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    Pacific Rim Uprising
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    357 critiques spectateurs

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    MaCultureGeek
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    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2018
    Il est de mauvaise augure pour sa carrière cinématographique de s'occuper de la suite d'un film de Guillermo Del Toro quand on ne s'appelle pas Guillermo Del Toro. Cela, Steven S. Denight l'a expérimenté à son grand regret; pourtant showrunner de l'excellente série Daredevil (on se souvient du choc de la première saison), il débutait ici sa carrière filmique par un projet abandonné par son réalisateur originel (Del Toro), récupérant les pots cassés de ce qui sera l'une des catastrophes blockbusturiennes de 2018.

    Première chose que l'on peine à reconnaître, c'est l'écriture de l'homme : l'intrigue se posera dans un cadre plus restreint que le premier, avec des combats et une menace d'une ampleur largement moindre, rappelant vaguement son travail sur la célèbre série Marvel déjà citée. Mais toutes les incohérences, le manque de profondeur des personnages, l'enchaînement des dialogues et les rapports que les protagonistes entretiennent entre eux (tous les poncifs des blockbusters y sont inclus) prouveront que le passage du média de la série à celui du film est une tâche extrêmement complexe que tout le monde ne peut pas entreprendre avec succès.

    C'est écrit comme un mauvais film mais filmé comme une série de série z, sans ampleur ni recherche : l'on se croirait devant un pauvre pastiche de Michael Bay, sorte de Transformers au rabais qui lui pomperait son style visuel pour y ajouter une mise en scène d'une platitude affligeante. Les couleurs elles-mêmes sont fades, manquent d'éclat : elles épousent cette mode récente du "tout en filtre terne" aberrante qui privilégie, depuis grosso merdo la sortie de The Dark Knight, des couleurs entre le sombre et l'éteint pour faire ressortir la prétendue noirceur d'une intrigue, la gravité feinte des thèmes qu'elle rebat.

    Un détail d'autant plus gênant que le concept de base de Pacific Rim consiste à se reposer sur des jeux de lumières éclatants, et mettre ainsi en valeur la beauté visuelle des combats, des environnements, des décors détruits et des explosions grandioses. Filmer à grande échelle, soigner le sens du cadrage, la propreté et la richesse de la photographie, c'est cela que faire un Pacific Rim.

    Dans ce sens, Steven S. Deknight ne pouvait plus rater le coche : filmant sans recherche du relief, il se contente d'animer des combats plus proche d'un Transformers que de l'évolution du genre du Kaiju Eiga, tombant dans le hors sujet jusqu'à ce combat final sans enjeu ni ampleur, où 3 pauvres Kaiju donneront la réplique à quelques Jaegers au design plus proche d'un Bumblebee que d'un Gipsy Danger, jusqu'à la venue regrettable de ce Méga-Zord de l'enfer, pauvre évocation dans ses plans en 2D plan-plan des faibles combats des anciens Power Rangers.

    L'on retrouve en effet du Power Rangers dans cet Uprising; du Rangers de 2017 ou des premières séries, qui comme son modèle de base nippon ne possède que le Rangers sans le Power. Une mollesse qui se caractérise également par son montage classique et rythmé n'importe comment, décuplant sans le vouloir toute la platitude d'un réalisateur filmiquement peu expérimenté.

    A cela s'ajoutera le jeu catastrophique du casting; entre un John Boyega nous ressortant Star Wars 7 et le fils de Clint Eastwood, el famoso Scott, plus occupé à copier son père qu'à se faire pardonner Suicide Squad, vous serez servi en déceptions terribles. Quelques têtes du premier seront d'ailleurs de sortie, comme pour rassurer les foules sur le lien de suite qu'il entretient avec l'original; retenez seulement que Mako y fera un passage éclair symptomatique des mauvaises suites, et que les deux scientifiques continueront de s'empêtrer dans un surjeu navrant.

