Mon compte
    Crimson Peak
    Note moyenne
    3,6
    5688 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Crimson Peak ?

    485 critiques spectateurs

    5
    40 critiques
    4
    142 critiques
    3
    185 critiques
    2
    80 critiques
    1
    25 critiques
    0
    13 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Solid S
    Solid S

    37 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    Les fans de found-footage et tous ceux qui cherchent le grand frisson peuvent passer leur chemin ! Car Crimson Peak n'est pas un film d'horreur, loin de là ! Certes on frissonne parfois et l'ambiance n'est pas rassurante mais tout cela ne sert qu'à découvrir le cœur du film qui est tout simplement magnifique !
    Impossible de parler de l'histoire sans spoiler, vous vous amuserez à élaborer les théories les plus folles tout au long du film jusqu'à ce final très bien pensé qui m'a donné envie d'applaudir haut les mains !
    Les décors sont superbes, d'autant plus qu'ils sont authentiques. Les fantômes sont visuellement très réussis, la musique est somptueuse et les acteurs sont parfaits.
    Je ne suis pas fan de Guillermo Del Toro à la base mais là je suis conquis et j'ai quitté la salle encore sous l'émotion devant ces 2 heures menées d'une main de maître par ce grand réalisateur dont la réputation est pleinement justifiée une nouvelle fois ! Bravo !
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2015
    Après l'hommage aux kaiju eiga qu'était Pacific Rim, Guillermo del Toro peut donner l'impression de rendre un hommage aux films de fantômes avec Crimson Peak. Cela n'est pas tout à fait le cas car les fantômes ne sont que secondaires dans ce film : le film se concentre plus sur le mystère entourant la fratrie Sharpe. Ainsi, même si l’œuvre rappelle par moment des films de maisons hantées, c'est surtout à Rebecca d'Alfred Hitchcock spoiler: (cinéaste dont l'ombre plane également avec le thé empoisonné qui rappelle la séquence du verre de lait de Soupçons)
    que l'on pense spoiler: : une femme épouse un homme et va vivre dans son château où elle semble mal acceptée par une autre femme présente dans ce manoir (la servante dans Rebecca, la sœur ici)
    .
    Ce film gothique met un peu de temps avant de réellement intéresser son spectateur car l'impression de déjà-vu du scénario est assez présente au début. Toutefois, la flamboyance des décors, de la photographie et de la mise scène éblouit à chaque instant et offre une splendeur visuelle rare au cinéma. De plus, l'interprétation de Mia Wasikowska en jeune fille naïve et surtout celles du duo familial incarné par Tom Hiddleston et Jessica Chastain est parfaite. Enfin, les effets spéciaux sont également une belle réussite (étrangement certains font penser à Hollow man : L'Homme sans ombre de Paul Verhoeven).
    Ainsi, même si son scénario n'est pas d'une originalité extraordinaire (même s'il ne correspond pas au film de fantômes que la première séquence pourrait laisser croire), Crimson Peak possède une telle beauté visuelle qu'il est difficile de ne pas prendre de plaisir en le visionnant.
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    En sortant de « Crimson peak », frissons me parcourant encore l’échine, j’étais dubitatif, le film ne serait-il pas un authentique chef d’œuvre du genre ? Il faut toujours se méfier de l‘enthousiasme effréné qui vous saisit parfois au sortir du cinéma. Les heures s’égrenant, où chaque plan, chaque image revenaient me hanter, la nuit, emplie d’étranges sensations et d’un bestiaire horrifique, porta conseil. « Crimson peak » est réellement une œuvre hors du commun !

    Guillermo Del Toro est un grand gosse, qui de réalisation en production, d’écriture en collaboration s’amuse à se faire (nous faire) peur, s’étonner (nous étonner), s’émerveiller (nous émerveiller). Il se joue de presque tous les thèmes du cinéma du fantastique et de l’épouvante pour notre plus grand désir. Du très philosophique « Labyrinthe de Pan », au bouillonnant « Pacific Rim », du glacial « L’échine du diable » au savoureux « Hellboy » il affiche une très grande maîtrise au niveau de sa mise en scène, mais surtout de la créativité.

    Guillermo Del Toro est aussi un érudit. Dans ces genres de prédilection, il affiche une culture cinématographique mais aussi littéraire et picturale dont il puise en références, ses idées, et aliment son propre univers. Ses références sont l’engrais qui vient fertiliser une terre déjà riche de promesses.

