités, un mollasson « Nous vieillirons ensemble » confirmant que les gens heureux n’ont pas d’histoires.
Les Inrockuptibles
Charme, discrétion, intelligence, comédie et drame subtilement mixés… Ce film ressemble décidément à son auteur. Et fait de nous, plus que jamais, des aficionados.
20 Minutes
On pense souvent au cinéma de Maurice Pialat devant cette chronique riche en découvertes. Le jeune Sanson Dajczman, étonnant de naturel, est une véritable révélation tout comme la maîtrise de la cinéaste pour faire exister des personnages se cherchant un présent entre passé et avenir.
Critikat.com
C’est dans ce fragile interstice que le cœur du "Sens de l’humour" bat et dévoile toute sa belle vitalité.
Franceinfo Culture
C’est donc un beau portrait de femme, pétrie de contradictions et qui ne se montre pas toujours sous son meilleur jour que nous offre Marilyne Canto.
L'Humanité
Au bout du compte, malgré quelques scènes assez mouvementées entre les amants, cela confère au film une intensité et une concentration quasi bressoniennes. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître (ou de maîtresse).
La Voix du Nord
Comme le disait si bien Jean-Daniel Pollet, l'amour c'est gai, l'amour c'est triste. Ainsi, Manlyne Canto oscille sans cesse entre drame et comédie, gravité et légèreté. La sûreté du trait, la précision des cadres, l'économie de moyens évoque même parfois Gérard Blain. Le sens de l'humour en plus.
Le Dauphiné Libéré
Le film sonne juste, et la distance prise avec la vie douloureusement vécue prend même, du fait de son passage à l'écran, le détachement d'un humour discret qui permet de reconstruire sa vie.
Le Figaroscope
Entre thriller et peinture sociale, un premier film intrigant, qui joue avec maîtrise de l’ellipse pour découvrir sous le quotidien des énigmes inquiétantes.
Les Fiches du Cinéma
Marilyne Canto a fait le choix judicieux d'un récit clair et simple, empreint d'autobiographie. Au service de ses personnages et de leurs interprètes, sa réalisation, d'une élégance délicate, est à la hauteur de ses belles intentions.
Positif
Si le premier long métrage de Maryline Canto (devant et derrière la caméra, à juste titre) possède un atout, c'est bien son climat, alternant zones d'ombre et éclaircies.
TéléCinéObs
Pas de demi-mesure ici : soit on reste à la porte, soit on adhère au trait sensible et très beau de cette actrice formidable qu’est aussi Marilyne Canto.
Télérama
Les scènes d'intérieur sont ici écrites avec délicatesse et donnent le sentiment d'entrer dans les coulisses d'un avenir possible entre Elise et Paul, entre Paul et l'enfant. La fragilité si émouvante des recommencements est là. Tout est filmé au bord de l'espoir. Et pas des larmes. Le titre ne ment pas.
Le Journal du Dimanche
Si l'on passe outre ce parti pris narratif (une héroîne pas toujours aimable), restent les personnages fragiles et attachants d'une chronique pleine d'espoir.
Le Monde
Ce portrait de femme ambivalente, alimenté par une matière autobiographique, ne manque ni d'émotions ni de complexité. Mais sa propension à la banalité plombe les délicates ambitions de l'actrice et réalisatrice Marilyne Canto.
Première
(...) A trop miser sur des dialogues très écrits, elle (Marilyne Canto) en oublie un peu sa mise en scène.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Ce premier long-métrage de Marilyne Canto démontre la capacité de la réalisatrice à saisir de beaux instants de vie, et ceci malgré quelques défauts d’écriture. Les acteurs, eux, sont tous impeccables.
La Croix
Au bout du compte, on voit bien les intentions de Maryline Canto. On ne voit pas de film.
Le Parisien
Il s'en faudrait de peu, aussi, pour que ce film soit tout simplement bouleversant, si Marilyne Canto, qui cosigne le scénario et joue le rôle d'Elise, avait veillé à apporter une vraie densité à son affaire.
Cahiers du Cinéma
"Le Sens de l’humour" se révèle au bout du compte sans réels conflits ni aspérités, un mollasson « Nous vieillirons ensemble » confirmant que les gens heureux n’ont pas d’histoires.