    Une catastrophe, donc, qui perpétue l'héritage des idées ratées jusqu'à sa conclusion sur fond de neige et de mauvaises blagues, avec ce dégoût caractérisé par une mauvaise bande-son, elle aussi sans ampleur ni travail, si ce n'est un remix douteux du main theme d'origine. Les bruitages n'en imposeront jamais, discrets effets à la place tertiaire dans l'expérience finale, quand ils tenaient une importance primordiale dans l'original, presque plus vitaux que les effets visuels. Et quand on voit que John Boyega produisait là son premier film, il y a de quoi se dire qu'il restera seul au tableau pour un bon moment.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Pour ce second volet de « Pacific Rim », Steven S. DeKnight a oublié toute la dimension psychologique entreprise par Guillermo del Toro en 2013. Le film décrit le conflit planétaire mais inexpliqué des Kaiju, des créatures extraterrestres, aux Jaegers, des robots géants pilotés par des humains. Le film se contente ici d’être un spectacle visuel aux scènes d’action bluffantes mais sans vie. Les spectateurs en mal de sensations fortes y trouveront leur compte, mais les fans de la première heure chercheront encore les émotions censées être le cœur de la connexion des pilotes.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    985 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 avril 2019
    Faire une suite à Pacific Rim sans Guillermo Del Toro, c'est comme proposer une pizza après une entrée au caviar. Le réalisateur mexicain préférant quitter le navire par manque d'idées créatives, restant tout au plus producteur pour la forme, nous nous retrouvons devant la séquelle classique où le fils d'un précédent personnage prend la relève et fait face, aux côtés de nouveaux personnages, à une nouvelle menace menaçant la Terre. Sans tourner autour du pot, Pacific Rim Uprising est un copié-collé d'Independence Day Resurgence. Ni plus, ni moins. Similaire sur énormément de points, des personnages aux enjeux dramatiques, l'originalité n'est pas de mise ici (elle ne l'était d'ailleurs déjà pas dans la suite de Roland Emmerich). Plus soft, au casting plus jeune et au scénario encore plus cartoonesque, le long-métrage ne propose concrètement rien de neuf si ce n'est un combat entre Jaegers, ces robots géants ici tous plus fantasques les uns que les autres. Bien plus influencée encore par Evangelion et même le jeu vidéo Zone of the Enders, la direction artistique s'avère catastrophique, le remplaçant de Del Toro étant ici Steven S. DeKnight, issu de la télévision et n'ayant à son actif que quelques épisodes de la série "Angel" et le pilote du reboot de "Daredevil" par Netflix. Désormais exposés en plein jour, les combats s'enchainent et se ressemblent, prétexte à un scénario poussif et débile. Le premier film ne brillait pas de son intelligence et parvenait à proposer un spectacle dantesque et décomplexé servi par une mise en scène maîtrisée et des idées à chaque plan. Écrit par quatre scénaristes quasi-inconnus (dont DeKnight et l'auteur de la trilogie du Labyrinthe), le long-métrage n'arrive jamais à être dynamique, drôle ou même émouvant, la mort d'un personnage emblématique étant ici balayée avec une nonchalance effrayante. Sauvé de la case direct-to-DVD grâce à son budget conséquent (merci la Chine), Pacific Rim 2 est l'exemple typique de la suite opportuniste confiée à n'importe quel yes-man souhaitant faire ses preuves au cinéma.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2022
    « Toujours plus », la devise parfaite pour une franchise qui ne veut pas changer une recette qui fonctionne à souhait. L’excès est d’ailleurs l’ingrédient dominant dans ce colisée que l’on appelle Terre. Le carnage qui en découle n’est autre que le reflet évident de l’œuvre de Del Toro. Steven S. DeKnight propose ainsi sa continuité, vulgaire prolongement d’un conflit qui n’avait pas forcément besoin d’être revisité. Certaines fois, les risques sont source d’inspiration et d’innovation. Nous tenions quelque chose d’intéressant jusqu’à ce que le réalisateur mexicain s’écarte du projet, afin de laisser un parfait yes man aux commandes d’une machine à sous infernale.

    La chimère, née de « Neon Genesis Evangelion », se suffisait déjà à elle-même, mais il y avait bien plus à exploiter et à standardiser. Les producteurs surfent ainsi sur une démarche commerciale avant de parler de ce qui a fait le succès du premier volet. Là où Del Toro a pris le temps de mettre en avant ses Jeagers, afin de leur donner un charisme pesant. On le ressentait à chaque intervention, avec des plans qui n’hésitaient pas à jouer sur la contre-plongée et dans la pénombre. Ici, on se place immédiatement à la hauteur des véhicules qui sont aussi banalisés que leurs pilotes. Jake Pentecost (John Boyega) n’est d’ailleurs présent que pour confirmer une continuité avec le premier volet. Sans qu’il puisse réellement insuffler des valeurs crédibles, ce ne sera pourtant pas avec Nate Lambert (Scott Eastwood) que l’on rattrapera le manque de profondeur. Sans dramaturgie, le film s’engouffre dans une mise en scène brouillonne, voire aléatoire.