    Il n’est donc pas étonnant que « Crimson peak » fourmille de séquences déjà vues par ailleurs. Et bien évidemment dans les films de la Hammer Film Productions (dont il rend ici le plus formidable des hommages). D’une verrière très proche de celle du « Baiser du vampire » à une chambre où foisonne un mobilier gothico-kitsch et clinquant comme pour « Le cauchemar de Dracula ».... On retrouve un style, un savoir faire. Del Toro ne s’en cache pas. Et je doute que la Baron Meinster aurait renié ce château cramoisi…

    Il serait injuste de ne limiter le seul référentiel à celui de ce studio. Comment ne pas penser à Roger Corman et ses décors grandiloquents (le sous-sol de cuves d’argile fait étrangement penser à ceux de « La chambre des tortures »). C’est au monde littéraire, également à celui de la peinture que l’inspiration semble la plus réussie, les monstres de Füssli, l’incroyable isolement médiéval et architectural d’un Karl Friedrich Schinkel où la nature désolé d’un Caspar David Friedrich viennent enrichir le visuel. Poe, ou William Blake avec ses enluminures du « Mariage du ciel et de la terre » ne sont jamais très loin non plus…

    Mais « Crimson Peak » n’est pas non plus un catalogue chic et tendance de tout cela. Guillermo Del Toro est non seulement un artiste complet, mais aussi un réel auteur original (depuis le « Labyrinthe de Pan » personne ne peut en douter !). Latent jusque là, surgie en plein cadre une inspiration romantique, tendance gothique, qui cadre bien avec le personnage. Ainsi les sentiments à l’écran n’existent que dans la représentation que chacun en donne. Ici se perdent langueur, mots doux et autres niaiseries. Nous sommes dans le domaine du passionnel, de l’intuitif, de l’amour en rouge ! Émotions et actes sont exacerbés et arides tout autant que les décors ou le contexte.

    Pour mieux mettre en valeur cette violence, ce déchainement de sentiments, Guillermo Del Toro choisit un style outré, tant au niveau de la direction artistique que dans le jeu des acteurs. Cette apparente lourdeur pèse sur le récit, nous enserre le cœur, nous révulse. Nous assistons à un véritable drame dont on sait dès le début qu’il sera inexorable et terrible. Cette époustouflante mise en scène macabre se révèle d’une grande profondeur et d’une justesse peu commune dans ce genre de production. Pas un plan séquence ou large, pas un panoramique ou fondu au noir n’est superflu. La maestria Del Toro est gagnante à tous les coups.

    Si l’on atteint pas l’amplitude intellectuelle du « Labyrinthe de Pan », ce n’était pas le but recherché non plus, « Crimson Peak » est un vrai petit chef d’œuvre signé par un réalisateur toujours plus inspiré, qui possède un vrai style et un univers qui lui est propre, loin de toutes conventions. A l’image de son héroïne Edith, il réfute une vision de la vie trop guindée et un peu poussiéreuse à la Jane Austen, lui préférant celle plus torturée, passionnée et humaine d’une Mary Shelley.

    Un énorme coup de cœur pour un coup de maître !
    Pierre L.
    Pierre L.

    20 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2017
    Certains cinéastes ont cette tendance, ou plutôt cette faculté à marquer notre esprit grâce à leur univers si particulier, se distanciant de toute sobriété, privilégiant ainsi les histoires de monstres et de fantômes, de contes et de poèmes, le tout dans une ambiance des plus macabres et glauques qui soit. Guillermo del Toro fait sans nul doute partie de ces actuels rares, tentant coûte que coûte de défendre leur art pour lui trouver une place au beau milieu de cette écrasante société de consommation, où l'argent prime sur la richesse... thématique. Deux ans après Pacific Rim et avec une carrière de cinéaste déjà largement confirmée, Guillermo del Toro revient donc sur le devant de la scène avec son Crimson Peak, signe assuré d'un retour aux sources, qui peut s'avérer, c'est certain, conquérant.

    C'est au cours de l'époque victorienne que le réalisateur prend soin s'implanter son décor. Rien de tel en effet, que de développer son intrigue au cous de cette période de l'histoire, si représentative d'un style démesurément gothique, rappelant entre autres quelques perles du genre telles que Le Prestige, From Hell, Dracula ou encore Sweeney Todd. Nul doute que le cinéaste a trouvé le support idéal pour confirmer ses talents dans son style de prédilection : l'horreur. Le spectateur assiste en tous cas à une parfaite reconstitution d'époque dans laquelle certains mordus du genre y trouveront leur compte dès les premières minutes. La mise en scène ravit par sa richesse du détail à travers ses authentiques décors baroques, parfois métalliques, sublimés par un jeu de lumière colorée, à la limite du genre streampunk. Il est certain qu'une telle mise en scène renoue les liens entre le spectateur et certains films du genre, cependant bien plus anciens. Le travail de mise en scène de del Toro repose décidément sur un profond désir de réconcilier l'observateur avec ses émotions et ses peur d'enfance, ce côté onirique mais terrifiant.

