Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Damien Bonelli
Un véritable bain sensoriel que l’on dirait concocté par un disciple de Terrence Malick.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Il y a dans Upstream Color, des moments de fascinations cellulaires, de microscopie gracieuse et sibylline. En cette fusion des sons et des couleurs, les images ne font sens que par leur profond mystère. Certains parleront de film prétentieux ; nous préférons voir un objet précieux et exigeant, ouvert au spectateur car l’invitant à s’y frayer un chemin, à y flotter - entre inquiétude et apaisement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
La BO électronique composée par le réalisateur romantise ce récit déconstruit et halluciné. Une œuvre aux antipodes du produit industriel insipide et facile à ingurgiter qui nous intrigue, nous travaille et nous hante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Inclassable, le cinéaste américain signe un "psycho trip" beau et déstabilisant.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre fable et pamphlet, un voyage intiatique fascinant et déstabilisant.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Impossible à résumer, le film s’avère pourtant bizarrement limpide dans son principe de montage, répondant plus à l’analogie qu’à la consécution. (…) L’expérience est assez unique, à mi-chemin entre la lessiveuse mentale et la bluette indé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm et Marcos Uzal
Ce caractère absolument imprévisible fait tout le prix de cette expérience étrange et confirme le rôle substantiel, voire central, que ce cinéaste exigeant comme peu pourrait être amené à jouer dans le cinéma des temps futurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Du cinéma impressionniste, parfois autiste, souvent impressionnant.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Peut-être faut-il voir dans cet essai une manifestation moderne de la transcendance à l’américaine. En tout cas, voilà une étonnante expérience de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
C'est beau, agaçant, parfois poétique, souvent intrigant. Spectateurs impatients, s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Fabrice Fuentes
Certes, parfois, l’imagerie pointe dans ce trop-plein plastique qui finit par se ceinturer lui- même dans ses propres effets, dessinant alors davantage des silhouettes que des personnages. Mais demeure l’essentiel : donner à voir et à entendre l’élaboration d’un cycle de vie.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’imprévisible Shane Carruth construit un labyrinthe envoûtant et atypique autour d’un ténia psychotrope qui contamine ses héros.
Ouest France
par Frédéric Foubert
Selon l'humeur, on trouvera ça fascinant ou irritant.
Positif
par Yann Tobin
La mise en scène très formaliste (...) devient de plus en plus répétitive, laissant le spectateur soit fasciné, soit exaspéré par l'expérience, à propos de laquelle les commentateurs ont un peu vite convoqué l'art de Terrence Malick ou de David Lynch.
Voici
par Jérôme Saunier
Beau film hypnotique. Mais faut s'accrocher !
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Quitte à tenter l’expérience, Upstream Color est une œuvre du grand écran qui se justifie dans des conditions de visionnage favorables pour se laisser imprégner par les bribes de grandeur qui émanent de sa projection en forme de rêverie éveillée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
D’un rythme égal et égalisateur, le film se trouve empêtré dans un argument de science-fiction de plus en plus rétréci et alambiqué qui empêche de trouver l’équilibre entre série B et fiction expérimentale.
Critikat.com
Un véritable bain sensoriel que l’on dirait concocté par un disciple de Terrence Malick.
Culturopoing.com
Il y a dans Upstream Color, des moments de fascinations cellulaires, de microscopie gracieuse et sibylline. En cette fusion des sons et des couleurs, les images ne font sens que par leur profond mystère. Certains parleront de film prétentieux ; nous préférons voir un objet précieux et exigeant, ouvert au spectateur car l’invitant à s’y frayer un chemin, à y flotter - entre inquiétude et apaisement.
L'Humanité
La BO électronique composée par le réalisateur romantise ce récit déconstruit et halluciné. Une œuvre aux antipodes du produit industriel insipide et facile à ingurgiter qui nous intrigue, nous travaille et nous hante.
Le Journal du Dimanche
Inclassable, le cinéaste américain signe un "psycho trip" beau et déstabilisant.
Les Fiches du Cinéma
Entre fable et pamphlet, un voyage intiatique fascinant et déstabilisant.
Les Inrockuptibles
Impossible à résumer, le film s’avère pourtant bizarrement limpide dans son principe de montage, répondant plus à l’analogie qu’à la consécution. (…) L’expérience est assez unique, à mi-chemin entre la lessiveuse mentale et la bluette indé.
Libération
Ce caractère absolument imprévisible fait tout le prix de cette expérience étrange et confirme le rôle substantiel, voire central, que ce cinéaste exigeant comme peu pourrait être amené à jouer dans le cinéma des temps futurs.
Mad Movies
Du cinéma impressionniste, parfois autiste, souvent impressionnant.
Télérama
Peut-être faut-il voir dans cet essai une manifestation moderne de la transcendance à l’américaine. En tout cas, voilà une étonnante expérience de cinéma.
L'Obs
C'est beau, agaçant, parfois poétique, souvent intrigant. Spectateurs impatients, s'abstenir.
La Septième Obsession
Certes, parfois, l’imagerie pointe dans ce trop-plein plastique qui finit par se ceinturer lui- même dans ses propres effets, dessinant alors davantage des silhouettes que des personnages. Mais demeure l’essentiel : donner à voir et à entendre l’élaboration d’un cycle de vie.
Le Monde
L’imprévisible Shane Carruth construit un labyrinthe envoûtant et atypique autour d’un ténia psychotrope qui contamine ses héros.
Ouest France
Selon l'humeur, on trouvera ça fascinant ou irritant.
Positif
La mise en scène très formaliste (...) devient de plus en plus répétitive, laissant le spectateur soit fasciné, soit exaspéré par l'expérience, à propos de laquelle les commentateurs ont un peu vite convoqué l'art de Terrence Malick ou de David Lynch.
Voici
Beau film hypnotique. Mais faut s'accrocher !
aVoir-aLire.com
Quitte à tenter l’expérience, Upstream Color est une œuvre du grand écran qui se justifie dans des conditions de visionnage favorables pour se laisser imprégner par les bribes de grandeur qui émanent de sa projection en forme de rêverie éveillée.
Cahiers du Cinéma
D’un rythme égal et égalisateur, le film se trouve empêtré dans un argument de science-fiction de plus en plus rétréci et alambiqué qui empêche de trouver l’équilibre entre série B et fiction expérimentale.