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Biff Grimes se voit offrir l'occasion de se venger de Hugo Barnstead qui le fit envoyer en prison des années auparavant...
Bagarreur, mufle, vindicatif et surtout CRETIN majuscule, voila le drôle de héros de ''La blonde Framboise''. Bien sûr il a la bonne bouille de charmant voyou de James Cagney, mais si on lui ôte son épouse, la douce et tendre Olivia de Haviland, il ne lui reste pas grand chose d'aimable.
Se pose la question.
Présentait t-on se genre de romance : à destination du public masculin pour le convaincre qu'avec tous les défauts indiqués ci-dessus, un homme peut trouver la femme idéale (parce qu'il le mérite bien) ou à destination des femmes, pour les convaincre que derrière tout abruti- provocateur- goujat, il y a un cœur d'or à chérir (parce qu'elles n'attendent que ça) ?
Pour cette fois, mon amour des comédies américaines des années 40 passe son tour.
Bagarreur, mufle, vindicatif et surtout CRETIN majuscule, voila le drôle de héros de ''La blonde Framboise''. Bien sûr il a la bonne bouille de charmant voyou de James Cagney, mais si on lui ôte son épouse, la douce et tendre Olivia de Haviland, il ne lui reste pas grand chose d'aimable.
Se pose la question.
Présentait t-on se genre de romance : à destination du public masculin pour le convaincre qu'avec tous les défauts indiqués ci-dessus, un homme peut trouver la femme idéale (parce qu'il le mérite bien) ou à destination des femmes, pour les convaincre que derrière tout abruti- provocateur- goujat, il y a un cœur d'or à chérir (parce qu'elles n'attendent que ça) ?
Pour cette fois, mon amour des comédies américaines des années 40 passe son tour.
Caine78
Admirablement construit, plein de surprises et de personnages inoubliables, « The Strawberry Blonde » vient démontrer une fois encore combien le talent de Raoul Walsh était immense. C'est tantôt drôle, tantôt émouvant, pouvant s'appuyer sur un scénario absolument passionnant et bien entendu une réalisation d'orfèvre. Alors quand en plus le casting compte un James Cagney en forme olympique, une Olivia de Havilland délicieuse et une Rita Hayworth... ba très Rita Hayworth (et je ne parle même pas des autres seconds rôles, tous excellents), le tout porté par une écriture irrésistible, il ne vous reste plus qu'une chose à faire : vous jeter sur cette merveille de comédie dramatique. Un régal.
Un modèle de la comédie romantique américaine à succés, les détails sont soignés et Cagney donne le rythme.
Sous la direction de Raoul Walsh, rèalisateur mythique de "White Heat", James Cagney a ègalement tournè avec ce dernier l'excellent et trop mèconnu "The Strawberry Blonde", un film tout ce qu'il y a de charmant avec pas mal de rebondissements! Un tout autre registre pour Cagney puisqu'il s'agit d'une chronique sentimentale pleine de lègèretè et d'ironie où l'acteur innove dans un rôle de composition qui exige du jugement et comporte un mèlange subtil d'humour, proche de la grandiloquence, et de rèserve! De plus, Cagney est entourè de deux stars magnifiques: Olivia de Havilland et Rita Hayworth! On n'oubliera pas de citer l'indèboulonnable troisième couteau Jack Carson dans l'un de ses meilleurs rôles! Une grande comèdie hollywoodienne avec une distribution de rêve...
Une comédie fin XIXème siècle sans prétention mais joliment réalisé par un Raoul Walsh en bonne forme. On a aucun mal à sentir l'affection que le réalisateur a pour les deux principaux personnages qui deviennent très vite attachants. James Cagney est excellent en brave type bagarreur qui reçoit plus de coups qu'il en donne, Rita Hayworth joue admirablement d'une sensualité plus feutrée qu'à l'ordinaire et la charmante Olivia de Havilland est à tomber à la renverse en infirmière féministe, surtout quand elle donne des clins d'oeil suggestifs. Parfois émouvant mais souvent drôle, "The Strawberry Blonde" est un film qui fait passer un très bon moment.
Un chef-d'oeuvre de petite comédie menée de main de maître par Raoul Walsh. Un véritable cadeaux pour les deux actrices, Olivia de Havilland et Rita Hayworth, dorlotées comme il se doit par un réalisateur au sommet de son art. Au milieu de ce crêpage de chignon, James Cagney parvient à imposer sans peine son physique de boxeur et son habituelle détermination. Brillant, léger comme une plume, enlevé, ce film est un pur bijou de cinéma hollywoodien.
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