    Sur le fond, rien ne s'avère bien novateur, et il faut le préciser. Cependant, il se pourrait bien que ce soit la principale force du film. Construite sous forme de conte, Crimson Peak reprend avec entrain les codes fondamentaux de ce genre narratif pour déployer ce que nous connaissons déjà, mais sans sombrer une seule seconde dans les méandres de l'insupportable déjà vu. Guillermo del Toro revisite le genre mais parvient à le moderniser à sa manière, rendant ainsi délectable chaque détail du métrage. Outre l'utilisation des codes classiques, le réalisateur trouve le parfait équilibre avec ses faibles artistiques et livre un résultat dosé avec finesse. Ces fantômes squelettiques rougeâtres aux doigts caoutchouteux, entièrement visibles, un brin kitsch, en sont la preuve et parviennent tout de même à maintenir le côté oppressant de ce climat macabre.

    Outre l'image au sens propre du terme, le réalisateur semble consacrer un amour fou pour les symboliques résultantes du genre. En effet, le spectateur assiste à une progressive descente aux enfers, à l'image de ce manoir tout aussi lugubre que fascinant s'enfonçant dans le sol, les murs ornés de son sang et ses fantômes errants, souffrant d'une telle déchéance. Cet amour entre les deux principaux protagonistes, cette flamme orangée qui les lie mais qui n'éclaire rien. Tout semble en parfaite cohérence pour cultiver l'horreur et l'émotion du spectateur devant une telle décadence. Rien ne passe à la trappe et les admirables prestations du trio d'acteurs ne font que le confirmer. Le mystère s'éclaircit et laisse place à l'horreur mais ne néglige en aucun cas l’émotion générée. Chaque détail livre sa faiblesse et renforce ainsi cet aspect poétique.

    Inutile de préciser (mais je le fais quand même) que Crimson Peak est à mes yeux un vrai film de genre, fait par les mains d'un vrai maître du genre. Guillermo del Toro prouve à travers cette fresque son amour fou pour les monstres et les fantômes, auxquels il rend hommage de manière démesurément sincère. Crimson Peak est probablement le fruit le plus pur de son réalisateur, un mélodrame envoûtant traité à l'anglaise, un concentré de ce qu'il fait de mieux et un admirable retour aux sources. Outre son aspect formellement irréprochable, Guillermo del Toro inclue une subtilité romanesque délectable, renouant ainsi les liens entre le spectateur et son imaginaire d'enfance.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 octobre 2015
    Une mise en place a peine longue, des sentiments et des émotions, une belle histoire a voir
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    Personnellement oui, j’ai eu peur, cependant des gens habitués du genre ou peu sensibles aux films d’horreur peuvent trouver qu’il n’est pas si terrible. Objectivement, il n’y a pas tant de scènes avec les fantômes, jeScreen-Shot-2015-05-13-at-10.24.32-AM-620x400 pensais que ce serait pire. En revanche, les scènes de morts sont assez atroces, je n’ai pas toujours réussi à garder les yeux ouverts. Le fin est triste et la vérité du dénouement et même le dénouement en soi sont assez atroces, encore ce mot mais c’est celui qui décrit le mieux ce que je pense.

    La chronique complète sur mon blog !
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2016
    Guillermo Del Toro signe un thriller fantastique esthétiquement très réussi, où l'atmosphère est sombre et inquiétante, la reconstitution parfaite, les jumps-scares efficaces, la mise en scène maîtrisée et la distribution convaincante même si l'intrigue laisse un sentiment de déjà-vu. Un bon film du genre.
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    voila un film de genre époustouflant dans des décors glaçants comme des images de Gustave Doré, une mise en scène d'un gothique étincelant c'est d'une grande beauté à couper le souffle un rai régal de cinéma qui laisse une impression d'avoir été transporté dans un autre monde
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    J'attendais ce film depuis des mois, alléchée par une bande-annonce très prometteuse et un casting impressionnant... J'en attendais sûrement trop.
    Ce film n'est pas vraiment une déception, je n'irais pas jusqu'à dire cela : il se regarde avec attention, et je ne regrette absolument pas d'être allée le voir au cinéma ! La photographie est superbe, tout est propre, léché, soigné. Guillermo Del Toro nous livre une beau film aux fantômes certes peu ragoûtants mais esthétisés. En fait, mon principal regret concerne le scénario, cousu de fil "rouge" : spoiler: la relation peu catholique du frère et de la soeur est très prévisible, le coup du thé également, et tout le monde s'attend à ce que Edith serve une tirelire vivante aux Sharpe...