    Il n’y a plus de place pour la créativité et c’est l’immaturité qui reprend le dessus. Les jeunes protagonistes apportent un sentiment de fraîcheur, s’est-on dit sur le papier. Mais les faits, c’est autre chose et ces derniers se raccorde mal avec l’humour. Ironiquement, ce sont les passages dramatiques qui portent à confusion, jusqu’à en sourire bêtement. Il y a donc un sérieux déséquilibre dans cette œuvre, qui se laisse emporter par la facilité. Certaines prises de risques ont néanmoins soulevé quelques instants de suspense, mais rien de plus. La surface est à peine effleurée pour un effet qui ne vaille pas le coup. Sans émotions, sans direction artistique convaincante, il est peu probable que cette dernière escapade fasse mouche dans les yeux d’un cinéphile ou un simple fan de cet univers, pourtant riche en possibilités.

    C’est avec regret que nous découvrons un « Pacific Rim : Uprising » qui ne satisfait guère la feuille de marche. Bruyants et dotés d’un alliage effet plastique, les Jeagers ne redressent pas la pente et en profitent même pour perdre en crédibilité. L’action est banalisée, il reste donc peu de place à une intrigue qui enchaîne les affrontements sans profondeur. On sent bien que le schéma est anticipé pour une suite qui interroge et qui recycle bien d’autres œuvres du même genre. On pense immédiatement à « Independence Day : Resurgence » comme exemple récent, où les promesses ne sont pas palpables, il n’y a que du superficiel pour nourrir notre visite de courtoisie.
    2985
    2985

    248 abonnés 1 036 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2018
    Le premier était très bon, grâce a la mise en scène de Del Toro, le second est nettement moins attrayant. La faute a un scénario décousu, parfois très infantile, et des dialogues franchement pas aux niveau. Sur certains aspects on lorgne dangereusement vers Transformers ce qui n'es pas une bonne chose, certaines scènes frises le ridicules, et d'autres sont invraisemblables sur des points que le le premier volets avait instauré. Les acteurs sont tous juste passables, il ne reste que des effets spéciaux de qualités mais qui ne sauve pas le film, dommage q'une fois de plus une franchise s'enlise dans une certaine médiocrité, d'autant plus que le twist final qui n'es pas sans rappelé indépendance day 2 qui n'es malheureusement pas une référence annonce une probable suite.
    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Une histoire moins prenante que le premier épisode, plus facile et sans grandes surprises, mais des scenes d'actions avec des effets spéciaux d'un haut niveau, l'important est là, il y a du grand spectacle !
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    200 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2018
    Cette suite de "Pacific Rim" reste à la fois fun et explosive. Mais elle demeure une suite au rabais. Le scénario est largement bâclé et peinera à convaincre les fans du film original de Guillermo DEL TORO. Heureusement, les effets spéciaux spectaculaires et combats titanesques devraient mettre tout le monde d'accord !
    Jérémie
    Jérémie

    143 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2018
    Déçu de ce film alors que le premier m’avait agréablement surpris. On est dans un total autre registre avec une histoire stéréotypée américaine hyper classique. Un film d’action évident à l’humour grotesque. A côté de cela, les scènes d’actions sont magnifiques, et heureusement d’ailleurs, car côté scénario c’est la déception, surtout avec ce que le film aurait pu nous offrir...
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2018
    Ce 2eme opus nous fait passer d’un concept novateur, rafraîchissant, esthétique, à un quidam du film d’action décérébré, à la sauce Transformers. Un beau gâchis. Comment Guillermo del Toro, passé de la réalisation à la production, a t’il pu laisser faire ça ? On a l’impression d’un sabotage. Incompréhensible.
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2018
    10 ans après, les brèches ayant permis aux Kaijus de semer la désolation sur la planète ont été refermées par les Jaegers, robots géants pilotés par des duos de pilotes. Une menace nouvelle se précise et les Jaegers et leurs pilotes sont de nouveau....sur la brèche (c'est le cas de le dire!).

    Pour ceux qui pensent que le film pourrait mal se terminer, ACHTUNG, cette critique contient de nombreuses "révélations" qui pourraient vous "spoiler".

    Produit par le réalisateur Guillermo del Toro qui avait réalisé le premier Pacific Rim, Pacific rim uprising est cette fois réalisé par Steven.S Knight. Le projet maintes fois différé est sorti sur les écrans en février 2018.

    Guillermo Del Toro est un réalisateur écclectique et si je suis fan de son coté Crimson Peak, je suis déjà beaucoup moins amateur d'Hellboy ou de Pacific Rim.
    Avec ce deuxième volet, Steven S Knight réalise un film assez peu spectaculaire et plutôt régressif.
    Le film est peu spectaculaire car pendant les 3/4 du films, on ne voit que les Jaegers et les pilotes qui ont de tellement de jolies combinaisons qu'on dirait les Power rangers, aucun Kaiju à l'horizon. Ce sont d'ailleurs les pilotes qui sont les véritables stars du film.

    Le film débute par une introduction bâclée qui nous rappelle les faits marquants du premier volet.
    Alors que la réalisation manque de profondeur, le réalisateur prend plaisir à filmer les pseudo-rivalités entre les aspirants pilotes, surtout les nanas. Pour relever le niveau, on a dans le rôle principal John Boyega, au charisme inexistant et profondément meurtri depuis que son père est mort dans le premier volet en pilotant un Jaeger contre un Kaigu. Bon, vu le potentiel dramatique de l'acteur et qu'au fond, on s'en fout un peu puisqu'on regarde un blockbuster (et pas le Docteur Jivago...), il faut vite passer à autre chose.

    Au casting, on retrouve aussi Scott Eastwood dans le rôle d'un autre pilote, Nate. Il choisit décidément beaucoup plus mal ses films que son père.
    Le super méchant du film est Newton Geiszler (Charlie Day), l'acteur est aussi ridicule que son personnage. Son alter ego positif Herman Gotllieb (Burn Gorman) a une bonne tête de vieux NERD mais n'est pas davantage convaincant.

    Le film est régressif car la communication, les états d'âme et la rivalité entre les aspirants pilotes qui occupent les 3/4 des dialogues, est du niveau du collège. Le film explore en fait la veine Transformers mais en moins spectaculaire d'après les fans. N'ayant vu qu'un film de cette saga qui ne m'avait pas trop convaincu, je laisse ce jugement aux "spécialistes".

    Pacific Rim Uprising s'anime un peu lors des 20 dernière minutes où trois Kaijus prennent d'assaut le mont Fujiyama et sont aux prises avec 5 Jaegers. Le film prend alors davantage d'envergure avec des combats spectaculaires et des effets spéciaux dignes de ce nom.

    Une scène m'a fait éclater de rire tout seul dans mon coin: celle où le Power ranger Amara saute au dessus d'une brèche qu'elle n'avait pas la moindre chance de franchir avec ses petites jambes(d'où mon hilarité...).... et est accueillie fort opportunément par le toit d'un petit robot qui lui permet d'accéder au dernier Jaeger en état de marche et de "sauver le monde". Grosses ficelles et happy end résument assez bien le film.

    On parie qu'il y aura une suite?
    NammJones
    NammJones

    109 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2018
    Scénario assez mauvais et sans grand intérêt avec des problèmes vite résolus.
    Casting pour enfants avec un Boyega qui ne sort pas du tout du lot et à qui on a sûrement demandé de trop en faire. Une déception assez surprenante quand même.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2018
    Tout en étant toujours aussi débile dans le concept ce film reste tout à fait divertissant, surtout en 3D ^^
    Je m'attendais à bien pire au vu des critiques.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mars 2018
    Ce second volet est un pur film de divertissement, ça explose de partout, il y a des robots, des monstres... Mais les effets sont soignés et les ralentis permettent d'apprécier les combats titanesques...
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    103 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un second volet avec moins d’action, moins de rythme et notamment une première partie un peu molle et longue, avec aussi des personnages plus jeunes qui donnent un film moins mature, plus jeune. Ça fait moins sérieux, un style un peu à la Transformers, et ça passe moins bien. Le méchant est également moins intéressant que dans le premier. Enfin bref, pas grand-chose de mieux, un second volet déjà à cours de souffle.
    Fargo Boy
    Fargo Boy

    87 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2018
    Du grand spectacle ,un film très très divertissant. Ils ont fait le job :on s’attendait à ça et on a eu ça . L’histoire est mince mais c’est pas grave , le reste fait l’affaire.
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