    Ce film avait énormément de potentiel et c'est pourquoi je m'attendais à bien plus d'originalité : un manoir sur une colline d'argile rouge, quelle promesse ! Quel symbolisme ! Malheureusement, l'esthétique ne sauve pas le scénario qui, bien que riche, est trop prévisible. De plus, la première partie qui se déroule à Buffalo est un peu trop longue à mon goût, j'aurais préféré passer plus de temps dans la lande du Cumberland... Le casting tient quant à lui toutes ses promesses et Jessica Chastain est merveilleuse, rien à redire de ce côté-là.
    Au final, "Crimson Peak" reste un film à voir si l'on est passionné d'ambiance gothique (bien qu'elle aurait pu être plus exploitée) et de thriller, mais ne vous attendez pas à voir un film rempli d'esprits et de surnaturel : les fantômes ne sont pas si nombreux (mais restent tout de même effrayants) et ne sont pas l'objet principal du film. Une chose est sûre : vous ne pourrez pas rester insensibles au manoir enchanteur et glaçant des Sharpe...
    apotheme
    apotheme

    118 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    Crimson peak est un film sombre horrifique et romantique doté d'un histoire soit prévisible mais assez passionnante pour en faire un bon film.
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Autant je me suis ennuyé durant la séance de "The Visit" de Shyamalan, autant ce film de Guillermo del Toro m'a séduit, captivé, horrifié, fasciné. Le seul point faible, ici, ce sont les apparitions de fantômes proprement dites. Je ne sais quel procédé del Toro a utilisé, mais ce n'est pas une grande réussite. Cela étant dit, tout le reste du film est tellement extraordinaire que ce seul défaut ne lui nuit guère. D'ailleurs, dans ce genre de film, le plus important, c'est l'atmosphère et non les apparitions de fantômes. Or, de l'atmosphère, ici, il y en a, et comment! Des décors fabuleux, des personnages troubles et inquiétants à souhait, une histoire qui reste constamment du niveau des meilleurs romans gothiques. Le film est débordant des sentiments les plus contradictoires, amour et horreur mêlés comme on l'attend dans les films de cette sorte. "L'amour monstrueux engendre des monstres", comme le dit l'un des personnages. Guillermo del Toro a mis tout son talent de metteur en scène au service d'une histoire des plus horrifiques et néanmoins des plus fascinantes. Du grand art. 8/10
    Romain J.
    Romain J.

    64 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2015
    Après ses grosses machines sans saveurs (les HELLBOY mais aussi le plaisir coupable PACIFIC RIM), il revient dans sa singularité, signant une oeuvre ténébreuse à souhait magnifiée par un trio d'acteurs remarquable.

    Critique complète ici.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    114 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2015
    Légère déception, même si j'ai globalement aimé. Que les choses soient claires: je préfère mille fois ce genre de conte gothique que la plupart des films de genre qui sortent actuellement dans les multiplexes. C'est visuellement somptueux, et les influences ont de quoi ravir les cinéphiles: le "Rebecca" d' Hitchcock côtoie Mario Bava et le "Suspiria" d'Argento, ou "La Maison du Diable" de Robert Wise et les productions Hammer... Le problème vient donc du scénario, trop prévisible et mal dosé dans ses effets. "Crimson Peak" étant un film avant tout atmosphérique à l'ancienne, on peut lui pardonner le manque de rythme et d'originalité, et se délecter de la beauté des images. Parmi le jeune public qui s'attendait à des jump scares à foison, un certain nombre a quitté la salle avant la fin. Il y a quelques effets-choc (qui lui valent son interdiction aux moins de 12 ans), mais le film cherche à atteindre avant tout une forme de poésie romantico-morbide un peu désuète mais tellement classe. On retrouve la fascination du réalisateur pour les insectes, les ambiances oniriques. Comme dans "Le Labyrinthe de Pan", la violence brutale surgit du quotidien et les humains sont finalement plus terrifiants que les faunes et les fantômes. Même si je m'attendais à un peu mieux, le film reste très appréciable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    Un film différent mêlant originalité, fantastique, épouvante et romance. Beau petit coktail !
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Un film sublime avec des décors magnifiques, une atmosphère soignée et des acteurs au top.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top